attendont la suite chef!

suuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiitttttttttttttttteeeeee
eeee

j'y réflechi, il faut que je me creuse pour trouver un truc géniale, sache que j'y travaille.

okokok

t'es un gros leceur ?

lecteur pardon

Chapitre 15 : Le village

Je marchais depuis une heure avec cet étrange personnage quand la nuit tomba, d'uncoup, coomme ça, en un inst-ant, on est passé de jour et chaleur étouffante à nuit et froideur extreme.
Presque aussitot la nuit tombé, nous arrivames sur une colline, en haut, on apercevait au millieu des bois, un petit cercle ou la végétaion avait été coupé, on y avait installé des huttes, une soixantaines. Des feux étaient allummés. Ca me rassura aussitot, de savoir qu'on approchait du but.

Mon guide descendit de la colline et nous arrivames au village.
Près de feu, des gens discutaient et des enfants jouaient.
Mon guide m'iniqua une hutte plus grande que les autres, qui tronait au millieu du village.
-allonss-y, le chef va surement vouloir te parler, nous allon t'abriter pour la nuit.
Je me dirigeais vers la grande hutte quand un homme musclé s'interposa entre la lourde porte de bois et moi.
-T'es qui toi ?
Il tenait un fusil SLP rouillé.
-Et vous ? repondis-je.
-Reponds à ma question pourriture !
Mon guide intervint.
-Laisse-le Kalib, il est avec moi !
-M'en fout ! Il entrera pas sans qu'il m'ait donné ses armes !
-Et si tu lui avait demandé ?
-Euh... je...
Soudain, la porte s'ouvrit et un homme aux courts cheveux bruns apparut.
-Que ce passe-t-il Kalib ?
Mon guide répondit :
-J'ai rencontré un homme des forces spéciales dans les bois, il vient pour enqueter sur les terroristes.
-Alors qu'il entre.
L'homme s'ecarta de la porte et je pus entrer. La maison était décoré de meubles en bois, il y avait une grande cheminée, un homme était déjà assit sur une natte à l'interieur.
Le chef me demanda de m'asseoir et partit dans une autre pièce.
Au bout d'un instant à me faire dévisager par l'autre inconnu, il revint, un bol en main qu'il me tendit.
-Bien, maintenant parlons. dit il en s'asseyant.
Le bol contenait une soupe brunatre dans laquelle flottait des petits carrés de viandes et de feuilles.
Je buvais et sérieusement, je n'avais jamais rien mangé de si délicieux, la viande légerement fumé, la soupe épicé, les feuilles acidulés, c'était exquis.

Le chef s'éclaircit la gorge tandis que l'autre homme me dévisagait toujours :
-Bien, parlons vite, nous avons des problèmes, les soldats-terroristes commence à raser la foret à l'ouest, nos éclaireurs indiquent qu'ils construisent des batiments, mais nous avons remarqué que les patrouilles osent de plus en plus venir au pieds des montagnes, là ou nous installons nos villages, j'espère que vous agirez vite pour nous sauver de là.
-En fait, je suis au regret de vous annoncer que nous ne comptons pas vous liberer, ma mission est de découvrir ce que font les terroristes sur cette planete, de découvrir ou est leur base pour un bombardement aérien et découvrir qui les armes, il n'y a pas d'extraction prévus.
Je pensais que le chef allait entrer dans une colère noir mais il gloussa :
-Monsieur, nous avons été enlevé à l'age de vingt ans au plus, nous ne savons que vivre sur cette planete, nous avons appris à chasser et à survivre ici, nous sommes fait pour vivre ici, je ne veux pas d'extraction, je veux qu'on puisse vivre et mourrir en paix sur cette planete qui est la notre. Chassez ces terroristes, ne vous occuppez pas de nous.

-Bien, voilà qui nous arranfge tous les deux, il va falloir que je reparte, pour remplir mes derniers objectifs, je n'aimerez pas abuser de votre hospitallité, j'aimerais savoir si vous avez des moyens de communications et des véhicules.
-Bien sur, l'antenne la plus proche est à deux kilomètres au nord, il vous faudra traverser les montagnes, pour vous prévenir, vingts hommes armés sont partis dans les montagnes, un seul est revenu, et il lui manquait un bras et un morceau de la cuisse droite. Mais il y a un autre moyen de communiquer. Il y a un poste de commandement des terroristes, à l'ouest, ils ont une antenne, mais il faudra attaquer l'endroit, et les eclaireurs nous ont récemment prévenus que des troupes d'élites étaient arrivés. Vous avez deux options : les montagnes remplis de monstres et de prédateurs, ou le poste de commandement, avec ses troupes d'élites.
-Je choisis le poste de commandement.

A SUIVRE...

oui je suis un gros lecteur sinon bravo pour la suite

merci, si t'es un gros lecteur et que t'as le courage de lire toute une fic vga sur embrouille avec la mafia, c'est moi qui l'est ecrite aussi

super fic

__________________________________
OH MON DIEU !!! MAIS C'EST UN CAKE !!!!

je sais mais je préfére quelque chose de plus futuriste comme la

fic

suite dès que je peux

j'ai tout lu + suite

ta fic est géniale

merci beaucoup

suitteee

Continue comme ça

remerci !!! suite dermain

Chapitre 15 : le village (deuxieme partie)

-Pour l'attaque de ce Poste de commandement, est-ce que des hommes voudront m'accompagner et se battre avec moi ?
L'inconnu entra dans une colère noir.
-Vous osez ! vous ne pensez qu'a vos guerre ! nos hommes meurs ! il est hors de question d'envoyer nos hommes à la mort ! Reglez vos problèmes vous même et foutez le camp !
-Calme toi mon fils ! dit le chef en le foudroyant du regard.
L'inconnu était donc le fils du chef.
-Je ne vous demande pas une dizaine d'homme pour partir à la guerre, je vous demande trois hommes vaillant pour me guider et creer une diversion suffisante pour que je puisse attaquer.
-Je suis d'accords, mais ces trois hommes viendront de leurs plein gré, je pense que Halef voudra bien t'accompagner, il t'apprécie beaucoup.
-Halef ?
-Euh, oui, l'homme qui t'a rencontré dans la foret, c'est mon meilleur guerrier.
-D'accords. dis-je en me levant et en reprennant mes armes.
-Ou allez vous ?
-Eh bien, cet avant-poste...
-Non, vous irez demain, même le plus gfrand guerrier ne peux traverser la foret la nuit au pieds des montagnes.
-Pourquoi au pieds des montagnes ?
-Les créatures qui y vivent ne vont pas plus loin, elle savent qu'elles ne sauront pas vivre en dehors des montagnes.
-Alors nous irons demain. je me rassis et repris mon bol pour finir ce doux mélange.
-Bien, nous allons vous laisser vous reposer, vous partirez à l'aube.
Sur ces mots, le chef et son fils se levèrent et sortirent de la hutte.
Des mon bol finit, je m'effondrais sur la natte et m'endormais.

J'ouvrais l'oeil, le soleil se levaitn, un fin rayion de soleil passait à travers un trou dans la porte, je regardais ma montre, 7 h 31, qu'est-ce qui m'avait réveillé ?
Je me levais doucement de mon lit quand la chose attira mon attention, ce qui m'avait réveillé, c'était des coups de feu.

A SUIVRE...

sweet