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l'univers kingdom hearts t'attend sur
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merci beaucoup les gars

Chapitre 8 : Un autre ennemi.

Le terroriste se figea, il leva son arme, terrifié.

-Si tu veux une chance de rester en vie, il va falloir obtemperer.
-Ok, ok, on se calme...
-Pose ton arme, doucement, à la moindre entourloupe, je tire, c'est clair ?
-Très clair.L'homme se baissa lentement et posa son fusil d'assaut SLP sur la terre sèche.
-Maintenant les mains sur la tête.Le soldat s'executa.
Je laissais doucement tomber mon fusil à pompe en bandoulière et entreprennais de fouiller le terroriste, je trouvais une radio GPS, un pistolet Skorpion-combat, un plan de la foret, une grenade à fragmentation, trois chargeurs de fusil SLP et un couteau de combat. Je posais le tout sur un tronc d'arbre couché.
-Dis donc, ça c'est du matos.
Je me rendis compte que le terroriste me tournait toujours le dos.
-Tourne-toi.
Il m'obéit.
-Un simple soldat aurait été équipé seulement d'un fusil et d'une radio. Quelle était ta mission ?

L'homme resta muet, les mains toujours sur la tête.
Je saisit mon fusil à pompe M590 Tactical et lui asseinais un coup de crosse au ventre. Il se plia en deux, les mains sur le ventre en gémissant.
J'attrapais le couteau de combat, lui bondissais dessus, lui saisissait le poignet et le tordit violemment.
Il hurla.

-Ecoute connard, j'ai pas de temps à perdre, à cause de vous deux pilotes de l'armée de l'union galactique sont morts. Alors, j'hésiterai pas.Aussitot, je lui saisit la main et posa mon couteau contre sa paume.
-Pitié!
-Quelle était ta mission ?!
-L'escorte d'un convoi !
-De quoi ?
-De pistolet-mitrailleur Malkotov-440 de haute technologie! Et de fusil d'assaut SlP !
-Quoi d'autre ?
-C'est tout ! J'vous le jure !
-Quoi d'autre !! dis-je en appuyants legèrement la lame du couteau sur la paume de sa main.
-Des soldats d'élites ! appelés "hunter"!
-Ils sont là pour quoi ?
-Ils sont spécialements entrainés pour combattre les faunes hostiles locales, et pour le combat en millieu forestier !
-La faune hostile locale ?
-Oui ! principalement des arraignées-crabes marécageuse, les troupes de déforestations ont attaqués un nid, les arraignées-crabes ont ripostés, attaquant plusieurs avant-poste ! Je faisais parti d'une unité d'éclaireur, on a été attaqués, je me suis perdu et elles m'ont suivis, je crois meme qu'elles... qu'elles...
-Qu'elles quoi ?!
-Qu'elles nous regarde en ce moment...
Soudain, quelque chose bougea dans les fourrées, un arbres s'effondra sur lui même et la chose s'arreta dans les buissons. Rien ne se passa, je lachais le soldat brandit mon fusil en direction des buisson et attendit : je distinguais très clairement trois yeux rouges m'observés à travers les fourrées.

A SUIVRE...

j'écris la suite cet aprem

Chapitre 9 : Course poursuite.

Le soldat se releva lourdement et allait partir en courant quand je l'interpellais:
-Plus un geste!
Il se figea.
-Vous allez l'exiter, ne bougez plus.
-Il est hors de question que je reste pour me faire charcuter.
Alors il partit en courant, je levais mon arme mais ne put me résoudre à l'abattre, alors la bête se leva des buissons.
Une énormes arraignées d'environ trois metres avec une carapace et dont les deux premieres pattes étaient des pince acérées surgit des fourrées. Elle était rouge vif et couverte de taches jaunes à certains endroits. Trois yeux triangulaires me toisaient.
Je dirigeais le canon de mon arme vers la bestiole et posais l'autre main sur la pompe pour etre pret à recharger rapidement. La bestiole fit quelques pas sur le coté et s'arreta net. Je fit moi aussi quelques pas sur le coté en gardant en joue le monstre. J'arrivais pret du tronc d'arbre, j'enlevais ma main gauche de la pompe et saisit le matériel du soldat pour le mettre dans mon sac bandoulière qui pendait sur mon épaule.
Une fois se travaille finit, je remettais ma main sur la pompe et restais là, immobile en face de cette créature.
Je ne sais pas combien de temps nous sommes restaient à nous regarder mais sa ma paru une éternité. J'étais comme absorbé par ses yeux.

Soudain la radio dérobée au soldat-terroriste crachota bruyamment.
-"...Dragon à... ... soutien sur... 51-325... renforts...livraison interceptée...
La bête resta un moment à taper lourdement des pattes sur le sol sec avant de foncer sur moi. Je fit demi-tour et prit mes jambes à mon cou. La bestiole me suivait, détruisant les arbres sur son passage arrachant des morceaux de terres, elle gagnait du terrain, alors - sans m'arreter de courir- je me retournais et tirais une cartouche dans sa direction, le projectile arracha l'écorce d'un arbre mais ne toucha pas le monstre. Je réarmais la pompe et tirais une seconde fois, sans résultat. Au bout de huit cartouches le chargeur fut vide, je laissais mon arme reposer sur sa bandoulière contre ma poitrine et continuais de courir.

Cela faisait six minutes que cette chose me poursuivait. J'arrivai à un ravin, je sautais dedans imprudemment et ombais sur un amas de feuilles, je ne trouvais pas la force de me relevais et la bête devais déjà se tenir au dessus du trou, cela ne servait à rien d'essayer de s'enfuir maintenant, alors je me recouvrais rapidement de feuilles.
Je sentais le souffle de la bête au dessus de moi, je sentais ses longs poils me chatouiller le corps. Puis se souffle s'éloigna. Au bout de cinq minutes, je me relevais doucement et risquais ma tête hors du trou :
La bête était là, tournant le dos au trou, reniflant bruyammant à l'affut d'odeurs supectes, je ne pourrais pas sortir du trou sans l'avoir éloigné, et elle allait sans doute bientot s'apercevoir de ma présence.
Rapidement, je fouillais mon sac, je trouvais ce que je cherchais : la grenade à fragmentation récuperer sur le soldat.
J'enlevais la goupille et la jetais loin, du coté opposée à la bête. Trois secondes plus tard, la grenade explosait, le monstre se retourna et se jeta sur l'endroit de l'explosion. Je me relevais et courais le plus loing possible du ravin, espérant m'eloigner de la bête qui s'affairait autour du petit cratère provoquait par la grenade, j'espérais que cette derniere occupperait le monstre le plus longtemps possible.

Au bout de dix minutes de sprint à travers la foret, j'avais mis assez d'écart entre le monstre et moi pour me reposer.
Je l'avais semer, mais je n'étais pas tiré d'affaire pour autant.

A SUIVRE...

plus personne

J'adore le style d'écriture

cool merci

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la meilleur fic de jeuxvideo.com et la
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-15-26342683-1-0-1-0-fic-les-messagers-de-la-mort.htm

Edward-Elric_
Posté le 12 février 2010 à 18:52:08
cool merci

merci d'avoir mi ma fic dans ta signature

Venez lire au moins une bonne fic.

thank you yankee, tes un potes

petit up avant de partir

Chapitre 10 : Revenons en à nos terroristes...

Je m'arretais derriere un grand arbre, reprenais mon souffle, et inspectais le matériel dérobé. La radio n'émettait plus que des grésillements. Il y avait une petite vice, je compris qu'il fallait la faire tourner pour la régler par rapport à notre position sur la carte, le champs émits par les tours électromagnétiques forme un quadrillage, chaque carré est numéroté, il faut tourner la vice jusqu'au bon numéro. Je regardais ma position sur le petit écran et la comparait avec la carte : j'étais plus proche des marais que je ne le pensée, mais maintenant que je pouvais me repérer, la prise des avants-postes devancées la recherche des décombres du VTC.

J'enfonçai un nouveau chargeurs dans mon fusil à pompe et le rangeais pour prendre mon fusil d'assaut g3-b. Puis, je me dirigeais vers le lieu ou se situait l'avant-poste sur la radio-GPS.
Je me rapprochais de la cible, j'arrivais près d'une petite route, toutes la végétation avait été coupé à cette endroit et des traces de pneus recouvrait ce sentier.
J'entendis un grondement sourd : un véhicule se rapprochait.
Je plongeais sur le coté pour arrivé dans un buisson.
Quelques secondes plus tards, un gros 4X4 de combat abritant trois soldats-terroristes passa sur la route, suivi de près par un camion et un autre 4X4. Le convoi se dirigeait vers l'avant-poste.
J'attendais qu'il se soit éloigné et reprennais la petite route.
La radio-GPS m'indiqua que je n'étais plus qu'a une trentaine de metres de la cible, je quittais la route et commençais donc l'approche furtive en rampant.
J'arrivais à l'orée du bois, je m'accrouppi et progressais doucement, je traversé un dernier buisson avant de pouvoir voir le ciel, le terrain était à ciel ouvert, on avait sans doute brulé la végétation pour y installer l'avant-poste, à ma grande surprise, j'étais arrivé sur une butte, à cinq mètres en surplomb de l'avant-poste.
L'avant-poste était divisée en quatres :
premièrement, quatre baraquements en bois, sans doute abritants dortoirs, armurerie, self et une salle de sport.
Deuxièmement : Un hangar, ou trois 4X4 et un camion reposaient.
Troisièmement : une petite cabine bordant la route avec une barrière qu'on peut abaisser pour laisser passer les véhicules.
Et quatrièmement : une terrasse bétonné.

Des soldats s'affairaient partout, six faisaient des pompes sur la terrasse bétonné, trois déchargeaient des caisses du camion jusqu'a une baraque, deux hommes, adossaient à la cabine discutaient en fumant, un soldats nettoyait un 4X4 et cinq sentinelles marchaient autour du camps. Mon zommshot m'indiqua que quatres terroristes se reposaient dans les baraques.
Vingt et un ennemis en tout.
Un jeu d'enfant...

A SUIVRE...

Vingt et un ennemis en tout.
Un jeu d'enfant...

MDR ce passage ! Sinon c'est bien

petit up du matin