Hip hop >all -------------------------------------------------
SirPolux | 11 mars 2013 à 22:25:16
Pogo>toutes les danses
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Hip hop > all
http://www.youtube.com/watch?v=VT1LeR59U20
http://www.youtube.com/watch?v=EORH8Nx6FHU
Ton Hip-hop ne peut rivaliser
http://www.youtube.com/watch?v=CoqZZYIfspQ > All
On parle de danse, pas de mauvaises musiques Anyer
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SirPolux | 11 mars 2013 à 22:35:46
http://www.youtube.com/watch?v=EORH8Nx6FHU
Ton Hip-hop ne peut rivaliser
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Le propriétaire du contenu n'a pas rendu la vidéo disponible sur mobile.
Je t'en envoie une autre
http://www.youtube.com/watch?v=HQUvJ-wKJok
http://www.youtube.com/watch?v=mKSk-3yiVx0
Lol.
C'est parce que tu n'as jamais vécu ça, tu ne peux pas comprendre la jouissance du moment
Je parlais du lien de troll.
+
Un véritable Harlem Shake
http://www.youtube.com/watch?v=EJHc26iM7jg
Il n'y a plus personnes dans ce bon vieux blabla ?
Je vais poster ici l'article sur le split du blabla.
Certains souriront à leur apparition.
J'étais même pas là au Split.
Y'a Orange Mecanique sur D8
Il faisait froid.
Il faisait noir.
La lumière de braise sortant du bout de la grosse cigare du capitale Delamarre « Cadavre » était bien la seule once de lumière dans ces tranchées pouilleuses et misérables. Ce colosse massif, sûr de lui, portait un uniforme bleu ciel et regardait avec un solide sang-froid l'horizon de la guerre qui s'apaisait...
Autour de lui s'entassaient quelques soldats en uniformes, aux visages silencieux et inquiets.
Le calme de la nuit contrastait avec les nuages rouges du ciel, saignant le crépuscule dans la chair de nombreux braves. Seule la mélodie du violoniste de la troupe, Ciche, comme ses amis l'appelaient, retentissait à travers tout ce sillage de chaos de paysages troués et dévastés de l'obscurité.
-Ca va être l'heure. Déclara le capitaine en fumant un long souffle. Adjudant Roch, sergent Ardui. Vos plans ?
Deux soldats, l'un à la face de jeunot et l'autre, durement taillé dans une impassibilité totale, s'avancèrent et montrèrent des feuilles brouillées de taches et de schémas.
« Je prévois une attaque par diversion : attaquons le flanc de l'ennemi par la gauche. » Proposa le jeunot.
-Trop prévisible. Mugit le capitaine. Ardui ?
-Comme c'est la nuit, nous devrions plutôt prendre par surprise nos ennemis en rampant sur le sol et en les prenant par revers par derrière. Nous serons difficiles à détecter.
-Il ne suffit que l'un d'entre nous se chie dessus pour qu'on se fasse repérer. Soupira Cadavre. On va faire les choses à ma façon.
-Il faudrait un plan de génie... Marmonna Roch. Contourner les mitrailleuses ennemies, éviter les mortiers... et on n'est que quelques uns contre toute une armée.
-On fera avec. Répliqua le capitaine en lâchant un nouveau souffle de fumée. On rentre dans le tas.
« On... Quoi ?! »
« Euh... Dans le tas, carrément ?! »
« Buffle. »
« Attendez, c'est une blague ?! »
« Le blabla n'est qu'amour ! »
« Are you fucking kidding me ? »
« Musique du soir. »
« Comment on va survivre ?! »
Tels étaient les gémissements de protestation qui retentirent. Cadavre, nullement déstabilisé, leva les bras et demanda du calme tout en tirant le cigare de ses lèvres : « Messieurs, du calme. Nous allons foncer en ligne, tous ensemble. Nous serons couverts par l'aviation de SirPoux, de qualité redoutable contre les lignes ennemies. Et nous foncerons tous en même temps. Nous devons progresser jusqu'à nous emparer des tranchées ennemies. Le premier arrivé sera couvert par nous et l'avion et balancera la grenade. »
-Et... qui sera le premier ? Demanda Death, en aiguisant son couteau et en frémissant un sonnet grinçant et lugubre à la mémoire de sa génitrice.
-Randouille. Répondit Cadavre.
Tous les yeux se rivèrent alors sur le soldat de deuxième Randy « Randouille ». Le visage calme et souriant, il hocha la tête. En pareilles situations, il était le seul à pouvoir aiguiser l'espoir chez les soldats de sa troupe dans des heures sombres.
-Alors, que va dire la voix de la raison ? Ironisa le soldat Shiptari.
-Je suis prêt, capitaine. Affirma Randy en claquant des talons et en effectuant le salut militaire.
-Bien. Tenez-vous prêts, les gars. Ordonna Cadavre. Dix secondes. Des questions ?
-Buffle.
-Je... Hésita Antonias, le fanatique des lézards du groupe. Nous devons être fiers. Fiers de vivre un moment historique. Nous ne croyions pas ce jour arriver... mais il est arrivé. Nous devons nous battre avec honneur et fierté.
Certains nerveux, dont le jeune Roch se pressa à côté de Silent, le cuisinier éplucheur de patates et lui demanda : « Tu crois qu'on réussira ? »
-Avec l'amour, rien n'est impossible !
-GO ! Hurla Cadavre. CHARGEZ !
Les cris valeureux du capitaine furent suivis par une vague de grands hurlement glorieux héroïques qui se déchaînèrent en même temps que recommençaient l'artillerie ennemie.
« MORTIERS ! »
« ON RECULE PAS, GO GO GO ! »
« LA GUERRE N'EST QU'AMOUR ! »
« Buffle. »
Soudain, le capitaine qui avait dégainé son épée d'officier remarqua une mise en place des mitrailleuses dans les lignes ennemies d'en face. Il s'ébahit et bouche bée, il perdit son cigare.
« COUVRER RANDOUILLE ! » Beugla-t-il avant de se mettre à plan ventre et de sortir un pistolet qu'il visa en direction du ciel. Tout à coup, une fusée apparut et explosa parmi les nuages, répandant sa couleur luminescence verdâtre à travers les horizons obscurcis de la guerre.
« Raaaah ! Nom d'un chien ! » Jura Shiptari, près de Randy. « Mets-toi à couvert ! Ne va pas te faire tuer ! »
Contre toute attente, Randy adopta un visage serein face aux feux de la mort et se releva, les bras ballants et la main armée de la grenade. « Souvenez-vous de moi, les gars. » Dit-il avant de bouger les jambes et de s'élancer contre les flammes de l'infamie.
« RANDY ! NOOOON ! »
Le soldat Randouille serra les dents. Il courrait jusqu'à mourir d'épuisement. Mais il était toujours là. Soudain, une balle l'atteignit à l'épaule. Il poussa un cri de douleur.
« RANDY ! » Crièrent ses camarades.
Mais le brave soldat ne se décourageait pas. Tenant toujours sa fière grenade à la main, il regarda les lignes ennemies et reprit sa charge, fonçant de plus belle. Son courage et sa bravoure donnaient l'exemple à ses camarades. Silent fut le premier à sortir de sa cachette et courut aux côtés de Randy, tirant dans l'air et hurlant d'un tonitruant cri de guerre, suivi par Shiptari, Antonias, Ciche Roch, Ardui, Death, Buffle.
Cadavre regardait avec fierté ses hommes et alluma une nouvelle cigare. Il se releva et regarda le ciel illuminé par sa fusée : « Putain, qu'est-ce qu'il fout ce crétin d'aviateur ? »
Tout à coup, comme répondant divinement à son appel, un grand avion de couleur rouge transperça le ciel et tonnant de ses vrombissements. Au son de ce bruit trop familier, le rictus cruel des soldats ennemis se mua en bouche stupeur terrifié. Un grand « SIRPOUX » illustrait les ailes de l'avion qui lâcha à temps une pluie d'obus qui bombarda les tranchées ennemies, sauvant du coup la troupe de Randy.
Le soldat du même nom, protégé par ses amis qui formaient un mur humain pour lui, prépara un élan et lança si loin sa grenade qu'elle explosa pile sur le bunker ennemi, nettoyant d'un coup les lieux.
Soudain, ce fut le Split du blabla.
« Vous voilà franchissant en sandales et chaussettes montantes le seuil d'un topic faisant office de pierre angulaire d'une folle communauté, laissant derrière vous les randoms, kékés, trolls ivres vivants sous les ponts, simplets et obscures élites autour d'un jeu tant célébré et nominé par d'éminentes critiques.
Une inscription retient votre attention: "Ne crains donc rien, touriste, et viens raconter ta vie palpitante ici."
Ne doutez point, ceci est un blabla. Passez cette antre chargée d'Histoire. Marchez sur ces champs dorés qui s'offrent à vous.
Traversez nos eaux ruisselantes serpentant dans nos forêts pour échapper aux laves funestes émanant de l'Auberge et au courroux des tyrans rouges.
Posez vos fesses et voyez ce qui fait les lieux. Rires, bonne humeur, plaisanteries sont nos amis et la communauté t'ouvriras les bras le jour où tu posteras sur le Blabla, preuve d'audace et de distinction.
Bienvenue, l'ami. »
Mention spéciale pour ceux qui y sont apparus
Pour ceux qui ont loupé ce moment, voilà comment vous donner une idée de ce qui s'est passé
La lumière de braise sortant du bout de la grosse cigare
Oui ?
T'a egalement dit "capitale Delamarre.
Bah c'est sois une cigarette, soit un cigare, mais pas une cigare.
Ah merde, effectivement
putain comment c'est trop beau mon gars Y'a une musique epique qui passe sur Orange mecanique en meme temps, du genre soldat qui sort la phrase ultra belle au matin d'une guerre.