Merci du com dbz-ficeur. Bah, si je trouve le temps entre deux devoirs, je te ferai pas part de mon opinion de ficeur averti (chaud le vantard )

La suite, très prochainement. C'est bon, les gars. Je reviens aux affaires. Pas question de laisser cette fic couler.

Vous pensez avoir déjà tout lu... Vous n'êtes pas au bout de vos surprises.
Le final de cet Oav arrive bientôt, sur T3.

TO BE CONTINUED...

DRAGON BALL NEXT GENERATION
OAV: A LA CROISEE DES CHEMINS
CHAPITRE 5 : HEROS, ZEROS ET CRIMINELS

Des fois, je me demande si tout est encore absolu. S’il y a toujours le juste et le mauvais ; le bien et le mal ; la vérité et les mensonges. Si tout est négociable, si tout peut prêter à interprétation. Si tout est gris…
Des fois, je me demande si la frontière entre héros et démons est aussi éloignée qu’on le pense. Si les bons peuvent devenir mauvais, et vice-versa.
Si tel était le cas, qu’adviendrait-il ? Qu’adviendrait si ce que l’on pensait être bien devenait mal, et inversement ? Qu’adviendrait-il si le plus grand des héros devenait plus le grand des criminels. Et qu’adviendrait-il si ce héros, c’était vous…

**

La scène se passait près d'une petite ferme et d'une petite forêt. Dans une des régions les plus désertiques de la région de l’est, un petit point se démarquait dans le ciel. Il grossissait, s'approchait du sol à une vitesse folle. Il s’agissait d’un vaisseau d'une cinquantaine de mètres cube, suivi d'une queue de feu ciel et blanche. Soudainement, il s'écrasa sur le sol avec un grand fracas, créant un cratère d'une grandeur considérable. Quelques secondes passèrent, et une porte s'ouvrit. Six individus se faufilèrent à travers elle, et posèrent pied sur la colline la plus proche. Alignés les uns à côtés des autres, ils virent l’un d’entre eux avancer, et se positionner face à eux.

- Nous voici sur Terre, déclara t-il, en réajustant ses lunettes de soleil noires.
- Quelle est la mission ?
- Nous devons convaincre les élus de coopérer avec nous.
- Et s’ils refusent ? interrogea l’une des trois femmes du groupe, perplexe. Que ferons-nous ?
- Tuez-les… jusqu’au dernier. A présent, cap sur la maison de Son Gohan et de Videl.

A ne pas douter, lecteurs, les ennuis ne faisaient que se poursuivre pour nos héros. Il n’ignorait pas à quel point…

**

Entre-temps, Gohan et les « deux » Trunks étaient réunis chez Videl autour d’un petit encas, pour la deuxième fois en à peine quelques heures. Oui, chers lecteurs, les Saiyajins et leurs descendants n’avaient pas leur équivalent en matière de nourriture.

A présent, Chibi Trunks était vautré, à plat ventre sur le divan, tandis que les trois autres protagonistes, nostalgiques, se remémoraient le bon vieux temps, et se moquaient des frasques de Goten. Un temps où le demi saiyan connaissait encore la signification du mot « plaisir ». Un temps où il était encore allègre, rieur. Un temps qui semblait si lointain, pensa Gohan, mélancolique.

- Alors, Videl, reprit Chibi Trunks d’un ton brusque, qui dirige l’entreprise familiale ? Et comment maman a-t-elle vécu notre départ ?
- Bah, difficilement comme tu peux l’imaginer, répondit-elle, l’air désappointée. Elle a quand même perdu son mari, ses fils et ses meilleurs amis. Heureusement que Bra, Pan et moi sommes là pour l’aider à tenir le coup. Dans le contraire, je ne sais pas ce qui serait arrivé. Et pour ton information, ta mère continue toujours de diriger la Capsule Corporation. Cela lui permet d’oublier sa douleur et sa solitude.
- Ah, elle s’en remettra. Elle est forte, et puis connaissant Bra, elle doit lui donner beaucoup de fil à retordre, déclara Chibi Trunks entre deux bouchées de pop-corn.
- Au lieu de glander inutilement, pourquoi ne pas débarrasser la table ? lança Gohan, l’air narquois. Au fait, Videl, tu ne m’as toujours pas présenté la fille que tu as adoptée ! Franchement, tu aurais quand même pu m’en parler. Tu ne crois pas !?
- Premièrement, elle s’appelle Iria. Ensuite, à ma connaissance, il n’y pas le téléphone dans l’Autre Monde, répliqua t-elle, un brin amère.
- Videl...
- Cette fille a perdu toute sa famille, et puis, c’était une des amies d’enfance de Pan. Tu comprends donc qu’il soit normal que je décide de l’adopter.
- Oui, mais…

Gohan croisa le regard noir de Videl. Un regard qu’il avait, à maintes reprises, vu chez sa mère, et qui n’annonçait en aucun cas de bons présages. On avait beau avoir vaincu le Chaos, on ne plaisantait pas avec son épouse, surtout quand celle-ci était en colère. Cette idée était d’autant plus vraie que fils le Chichi tenait à sa nuit d’amour, et ne désirait pas la gâcher pour une stupide question d’orgueil. Il se contenta ainsi de sourire, et demanda :

- Vous savez ce que Goten fabrique ?! Il devrait ici depuis longtemps déjà ?!
- Sans doute en train de vagabonder ici et là, rétorqua Chibi Trunks. Et dire qu’il ne m’a même pas emmené avec lui. Quel lâche !

Les conversations se poursuivirent, et tous les protagonistes commencèrent alors à plaisanter à tue-tête, sachant pertinemment qu’ils ne partageraient plus pareils moments avant quelques mois, des années tout au plus. Malgré tout, la bonne humeur semblait être de mise pour nos héros.
Tous hormis pour Miraï Trunks. Ce dernier était peu loquace, et paraissait à la fois tendu et détaché. De toute évidence, il était préoccupé. « Ah, c’était bien le fils de Végéta », pensa Gohan. C’est alors que tout à coup, il le vit froncer les sourcils, et une sueur perler sur sa tempe.

- Quelqu’un approche, affirma t-il d’une voix mal assurée.
- Qui donc ?!

L’ancien bourreau de Frieza s’apprêta à répondre lorsqu’on frappa à la porte. Les élus s’observèrent alors, le teint pâle, plusieurs sueurs froides ruisselant sur leurs tempes. Cependant, Videl ne paraissait pas partager leur anxiété. Par conséquent, elle se leva, et se dirigea d’un pas sur, vers la porte d’entrée.

- N’avance pas ! cria Miraï Trunks.
- Mais enfin, Trunks ! Qu’est-ce qui te prends, voyons ?
- J’ai un mauvais pressentiment, répondit l’intéressé, l’air troublé.
- Il a raison, acquiesça l’autre Trunks en se redressant sur le canapé.
- Mais c’est que vous devenez paranos, ma parole ! Vous pensez vraiment que le Mal viendrait frapper à notre porte s’il voulait nous tuer. Arrêtez donc !

Puis, brusquement, on refrappa de nouveau ; cette fois-ci de manière beaucoup plus vigoureuse. Néanmoins, il en fallait plus pour effrayer la fille du grand Hercule Satan. Elle se rapprocha à nouveau de la porte et s’apprêta à poser sa main sur la poignée lorsque tout à coup, un jet de lumière vert traversa la porte, et convergea vers elle. Videl sembla se figer sur place, et regarda, les yeux hagards, le rayon se diriger vers elle, prêt à lui perforer l’estomac quand soudain, l’image de Goten se matérialisa devant elle, et il la déporta de côté d’un coup d’épaule. Elle retomba au sol, et dans son élan, emporta son beau-frère avec elle.
Ils se retrouvèrent ainsi, allongés au sol, l’un contre l’autre, dans une position assez cocasse : Goten était sur Videl, le nez sur son profond décolleté, les mains de part et d’autre de ses hanches. Quant à la terrienne, elle avait une main sur le postérieur de l’élu, qui éclata de rire.

- Eh Videl, j’ai toujours su que tu étais folle de moi, mais pas à ce point ! s’exclama t-il, complètement hilare.
- Content de te revoir, se contenta t-elle de balbutier, embarrassée.
- Moi aussi.

Il l’embrassa tendrement sur la joue, l’aida à se relever, et tendit une main en direction de Gohan comme pour s’excuser. Néanmoins, celui-ci ne lui prêta pas la moindre attention. Il était trop occupé à examiner la force de ceux qui se tenaient derrière la porte. Il jeta alors un bref coup d’œil à Miraï Trunks, et le vit s’avancer, et ouvrir de volée la porte d’entrée. Six individus – trois hommes et trois femmes - se présentèrent face à eux. L’un d’entre eux, fit un pas en avant, et déclara :

- Messieurs Brief et Son, vous êtes en état d’arrestation. Vous êtes jugés coupable de crimes contre l’Humanité et de non-assistance à personnes en danger. Vous avez le droit de garder le silence. Toute réclamation sera portée contre vous.
- Et au nom de quoi venez-vous nous arrêter ? interrogea Miraï Trunks d’un ton abrupt.
- Au nom de la paix. Nous sommes les Défenseurs de la Paix.

**

Vous êtes en état d’arrestation ». Ces mots retentirent dans la tête de Miraï Trunks comme une roue immense, avec un bruit assourdissant. Au premier abord, il crût être victime de l’une de ces blagues, qui après coup, vous procure un immense soulagement. Cependant, à en juger par l’expression sérieuse de ses six nouveaux interlocuteurs, le temps des plaisanteries semblait être révolu.

- Vous plaisantez ?! lança t-il d’une voix qui cachait mal son angoisse. Nous sommes les dernières personnes à pouvoir être accusées de crime contre l’Humanité, enfin ? Vous devez faire erreur !
- D’abord, permettez-moi de me présenter : je m’appelle Astana, premier Défenseur de la Paix. Ensuite, je suis dans le regret de vous êtes bel et bien en état d’arrestation, et vous avez le droit de garder le silence. Toute résistance pourrait être retenue contre vous.
- Mais qu’avons-nous fait ? interrogea Miraï Trunks, l’air outré de s’entendre ainsi traité de criminels.
- Eh bien, pour répondre à ta question, cher saiyajin, vous êtes condamnés pour avoir tué le Chaos.
- Quoi ? Redites-moi ça que je vois casse la gueule ! protesta vigoureusement Goten.
- Excusez-le, reprit Chibi Trunks, confus. Mais qu’est-ce que vous auriez voulu que nous fassions ? Que nous laissions le Chaos en vie pour qu’il continue de tuer.
- Evidemment que non ! gronda Astana, qui semblait perdre son calme. Nous aurions voulu que vous enfermiez le Chaos dans la Dead Zone comme Gohan, Piccolo et Krillin le firent autrefois lorsqu’ils vainquirent Garlic.
- Et pourquoi donc ? lança Goten.
- Afin que le Mal ne soit pas éradiqué, et qu’ainsi le Bien subsiste, répondit Gohan d’un ton brusque. En d’autres termes, poursuivit-il en observant l’air de confusion qu’affichait le visage de son frère, ils nous reprochent d’avoir tué le Chaos car ce faisant, le Mal a disparu, et le Bien également, par conséquent.
- Oui, acquiesça Astana. Et maintenant, par votre faute, l’Equilibre des forces est inversé, et rompu. Le Bien et le Mal tels que nous les connaissons n’existent plus. A présent, le monde est menacé d’anarchie. Des gens vont mourir par votre ignorance. Plus encore, le Bien va devenir Mal, et vice-versa.
- Je n’ai jamais entendu les mots Bien et Mal employés autant de fois dans une phrase, ironisa Chibi Trunks, mais passons. Que devons-nous faire pour que cela change ?
- Ce n’est plus de votre ressort, répondit l’une des trois femmes du groupe d’un ton acerbe. Dorénavant, nous prenons les choses en main !
- Je pense que vous auriez besoin de notre aide, suggéra Goten.
- Désolé, mais nous travaillons avec des professionnels. Or, je crains que cela ne soit votre cas, dit Astana. L’un d’entre vous a-t-il cherché à analyser le monde dans sa totalité ? L’un d’entre vous sait-il par exemple que des guerres civiles sont sur le point d’éclater, des maladies meurtrières de s’étendre à la surface de l’Univers, d’étranges phénomènes d’apparaître ? L’un d’entre vous, a-t-il, ne serait-ce que lever les yeux au ciel pour s’apercevoir que le ciel de votre planète se fissurait ?! Non ! Vous êtes bien trop occupés à vous la couler douce.
- Si tu continues, enfoiré, c’est du sang qui risque de couler sur ton visage, répliqua Son Goten d’un ton amer.
- Vu la sentence que tu risques, petit bouseux, tu aurais tout intérêt à la mettre en sourdine.
- Comment ça ?
- Il s’avère que messieurs Son Gohan, Chibi Trunks et Son Goku sont condamnés à un exil qui prend effet immédiatement. Quant à messieurs Végéta, son deuxième fils et Son Goten, figurez-vous que la cour a décidé de vous condamner à cinq jours de torture quotidienne…et ce jusqu’à ce que mort s’en suive. Bien sur, comme la cour savait que vous vous montrerez très peu coopératifs, elle a décrété que vous pourriez en échange de votre liberté… choisir deux de vos proches, et les pendre par vous-mêmes. Rien de bien méchant !
- Enfoiré ! Vous ne perdez rien pour attendre ! rugit Chibi Trunks.
- Du calme, dit alors Gohan à l’adresse des ses deux cadets. Qu’est-ce qu’on fait ? questionna t-il à mi-voix.
- Comment ça ? Tu ne crois peut-être pas qu’on va accepter ? vociféra Goten, l’air stupéfait.
- Je ne sais pas, Goten. Je dis juste que nous devrions peut-être attendre le retour de nos pères.
- Mauvaise idée, coupa Astana. Il faut vous faut vous décider dès à présent. Ecoutez, c’est difficile à croire, mais nous ne voulons pas qu’il y ait de blessés. Ce serait par exemple dommage que Videl meure précipitamment, n’est-ce pas Son Gohan ?! Ou que nous laissions la Terre mourir à petit feu pour vous punir.

Miraï Trunks s’apprêta à les injurier lorsque soudain, une secousse ébranla la Terre. Elle fut certes brève mais, pour le fils de Végéta, cela n’annonçait en aucun de bons présages. Ce mauvais pressentiment était partagé par ses trois autres partenaires, qui s’observèrent les uns les autres avec la même expression d’anxiété. Leur visage prit alors un teint pâle lorsqu’ils détectèrent trois arrivants, à la force malsaine se diriger vers le building de la Capsule Corporation. Or, jusqu’à preuve du contraire, Bulma se trouvait toujours dans son domicile. Par conséquent, quiconque aurait pu deviner qu’elle se retrouvait désormais à la merci des trois nouveaux individus.

A cette pensée, Miraï Trunks jeta un bref coup d’œil à Gohan. Ce dernier n’eut pas besoin de plus amples informations pour supposer que son ami allait se téléporter auprès de sa mère. C’est alors que l’un des Gardiens de la Paix le lui défendit formellement.

- Je serais toi, je ne ferais pas cela ! protesta t-il, l’air détaché.
- Quoi ? s’étonna Trunks, tout étonné de voir son plan éclater au grand jour.
- Tu n’as pas intérêt à nous faire bond, rétorqua la fille aux lunettes d’un ton glacial. Au quel cas, nous n‘aurons d’autres choix que de nous en prendre à ta petite sœur, Bra. D’après mes données, elle se trouve dans les environs de la région du Nord. Il serait dommage qu’elle meurt prématurément ; tu n’es pas d’accord avec moi ?!
- Lâches ! rugit Goten. Vous vous prétendez être pour la paix, mais vous faîtes tout pour chercher le conflit !
- Je te l’ai dit, Goten. Nous ne faisons que suivre les ordres qui nous ont été donnés. N’y vois par un quelconque règlement de compte. Du moins, pas en ce qui me concerne, affirma Astana d’un ton beaucoup plus calme. Cependant, la sentence est irrévocable, et vous devez vous y conformer.
- Ça suffit. Laissez-moi vous poser une question, bande de guignols, annonça Chibi Trunks, excédé par ces provocations puériles. Que se passera t-il si on refuse la sentence ?
- Nous n’aurons d’autre choix que de nous affronter.
- Ça me va, rétorqua le complice de Son Goten d’un ton sec. Tu marches avec moi ? fit-il à l’adresse de son cadet.
- Tu peux compter sur moi, déclara l’intéressé.
- Entendu, reprit l’un des Gardiens de la Paix. Dans ce cas, je suggère que nous allions nous battre dans un endroit beaucoup plus désert. Qu’en dîtes vous ?

Les élus acquiescèrent, et les dix protagonistes s’envolèrent, à la recherche d’un endroit qui leur permettrait de combattre sans mettre en danger la vie de parfaits innoncents.

**

Au même moment, sur la Planète Végéta, un homme demeurait allongé face contre terre, son armure en lambeaux, le corps meurtri, le visage boursouflé, la jambe gauche totalement désarticulée, plusieurs os fracturés, un flot de sang ruisselant sur son visage. Comme tous les après-midi, il avait été torturé par son agresseur.

- Alors, Végéta, comment va ta jambe ? interrogea ce dernier, l’air moqueur.
- Va au diable, Neki.
- Au diable ?! C’est toi qui vas y aller, si tu continues. Mais ne t’inquiète pas, ton fils, le Roi Végéta te rejoindra.
- Tu penses vraiment faire le poids avec lui, balbutia l’autre. Regarde-toi, tu es un minable !
- C’est très aimable de ta part de te soucier de moi. Mais, ne t’en fais pas. Si je ne peux pas atteindre directement ton fils, je m’en prendrais alors à ce quoi il tient le plus : sa famille et sa fierté. Le jour de ma vengeance approche, Végéta, et plus vite que tu ne le croies…

**

Le temps fait oublier les douleurs, éteint les vengeances, apaise la colère et étouffe la haine. Excepté qu’on est un Saiyajin. Au quel cas, le temps est semblable à un tonique : il fait vivre et inspire la vengeance. Mais une de plus, ce n’est plus de mon ressort… Les choses m'échappent de plus en plus. Et malheureusement, je crains que ce ne soit que le début...

Quel succès

Master De très bons chapitres

Mais le Forum est un peu mort alors... Enfin mort.. Les Lecteurs nous manquent quoi

Ces chapitres sont superbes... Toutes mes félicitations!!!
Je suis toujours à l'a^ffût derrière mon PC attendant un nouveau chapitre. Vivement le prochain!!!

Allez la suite

La suite, c'est tout à l'heure, aux environs de 19h ou 20h.

Désolé de mettre autant de temps à poster. Le hic, c'est que j'essaie de limiter les nombres de blocs par page. Mais, vu la vitesse à laquelle on change de page, c'est pas facile.

Bref, tout à l'heure, chapitre 6: "De la lumière à l'ombre".

Très bon chapitre. Bien écrit et sans temps morts. Le seul défaut je dirais est qu'on en demande encore, un rythme soutenu comme ça il faut pouvoir le suivre ;)

A ce que je vois, y a du nouveau. Cet OAV s'annonce prometteur. Mais, j'ai du mal à croire que les élus vont être en difficulté. Je veux dire, ils ont vaincu le Chaos. Ils n'ont plus rien à craindre, désormais. Alors, les voir peiner contre les Défenseurs de la Paix m'étonnerait.

En tout cas, c'est vrai qu'il y a pas de temps mort. Depuis quelques chapitres, il n'y a pas de temps mort. Ca change des premiers chapitres où tu avais un peu trop tendance à gérer.

Bref, tout ça pour dire que c'est toujours ausi bien. Tu t'améliores dans ton écriture etc... Le scénario est intéressant, et intriguant. Je me demande ce qui va se passer.

Mon Dieu je n'ai pas terminé de lire cette fiction, mais dès que je retrouve du temps, je fonce la dévorer. ^^

Encore bravo Master parce que franchement t'es surement le meilleur écrivain des fictions Dbz à l'heure actuelle. =p

Petit spoilers.

**

Nous sommes en 793.
Seuls contre tous, les élus allaient livrer leur dernier combat. Hier héros. Aujourd’hui, zéros. Une chasse à l’homme allait s’organiser. Et une fois des pas coutumes, ce ne sont nos amis qui sont directement visés…

**

Nous sommes dans l’Autre Monde, aux environs du poste garde-frontière. Comme à l’accoutumée, Enma guidait les âmes mourantes au Paradis ou en Enfer selon leurs actions, du temps de leur vivant. C’est alors qu’une créature fit irruption dans le bureau. A son entrée, les assistants d’Enma Daïoh furent dans tous leurs états. A en juger par leurs airs effarés, on aurait dit que le Chaos venait de réapparaître. Face à la peur panique qui agitait ses officiers, le Gardien leur demanda de quitter les lieux et d’emporter avec elles les âmes expirantes. Ces derniers ne se firent pas prier, et se hâtèrent de sortir.

- C’est la dernière fois que tu viens ici, sans prévenir ! Te rends-tu compte des problèmes qui seront miens si le Créateur ou Shibito venaient à te trouver ici ? interrogea Enma, hors de lui.
- Je suis désolé, dit l’étranger. Mais le temps presse ! Je t’avais fixé un délai de réflexion, et il est dépassé depuis maintenant deux jours. Or, tu n'as jamais osé te manifester!
- C’est vrai, mais ce n’est pas une décision que l’on prend à l’aveuglette, enfin ?!
- Rassure-toi, je vais t’empêcher de te mouiller. Les élus doivent mourir, aujourd’hui. Point final ! Il nous faut juste ton approbation !
- Quoi ? Quand as-tu décrété cela ?
- Hier. Je suis désolé, mais nous n’avons pas le choix. Alors, est-ce que tu marches avec nous ?
- Et si je refuse ?
- Je crains qu’un millénaire ne soit pas suffisant pour réparer le carange qui a lieu sur l’Univers, Enma.
- C’est ce qu’on disait déjà avec le Chaos. Tu te souviens ?! Bon, poursuivit l’entité divine en voyant que son interlocuteur n’était pas disposé à polémiquer, puisque c’est que vous avez décidé, faîtes-le. Faîtes-le rapidement et proprement.

**

Sur Terre, Dendé était inquiet comme rarement. Cela faisait maintenant deux heures qu’il cherchait Popo dans le Palais Céleste. Sans réussite. Mais où diable avait-il pu aller ? se demandait-il. Il émergeait enfin du sanctuaire lorsqu’il fut brutalement projeté au sol. Il leva les yeux au ciel, et vit trois individus, vêtus d’une large cape et d’une cagoule blanche, qui dissimulait leur visage.

- Jusqu’à présent, tu as toujours été épargné par les conflits, Dendé, fit remarquer l’un des assaillants. A présent, il est temps pour toi de livrer bataille.
- Mais qu’est-ce que vous racontez ? Et qui êtes-vous ?! J’espère que tu nous opposeras une meilleure résistance. Dans le cas contraire, tu finiras comme Popo…démembré.

**

Quelque part dans l’Univers, quatre hommes se précipitaient pour rejoindre leur vaisseau spatial. C’est alors qu’ils rencontrèrent un enfant, amputé d’une jambe, agonisant au sol, qui les interpella de lui venir au secours. Une fois des pas coutumes, ni Gohan et Goten, ni Chibi Trunks ou Uubu daignèrent s’en occuper. Il fallait dire que la situation était dangereuse….

- Dépêchez-vous ! cria Gohan. La planète va bientôt exploser.
- Mais on ne peut pas laisser ainsi, rétorqua Miraï Trunks, l’air outré.
- Je suis désolé, Trunks, mais on n’a pas le choix ! On ne peut pas sauver tout le monde ! s’écria Goten. Viens !

Il n’en fit rien. Trunks fit le chemin inverse tandis que ses coéquipiers s’étaient déjà engouffrés dans leur engin, et qu’ils avaient déjà enclenché la procédure de décollage.

- Dépêche-toi, Trunks ! gronda Uubu, alarmé.

L’intéressé était partagé entre deux eaux.
Son côté terrien l’incitait à venir en aide à la victime. En revanche, son côté saiyan l’en défendait cordialement. On ne s’attarde jamais sur les faibles, entendait-il prononcer dans son esprit. Pour l’une des toutes premières fois, il n’écouta ni la voix de son cœur. Ni celle de sa raison. Pourquoi choisir ? murmura t-il.
Il fixa le souffre-douleur, sourit, tendit son index, et de celui-ci jaillit un rayon d’énergie qui sectionna la seule et unique jambe de l’invalide. Celui-ci hurla à la mort, mais ses complaintes furent couvertes par les éclats de rire de l’ancien subordonné du Chaos.

**

Sur la Planète Fantôme, l’état d’urgence avait été déclaré. Les cinq défenseurs de la Paix et leur supérieure, Délia, conversaient vigoureusement. L’objet de la joute verbale : les élus. Une fois de plus.

- Vous ne le savez pas encore, mais les élus sont dangereux pour l’équilibre de l’Univers.
- Et pourquoi donc, Délia ? demanda Josenda.
- Parce que ce sont des bombes à retardement, et que tôt ou tard, ils ne vont pas tarder à exploser!
- Tu es sure qu’on pourra les arrêter, Délia ? demanda Adena, la mine sombre. Je veux dire, jusqu’à présent, personne n’a réussi à les arrêter.
- Mais, moi je peux, répondit Délia.

A travers le temps et l’espace, une même phrase se fit entendre.
Dans l’Autre Monde. Dans l’Univers.
Humains, dieux, dragons. Ils avaient tous la même phrase aux lèvres. « Mais, moi je peux !».

**

Le combat a toujours eu une signification différente suivant les gens, les peuples, expliqua le Grand Créateur à Shibito. Qu’il eusse s’agi de rivalité amicale ou d'un combat sans merci, le résultat a toujours été le même : il y a eu des vainqueurs et des perdants… mais avec la mort de l’Empereur du Mal, rien ne dit que vainqueur il y aura, désormais.

Il ne croyait pas si bien dire.

**

TO BE CONTINUED...

master j'ai lu ttes ta fic elle est excellente, j'écrit moi-même une fiction et je peux te dire que je me dit elle est nul ma fic
quelle imagination excellent vraiment bonne continuation

super le chapitre sauf la fin goku qui se rend humhum ca sent la tactique a goku