C'est clair putain.

J'vois pas l'intêret de dire on naît, on crève. Ben oui on crève, les gens se souviendront pas forcément de nous mais osef, c'est pas ça qui compte.
Baise un coup dark, sérieux, aprés on va voir si tu joueras encore les prohètes dépréssifs.

Ca m'détend, c'est tout.

"alors pourquoi tu te pourris la vie à côté ? Pour te dire réaliste ? "
Je me pourris pas la vie contrairement à ce que tu pourrais croire, irl, je fais ma vie, si les gens sont pas content, je leur dis ouvertement que je les emmerde et que leurs avis, je m'en tamponne, faut pas croire parce que j'ai des pensées comme ça que j'ai une lame de cutter au bras hein. Attention. Ca m'empêche pas non plus de délirer, l'année dernière, des copines m'ont maquillées en gothique, et j'suis aller en cours comme ça, je m'en foutais, c'tait pour m'amuser, mais au delà de ça, j'vois pas la vie comme étant un truc trop beau à vivre, c'est tout. Je peux paraître antithétique dans ce que je dis, mais je le pense réellement. Pour te donner un simple exemple, ya 2 jours, j'ai avalé ma salive de travers, je pouvis plus respirer réellement, puis j'ai réussi à tousser un peu, quand ma mère m'a vu avec u grand sourire "pourquoi tu souris, t'as failli y passer là" tout ce que je lui ai répondu c'est "ouais, seulement failli, la prochaine fois, je réussis" (my life spotted). Tu vois où je veux en venir, je me contrefous royalement de vivre ou de crever, ça m'importe peut, ce que je trouve gerbant c'est ce qui se passe au milieu avec ce que tu dis les bonheurs, ça cache juste ce qui se passe réellement.

Exemple : imaginons que t'es avec ta nana en amoureux sirotant un café, vas pas me dire que tu te soucis des sdf qui claquent dehors. J'ai raison ?
Bref, tout sentiment de "bonheur" ou de "malheur" est inutile parce qu'il cache la réalité. Ouais, j'le dis, mais ça m'empêche pas moi aussi de taper des délires avec des potes et d'oublier tout ça, mais j'en suis conscient. Point.

J'emmerde toute valeur sociale et moral, mais ça, t'as déjà dû le remarquer. Je respect ceux que j'aime bien, et s'arrête là. Oui, j'ai effectivement une pensée pro-nihiliste, et alors ? C'est une façon de voir le monde.

1. lemou2 Voir le profil de lemou2
2. Posté le 08 décembre 2008 à 19:37:05 Avertir un modérateur
3. Home sweet home , singes puants

Enfin rentré de cours

Alors , up , caytay à quelle heure , ton oral d'anglais ?

11h20 et j'ai géréééééé !!! Visiblement l'entretien a beaucoup plu à l'examinatrice. Elle a eu l'air d'apprécier d'avoir une vraie conversation (en même temps depuis 8h le matin la pauvre), fluide, tranquille, plutôt que des bouts phrases cousues les uns aux autres.

dark inutile de rester les bras balants à dire que la vie c'est de la merde . C'est de la merde , on est d'accord , mais dans ce cas , changeons !

Jamais dis que la vie c'était de la merde, commences pas à inventer des rucs toi. L changer pour quoi ? "un monde meilleur", non, désolé, le monde restera toujours pourris tant que les inégalités existeront, et elles existeront toujours, tu peux pas changer ça.

"# J'vois pas l'intêret de dire on naît, on crève. Ben oui on crève, les gens se souviendront pas forcément de nous mais osef, c'est pas ça qui compte.
Baise un coup dark, sérieux, aprés on va voir si tu joueras encore les prohètes dépréssifs."

J'ai jamais dis que je voulais que les gens se souiennen de moi, au contraire, tout ce que je veux c'est faire ma vie en silence, sans faire de vague, et quand j'clamserai, qu'on m'oublie.

Comme ça.

Flap flap flap...

Bonsoir les clients !

Bon, j'vais réviser et faire mes devoirs moi.

A+

Ah ouais, tu m'avais l'air d'être quelqu'un de bien triste à parler comme ça, à dire que la vie c'est d'la merde.
J'te voyais comme un type qui déprimait profond et qui critiquer le monde parce qu'il avait eu un gros coup dur, en fait t'as une vision juste trés réaliste de ce qui se passe. Tu vis ta vie mais tu refuses de te mentir à toi même en te disant que tout va bien, que c'est niquel que tout le monde est heurex etc...
C'que je voulais dire dark, c'est qu'il faut oublier les lacunes pour essayer d'être le plus heureux possible.
Y'a trop de bordel sur terre, alors vis pour toi et essaye de d'aider les autres si tu le veux.
Je dis pas qu'il faut vivre dans l'illusion en se disant que tout est bien, les oiseaux chantent c'est niquel rien à dire lawl. Nan, faut vivre à fond comme on peut, et profiter des moments de joies parce que justement, la vie, c'est pas du propre.
J'te parle pas d'illusion, qu'on soit d'accord.
En fait je t'ai dis ça parce que t'avais l'air de déprimer et de te gâcher les choses pour quedal, mais rien de tout ça apparemment. Tant mieux pour toi.
Ca a l'air d'être ton cas,

D'une certaine façon je crois que je comprends la réaction de Darkness (qui de toutes façons me dira si je me trompe )

Comme Telvani, je crois que la recherche du bonheur peut être le but d'une vie.
Par contre il faut quand même faire attention à ce que ça va impliquer et à ce qu'on va mettre derrière le terme de bonheur.
Si le bonheur se résume au confort, à l'amour et à pouvoir assouvir ses désirs, alors je pense la vie n'est qu'une pâle illusion. Comme dirait l'autre (don j'ai oublié le nom , "a regarder le monde à travers nos nombril, la vision est étroite".

Bah quoi c'est de l'illusion le bonheur ?

Le bonheur c'est pas de penser aux SDF et aux gens qui meurent de fain dans le monde, y'a pas d'illusion là.

Oh pour une fois que c'est pas moi qui me lance dans les débats philosophiques.

dark (et les autres) j'ai rien à redire quant à ta vision des choses, ya que du vrai, tu justifies parfaitement, ya strictement rien à dire c'est parfaitement légitime. Maintenant tout ce que je dirais c'est que chacun vois les choses à sa façon. Exemple, dark, je ne partage pas ton point de vue dans son intégralité mais je le trouve parfaitement légitime. Tout comme toi, une personne qui ne sera pas contente de ce que je fais bah je l'emmerde profondément, c'est ça que je cherche à dire ici, c'est que chacun est libre de penser ce qu'il veut, de voir les choses comme il le souhaite, et de concevoir la vie comme il le désir, et ce que les autres en pensent on s'en bat les c*******. On a besoin de personne pour se représenter le monde. En cela j'estime que chaque opinion sur la vie, son essence, tout ça, a une raison d'être, est légitime, à la condition bien sûr qu'elle se justifie, comme c'est le cas ici avec dark. Maintenant en ce qui me concerne, j'ignore comment considérer la vie véritablement, car je n'ai vécu (presque) que des choses qui me feraient dire que c'est une malédiction, mais à côté de ça, je sais qu'il est des choses qui me la ferait considérer comme un don. Et là ça rejoint la notion de bonheur que tu évoques, et avec laquelle je ne suis pas tout à fait d'accord. Pour m'expliquer, je cite:

"Exemple : imaginons que t'es avec ta nana en amoureux sirotant un café, vas pas me dire que tu te soucis des sdf qui claquent dehors. J'ai raison ?
Bref, tout sentiment de "bonheur" ou de "malheur" est inutile parce qu'il cache la réalité."

Le bonheur ne dissimule pas la réalité, et preuve en est que nous somme conscient de ce que tu appelles ici "réalité". Je trouve ton exemple mal approprié pour ce que tu cherches à montrer. Car le fait d'être "avec ta nana en amoureux sirotant un café", est un bonheur irréfutable selon moi. Car il est bien vrai que tu prends du bon temps ça, mais ce bonheur ne cache rien. Là tu donne l'exemple du fait que l'on ne souci pas des clodos qui claquent dehors, mais là j'ai envie de dire, "c'est le malheur d'un autre, pas le notre". Tout ce que l'on peut faire c'est se sentir concerné et ça c'est proprement relatif à chacun. Mais en aucun cas ce "bon temps" cité plus haut (avec ta nana sirotant un café etc) ne masque la réalité, car on n'est tout de même conscient de cette réalité. Mais l'importance qu'on lui accorde dépend de certaines "limites", faute d'un meilleur terme, que j'appelle, personnellement (j'ignore s'il existe des termes spécifiques, en philosophie notamment, pour définir ces deux champs de visions, et j'estime que les termes de subjectivité et d'objectivité ne sont pas tout à fait appropriés) "le front", et "le commandement". J'explique: ces deux termes se rapportent à l'armée. On s'accorde sur le fait qu'il y a les soldats, en première ligne, sur le front, et que derrière ça il y a "le commandement", avec les généraux qui prennent les décisions, tout ça. Alors ce qu'il faut comprendre par là dans le sujet dont il est question, c'est que quand tu es "avec ta nana sirotant un café", tu es sur le front, tu es personnellement occupé, ton esprit est occupé par ce que tu fais sur l'instant présent, et de ce fait, tu ne tiens pas compte de ce qui se passe autour. Mais au delà, il y a l'état de commandement, où ton esprit n'est pas occupé par quelque chose qui te concerne, où tu laisse aller ta pensée, tes idées, et où tu peux prendre conscience de cette réalité dont tu ne prends pas conscience quand tu es sur le front. Bref en gros, tu as une vue d'ensemble sur les choses, tu n'es pas limité. C'est ça le parallèle avec mon histoire de soldats. Le soldat qui es sur le front n'a conscience que de ce qu'il voit, et de ce dont il est informé, sur l'instant. Alors que le général lui il a la vue d'ensemble, il voit le déroulement des opérations. A la seule différence c'est qu'ici c'est notre esprit qui est concerné, or notre esprit peut aussi bien passer du statut de soldat sur le front, à celui de général au poste de commandement. Ce que le soldat, ou le général, ne peuvent faire irl. Donc pour moi ni le bonheur ni le malheur ne cachent la réalité. Mais c'est le tout d'avoir un esprit ouvert, averti, pour ne pas oublier cette réalité et s'abandonner aux illusions c'est à dire qu'on est bien dans notre bonheur, ou notre malheur, et tout ce qu'il y a à côté de ça, on y est aveugle. C'est là la nuance, c'est que ni le bonheur, ni le malheur, ni quoique ce soit, dans sa nature ne cachent, ne nous font oublier etc. la réalité. C'est après, si l'on est trop concerné par notre personne et notre bonheur, ou malheur, que l'on va tomber sous l'emprise des illusions, qui ne nous permettrons pas de voir au delà de ce bonheur, malheur ou autre. Mais ce n'est pas l'essence de ces sentiments. Au contraire parfois ces sentiments nous ramènent à la réalité, surtout le malheur en ce qui me concerne. Pendant un certains temps (il y a fort, fort longtemps, p'têtre jusqu'à 8 ans) j'ai idéalisé la vie, c'était un jardin paisible, plein de fleurs et de choses agréables (j'étais sous le coup des illusions d'une certaines façon, par le biais de l'ignorance et l'insouciance infantile). Seulement en grandissant j'ai été confronté au malheur, et là j'ai pris conscience de ce qu'il en était réellement. Et autant dire que cela m'est arrivé très (trop) fréquemment, et que plus ça allait, plus je prenais conscience de la réalité. Mais contrairement à beaucoup d'autres qui eux se laissent couler, j'ai gardé la tête haute, et je me suis posé des questions. Et c'est comme ça qu'aujourd'hui j'arrive à conserver un certain équilibre entre bonheur et malheur. Je suis relativement neutre, relativement car je suis davantage dans les négatifs de part mon stoïcisme. J'aurais bien d'autres choses à développer concernant toute cette histoire de bonheur, de malheur, de réalité, d'illusion, de stoïcisme, d'épicurisme etc, mais là je vous avouerai que mes idées commencent à s'embrouiller. Je terminerais juste, pour reprendre ton exemple cité au début dark, que j'ai pour habitude, et ce dans n'importe quelle situation, de réfléchir. Ce que j'entends ici par réfléchir, c'est pas réfléchir à la situation. Genre je suis avec ma nana etc., je vois pas ce qu'il y a réfléchir. Mais je suis pas quelqu'un qui accorde nécessairement toute son attention à la situation. Quand je suis au soleil sur ma terrasse à siroter un cocktail (parce que j'aime pas le café), si je suis seul, le regard dans le vague, je suis complètement perdu dans mes pensées et là je pense justement à la réalité telle que tu la considères. Mais même pendant une fête par exemple, je serais sur la terrasse avec des gens, y'aurais de l'ambiance, on serait entrain de causer, en ce qui me concerne (et ça en agace parfois certains), je ne fais qu'écouter la conversation, avec attention, j'assimile ce qu'ils disent, mais tant que je n'ai rien à dire, je continue d'écouter, et dans le même temps je réfléchis à d'autre choses, à la réalité comme tu l'as définie dark, sauf s'il s'agit d'une conversation à laquelle je prend part et qui nécessite que mon esprit dans son intégralité soit concentré dessus, comme ça arrive souvent pendant des soirées. Donc même en situation de "front", il est possible d'être "commandant" et de penser au clodo qui crève dehors, car c'est parfois l'objet de ma réflexion dans ces situations.

1. Telvani Voir le profil de Telvani
2. Posté le 08 décembre 2008 à 21:26:00 Avertir un modérateur
3. darkness-stone

Posté le 08 décembre 2008 à 21:11:37 J'partirai pas dans un débat stérile avec toi. J'ai une idéologie particulière très proche du nihilisme sans que ça soit ça. C'est quoi l'amour, hein ? Un sentiment, chaque sentiment te rend aveugle au monde qui t'entoure, et l'amour plus particulièrement, j'ai vécu, je sais de quoi je parle.

~> Pourquoi pas avec moi ? J'ai fais quoi ?

L'amour c'est tout sauf une faiblesse. L'amour, c'est une motivation, une force, c'est la vie bon sang !
T'aimes rien ni personne tu vis tout simplement pas, autant crever.
Et parfois, rien que de penser à la fille que j'aime, j'me sens capable de tout faire, alors quand j'suis en sa compagnie c'est pire, j'te dis pas le bordel mais t'as l'air de savoir c'que c'est.

Au passage, le monde qui t'entoure, on l'encule.
On vit qu'une fois, faut foncer.
S'pas que t'as eu un échec ou je ne sais quoi qu'il faut voir la vie en noir en se disant réalité.
Ca sert à rien, et c'est pas comme ça que tu vas être heureux. parce que le bonheur y'a que ça de vrai, bordel.

L'amour est une force et probablement la puissante qui soit. Même si je ne l'ai pas connu dans son absolutisme (tel que je le défini), le simple faite d'aimer me fait faire des choses dont jamais je ne me serais cru capable. Et c'est là encore, pour reprendre ce que je disais plus haut à un moment, que l'amour peut aussi rendre compte de la réalité, et non la cacher. J'ai franchis de nombreux caps dans ma vie au nom de l'amour. Si je n'avais rien de tout cela j'aurais pas évolué, je serais resté cette espèce de victime que j'étais étant petit. D'ailleurs je vois, dans ma classe ya un mec un peu comme ça. A part sa réussite scolaire il se préoccupe pas de grand chose (bon il a des loisirs à côté, mais c'est à juste titre des loisirs). Eh bien le pauvre faut voir parfois comme il est mal à l'aise, démuni, ne sachant que faire, que dire, comment réagir. Genre quand il se retrouve sujet, en classe, à quelque plaisanterie sympathique, qu'il se retrouve pour ainsi dire, sur le devant la scène, bah il esquisse ce qui ressemble à un sourire, il rougit, il se tortille sur place, il est mal à l'aise. J'étais comme ça étant petit, je n'osais jamais rien, alors j'étais introverti, timide, peu confiant. Alors que par la suite, je me suis fait violence, parce que je me suis dit que j'arriverais jamais à rien comme ça. Et si je ne m'étais pas fait violence justement, je serais encore comme le mec dont je parlais. Mais le fait est que, au nom de l'amour, j'ai pris sur moi de dire, de faire des choses auxquelles on ne se serait pas attendu de ma part. Et à force comme ça, je suis devenu quelqu'un de très sociable, à l'aise, extraverti, confiant, et j'en suis très heureux. Aujourd'hui quand je me retrouve, comme le mec évoqué ci-dessus, eh ben je m'en paye une tranche, j'en rigole, j'en rajoute même s'il y a lieu et voilà. Ca rajoute de l'ambiance, ya un accès de joie dans le groupe tout ça. Alors qu'avant je voyais tout en noir, après plusieurs échec (et à savoir de plus qu'il n'y jamais eu de réel réussite), complètement blasé anéanti. Puis j'ai réfléchi, eh oui encore. Et j'ai réalisé que c'est pas comme ça que j'arriverais à obtenir ce que je veux. Mais là encore je vois pas non plus tout en rose. C'est le juste milieu, j'envisage autant le pire que le meilleur, voire même davantage le pire mais sans voir la vie en noir. Ma philosophie c'est ça: j'envisage le pire comme ça si c'est le pire qui se produit, je m'y attendais, c'est moche, mais je suis pas surpris. A l'inverse, si c'est le meilleur qui a lieu, alors là explosion de joie, tout à fait inattendue, et je n'en savoure que davantage cette "victoire". Bon après certains me disent que de cette façon j'aurais tendance à être pessimiste, négatif tout ça, bah non. C'est une philosophie c'est tout, et c'est indépendant du fait que je sois optimiste ou pessimiste. Ca ça va dépendre des choses. Exemple, je vous avait parlé il y a de cela plusieurs semaines, d'un contrôle d'anglais qui m'avait posé dans le sens ou les questions étaient assez ambigues, et beaucoup basées sur des connaissances théoriques, que je ne possède concrètement pas puisque pour moi, la grammaire, la conjugaison tout ça, c'est des automatisme. Bref je pensais l'avoir loupé, et au final j'ai eu 17.5, meilleure note de la classe. Alors qu'à côté de ça, autre exemple, ce matin, je pense avoir géré mon oral d'anglais spé. Donc le pessimisme, le négativisme est relatif au situation, c'est pas une position formelle que constitue une philosophie, une façon de voir les choses (comme la stoïcisme par exemple).

Bon je m'arrête là faut que j'aille me coucher. C'est loupé pour ma séance de muscu ce soir

PS: excusez mes fautes éventuelles. Vous conviendrez que je n'ai pas pris le temps de me relire.

Debout tout le monde.

up j'ai lu la première partie, j'lis la deuxième en rentrant, promis, . Faut que j'aille prendre mon bus .

1. Telvani Voir le profil de Telvani
2. Posté le 08 décembre 2008 à 22:12:59 Avertir un modérateur
3. Ah ouais, tu m'avais l'air d'être quelqu'un de bien triste à parler comme ça, à dire que la vie c'est d'la merde.

J'te voyais comme un type qui déprimait profond et qui critiquer le monde parce qu'il avait eu un gros coup dur, en fait t'as une vision juste trés réaliste de ce qui se passe. Tu vis ta vie mais tu refuses de te mentir à toi même en te disant que tout va bien, que c'est niquel que tout le monde est heurex etc...

Pas encore à 100% ça, mais tu t'y approches.

Up c'est un peu flou , tes idées ... J'arrive pas trop à piger ton idéal ... Tu mélange bonheur , vérité , illusion ...
J'me sens un peu perdu

Mais cay bien sur, tout le monde il est gentil ! Cay TF1 qui le dit, alors...

Salut les zouaves.

Allez, je retourne en cour.

Oui, tf1 ne ment jamais .

bah si c'est TF1 qui le dit, alors je me sens mieux

darkness-stone
Posté le 09 décembre 2008 à 08:00:03 Debout tout le monde.

up j'ai lu la première partie, j'lis la deuxième en rentrant, promis, . Faut que j'aille prendre mon bus .

1. Telvani Voir le profil de Telvani
2. Posté le 08 décembre 2008 à 22:12:59 Avertir un modérateur
3. Ah ouais, tu m'avais l'air d'être quelqu'un de bien triste à parler comme ça, à dire que la vie c'est d'la merde.

J'te voyais comme un type qui déprimait profond et qui critiquer le monde parce qu'il avait eu un gros coup dur, en fait t'as une vision juste trés réaliste de ce qui se passe. Tu vis ta vie mais tu refuses de te mentir à toi même en te disant que tout va bien, que c'est niquel que tout le monde est heurex etc...

Pas encore à 100% ça, mais tu t'y approches.

~> Bah écoute, tu me dis que l'amour c'est une faiblesse, que la vie elle est nul et j'en passe.
J'en déduis que, pour penser comme ça et à ça, t'es pas dans ton assiette.
Aprés tu me dis que tu vas bien, que tu rigoles avec tes potes, que tu vis ta vie tranquillement.

Là j'en déduis désormais que t'as une opinion négatif de la vie, mais que tu te détruis pas pour rien pour autant.

Et pour finir, tu m'balances que c'est pas ça à 100%
Ca d'vient chaud, c'est la première fois que j'vois un mec dans ton cas. (A ne pas prendre comme une insulte, hein)
T'es malheureux quelque part, y'a un truc, j'sais pas...

Bref, s'ta vie, t'en fais c'que tu veux.
Moi j'me dis qu'on vit qu'une fois et que malgré tous les malheurs qu'il y a dans le monde, (et qu'il y aura toujours) Faut essayer de se faire plaisir, pas forcément de rechercher le bonheur suprême de la mort qui tue ! Mais de se faire plaisir comme on peut, de vivre sa vie en envoyant au diable toutes les choses inutiles qui peuvent attrister.

sérieux faites ce que vous voulez de votre vie mais il ne faut pas venir vous en plaindre ou vous en vanter (ou autre chose dans ce genre) enfin je dis ça je dis rien quoi

vous faites comme vous le pensez mais pas venir embêter (pour ne pas dire un autre mot) les autres

bon aussi j'ai pas tout lu dès le début donc peut-être que c'est normal que vous veniez en parler, je sais pas exactement

lemou dis-moi sur quel(s) points tu te sens perdu ? Je t'avouerai que jusqu'ici je n'ai fait que réfléchir sur ce genre de choses et que je n'ai jamais cherché à exprimer concrètement ma façon de voir les choses. Je gardais tout dans ma tête, parfois sous forme un peu schématisée, et abstraite (d'un point de vue objectif car personnellement je n'avais aucune difficulté à me représenter et à comprendre cette abstraction), donc dans ces cas là, essayer de dire les choses concrètement avec des mots est difficile pour peu que notre opinion sur le sujet soit très complexe, ce qui est le cas ici. Donc demande-moi et je te répondrais (quand je pourrais car là je dois faire mon DM de philo que j'ai depuis 2 semaines, que je n'ai pas commencé, et que je dois rendre jeudi )

Mais pourquoi tu dis ça toi ?

On embête personne et aucun de nous s'est vanté ou plaint, j'vois pas DU TOUT le rapport là.