Avant que je commence les explications, Vasla me fit remarquer que mes yeux avaient de nouveau changés. Il n’était plus d’un simple bleu, mais à présent d’un bleu clair. Et ils ne cessaient d’être légèrement lumineux.
Deplus, elle se rendit compte que mon corps était légèrement différent. Je ne saurais expliquer quoi, vu que je ne remarquai rien de différent. Mais elle en était sûr. Je ne m’en préoccupa pas plus car elle le trouvait de toute façon plus à ses goûts.
Je me tournai vers le Huragok et lui jetai un regard plus que noir. Je lui ordonnai que dès que j’aurais fini d’expliquer notre capture (par sa faute), qu’il devrait m’expliquer sans attendre ce qu’il m’arrive depuis un sacré bout de temps. Sinon je lui ferais bouffer ses tentacules. Vasla s’interposa alors et m’annonça que ce n’était pas la meilleure solution. Mais qu’il avait dit que leur prochaine destination me donnerait des réponses. Cela me suffisait.
Sans attendre, je leur expliquai donc ce qu’il nous était arrivés.

[…]

Vasla serrait les poings et pour une fois, semblait en vouloir au Huragok.
La pauvre créature s’était retranchée dans un coin suite aux mauvais regards qui lui étaient lancés à cause de son imprudence.
Bien sûr que j’étais le premier à lui en vouloir, mais ce genre de mésaventure pouvait arriver à n’importe qui. Ce n’était pas sa faute. C’est ce que je leur expliquai d’ailleurs.
Usze grogna.
-Les Covenants ont fini par en avoir marre de toi. C’est vrai que depuis le début tu es légèrement celui qui leur fait le plus chier.
-Mais le fait qu’il s’intéresse au Huragok et à toi, enfin surtout à ton bras reste suspect, ajouta N’tho.
Je claquai une mandibule.
-Si Arerus veut s’acheter un bras bionique forerunner alors qu’il a déjà assez de bioniques en lui, il n’a qu’à aller faire son shopping ailleurs…
Vasla posa sa délicate main sur mon épaule puis leva les yeux.
-Donc Arerus est sur ce monde…
-Notre fils ne doit pas être loin, la rassurai-je. Nous attraperons cet ordure et lui ferons payer toutes les souffrances qu’il nous a causé, ainsi que celles causées à notre peuple.
Elle me hochai la tête, eut un bref sourire et grimaça en se rappelant de la fin de mon récit.
-Tu dis qu’une machine t’a affaiblie… Puis pour compenser le mal tu t’es goinfré.
J’avais encore du sang animal autour de la bouche. Je pensai m’être suffisamment essuyé.
Je lui expliquai que je ne me sentais pas comme d’habitude. Je ne savais pas qu’est-ce qui était bizarre en moi. Voir nouveau.
Elle me dit qu’elle le sentait aussi.
Je levai un sourcil.
-Je dois dire aussi que la machine qui m’a affaibli semblait être celle que le Huragok recherchait.
Nous nous retournâmes vers lui, il dit «non» de la tête puis «oui».
Je ne compris pas.
C’est alors que le Docteur Grace s’avança d’un pas.
-Puis-je vous examiner ? me demanda-t-elle.
-Faites donc, lui répondis-je.
Après m’avoir examiné, elle conclut que ma pression artérielle était normale, mais que les battements de mon coeur étaient plus lents et plus puissants. Pourtant, la tension restait pourtant la même.
-C’est peut-être dû aux évènements vécus, me dit-elle.
Je soupirai bruyamment avant de me relever.
-Ah oui, nous allions oublier, fit remarquer le Commandant Hagard. Nous avions été attaqué par une dizaine de brutes lors de votre disparitions.
Je grognai.
-Le Kig-Yar… Des blessés ?
Le commandant baissa la tête.
Le peu que nous étions me suffit à faire comprendre qu’il manquait un Humain. Les deux pilotes étaient toujours là, étrangement calmes. Le Sergent Powley et bien sûr le Commandant Hagard et le Docteur Grace étaient là. Par contre, sur les six autre commandos humains qui nous avaient suivis, il ne n’en restait plus que cinq. C’est alors que je culpabilisai.
Si je m’étais rendu sans histoire au Kig-Yar, (une chose impossible à mes yeux) aurais-je sauvé cette vie ?
-Navré, réalisai-je.
Je me changeai les idées en remarquant que la balise du Huragok qui émettait notre signal, était de nouveau en marche. Sûrement depuis que le Huragok s’était réveillé.
-Bon, repris-je. Maintenant nous sommes tous recherchés par les Covenants. Il va falloir avancer vite et suivre le Huragok. Il doit nous mener à des réponses et sûrement dans un abri sûr où nous patienterons gentiment jusqu’à l’arrivée de la flotte. J’espère qu’elle arrivera dans peut de temps malgré cet incident…
-Mais qu’ils viennent ces salauds de Covenants ! déclara le Copilote. J’vais les ouvrir en deux comme des lapins…
Les autres Humains prennent en considération la remarque de leur frère, et partageait le même avis.
Au moins, le moral n’avait pas baissé.
Le Huragok me regarda et imita un hochement de tête.
Pour la première fois, je pensai qu’il allait enfin m’amener à des réponses.

[…]

Sans armure, je me sentais aussi vulnérable que les Humains. Même eux avaient une armure balistique. Moi, je ne possédais qu’une combinaison.
Le fait de n’avoir que cette combinaison sur moi ne semblait que satisfaire Vasla. Mais tout comme moi et les autres, elle savait que cet handicap risquait d’être fatal.
Pendant que nous avancions, j’eus une fois un mal de crâne qui s’en suivit par des sortes de petites étincelles argentées qui traçaient un vecteur aléatoire dans ma vision. Elles disparaissaient aussitôt qu’elles réapparaissaient. Cela avait duré quelques secondes.
Tout ce qui m’avait été étrange aujourd’hui semblait être des effets secondaires… Mais des effets secondaires à quoi ?
Je décidai de chasser toutes mes questions aux fond de mon crâne car j’aurai bientôt des réponses. Je l’espérais.
-A-t-on une idée du temps qu’il reste jusqu’à ce que la flotte arrive ? demanda le Commandant Hagard.
Vasla jetai un regard interrogateur sur le Huragok, ce dernier émit un court bruit aiguë et quelques gesticulations.
-L’émetteur transmet bien, tout dépend de la flotte tant qu’il reste activé, déclara-t-elle. Mais on ne sait rien de plus.
J’étais encore fasciné par le fait que Vasla puisse comprendre le Huragok. Malgré que son âme avait abrité le corps du Huragok autrefois, je peinais encore à y croire.
-Bref, rien de nouveau quoi, répondit l’Humain qui était en tête de notre groupe, derrière le Huragok, l’arme levée.
Jusque après qu’il dit cela, il s’arrêta brusquement et hurla à tout le monde de ne plus avancer.
Je le voyais encore partiellement caché par la couche de végétation qu’il avait traversé.
Il nous fis signe de l’approcher sans le dépasser.
Ce que je fis.
Arrivé à ses côtés comme les autres, je restai bouche bée par le changement de décor.
La forêt était séparée en deux par une gorge. Cette gorge descendait profondément au dans les entrailles de ce monde. Une immense cascade s’écoulaient au début de cette gorge, sur la gauche. De l’autre côté de ce gouffre, la forêt reprenait.
Mon attention retournai dans la gorge. L’eau qui tombait de la cascade disparaissait dans le trou sans fond. Divers murs et structures squelettiques apparaissaient, comme si un géant avait planté son couteau dans la planète. Pourtant, ce gouffre n’était pas dû à une catastrophe, il avait été construit ainsi.
La gorge continuait loin sur la droite, jusqu’à disparaître dans un angle de la forêt.
-Attention, répéta l’Humain. C’est foutrement bas.
Nous prîmes nos distances de sécurités et je remarquai le Huragok continuer en direction de la chute d’eau.
-Hé, on peut pas voler nous ! Trouve-nous un chemin pour traverser cette rivière !
Il ne prêta pas attention à moi. Ce qui m’exaspéra.
Au début, je croyais que c’était le soleil puissant de ce système qui m’avait éblouit lorsqu’un rayon de lumière sortit d’un nuage. Mais c’était tout autre chose.
Le faisceau de plasma violet toucha le Huragok en plein dans le mille. Alors que son bouclier s’illumina au blanc, il paniqua et activa son camouflage.
Cet imprudent avait failli mourir. Et si nous n’en faisions pas autant, nous aussi.
Mon attention se porta donc sur l’autre côté de la gorge. Je vis de petites lumières violettes briller dans notre direction.
-Snipers ! À terre ! hurlai-je.
Les Humains se jetèrent sur le côté tandis qu’Usze et N’tho s'accroupirent en activant leur camouflage. Vasla se plaça derrière un arbre et moi dans l’arbre voisin.
-Ripostez ! ordonnai le Commandant Hagard en se mettant devant le Docteur Grace pour la protéger.
Il dégaina son fusil d’assaut et tira des tirs de suppression comme la plupart des autres Humains.
Le Sergent Powley -qui était située proche de moi- mitrailla ses ordres aux marines allongés à ses côtés tandis qu’un tir de plasma passa à quelques centimètres au dessus d’elle.
-Jackson ! Qu’est-ce que vous attendez pour sortir votre S5 ?!
Le soldat, affolé, enleva de son dos un long fusil équipé d’une lunette et d’un bi-pied. Il déploya le sniper à la hâte et ouvrit le feu.
-L’humidité fait descendre les balles ! cria-t-il.
-On s’en fout ! Compense pauvre abruti ! lui répondit le Copilote situé à quelques mètres qui essayait de tuer les snipers Covenants avec son arme de poing.
Le marine ajusta sa visée tout en essayant de rester calme alors que du plasma brûlant le frôlait à plusieurs reprises.
Il tira une nouvelle fois, et une lumière rosette disparut.
-J’en ai eu un ! s’exclama-t-il avec joie. Plus que qua…
Sa cervelle carbonisée jaillit de l’arrière de son crâne pour s’immobiliser dans les feuillages aux alentours. L’Humain ne bougeait plus, de la fumée sortait de son crâne.
-Et merde ! hurla Powley. Ils l’ont descendu !
Un marine équipé d’un autre fusil à lunette, plus petit, se prit un tir dans l’épaule gauche. Il cria puis chuta en arrière à cause de la force du tir, mais continuai de tirer avec son bras valide.
Une main invisible le tira à l’abri tandis que N’tho apparut quand il ouvrit le feu avec sa carabine Needler pour couvrir Usze et l’Humain.
Ils se placèrent derrière un gros arbre où le commandant et le docteur s’était déplacé.
Le Docteur Grace examina le blessé qui grinçait des dents pendant qu’Usze ramassa l’arme humaine à lunette et décidai d’aider le Commandant Hagard et N’tho à tuer les snipers ennemis.
-Il faut que quelqu’un prenne la place de Jackson ! hurla le commandant.
Sans hésiter, j’étais le plus proche. Je m’allongeai et roulai sur le côté avec le sniper humain pour me coller à l’arbre de Vasla.
Encore surprise, Vasla sortit son Needler et m’offrit des tirs de suppression.
Je n’avais encore jamais tenu une arme humaine entre les mains. Elle était inconfortable et mon doigt se coinça dans le petit trou où la gâchette se trouvait.
Je regardai dans le viseur électrique et retins ma respiration.
Une vision thermique avait été activée, mais des parasites envahissait l’affichage électrique de l’arme. Sûrement l’humidité. Mais la visée restait satisfaisante.
Je vis les silhouettes des Kig-Yars armés de Snipers. Le plasma qu’ils tiraient brouillait la visée pendant une fraction de seconde.
Je plaçai le viseur légèrement au-dessus de la tête d’un des Kig-Yars, puis pressai la détente.
La silhouette de la tête du Covenant décrit une silhouette bien plus large puis son corps s’effondra, sans sa tête. Divers tâches thermiques s’étaient ajoutées dans les arbres aux alentours de nos ennemis.
-Un de moins, déclarai-je en reprenant mon souffle.
Je vis les aiguilles de N’tho toucher le ventre d’un Kig-Yar, il chutai, après l’explosion de l’aiguille.
Je baissai la tête, un faisceau de plasma me brûlant le haut du crâne.
Vasla tira dans sa direction, je regardai à nouveau dans le viseur pour voir les aiguilles avancer -à cause de la distance- lentement vers les cibles. Mais à cette distance, il suffisait à l’ennemi de se décaler pour éviter facilement les lentes aiguilles.
Je voyais aussi les projectiles des fusils Humains qui réussirent à éliminer un autre Kig-yar.
Je visai le dernier sniper et tirai. Son flanc explosa, et Usze l’acheva d’un tir dans la gorge.

Après quelques instants, un Humain déclara la zone sécurisée.
Je me levai et secouai l’arme et ma main pour décoincer mon doigt de la gâchette. Le chargeur était bien sûr et heureusement vide.
Je tendis le sniper à l’Humain le plus proche. Powley demanda à son coéquipier de lui donner l’arme. Puis, elle s’agenouilla vers l’Humain nommé Jackson.
Elle soupira avant de secouer la tête.
-Il était trop jeune…
-C’était un type bien, ajoutai le Pilote.
Elle lui ferma les yeux avant de déposa une douille du sniper humain sur son torse et un autre marine déposa une couverture verte sur le cadavre.
Je me retournai vers Vasla qui rangea son arme. Elle offrait un regard désolé aux Humains pour leur perte.
Puis, Usze et N’tho nous rejoignîmes. Et le Huragok réapparut près de nous, tremblant de peur.
Je le tirai de sa hauteur par une de ses tentacules pour ramener son visage près du mien.
-Fais attention la prochaine fois ! le grondai-je.
Il émit un cri aiguë et bruyant, totalement effrayé.
-Drak !… Ne n’affole pas d’avantage, me dit Vasla.
Je relâchai sa tentacule.
-Mouais. Et maintenant ? demandai-je au Huragok.
Comme si on avait appuyé sur un bouton, le Huragok changea d’humeur immédiatement et se colla à Vasla pour lui expliquer quelque chose avec rien d’autre que des bruits et des gesticulations.
Après quelques instants, Vasla recula et hocha la tête, fixant le gouffre.
-C’est une illusion.
Un silence s’imposa, tout le monde n’ayant pas compris où elle voulait en venir.
Vasla fronça des sourcils.
-Vous êtes débiles ?
-Bon. Je suppose que c’est à mon tour de perdre la tête ? demanda le Copilote.
Je soupirai.
-De quoi parles-tu Vasla ? lui demandai-je.
-Ce gouffre, là ! Il est à la fois réel et inexistant.
Tout le monde regarda Vasla avec de drôles d’yeux.
Elle fit glisser sa main devant son visage en soupirant.
-Bon j’arrive pas à leur expliquer, s’adressa-t-elle au Huragok qui attendait patiemment à ses côtés. On va leur montrer comment entrer.
Elle s’avança près de la falaise et voulus emprunter le pas dans le précipice.
Je m’interposai immédiatement.
-Tu es folle ?! m’affolai-je.
Elle me regarda droit dans les yeux.
-Fais-moi confiance.
Après quelques secondes d’un duel sans merci entre mon regard sérieux et le sien si confiant et inlassable… J’acquiesçai. Difficilement. Son regard était impossible à résister…
-Je reste juste derrière toi, au cas où…
-Encore heureuse ! s’exclama-t-elle en ironisant la situation.
Les Humains s’échangèrent des paroles sur notre état mental et Usze et N’tho se demandait si tout le monde avait perdu la tête.
Vasla était maintenant au rebord du gouffre. Je ne savais absolument pas ce qui allait se passer. J’étais prêt à la rattraper au moindre instant si elle chutait.
Elle s’accroupit et saisit de la terre et la lança devant elle. La terre resta en apesanteur.
Vasla se retourna et nous montra la scène.
-Vous voyez ? C’est une illusion !
Elle se retourna et leva son pied, puis dès qu’elle emboita le pas, il toucha le sol invisible, au dessus de la falaise.
Mes mandibules tombèrent sous la surprise tout comme mes frères et un des Humains commençait à appeler Vasla «Jézu».
Le Huragok se plaça devant elle et la guida dans sa marche irréaliste au dessus du vide
-Je dois avouer que j’ai tout de même peur… nous cria-t-elle à force qu’elle s’éloignait.
Elle se dirigeait vers la cascade. Elle avait les bras tendus, comme pour garder l’équilibre alors qu’il semblait qu’elle n’avait aucune raison de le perdre.
Alors que Vasla disparut dans la cascade avec le Huragok, un grand silence s’imposa entre nous.
Puis, après que je me demandai si j’étais en train de faire un rêve absurde, un bruit sourd et puissant résonna à l’intérieur de la cascade.
C’est alors, que le chemin que Vasla avait emprunté commençait à apparaître comme par magie. Le chemin apparut tel un hologramme. De la terre, des cailloux et des plantes. Le même sol que la forêt. On aurait dit deux lieux au même endroit. Il y avait le gouffre, et une partie du sol décrit en un chemin.
Nous reculâmes lorsque le chemin se matérialisa devant nos pieds.
-Ah ! Donc enfaite c’est un affichage qui nous fait croire qu’il y a du vide ? essaya de comprendre le Copilote.
Il emprunta le pas où le gouffre était visible.
Usze lui saisis le bras alors que l’Humain tomba en hurlant.
-Qu… Quoi ?! Je comprends rien putain !
Usze le tira pour le ramener sur le bord de la falaise.
-Je t’aime mec… lui souffla le Copilote.
Usze considéra cela comme un remerciement.
Je posai le pied sur le chemin qui avait apparut.
-Là, par contre c’est solide, remarquai-je.
-J’aimerais bien étudier cette illusion très perturbante, dit le Docteur Grace.
-Plus tard, lui dit le Commandant Hagard.
Je pris la tête de notre groupe et observai le lieu où je marchais. Deux lieux au mêmes endroits…
-Ne pas regarder en bas. Non, je veux pas regarder en bas. Pourquoi je ferai ça de toute façon ? Hein Élite ?
N’tho regarda bizarrement le Copilote qui marchait devant lui.
Une fois arrivé devant la cascade, je m’arrêtai, supposant qu’il fallait la traverser. Ce que je fis.
Je fus trempé par la cascade et mes pieds touchèrent un sol froid et métallique.
Les autres entrèrent aussi.
Je vis Vasla qui nous attendait joyeusement, les bras croisés. Je lui renvoyai un sourire puis je me retournai et admira la cascade vue de l’intérieur. Puis j’inspectai les nouveaux lieux. Il faisait sombre, très sombre et incroyablement silencieux. Il n’y avait que quelques traits de lumières blanches qui marquaient les bases des murs de la salle. De la vaste salle.
Le Huragok était plus loin devant nous. Je reconnus les lumières de son armure.
Je m’avançai jusqu’à lui avec les autres qui continuaient d’examiner la salle.
-Vous deux, surveillez l’entrée, demanda le commandant à ses hommes. On n’est jamais assez prudent.
Les sélectionnés s’exécutèrent.
Le Huragok poussa un son harmonieux, il semblait être au centre de la salle.
-Je l’ai laissé aller où bon il souhaitait aller, me dit Vasla. Par contre, je l’impression d’être observée…
-Je dois avouer que cet endroit serait parfait pour une embuscade. Mais on ne l’aurait pas si bien caché autrement, lui répondis-je.
-Mais où diable sommes-nous ? chuchota le Pilote.
Personne ne répondit pendant plusieurs secondes. Nous continuions à approcher du Huragok.
-Bon, au moins nous avons trouvé un abri, fit Usze.
Le Sergent Powley sortit de son sac à dos un bâton rouge et tira l'extrémité. Il émit une forte lumière rouge ainsi que de la fumée et elle le déposa prêt du Huragok une fois que nous fûmes arrivés à lui.
-Il n’y a rien ici, soufflai-je.
Je m’approchai du Huragok pour lui demander où étaient mes réponses quand il se retourna. Je m’arrêtai et l’observa, il semblait totalement absent.
-Où sont mes réponses ? lui demandai-je, impatienté.

Yeah une suite !

J'ai lu

J'ai eu envie de foutre une claque au Huragok.

une suite géniale par contre sa sent le bizutage pour l'Huragok

J'ai tout lu !

Bon pour commencer: trois suites d'un coup, même si ce n'est qu'un chapitre, auraient dû être séparée. Parce que si je n'aimais pas autant ta FIC, je me serais ennuyé.

Le chapitre est bon, tu as fait plus de fautes que d'habitude, et vraiment des fautes que tu ne fais jamais .

L'histoire devient intéressante, mais on remarque que tout tourne autour des "pouvoirs" de Drak, alors que tu aurais pu travailler d'autres aspects de ta FIC.

Sinon, je sais pas pourquoi, mais savoir d'où viennent les pouvoirs de Drak, du coup je suis pas trop emballé par l'idée.

Mais j'attends quand même le prochain chapitre .

Pour la publication, j'ai jamais changé de méthode :/ c'est étonnant de voir que soudainement un chapitre posté en 3 (alors que deux posts aurait suffit) soit trop. Deplus que c'est pas mon plus long chapitre. De loin.

Les fautes c'est tout simplement parce que je m'étais pressé de poster car j'avais pas posté depuis un bail et je voulais vous faire plaisir.

Et tu juges trop vite sans savoir ce qu'il va se passer, si tu verras quand même juste, et bien tant pis de vous décevoir, mais moi j'aime ce que j'écris et tout les aspects de ma fic ont un but. Et pour te répondre, tout ne tourne pas autour du pouvoir de Drak.

PS: Malgré que j'ai besoin d'infos de livre pas encore traduits et de jeux pas encore sortis, j'vais devoir sortir de l'univers de Halo (j'étais déjà sorti)

Oui, je donnais mon avis hein .

Mais bizarrement, j'ai pas eu le même plaisir à lire ce chapitre que les autres . J'avoue n'avoir donner que des points négatifs, mais parce que je pense que ce sont des choses à revoir. Ou à changer.

Oui tu nous (moi en tout cas, c'est sûr) as fait plaisir en postant, et c'est super sympa, ça m'a détendu, ça m'a fait de la lecture, et surtout, j'ai eu la suite que je voulais! En plus, tes fautes ne sontnpas vraiment gênantes, c'est justes que j'en ai plus repéré qu'avant.

Pui, je juge vite. En fait, je juge sur ce à quoi j'ai pensé sur le moment. Eonc ça je maintiens, etnc'est un avis comme un autre, que l'idée de découvrir la source des pouvoirs de Drak ne m'emballe pas. Certes, ça peut mener à de nouveaux ennemis/alliés, certes ça peut amener à une grande bataille, certes ça peut être bien. Peut-être aussi que tu n'aborderas aucun des thèmes que j'ai évoqué, etnquentu vas en trouver un très intérressant. Mais là, je n'aime pas.

Excusez-moi des fautes, j'ai du mal à écrire avec mon Ipad.

J'ai lu ça dans le train tout à l'heure, j'ai un peu pris mon temps donc la taille du texte ne m'a pas dérangé.

J'avoue que l'Ingénieur m'a donné envie de le frapper aussi.
Les pouvoirs de Drak, je ne suis pas pressé non plus d'en savoir plus, je tiens plutôt à comprendre ce qu'Arerus veut à Rino...
Le texte reste bon, le seul truc qui m'a un peu dérangé perso' (ça date des deux ou trois derniers chapitres), c'est quand Drak emploie des expressions "typiquement humaines", comme le Okay, ou parler de shopping.

shopping c'est sur que c'est humain mais je pense "okay" c'est pour toutes les races pas seulement humain.Mais moi perso ca me dérange pas,on a qu'a dire qu'il recopié Johnson

Okay et shopping j'avoue ca fais pas elite XD je changerai mais sur le moment je trouvais les repliques epiques ^^

tu peux simplement te justifier en disant qu'il a recopié un peu les humains ou le sergent Johnson,mais si tu veux vraiment changer tu vas reposter le chapitre?

Ah mais non, je demande pas à refaire tous les dialogues hein.
C'est juste que je trouvais ça bizarre pour un Elite.

Mais si tu dis que son cerveau assimile plus facilement maintenant, et qu'il ressort les expressions de Johnson je comprendrai.

Par exemple...

C'est bien écrit

et peut etre aussi qu'il a connue quelques Humains sur Sangheilios et qu'il a recopié leurs expressions

Enfin j'ai pu lire la suite, même remarque que venum pour les fautes mais c'est pas trop grave.
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