Gobougreg: Grap t'as envoyer ch*** car tes remarque devenait un peu comme des insulte a sa maniére d'ecrire la remarque que t'as fait au dessus elle etait normal (A par peut etre le bof au départ )mais sinon c'est comme ca qu'il faut faire ses remarque.

Suite en cours de préparation

J'ai hâte de voir ce que ça va donner

Continue

il s'approcha de la cellule :

La silhouette était celle d’un prisonnier étrange : il portait des vêtements blanc qui le faisait ressortir dans l’obscurité de la cellule, mais son visage était criblé d’une blessure encore fraîche que ses cheveux noir cachait à moitié.
- Dis-moi, petit, dit-il, tu ne veux pas m’aider à sortir de la ?
- Et pourquoi ferai-je cela ? rétorqua Giovanni, intrigué.
- Je suis un ami de ton père.
- Qu’est ce qui me prouve que vous connaissez mon père ?
- Ton père s’appelle Aurelio Di Stefano ?

Giovanni fut étonné puis il reprit :

- Comment vous connaissez mon père ?
- Je suis un noble, je devais assister à la réunion à Venise mais je me suis fait emprisonné pour m’être battu avec un garde.
- C’est de votre faute. Par conséquent je ne peux pas vous aider.

Sur ce, le jeune noble tourna le dos et commença à s’éloigner.

- Attends petit ! J’ai cru comprendre que tu t’es fait voler l’un de tes tableaux, si tu me sors de la je te redonnerai ton tableau, je sais qui l’a volé.
- Eh bien c’est d’accord. Si mon père apprend que ce tableau a été volé il ne me le pardonnera jamais ! Comment puis-je vous aidez ?
- Donne moi la boucle de ta ceinture.

Giovanni lui donna la boucle de sa ceinture. L’homme frappa violemment la boucle de la ceinture parterre, elle se cassa en deux, il enfila l’un des deux morceaux dans le trou de la serrure et se mit à le tordre dans tout les sens. Au bout d’un moment la porte s’ouvrit. L’homme paraissait mieux habillé une fois à la lumière. Il mit son capuchon sur la tête et dit à Giovanni de le suivre.

voila la suite laissez vos impressions

J't'ai donné mon avis sur MSN.

Gobougreg, franchement, avec le temps je pense que tu écriras très bien. Mais je te conseille de te relire avant de poster, il y a parfois des oublis de mots, des fautes de frappe, de conjugaison, et d'orthographe. Je trouve le vocabulaire correcte pour un début. Mais tu dois sûrement pouvoir évoluer. Je te conseille de taper sur Word ou autre, de lire et de relire, d'améliorer, de corriger les fautes avec le logiciel, et de poster sur le forum enfin.

Tu devrais aussi en profiter pour écrire des chapitres plus longs, en plusieurs étapes, pour plonger le lecteur dedans et créer un véritable suspens.

Oups, je me suis trompé, j'ai écrit à Gobougreg alors que je m'adressais à elmatador1234

Désolé ^^"

merci ca va m'aidé je vais essayer d'améliorer sa alors

Merci à toi de nous plonger dans le monde que tu créer dans ton histoire ^^

Je sais pas pourquoi mais j'accroche vraiment bien au nom du héro "Giovanni Di Stefano " peut etre parce que je m'apelle stéphane sinon trés bonne suite je suppose qule gars est un Assassin

" Il mit son capuchon sur la tête "

peut etre peut etre pas

Eh ben moi je croit que siii

Ou alors il pleut

lol bon je posterai la suite demain

OK Vivement demain.

je viens de lire c'est franchement pas mal .Continu comme ca on attend la suite

c'est bon mais il faut qu'il y est plus de suspens, d'intrigue et plus de détails comme les impressions de Giovanni vis-à-vis les autres personnes. n'oublie pas de ne pas précipiter l'histoire!!

merci je vais encore tenter d'améliorer ca c'est sympa vraiment

Ils longèrent les murs mais au lieu de passer par une porte qu’avait emprunté Giovanni tout à l’heure, l’homme s’arrêta net devant un mur. Il n’avait rien de spéciale ce mur, il était formé de pierres rectangulaires comme tout les autres murs de cette forteresse pourtant l’homme semblait cherché quelque chose. Puis il s’écria :

- Enfin la voilà !

Il appuya sa main sur l’une des pierres du mur, le mur pouvait à présent bouger. Giovanni était impressionné :

- Mais comment cela est possible ?
- C’est vrai je te l’accorde c’est plutôt stupéfiant la première fois qu’on le voit, c’est l’une des nombreuses inventions de mon maitre.

Ils se retrouvèrent dans un chemin très étroit et très sombre, Giovanni avait du mal à suivre l’homme au capuchon.

Ils se retrouvèrent comme avant face à un mur. Il pressa à nouveau sur une pierre et le mur bougea. L’homme poussa le mur, la lumière du soleil aveugla Giovanni. L’homme prit soin de remettre le mur en place. Ils étaient à présent dans la rue, à l’opposé de la forteresse.

L’homme dit :

- Je te remercie pour ton aide, comme convenue tu récupéras ton tableau. Je te donne rendez vous à 15h00 au marché San Lorenzo près de la grande fontaine. Giovanni se retourna en direction de l’église pour voir l’heure. Il était midi, les cloches sonnèrent. Giovanni se retourna mais l’étrange homme avait disparu, il regarda au loin rien, personne, il s’était volatilisé.

Il traversa la rue, une pensée le hantait il n’arrivait plus à s’en débarrasser. Qui était donc cet homme ? Et qui ce « Maitre » qui avait l’air si intelligent ?

Il tenta de ne plus y penser et rentra dans une auberge, l’auberge « Scaletta ». Il s’assit à une table. Une ravissante jeune femme qui devait être la serveuse s’approcha de Giovanni :

- Vous voulez manger ?
- Eh bien oui apporter moi ce que vous avez !
- Avec plaisir, ce n’est pas souvent que nous avons l’honneur de recevoir des gens comme vous dans notre établissement.

C’était en effet la première fois que Giovanni venait dans une auberge aussi coquette que celle la ! Tout était fait d’un bois usé. Il n’y avait pas de broderies sur les chaises ni sur les tables. Pas de tapisserie rien, tout était si simple pourtant Giovanni si sentait bien.

La femme revint avec une bonne assiette de jambon de parme et des pommes de terre :

- Voilà mon bon monsieur ! J’espère que le gout de notre cuisine sera à la hauteur de votre palet !
- Merci ! Puis-je avoir un peu de vin ?
- Bien évidemment ! J’arrive tout de suite

Une fois son repas finit, il paya ce qu’il devait et partit.

Il regarda une nouvelle fois l’église il était 14h45, il partit d’un bon pas en direction du marché San Lorenzo. Il se trouvait maintenant en plein cœur du marché ou chaque marchand criaient en vantant la qualité de leurs produits :

-Venez, venez admirez la beauté de mes fruits !

Ce marché était plein de vie, c’est le plus grand de tout Florence. il y a plein de couleurs, partout autour de Giovanni on pouvait voir des fleurs, des légumes, des fruits mais aussi les forgerons qui fabrique les armes, Il arriva près de le grande fontaine. Il reconnut l’homme facilement avec ses vêtements blancs et son capuchon. Il s’approcha de l’homme et dit :

- Alors vous l’avez ?
- Oui bien sur suis-moi !

Ils contournèrent la fontaine. Ils quittèrent le marché et arrivèrent dans une rue beaucoup plus petite, il n’y avait pas grand monde. Ils contournèrent une maison et se retrouvèrent dans un cul de sac du moins ce qui en avait l’air. L’homme regarda tout autour de lui pour s’assurer qu’il n’y ait personne. Giovanni était à nouveau très intrigué. L’homme ouvrit une porte. Ils étaient maintenant dans une pièce remplie d’objets de valeur, des vases, des tableaux, des bijoux. L’homme ouvrit une armoire qui contenait plusieurs tableaux et en sorti celui de Giovanni :

- Merci beaucoup comment puis-je vous remercier ?
- Tu l’as déjà fait ! Ce n’est qu’un compte rendu ! Maintenant oublie moi et va tant !
- Attendez, j’ai au moins le droit de savoir comment vous vous appelez ?
- Je suis navré, mais je ne peux pas te révéler mon identité !

Giovanni semblait perplexe. Il prit le tableau et s’enfuit en courant.

Voila une suite, pas trop longue j'espère.
J'ai essayer de prendre en compte vos commentaires.
une nouvelle fois j'aimerai bien que vous laissiez vos impressions