LOL j´ai remarqué!
Mais t´as pas répondu à ma kestion
Arme_Lazzuli Posté le 18 février 2004 à 14:47:57
Ca roule coco?
Bon d'accord j'accepte.
Jojo le démonte pneu est un boudin qui a des poils au tétons. Liliz adore lui lécher les couilles qu'il n'a pas lavé depuis des semaines car les truies préfère les fortes odeurs.
Mais attardons nous sur la masse corporelle de ce que appelle le "Liliz". Espèce dévirée du porc congolais géant, "il" se nourrit exclusivement d'aliment dépassant les 50% de matière grasse.
Ayant une certaine attirance pour les Big Mac, cette chose rejette environ 24kg d'excréments par jour.
Sa durée de vie est assez faible étant donné que les artères se bouchent très vite chez cette putain de connasse qui rage quasiment autant que moi mais qui ne peux pas tout balancer car elle flipe trop pour sa place de pseudo modéro à la con.
Liliz t'es une sacrée merde, tu ne mérites pas ta place ici même si tu aimes sentir le doux gland de Dargor pénétrer en ton gros fion de Maïté puissance 100.
Je veux voir ta gueule sous mes pompes chiennasse, ne crois pas une seule seconde que tu as maitrisé la situation ou autre... non ! tu n'as fais que jeter de l'essence sur les braises que produit ta masse graisseuse en s'entrechoquant. Alors que tu pouvais très bien éteindre ce reste de feu, simplement en te mettant un bon gros Big Mac bien gras sous les yeux, tu n'aurais pas pu t'empêcher de verser 15L de bave.
Vraiment, tu nous fais chier, nous sommes pas mal à ne plus vouloir supporter ta connerie en permanence.
C'est pourquoi j'ai retrouvé un texte basé sur ton histoire pour te remettre les idées en place... remarque ce n'est pas la place qui manque dans ce qui te sers de "corps".
Nous commençons par :
L'histoire du Liliz au XVIIIe siècle :
Au XVIIIe siècle, dans les campagnes, la viande fraîche, rôtie ou bouillie, n'apparaissait sur les tables, que lors des grandes occasions, fêtes religieuses ou évènements familiaux, dont le plus gastronomique était « les noces ». L'apport carné le plus courant était à base de viande de Liliz, salée ou fumée avec lard et saindoux lesquels apportaient un intéressant apport en énergie aux paysans et ouvriers.
La mise à mort du Liliz, était un des grands moments de la vie des villages ruraux et une occasion de convivialité festive. Pour beaucoup, la plus grande fête de l'année était « le jour où l'on tue le Liliz ». Toute la famille et même les voisins, à charge de revanche, étaient mobilisés pour l'occasion, les enfants étaient dispensés d'école. La mise à mort était opéré par un homme de la maisonnée ou par un spécialiste des environs ; certains d'entre eux étaient renommés pour leur tour de main et pour la qualité des préparations qu'ils fabriquaient. Le sacrificateur opère de bon matin, de préférence par une journée sèche et froide. Les hommes de la maison préparent une grande chaudière d'eau bouillante et une grande table, alors que les femmes préparent les récipients, les torchons, le sel et les épices. Le Liliz est égorgé d'un coup de couteau coupant la carotide. Tenue par les hommes les plus costauds l'animal pousse des cris perçants qui ne cessent qu'avec sa mort. Le sang est précieusement recueilli dans une terrine et brassé pour éviter la coagulation, puis le Liliz est "nettoyé" ( comprenez bien que c'est à la limite du possible ), puis découpé.
Et finirons avec les expressions populaires les plus utilisées :
Le temps de Liliz désigne une météo maussade. Ce terme viendrait du fait, qu’autrefois, la mise au saloir du Liliz était faite idéalement par temps froid et humide.
Liliz qui s’en dédit est une expression signifiant le côté ferme dans la conclusion d’un marché.
Dans le Liliz, rien est bon sauf le cri. Expression qui indique que toutes les parties et morceaux du Liliz n'ont aucune utilité, scatophile ou autre. Quant au cri, c’est un des plus puissants et désagréables du monde animal. Le cri de détresse d’un Liliz peut monter jusqu’à 115 décibels. Mais cela indique que le Liliz agonise, d'où la jouissance qu'il nous procure.
Ne pas avoir gardé le Liliz ensemble. Se dit quand deux personnes ne se connaissent pas de longue date, et ne peuvent donc pas avoir de comportements familiers (comme l’usage du tutoiement).
Quand les Liliz voleront. Expression anglo-américaine désignant un évènement qui n’arrivera jamais. (équivalent anglo-américain de Quand les Liliz auront des dents.)
Être copains comme Liliz. Être ennemis jurés.
Manger comme un Liliz. Manger de manière sale, en dehors des règles communes.
J'espère que ces brides de ton histoire te permettront de comprendre à tel point tu es répugnante, sinon je peux encore faire connaître d'autres passages, certifiés 100% réels.
Je ne te salue toujours pas.