Ouais,çà serait sympa
Mais j'aimerais que quand tu comences une suite,tu mettes la race covenants que l'on est,car j'ai mis lngtem à m'apercevoir que l'on n'était pas qu'un grognard
Ben, on incarne plusieurs perso
et je met leur nom au début:
Chapitre ** : ** (Jepi/Houillo/Griss/Logo(et bientôt d'autres peut être) jour, heure et minute.
Ah oui,désolé,j'avais pas vu les noms
Donc le récapitulatif sera parfait
Promis juré, je lis ta fic le plus tôt possible!
Là je finissais juste la MAJ du topic + vérifier que j'dois rien faire pour l'école + ect...
Rappel des noms :
Nos héros sont membre de la troisième compagnie du 45éme régiment d’appuie feu du 45éme corps de la 85éme armée.
Un régiment d’appuie-feu regroupe le génie, l’artillerie et des médecins. On y trouve aussi quelques soldats « normaux » qui assurent la protection des premiers.
Ce régiment a une particularité, il ne comporte pas de brute.
Bon les noms maintenant.
Azery : J’ai parfois inversé Azery et Tomu mais maintenant, Azery est un grunt artilleur, c’est un sergent et il dirige souvent les opérations de fortifications pour la compagnie.
Tomu : Grunt, sergent,pilote de phantom. Il est considéré comme le chef de l’escadrille de 5 phantoms qui sont affectés uniquement aux ordres d’Houillo.
Houillo : Grunt, capitaine, grunt intelligent et qui sait gardé son sang froid. Il dirige la compagnie.
Logo : Rapace, Sergent, porte-bouclier. Il est chef d’une section de combat, mais il dirige bien souvent 2 ou 3 de ces sections dans le feu de l’action car Houillo le considére comme un soldat méritant.
Griss : Rapace, sergent, sniper, l’un des deux snipers de la compagnie.
Aroyo : Rapace, caporal, sniper, le deuxième sniper de la compagnie, il est très jeune pour un rapace et a triché pour rentrer dans la Reatrichil’, en effet, contrairement à la plupart des grunts qui sont des mercenaires, lui est membre de l’armée régulière de l’une des nations rapace. Il est sur terre dans le cadre de la coopération entre les nations rapaces « théoriquement » indépendante rapace.
C’est Griss qui lui a tout apprit et il le considère comme un mentor.
Globo : Grunt, caporal, il est l’un des deux opérateurs de la compagnie.
Bross : Rapace, caporal, le deuxiéme opérateur.
Jorg : Rapace, Sergent, démineur.
Kloff’ : grunt, caporal, démineur.
Koru : Grunt, soldat, un orange qui n’a pas tardé à devenir un rouge. C’est le protégé et le bras droit de Jepi.
Jepi : grunt, sergent (rien d’autre à dire).
Voila, je pense que j’ai dit l’essentiel
Ok,merci beaucoup :è)
c'est quoi ce smiley ?
*
désolé du double post
Petit chapitre de transision trés court mais j'avais la flemme
Chapitre 13 : On va pas les abandonner (Houillo, jour 2, 18heure 50)
Tomu : Sa fait 10 minutes qu’on aurait dut partir.
Moi : Laissons leur encore un peu de temps, on va pas les abandonner !!
Tomu : Oui je sais, c’est juste que plus on reste ici plus on a de chance de se faire repérer.
Jepi : Et alors ? T’as la trouille c’est ça ?
Tomu : Non c’est juste que…
Jepi : On les abandonnera pas !!!
Logo : Calmes toi mon vieux on va…
Copilote (grunt) : Regardes Tomu, on dirait une explosion sur les censeurs !!
Tomu : Mmmh, c’est pas impossible.
Jorg et Kloff’ s’approchèrent de l’ordinateur qui regroupait les informations fournie par les censeurs.
Jorg : Non, je ne pense pas, la signature énergétique colle avec une explosion mais pas la signature thermique.
Kloff’ : Ouais, sa ressemble plus à un crash suivie d’un incendie.
Tomu : C’est vous les démineurs, je vous crois.
Jepi : Qu’est qu’on attend pour y aller ? On sait tous que c’est eux !!
Koru : Jepi a raison !!
Koru considérait Jepi comme un mentor, quoiqu’il puisse dire, il était d’accord.
Tomu : Qu’est qu’on fait capitaine ?
Moi : On n’a pas le choix, où s’est produit cet impact ?
Copilote : Les censeurs de phantom ne sont pas très précis mais je dirais juste derrière cette colline, à flanc de la falaise.
Moi : Bon, Tomu, on va les chercher.
Tomu : Et c’est parti !!
Le phantom décolla. On en avait que pour quelques secondes de vol mais on risquait à tout moment de se faire repérer par les vaisseaux ennemis. Néanmoins, j’étais plutôt d’humeur joyeuse. En effet, Tomu, Logo, Jepi et bientôt avec un peu de chance Griss étaient réunis dans le vaisseau. Il ne manquait plus qu’Azery et on serait tous réunis, comme à Mombassa.
Il y avait également les 7 grunts qui m’accompagnait pour désamorcer la bombe, quelques membres du groupe à Logo, le copilote, Koru, Kloff’ et Jorg. Même si on allait au devant d’un grand danger je savourais cet instant. Entouré d’amis, gonflé d’adrénaline, on partait à l’aventure. Oui, j’en étais venus a apprécier la guerre, et plus encore quand j’étais sur le terrain.
Je me sentais vivant.
Le copilote sortit de la cabine de pilotage.
Copilote : On arrive sur zone !!!
On sauta tous dans le puit de gravité, sauf les artilleurs de phantoms qui restèrent à leurs tourelles.
Quand je suis arrivé en bas je vis tout d’abord la carcasse du pélican en train de flamber.
Moi : Ne me dites pas qu’ils …
Une voix retentit dérriére moi.
Kapo : Non capitaine, on a perdu Yri et notre artilleur est blessé mais on est là.
Moi : Dépêchez-vous de monter dans le phantom !!! Le régiment nous attend et le commandant Jormurgle va pas être content si on arrive en retard, sans compté que les humains font le sièges du site de fouilles, ils vont l’attaquer demain dans la matinée à mon avis.
Kapo : La situation semble désespérée capitaine.
Moi : Oui lieutenant, on peut dire ça.
Chapitre 14 : Bonne nuit (Houillo, jour 2, 21heures 30)
Jormurgle (commandant) : Bon très bien, on fait le point !!
J’étais arrivé il y avait un peu plus d’un quart d’heure et on m’avait directement convié a venir m’entretenir avec le commandant. Il avait installé son QG dans un vieil entrepôt abandonné qu’il partageait avec l’infirmerie. Le reste du régiment dormait dehors.
Jormurgle : Si j’ai bien compris tous les membres du régiment sont soit ici soit dans la jungle, probablement mort et sans aucune chance d’arriver ici avant la nuit.
Moi : Oui, ma compagnie est quasiment au complet mais les deux autres sont réduits à peau de chagrin.
Jormulgre : En parlant d’effectif !! Est-que le rapport est fini ?
Moi : Vous devez comprendre que seul le PC de ma compagie n’a pas été détruit dans la contre-attaque ennemi et que j’ai seulement deux opérateurs pour faire le boulot de 6 !!
Bross et Globo était dans une salle juxtaposée à la notre et tentaient d’établier un calcul des troupes qui nous restait.
Jormulgre : Oui mais on a pas le temps !!
Moi : Je…
C’est alors que la porte s’ouvrit.
Globo : Commandant nous disposons d’un bilan provisoire de ce qu’il reste du régiment.
Jormurgle : Très bien, faites donc.
Globo : Nous disposons environ de 2000 soldats de des base dont 250 rapaces environ. On a également une cinquantaine d’artilleur et seulement deux pièces d’artillerie. On a 15 phantoms et leurs pilotes mais le carburant a été réquisitionné par les brutes qui tentent une contre attaque en ce moment même en tentant de percer le front humain avec des véhicules lourds.
Nous avons sur les bras environ 150-200 blessés et 200 membre des équipes médicale qui ont toute réussis a s’en sortir.
Seul la section de drone de la troisième s’en ai sorti donc on a 25 drone et idem pour les hunters qui sont réduit à deux pour tout la compagnie.
On a également pas mal de soldats de différentes divisions séparé de leurs unités qui nous ont rejoins plus les mécanos, les gars du génie et quelques autres mecs.
Niveau équipement on a environ 50 tourelles plasma et leur artilleurs, une centaine de mine, une réserve d’explosif suffisante, on a des pistolets plasma en proportion plus que suffisante mais on a quasiment plus de rechargeurs, on doit être équipé de 100 needler pour tout le régiment mais très peu de munition.
On a aussi 5 ou 6 canon a plasma plus une tourelle qu’on avait pas encore installée sur le camp de la première compagnie mais qu’on peut plus transporter car le chariot antigrav’ a rendu l’âme.
On a du matériel médicale en très faible proportion et les médecin sont obligé de stopper les anesthésies sauf pour les opérations chirurgicales…
Comme pour appuyer ses dires, un gémissement de bléssé retentit dans le hangar.
Niveau ingénierie c’est pas joyeux, plus de grue, plus rien en faite à part les gars du génie. Niveau nourritures et méthanes on a de quoi tenir 5 jours pour les rapaces et 2 pour les grunts et enfin niveau uniformes et boucliers pour rapaces on a que ce que les hommes ont sur eux, et c’est souvent dans un sale état.
Tout les hommes sont épuisés et on a quasiment pas d’officiers supérieurs pour les organiser, si on nous tombe dessus on sera mit en déroute en 5 minutes.
Moi : Je ne pensais pas que notre situation serait aussi mauvaise.
Il y eut un long moment de silence et le commandant prit la parole.
Jormurgle : Capitaine instaurez des tours de gardes et laissez les hommes se reposer et manger à leur faim. Je vous prends quelques ingénieurs et démineurs. Je sais comment on va se sortir de là.
Moi : Mais…
Chapitre 15 :Qu'est qu'on attend ? (Logo, jour 3, 9heures 45)
Jepi : Réveilles toi mon vieux !!
Moi: Ton bec ! Laisse-moi dormir !!
Jepi : On nous attend à une espèce de réunion d’état major.
Je me levais donc et constatais non sans surprise le nombre de soldats endormies tout au tour du hangar.
Moi : Bordel !! D’où ils sortent eux ?
Jepi : Ben les brutes sont toutes sur le front alors ils viennent là. Enfin ils nous expliqueront mieux à la réunion.
On se rendit donc dans le hangar où une table improvisée avec des caisses avait été installé. Il y avait Houillo et Jormurgle (qui paraissait fatigué) bien sur, ainsi que les 5 officiers supérieurs de notre régiment et quelques sous-off’. Certains appartenaient à d’autres compagnie, d’autres n’appartenaient même pas aux régiment.
Globo nous fit un petit speech sur la situation et Jormurgle se leva.
Jorumurgle : Je résume donc la situation. Tout le site de fouille est encerclé. Les humains ont prit la partie est et ouest. Nous on est au sud et hélas, c’est là où s’est le pire. On a plus aucunes organisation, c’est la débandade. Les brutes ont tenté une contre-attaque et se se fait décimer, donc beaucoup de grunts et de rapaces, dont certains représentants sont ici présents (ils montra les sous-off’ que je n’avais jamais vue) on rappliqué vers les quelques oasis d’organisation encore présent.
En bref, on est 20 ou 30 milles soldats a être encerclé et 5 milles entassés partout dans un rayon de 3 kilomètres qui attendant notre décision en espérant qu’on va prendre la bonne. Beaucoup font partie du 45éme mais pas tous, mais on va quand même les aider.
Donc deux options s’offrent à nous, soit on reste ici et avec du matériel en insuffisance et encercler ici on a aucunes chances, soit on tente d’aller vers le nord du site de fouille où ils restent encore quelques vaisseaux qui pourront nous évacuer. Le problème est que les humains tiennent comme je l’ai dit l’est et l’ouest, donc on peut pas passer par là.
On a une seule solution, passer par le site forunneur.
Houillo se leva : Mais commandant, c’est impossible, L’entrée se trouve au nord, on pourra pas y pénétrer.
Jormurgle : J’ai… comment dire, pratiquais une ouverture cette nuit (dit’il en souriant). Bref quand nous serons dans le site de fouille, on réfléchit pas, les hunters ouvrent la voie au cas où les humains ont réussis a pénétrer dedans et les soldats suivent.
Kapo se leva.
Kapo : Commandant… mais on parle d’une fuite de 6000 soldats à travers des couloirs inconnue et étroit !!! C’est impossible !
Jormurgle : Je n’ai fait que leur trouver une porte de sortie, à eux de se débrouiller pour l’atteindre, c’est ce qu’on peut faire de mieux. A moins que quelqu’un ait une autre idée ?
Bien sur, personne n’en avait
Et c’est ainsi que quelques minutes plus tard…
Moi : C’est une blague !!! Y’a un mur !! Pas la moindre entrée !!
On était arrivé devant l’installation forunner, mais aucune ouverture !!!
Houilo avait transmis des information précises à tout les sous-off’. On devait rester scotché à nos oreillettes et tenter de canaliser le flux de soldats. Heureusement j’avais la chance d’être affecté à la défense du commandant, je serais devant et j’aurais moins de boulot !!
Moi : Houillo, comment on entre alors ?
Houillo : Je sais pas je pense que…
Un cri retentit.
Jorg : Attention sa va péter !!!!!!!!!
BAOUM !!!!!!!!!
Moi : Tu pensais quoi ?
Houillo : Non, oublies.
Moi : Un truc plus discret peut être ?
Houillo : Ben c’est vrai que là…
Là, c’était un trou béant dans le mur du site forunner, de quoi faire passer 2 phantoms de front. Fait probablement par quelques kilos d’explosifs enfoncé dans le mur.
Le commandant vient vers nous.
Jormurgle : Ahahah !! Sa me rappelle l’active sur Oroyo 18 !!!
Il attendit que la fumée retombe.
Jormurgle : Bon… Qu’est qu’on attend ? On doit quand même fuir cet endroit quand même !!
Maintenant je pense que sa va jusqu'à la fin.
Vous savez ce qui est bien quand y'a plus de 5000 grunts ?
C'est le carnage que sa va être
OWIIII 5000 grunts à dégommer dans Halo Reach
uper suite continue!!!!
5000 grunts
Halo reach n'est pas la planéte de halo 3 c'est une erreur
Elles se trouve dans une autre galaxie que les deux autres planétes du jeu.
Et puis il va rapidement avoir moins de 5000 grunts
Sinon tu t'es juste un peu planter sur la destination (il vont rester les pieds sur terre si tu vois ce que je veux dire )
Enfin, chut
Tu as mal compris,je disais que dans le prochain Halo(Halo Reach),ce serait bien qu'il y es 5000 grunts à dégommer
A peut être
Mais pour cela il faudrait que sa se passe aprés halo 3 (et c'est pas encore sur, se sera peut être le récit de la toute premiére battaille)
Oui pourquoi pas mais je crois pas qu'il sortira d'ici les prochainnes vacances (et il faut que je le finnisse aussi)
De toute façon le scénario de la troisiéme partie est déja prét.
Sinon voici un chapitre de blabla (mais y'a pas mal de tention et )
Chapitre 16 : Un air de tombeau (Logo, jour 3, 10heures 30)
Le cortège avançait silencieusement. On entendait les bombardements à l’extérieur, et les couloirs bleus commençaient à être étrangement familiers, comme un chez-soi, comme un tombeau…
Moi : Quelle est la situation ?
Houillo : Bah, c’est la pagaille. On a 5000 soldats qui avancent un peu dans tout les sens. Mais personnes n’est trop éloignés et tous continuent vers le nord en écoutant les instructions. C’est mieux que ce que je pensais. Même les blessés avancent plus vite que je ne l’espérais.
Moi : Si tu le dit.
A peine avais-je fini ma phrase que la troupe s’arrêta.
Je m’avançais donc avec Houillo et Jormulgre pour voire de quoi il s’agissait et vit les 2 hunters arrêtés en face d’une porte.
Moi : Bon, on fait quoi ?
Jormulgre : Sa veut dire qu’on se rapproche de la sortie, on doit être a quelques minutes de marche de celle-ci (dit-il en pénétrant dans la salle après avoir ouvert la porte en abaissant un levier).
????(Venant d’en haut) : Oui, vous avez raison.
La salle était immense, elle était circulaire avec des entrées un peu partout. Sur notre droite, une plateforme à 5 mètres de hauteur nous surplombait. La salle était à nue à part au centre où il y avait une espèce de générateur holographique qui passait un texte écrit en forunner en boucle.
C’était une brute en armure rouge et armée d’un marteau qui avait parlé. Elle et sa cinquantaine de copine qui avaient pris position en haut de la plate-forme.
Les brutes sautèrent en bas de leur perchoir et arrivèrent face à nous.
Commandant brute : Je suis déçu de voire un commandant à la tètes de quelques milliers de soldats prendre ainsi la fuite. Cela dit la situation était désespérée, vous ne serez pas exécuté, seulement renvoyé de l’armée avec vos officiers.
Par les œufs sacrés qu’est qu’il foutait là lui !!
Derrière nous les grunts arrivaient en file indienne et prenait position dans la salle. Le lieutenant Lopu et le lieutenant Rolf’ de la deuxième compagnie avait commençaient à installer les blessés et prodiguaient quelques soins aux victimes en profitant de cet arrêt.
Jormulgre : Je m’incline devant votre clémence maitre.
Commandant brute : HAHAHAHAAHAHAH !! Tu avais un bon plan commandant !! Mais pensais tu vraiment que personnes ne gardait le site ? Qu’on n’essayait pas de déclencher les annaux sacrés ?
Jormulgre : Et l’avait-vous fait commandant ?
Commandant brute : Non, nous n’avons toujours pas trouvé le moyen.
Jormulgre : Le prophète n’est-il pas ici pour nous guider ?
Commandant brute : Le prophète est dans son vaisseau prêt à partir. Et nous sommes presque arrivés à les activer. Je pense que la clef est dans ce texte (il désigna l’hologramme). Mais nous ne parlons pas le forunner ancien.
Jormulgre : Cela peut s’arranger. Lopu !! Viens ici !!
Je compris ce qu’il voulait faire. Lopu était un chirurgien et connaissait forcément des rudiments de forunner anciens vue que tous les thermes de médecines étaient écrits dans cette langue.
Le lieutenant arriva.
Lopu : Qu’y a-t-il commandant ?
Jormulgre : Lis ce texte, et dis nous de quoi il s’agit.
Lopu était intrigué par cet ordre, mais c’était un vieux rapace habitué à obéir aux ordres.
Lopu : A vous ordres commandant.
Je vis que l’on était un peu plus de 500 dans la salle, et tous avaient leurs armes à la main. On était désespérés et personne n’auraient hésité à tuer ces brutes pour s’en sortir. Les brutes le sentaient et s’étaient instinctivement déployées en cercle, leurs armes a portée de main.
Lopu déchiffra lentement le texte, et revint finalement nous voire.
Commandant brute : Alors ?
Lopu : J’ai traduit mots à mots et je ne comprend pas tous mais voila ce que sa dit.
« Ci est (je sais pas trop quoi, sa ressemble à mécanisme) de l’armes ultimes. Sachez que (son utilisation il me semble) est définitive, rien n’y survivra mais si il (je sais pas qui est le il ) est là, activez là, et se être la fin pour tous, la mort pour tout être vivant, et tous être détruit, lui (je suppose que c’est le il de tout à l’heure) n’y pas survivre, mais vous ne serez plus. »
C’est écrit en langage assez simple, mais il existe d’autres textes plus complexe que je ne comprends pas vraiment, celui-ci semble écrit pour des personnes moins intelligentes que les autres. D’autres donnent me semble-il des instructions pour activer l’arme.
Mais je ne sais pas de quoi il s’agit.
Commandant brute : C’est impossible !! Les annaux sacrés ouvrent la voie vers l’illumination !!!!! Ne parle’il pas du paradis ?
Lopu : Non, il est seulement dit que les annaux détruiront tout être vivants dans l’univers.
Commandant brute : Hérétique !!!!!!!!!!!!!
Il lui envoya un coup de marteau à énergie dans la tête. Le choc nous projeta Houillo et moi à terre. Jormulgre lui réussis à rester debout. Je vis Jepi, Griss et environ 750 soldats à nous dégainer leur armes, effrayés mais à la fois confiants, plusieurs milliers d’autres attendaient derrière la porte.
Jormulgre : Vous êtes allé trop loin une fois de plus sales brutes !! Mais cette fois-ci nous ne nous laisserons pas faire !!
Commandant brute : Comment ça ? C’est une mutinerie ?
Jormulgre : Vous avez abattue mon lieutenant alors qu’il ne faisait qu’exécuter les ordres qu’on lui avait donné.
Commandant brute : C’était un menteur !! Un hérétique !!
Jormulgre : Et si il avait raison ? Si les forunner avaient juste mit au point une arme ultime destinée à tuer un immense danger cachée dans les annaux ? Et si les forunners sont des dieux pourquoi ne nous aident-ils pas en ce moment ?
Commandant brute : Vous êtes un hérétique !!
Jormulgre : Non, j’en ai juste mare de vous et j’ai pas envie de crever en accomplissant une putain de prophétie à la con en tuant tout les êtres vivants de la galaxie.
Ce qu’il disait était retransmis à toute la troupe par les oreillettes. J’entendais les rapaces expliquaient aux grunts se qui se passaient.
6 mois de combat dans le régiment m’avait fait comprendre que les grunts étaient loin d’être bétes, ils étaient juste un peu plus long à réagir et personne n’avait jamais encouragés leur réflexion.
Néanmoins, ils avaient pris leur décision, ils savaient comment cela allaient se terminer. Tout comme les 75 drones qui avaient finis de se concerter et qui se préparer à attaquer depuis le plafond. Les deux hunters suivraient la compagnie, contrairement aux autres régiments, nous les nourrissions bien et les lavions en nettoyant leur box (note d’everworl : je considére que se sont des créatures semi-intelligentes).
Le commandant brute ne pouvait pas imaginer une rébellion des rapaces, et surtout des grunts.
Commandant brute : Je… je… Vous !! Saisissez ce grunt !!
Trois de ses brutes dégainèrent leurs armes et s’approchèrent dangereusement du commandant. On comprit qu’elles ne voulaient pas le capturer mais bel et bien le tuer.
C’est alors que deux tirs de sniper partirent de nos rangs, Griss et Arroyo n’avaient pas loupé leurs cibles avaient tué deux brutes d’un tir dans la tête . Mais la troisiéme était encore en vie et allait pressait la détente de son spiker quand une détonation se fit entendre et que le casque de celle-ci explosa.
Je fus sans doute le seul à voir une silhouette en haut de la plate-forme avant qu’elle disparaisse.
En attendant, savoir qui avait fait cela était le dernier de nos soucis. Les brutes hurlèrent de rage et les rapaces dans nos rangs firent naitre un cri de guerre destiné à donner du courage aux grunts qui hésitaient encore.
Troupes : GRUUNNNTS LIIIBREEEEEEES !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Oui le site de fouille commençait sérieusement a avoir un air de tombeau.
Chapitre 17: Bizarres les nouveaux venus (Logo, jour 3, 10heures 40)
GRUUUNNNNNNTS LIIBBBRRRRRRRRRRRES !!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Un sacré putain de combat !!!
Les brutes croulaient littéralement sous le nombre d’assaillant, mais elles faisaient parti des gardes personnelles du prophète, elles ne se laissaient pas faire.
Je m’étais un peu éloigné car dans ma chute causée par le marteau à énergie je m’étais foulé l’aile. Rien de grave mais je me rapprochais du fond de la pièce où les infirmiers s’étaient installés et me suis fais faire tranquillement un bandage
.
Et vous savez quoi ? C’était pas plus mal.
La brute au marteau encaissait les tirs sans broncher et faisait des trous immenses dans nos rangs. En effet, les brutes, comprenant qu’elles se feraient abattre par notre feu nourri, avaient décidé d’aller au corps à corps.
Je vis Houillo et Jormulgre, debout sur le générateur holographique encourager les soldats et tirant avec leur needler. Ils avaient une drôle de tête, avec ces textes en forunner ancien leur parcourant le visage.
Griss et Arroyo s’étaient éloigné des combats et faisaient un vrai carton, pas facile de manquer les brutes qui dépassaient d’un mètre au dessus de la mêlée.
Et nos gars qui hurlaient pour la liberté. C’était beau à voir. Tout comme les deux hunters qui les envoyaient valdinguer à l’autre bout de la salle. Les drones eux, descendaient en flèches, tiraient sur les brutes à bous portant et repartaient au plafond.
Rapidement les brutes n’eurent plus de boucliers mais le plasma ne leur causait pas beaucoup de dégâts, et les needlers étaient peu nombreux. Aussi je vis Azery, Koru, Jorg, Kloff’, Globo, Azery , Tomu et les vieux de la vieille de la compagnie écarter la foule pour laisser le champs libre à Jepi qui les achevait avec son pistolet humain.
Commandant brute : Suivez-moi !! On doit activer les anneaux !!!!!
Houillo : Empêchez-les d’arriver ici !!!! Ils ne doivent pas atteindre la console !!!!!
Mais c’était trop tard, une dizaine de brutes s’élança à la suite de leur chefs qui fauchaient les grunts et les rapaces comme un rien. Or ils traversèrent nos lignes et rien ne les séparait plus à part Houillo et Jormulgre de la commande d’activation des anneaux, juxtaposé au générateur holographique.
Enfin, il restait quand même quelque chose. La même détonation que tout à l’heure retentit et une autre tète de brute explosa.
Tout se passa alors très vite.
Une douzaine d’humain en armure sautèrent du haut de la plate-forme pendant qu’un autre avec un sniper restait pour les couvrir.
Simultanément un élite avec un fusil plasma dans une main et une épée à énergie dans l’autre rentra par une porte juste à coté du tableau de commande, suivie par une vingtaine de grunts en armure dorée.
Les humains tirèrent dans le dos des brutes, leurs balles déchiquetant le corps avec beaucoup plus de facilité que du plasma.
Mais le commandant brute continuait à foncer droit vers l’ordinateur, insensible aux tirs. C’est alors que l’élite s’interposa. La brute lui donna un coup de marteau en plein élan. Le shangelli para le coup et stoppa net la brute. Les deux combattants luttaient, armes contre armes, comme un sinistre bras de fer.
Elite : Ne fais pas ça !! Tu as entendu ce qui se passerait !!
Commandant brute : Toi aussi tu n’es qu’un hérétique !!Comme les autres !! Tu porte le dorée de l’hérésie !! Vous craignez le retour de la lumière !!Seuls les adeptes des anneaux survivront à ce voyage !!
Elite : Comme les autres tu n’es qu’un sombre crétin !! Le prophète vous ment !!
Commandant brute : Meurs !!
Il fit un bond en arrière et porta son marteau au dessus de sa tête, il allait porter un coup de haut en bas, comme pour aplatir l’élite. Celui-ci fit un pas de coté, pour éviter le coup mais la brute avait tous prévue et lui donna un coup de pied dans le bas ventre. Le shangelli s’écroula dans un grognement rauque.
La brute allait l’achever quand un des humains lui sauta sur le dos. La brute se débâtit, et donna un coup de poing dans la tête de l’humain. Il aurait dut le tuer sur le coup mais son armure bizarre dut absorber le choc car il tenait toujours bon bien qu’avec moins de hargne. Il me sembla même que son armure luit un peu, comme si un petit bouclier y était intégré.
Le shangelli profita de cette distraction pour ramasser son épée et commença à frapper la brute. Mais l’armure absorbait le choc, c’est alors que deux autres humains sautèrent sur le dos du commandant. La brute arracha littéralement le casque de l’un d’entre eux qui poussa un cri.
Humain : SchneiBe !! (Enfin, l’injure allemande quoi)
Mais le résultat escomptait arriva, la brute se plia en deux pour tenter d’échapper à ses détracteurs. L’élite, toujours à terre tira profit de cette position pour lui balancer l’épée dans la tronche… en plein dans le défaut de l’armure, au niveau du coup.
La tête vola dans les airs.
Elite : Les humains sont de bons combattants.
Les humains étaient tous trois avachi sur le cadavre sans tète. Celui dont le casque avait été arraché se releva. Les deux autres restaient à terre, sans bouger.
Humain (sans casque) : Les élites sont pas mal non plus.
Le premier humain au casque cabossé lutta un instant pour enlever son casque de sa tète. Peu aidé par le dernier qui restait allongée sur lui.
Elite : Sa va ?
Humain (qui n’a lui non plus plus de casque) : Va bene, va bene. Dis donc Lena, c’est moi ou tou t’allonges souvent sur moi en cé moment ? Tou mé cache quelque chose ?
Et il se prit un poing dans la gueule.
Bizarres les nouveaux venus.
à bravo c'est malin :p
sinon vive everworl et griff et... lol
Très très très très(100 fois "très" ) bonne suite