Merci beaucoup d'avoir pris en compte de mon conseil je vais lire!
Ma futur fic s'apelleras "The Légend of the START"
Merci ^^
Ok, je note.
C'est une très bonne fic, bravo! Je ne m'attendait pas à sa, quand j'ai vue l'ancien pavé. C'est très bien raconter, préciser, c'est très bien! Malgré que pour l'instant on ne sache pas grand chose sur l'homme en question, c'est très bien
Sweet
Et juste pour dire, que c'est un très bon début car moi, perso j'ao totalement foiré mon début
Merci ^^ J'essaie de m'appliquer plus sur les détails, ce que j'avais essayé de faire, mais pas assez, sur mon essai ^^
Les infos viendront plus tard ^^ Le scénario va se mettre lentement en place
Je te conseille de faire aussi des essais, des récit courts, sans but précis ni scénario trop recherché, pour essayer d'entrainer ton écriture, trouver un style, etc ^^
C'est niquel quand c'est aéré
Sinon, j'attend impatiement l'action
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HannibalJR & Girlyplay
Héhé, pas tout de suite l'action ^^
Par contre, ptet la suite que demain, là j eteste Fallout 3, puis j'aurais encore quelques révisions ^^
Chapitre 2 :
"Comment s'est passée ta journée ? me demanda t'elle.
-Bah, classique... Trois autopsies, dont un mort par balles et deux strangulations... Tous les comtés du coin nous envoient les macchabées, je suis le seul légiste aux environs... Enfin ça me fait du boulot comme ça. D'ailleurs, j'arrive toujours pas à m'habituer à ce putain d'hôpital, c'est monstrueusement lugubre...
-On en a déjà discuté, si ça te plait vraiment pas, demande ta mute autre part...
-Non non, ça ira, je devrais m'y habituer quand même... Et toi, ta journée ?
-En somme toute classique, j'ai fais un peu le ménage, me suis occupé du jardin, et puis c'est tout.
-Tu t'ennuies pas ? Je sais pas comment tu fais..."
Nous finîmes de manger, et allumâmes la télé. C'était les infos. Le nombre de pauvres ne cessait d'augmenter, alors que la crise économique atteignait des plafonds... Une hécatombe avait eu lieu dans un petit village du Guatemala, causant 50 morts, et 27 blessés. Des renégats ont pris le village d'assaut, en faisant des prisonniers. Enfin, un fait étrange : cinq habitants d'une petite ville tout près de Hillsburg, Santiago, sont tombés dans le coma, sans raison apparente. Assez inhabituel, en effet. Enfin, les chaînes locales dramatisent toujours tout...
Le lendemain, je me levai assez tôt, pour vite expédier les éventuelles autopsies qui m'attendraient. Je suis plutôt du genre matinal, donc ça m'arrange. Dans la voiture, en écoutant la radio, j'appris que les cinq habitants de Santiago venaient de mourir, sans qu'aucune séquelle physique n'ai pu être observée. J'arrivais dans le parking, quand je reçus un appel. C'était le directeur de l'hôpital, qui m'informait que nous avions reçu les 5 cadavres de Santiago. Et que j'étais chargé de les autopsier, au moins trois dans la journée. J'avais bien fait de venir tôt...
Cool sweet
Up, j'écris la suite tout à l'heure
Les cinq cadavres étaient à la morgue, chacun sur un chariot, recouverts d'une housse bleu clair. Tous étaient numérotés. Je m'approchai du numéro 1, et ouvris entièrement la housse. C'était un homme, approchant la quarantaine. Morphologie commune, cheveux assez courts, hirsutes, légère barbe... Bref, rien de spécial, à part une blancheur de peau assez marquée. Aucune blessure sur l'abdomen, ni au niveau des bras ou jambes, à première vue. Je le retournai, pour examiner son dos. Il y avait deux protubérances légères au niveau des omoplates, mais a part ça, rien de spécial. Peut être un kyste. Je ne prolongeai pas l'examen, le remis sur le dos, et refermai la housse. Il était temps d'aller chercher mes "outils".
J'allai dans le bloc opératoire numéro deux, là où étaient rangés mes instruments. A cette heure, l'hôpital était encore quasiment vide, mis a part quelques internes qui passaient dans les couloirs, les yeux gonflés de sommeil. Je pris la sacoche que j'avais laissé là la veille, et vérifiait si tout y était. Un bruit de pas retentit, venant du couloir. Curieux, je jetais un coup d'œil. Personne. Je revins à ma sacoche, la mis sur mon épaule, et m'engageai dans le couloir menant à la morgue. J'entrai dans la salle, et m'arrêtai net. Les housses trainaient par terre, aux pieds des chariots... Désormais vides. Je me précipitai vers un des chariots, et m'aperçus qu'il était recouvert d'une sorte de substance visqueuse. D'un coup d'œil, je vis que c'était le cas pour les autres.
Chapitre 3 :
D'un coup, toutes les lumières s'éteignirent. A tâtons, je me dirigeais vers la porte menant au couloir, dans l'espoir que là, une lumière serait allumée. Que dalle. Je commençais à flipper un peu, tout ça me disait rien qui vaille... Qui serait assez fou pour venir voler des cadavres ? Un nécrophile ? Y aurait ce type de mecs dans ce bled paumé ? Improbable... Toujours à tâtons, j'avançai vers ce qui me semblait être le bout du couloir. Soudain, à ma gauche, j'aperçus une faible lueur verte : celle de l'affiche "sortie de secours". Je me dirigeais vers celle ci, lorsqu'une ombre passa devant. J'entendis ensuite le bruit d'une porte qui s'ouvre, puis de pas dévalant les escaliers.
Je me précipitai vers la porte, que j'apercevais faiblement, et l'ouvrit d'un coup d'épaule. Je voulus m'arrêter, mais mes pieds glissèrent sur une surface glissante. Pendant une fraction de seconde, je pris conscience de mon erreur. Puis plus rien.
Lorsque je me réveillai, la première chose que je sentis fut... ma tête. Une douleur sourde et lancinante parcourait l'arrière de mon crâne, et descendait le long de mon cou. Je me relevai douloureusement, et posai la main contre ma nuque : elle était humide. Du sang, à en juger par l'odeur. L'obscurité était toujours omniprésente, mais je n'avais plus qu'à descendre les escaliers, et à longer le couloir jusqu'à la sortie. J'avançai lentement et précautionneusement. Le sol était glissant, comme recouvert d'un liquide visqueux.
Dans le couloir, toujours aucune lumière. Je m'efforçais de ne me concentrer que sur mes pas, mais ce n'était pas évident. Je ne pouvais m'empêcher de réfléchir à ce qui se passait. Panne de courant ? Mais pourquoi les corps avaient ils disparu ? Le mystère restait entier... Je me demandais combien de temps j'étais resté inconscient. Quelques minutes ? Heures ? Et où était passé tout le personnel de l'hôpital ? J'entendais personne.
"Il y a quelqu'un ?" hurlai-je. Pas de réponse. Un bruit de cavalcade me parvint de l'étage. Puis plus rien.
J'aime pas du tout le passé antérieur du 2eme chapitre
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HannibalJR & Girlyplay
Hum ? Où ca ? En principe, je met que du passé simple lors de la narration et de l'imparfait lors des descriptions (et un peu de présent pour rendre le texte vivant parfois)
Suite
J'aime beacoup
Bonne continuation
Merci ^^ Je posterais la suite bientot, j'ai déjà un paragraphe sur trois d'écrit, pour la fin du 3eme chapitre.
Désolé, finalement je ne l'ai pas postée.
De plus en plus inquiet, j'accélérais le pas. Je sentis sous mes mains les contours du bureau ornant l'entrée. A ma gauche, une vague lueur opalescente passait par la porte principale. Je sortis. Il faisait complètement nuit. J'étais donc resté inconscient presque vingt heures ?? Toutes les voitures étaient encore sur le parking, d'après ce que je pouvais discerner. Je me dirigeai vers la mienne, et rentrai dedans.
Décidément, on y voyait que dalle. D'après l'heure, sur le tableau de bord, il était une heure du matin. La lune était complètement masquée par les nuages, aucun lampadaire n'était allumé. Je démarrai ma voiture, allumait mes phares, et m'engageai sur l'avenue. Aucune lumière ne provenait des fenêtre des maisons. "Normal", me dis-je, "à une heure du mat, dans un bled paumé comme ça, tout le monde dors..." Mais quelque chose me titillait. Surement tout ce qui était arrivé jusqu'ici, rien n'était explicable. Même une panne de courant, pour l'absence de lumière, ne me semblait pas crédible. L'air était lourd.
Soudain, un doute me vint à l'esprit. Si j'avais été inconscient jusqu'à cette heure, Carla ne s'était elle pas inquiétée de mon absence ? En principe je rentre vers vingt heure, là j'ai cinq heures de retard... La connaissant, elle serait passée à l'hôpital pour me dire de rentrer, ou aurait au moins appellé... C'était absolument incompréhensible. Je me garai devant la maison, pris mes clefs, ouvris la porte et rentrai.
Bon, la fic risque de pas avancer pendant un petit moment, la semaine prochaine, c'est exams blancs, donc là je révise pas mal ^^
Je ne savais pas que tu avais posté ta deuxième fic !