Bon allez bientôt fini. (dsl si c'est un peu moins bien mais j'essaye de vite finir ce volet, sinon aprés ça sa va être un massacre jsuqu'à la fin héhé )
Chapitre 18 :Pour la liberté (Houillo, 10heures 50)
Jormulgre : A qui avons-nous l’honneur ?
Un humain fit mine de s’approcher, pendant que les autres se regroupaient, vérifiaient leurs armes ou remettaient leurs casques. Tout nos gars dans la salle levèrent leurs armes et le mirent en joue.
Humain : Euh… Je suis votre allier non ?
Jorulgre : Vous… vous êtes un humain.
Humain : Oui mais regardez y’a bien des grunts et un élite qui nous accompagnent.
Jormulgre : Ce sont des hérétiques.
L’un des hérétiques prit la parole.
Hérétique : Et alors ? Si après tous ça vous n’êtes pas non plus un hérétique comme vous dites, vous êtes un sacré con !!
Jormulgre hésita un moment puis baissa son arme. On l’imita et la tension retomba.
L’élite se rapprocha de nous et nous aida à descendre du générateur holographique.
Elite : Vous avez fait le bon choix. Et vos troupes se sont bien battues… pour des grunts et des rapaces bien sur !!
Humain : Ok ok Zor’kia, on les complimentera plus tard si tu veux bien.
Zor’kia (élite) : Bien, c’est vous qui dirigez l’opération après tout capitaine Alessandro.
L’humain au casque cabossé se rapprocha.
Humain : Ben, en faite, c’est ploutôt moi qui est censé dirigé l’opératione.
Un des humains restait dans le fond de la pièce dit « Lui en veut pas, avec ce que tu fous c’est pas étonnant qu’il prenne Alessandro le vrai chef. Toi et ton groupe de toute façon… »
Je sentis un moment de tentions entre les douze humains, apparemment ils ne s’entendaient pas très bien.
Jormulgre : Euh, excusez-moi de vous déranger mais vous avez un plan ? On doit protéger le panneau de commande jusqu’à l’arrivée des renforts humains ?
Mario : Euh, ben vaut mieux pas. On va plutôt le faire sauter, si les autres humains nous trouver sa risquerait de poser des problèmes.
Jormulgre : Je… je ne comprend pas.
Mario : Tout comme il y a plusieurs armées rapaces, il y a plusieurs armée humaines, et… Enfin bref !! (Il plaça un explosif sur le panneau de commande) Suivez nous !! On a un plan pour sortir d’ici.
Jormulgre : Très bien, au point où on en est. Allez les gars on y va !!!!A moins que vous ayez des objections ? Très bien, on y va alors.
Les humains et les hérétiques s’engagèrent dans un couloir. Au bout de quelques minutes de marches, au cours des quelles nous avons rencontré quelques groupes de notre troupes qui tentaient tant bien que mal d’aller dans la même direction que nous sans se perdre, Mario et 5 autres humains vinrent à notre hauteur avec l’élites et deux hérétiques. Les 6 autres humains continuaient d’ouvrir la voie.
Mario : Excousez-moi commandant…
Jormulgre : Jormulgre, et voici le capitaine Houillo, mon second (on sentait la méfiance dans sa voie, il n’était pas évident de leur faire confiance).
Mario : Très bien commandant Jormulgre, pouvez-vous me dire combien vous êtes, vous me semblez très nombreux.
Jormulgre : Oui, nous sommes environ 5000, mais ne vous inquiétez pas, il n’y a pas de brute avec nous.
Mario : Ah… On va être oune peu serré mais plous on est dé fous, plous on rit ! Dé plous, vous nous séré bientôt outil.
Jormulgre : Util ? A quoi ?
Mario : Vous verrez bien assez tôt.
Grunt hérétique : Faites leur confiance, ne vous inquiétez pas. C’est difficile je sais mais vous devez vraiment nous faire confiance.
C’est alors que je vis les deux hunters prendre un escalier avec l’avant-garde. On s’engagea nous aussi dedans et arrivé en haut, nous vîmes que nous étions parvenus devant une ouverture qui nous laissez voire l’extérieur.
Elite : On peut voire notre moyen de transport d’ici, c’est plus très loin.
Je compris alors qu’ils voulaient nous faire partir via le vaisseau qui trônait au centre du site de fouille. Mais évidemment tout n’aurait pas pus se passer aussi simplement.
En effet, c’est à ce moment là que la flotte humaine arriva et encercla le site en le bombardant.
Moi : ****** Tous à terre !!!!!
Le bombardement nous ébranla tous. Puis il s’interrompit brutalement, quand le vaisseau disparut dans une arche de lumière.
Moi (oreillette) : Des pertes ?
Miraculeusement personnes n’avaient était touchée par l’un des tirs.
Jormulgre : On fait quoi maintenant ?
Mario : Ben… en faite…
Allessandro : Ne me dit pas que t’as pas de plan de secoure !!!!!!!
Mario : Et si, si bien sour !! Laisse-moi contacter oune atout.
Allessandro : On doit les contacter qu’en cas de néscécité absolue !!!
Mario : Parce qué cé n’est pas oune cas dé force majeur pé être ?
Sur ce, il s’éloigna de nous et sembla parler, à l’intérieur de son casque, dans un émetteur.
Zor’kia : Venez par ici !! Il y a une brèche qui permet de sortir !!!
En effet, le bombardement avait ouvert un énorme trou dans le mur qui donnait sur le nord du site de fouille. Mario s’entretint quelques instants avec un hérétique qui s’approcha de moi.
Hérétiques : Donnez-moi votre oreillette sil vous plait.
Hérétiques (oreillettes) : Ecoutez moi tous, beaucoup d’entre vous sont réunis devant cette brèche devant le mur, les autres vous bientôt y parvenir. Je suis le lieutenant Irsh et je commande le détachement de grunt que vous désignez comme étant des hérétiques.
C’est à ce moment qu’un vaisseau sortit de l’hyper espace et s’écrasa sur la ville.
Moi : Qu’est que c’est ?
Mario : Des renforts covenante ?
Zor’kia : Non, c’était un ancien vaisseau de leur flotte mais il est maintenant contrôlait par le parasite.
Mario : Quoi !! Le parasite est ici ? Irsh, grouillez vous !! On a plus beaucoup de temps !!
Irsh (oreillette) : Nous n’avons plus beaucoup de temps, la parasite est en ville !!! Si vous voulez survivre vous devez nous faire confiance !! Une corvette est censée nous attendre dans le 15éme hangar du secteur 56. J’espère que vous savez où c’est, sinon suivez la foule, parce qu’on a plus le temps !! On va tous foncer le plus vite possible vers le hangar !! Ne vous arrêtez pas, si un de vos compagnons tombe, il est contaminé ! Ne l’attendait pas continuez à courir ! On va s’en sortir !! Il faut juste qu’on atteigne se foutu hangar alors restez ensemble et foncez !!!!!! POUR LA LIBERTE !!!!
Ce cri fut repris par des milliers de voix, un vacarme assourdissant.
Et on s’élança.