Monster_Energy_ : OL 1-2 PSG (Ménez)
T'es là toi dale-pé
Tiéné il va plus toucher une bille
Nan j'suis pas là.
Vous avez écouter l'After hier?
Nenê s’est ensuite exprimé sur le nouveau schéma de jeu mis en place par Carlo Ancelotti, qu’il n’estime pas aussi frileux que certains peuvent le dire. « Non. Ce n’est pas parce que tu alignes trois milieux récupérateurs que tu attaques moins. Il faut simplement que ces trois-là suivent les attaquants, mais on n’a pas pu le faire. En tout cas, le coach n’a pas fait cette équipe pour moins attaquer. (…) Je ne suis pas dans la tête du coach ! Je n’ai rien à dire là-dessus, a lâché le N°10 parisien, qui laisse à Ancelotti le soin de placer Javier Pastore sur le terrain. C’est un accélérateur de jeu. Mais c’est au coach de voir là où il est le meilleur, pas à moi. Peut-être derrière l’attaquant, non ? Comment jouait-il à Palerme ? Désolé, je ne sais pas trop, je ne le suivais pas. »
En tout cas, Nenê est conscient que Carlo Ancelotti est en train d’apporter beaucoup de choses à cette équipe du PSG. « Son expérience, une nouvelle manière de travailler, son exigence à l’entrainement, où il ne nous laisse jamais nous reposer, et sa faculté à décrypter ce qu’on a fait de moins bien à chaque match. Avant, il nous arrivait parfois de sortir du terrain en ayant la sensation d’avoir réalisé un match moyen, mais comme on avait gagné, ça passait sans problème. Avec Ancelotti, ça ne passe pas comme ça. Match gagné ou pas, il va te choper dans le vestiaire s’il considère que tu n’as pas rendu une copie propre. A Dijon, par exemple, on l’a trouvé un peu énervé dans le vestiaire parce qu’il estimait qu’on aurait du marquer plus de buts. (…) Avec Ancelotti, ca se passe très bien parce qu’il nous associe à ses réflexions. Avant les matches, il nous demande régulièrement si on pense que ça serait tactiquement mieux comme ça ou comme ça. Il aime bien nous demander notre avis », a résumé Nenê, qui a l’air d’apprécier cette liberté offerte par le technicien italien.
nene qui parle tactique
Je te voyais plus, jme suis dit "Cette pince, il s'est mis au tas "
En tout cas, en cas de qualification à la Ligue des Champions, le PSG ne devra pas se vautrer comme il l’a fait en Europa League cette saison. « Oui, on a déconné à Salzbourg. C’était facile, pourtant. Dire qu’on ignorait qu’il ne fallait surtout pas encaisser un deuxième but ! Tout en perdant 1-0, il nous suffisait de gagner le dernier match, au Parc, contre Bilbao, pour se qualifier. Personne ne nous l’a dit… c’était frustrant car on aurait pu retrouver Manchester United, City, Porto … »
En même temps qu'on te le dise ou pas, tu prends pas de buts pis c'est tout.
mais comment ça se fait que Kombouare leur en a même pas parlé de ça ???
Moi au tas ? Naaaaaan ...
Nan mais un peu le bordel cette semaine, pas trop le temps de passer. Là c'est ma pause donc j'en profite un peu
Conf de carlo http://www.psg.fr/fr/PSGTV/800109/Live-video
En esperant la compo'
ah ok le mec qui pose exactement la même question qu'hier dans RMC " y-a t'il une hiérarchie entre Gameiro et Hoarau ? "
Bisevac out pour demain
MAMADIEU SAKHO
Jallet et Ceara sont dispo apparemment.
Sakho : «Le foot était une obligation»
Bombardé capitaine du PSG à 17 ans, Mamadou Sakho a puisé dans les épreuves la force de devenir pro. L'enfant rebelle de Barbès se confie, samedi dans L'Equipe Mag.
Mamadou Sakho revient sur son parcours, samedi dans L'Equipe Mag. (L'Equipe)
Mamadou Sakho revient sur son parcours, samedi dans L'Equipe Mag. (L'Equipe)
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Parisien pur jus, Mamadou Sakho a été bombardé capitaine du PSG à 17 ans et 8 mois, par Paul Le Guen, en octobre 2007. Un record de précocité en Ligue 1. Antoine Kombouaré l'a ensuite installé dans ce rôle. Arrivé fin décembre, Carlo Ancelotti a choisi de laisser le brassard à son défenseur international, «viscéralement attaché» à un club qu'il a rejoint à l'âge de... 12 ans ! Pourtant, tout n'a pas toujours été simple pour ce fils de Barbès, qui garde au plus profond de lui des blessures enfantines.
«Je ne voulais pas rater la chance de vivre de ma passion et de pouvoir aider ma famille».Dans l'entretien à paraître samedi dans L'Équipe Mag, Mamadou Sakho a laissé filtrer quelques confidences retenues. Il nous explique ainsi qu'à la mort de son père, quand il avait 13 ans, «le football est devenu une obligation. Il y a eu la nécessité d'en faire mon métier. Je devais devenir professionnel». «J'ai six frères et soeurs, explique Sakho, cinquième enfant de la famille. Je ne voulais pas rater la chance de vivre de ma passion et de pouvoir aider ma famille».
«Les six premiers mois ont été terribles»
Ses débuts au centre de formation du PSG, en 2002, ont été compliqués. «Je ne supportais pas qu'on me dise quelque chose, se souvient Sakho. Les six premiers mois ont été terribles. Le week-end, je rentrais en pleurant». C'est un éducateur, Christian Mas, qui est à l'origine de sa métamorphose. «Il m'a nommé capitaine. Je suis passé du rôle de rebelle à celui de responsable. J'ai intégré la leçon très vite.» Et aujourd'hui, quand on lui suggère demande, entre Londres, Barcelone et Milan, quelle ville il choisirait pour son avenir de footballeur, il répond : «Paris. Pour l'instant, Paris.»
" Et aujourd'hui, quand on lui suggère demande, entre Londres, Barcelone et Milan, quelle ville il choisirait pour son avenir de footballeur, il répond : «Paris. Pour l'instant, Paris.»
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Soulagement
mais toute conf va etre faite sur Gameiro et Hoarau ? --"