Nan mais sérieux, parole d'honneur !
PS : Tu parlais de quel post ??
Envoie le lien
T'as pas répondu à ma question, qu'est-ce qu'elle est devenu ton ancienne fic ?
Cirra, comme tu devrais le savoir, j'écris sur DSi donc 1possible
The_Hunter- : j'avais plus de pompe pour gonfler mes flotteurs , alors ça à coulé
Proposez des perso's
Ne postez pas d'insultes, évitez les majuscules, faites une recherche avant de poster pour voir si la question n'a pas déjà été posée...
Tout message d'incitation au piratage est strictement interdit et sera puni d'un bannissement.
Caronis,sur le forum de MH4,a posté des statistiques sur plusieurs trucs et les émotes" "sont en tete,on se demande d'où ça vient
Et ouais
Tu raj' ?
Pas bien
Moi j'suis 26 ème
Ne postez pas d'insultes, évitez les majuscules, faites une recherche avant de poster pour voir si la question n'a pas déjà été posée...
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Suite cet après-midi
J'écris la suite
et moi je joue a flyff
++++++++++++++++++
cool ma life hein?
Chapitre 2 : Fugue interdite
Après cette chasse qui n’aurait du avoir lieu, nous rentrâmes paisiblement vers la ville enneigée. Mais, au moment ou nous arrivâmes devant les hautes portes de la cité, Ridenos nous arrêta.
« -Maintenant, tu es traqué, pas question de rentrer. J’ai demandé à un ami de confiance de transporter nos armes et armures à une ville voisine.
-Mais, n’oublie pas que mon vestiaire est super encombré, pas moyen de se balader tout ça seul, encore moins sans attirer l’attention …
-Cet ami, reprit Ridenos, possède un brancard et un Popo assez costaud. Il a vite fait vidé le vestiaire avec quelques amis et a chargé tout sur le brancard. Ils doivent être arrivés. Bon, on va vers le nord, il y a la ville dont je t’ai parlé.
-Ce ne serait pas Kristolas ? Questionna Digera. C’est ma ville natale …
-Oui c’est ça, à une heure de marche tout au plus.
En effet, après une demi-heure de marche dans la neige blanche et claire, nous arrivâmes devant de grandes murailles en pierres noires. Des hommes, armés de puissantes Fusarbalètes, patrouillaient derrière les créneaux pointus. Nous marchâmes droit devant les portes en chêne verni. Digera , qui connaissait cette ville, frappa quatre coups dans un ordre spéciale , tout à gauche de la porte. Une fenêtre coulissante s’ouvrit et un casque d’homme demanda : Qu’est ce qui vous amène ici ?
-Nous cherchons l’hospitalité, nous sommes des chasseurs en voyage.
-Ca va, passez.
Les énormes portes tremblèrent et s’écartèrent l’une de l’autre.
Kristolas était une ville charmante et paisible. De petites maisons de couleurs longeaient la route bien aménagée, des Popos circulaient, imprimant des marques visibles sur le duvet blanc qui recouvrait le sol. Un garde nous demanda si nous avions besoin de quelque chose :
-Oui, répondit Ridenos. Nous cherchons une auberge pour 3 ; où nous pourrons passer la nuit et manger.
- Suivez-moi, dit le garde.
Il se retourna, exhibant son arme, une Fusarbalète étonnamment puissante et rare, un Vulcanon. Il déambula dans les rues calmes et sereines, où les commerçants vantaient à voix haute leurs marchandises. Digera acheta quelques pierres à aiguiser, Ridenos marchanda avec une vieille femme des munitions très rares, comme des minutions assommantes. Quand à moi, je vendis un souvenir de Loc-Lac (La maison du Maître de Guilde) deux fois plus cher que je ne l’avais acheté. Après nous être promenés pendant près d’une heure, le garde nous montra un beau bâtiment qui semblait taillé dans la roche. Il était totalement carré, avec des fenêtres et des fentes minuscules. Un auvent était tiré devant sur deux mètres, et des marchands avaient installés leurs stands pour les touristes principalement. La porte était ouverte et le garde s’en alla. Je me renseignais auprès d’une femme, habillée en ce qui semblait être l’uniforme de l’hôtel ; c'est-à-dire une casquette rouge, une chemise bleue et des grèves de cuir. Je réservai une chambre pour trois. Elle était au troisième étage. Une fois en haut, nous vîmes une porte à double battant. Nous poussâmes un des volets pour nous retrouver devant une magnifique chambre, avec trois beaux lits à baldaquin. Un coffre épais, verni de bleu, comme celui que tout chasseur possède pour s’équiper, était installé devant chaque lit. Il contenait ma Ténèbre améliorée, mon armure en Lagiacrus, ma Fusarbalète préférée en Lagiacrus et en Barioth et une armure en Ceadeus pour artilleur, mes équipements préférés, en résumé. Un petit morceau de parchemin jauni était coincé dans le coffre central (le mien) où il était écrit : « Le reste est à la forge, vestiaire commun N°974 ». Epuisé, je sautais sur mon lit et m’endormis aussitôt, en armure.
BOUM BOUM !!!
Ce bruit me réveilla en sursaut. BOUM BOUM !!! Je me frottais vigoureusement les yeux et vis Ridenos et Digera faire en vain des efforts pour barricader les battants. Quelqu’un essayait de défoncer notre porte ! Je me levai aussitôt et pris une grande épée accrochée au mur. Je l’installai sur le loquet et transporta la table de nuit devant. D’un coup de son « Etoile Alatreon », Digera condamna la serrure et Ridenos tenta de reboucher les trous causés sans doute par des munitions. Lorsque le boucan se fut apaisé, j’entendis des voix :
-Qu’on amène le Barroth qui à été capturé ce matin !
Je reconnu ce timbre, c’était le Maître de Guilde. J’enfilai tant bien que mal mon armure Helios pour artilleur et assembla les trois morceaux de ma Fusarbalète. Je sentis la porte se fissurer, et, par un trou non-rebouché, je tirais une munition fumigène. Dès qu’un peu de nuage pénétra dans la pièce, je sus qu’ils ne serraient pas retenus longtemps. Je tirais donc à la suite un assortiment de munitions de sommeil, de poison et de tranquillisant. Je rebouchais ensuite soigneusement le trou et sortit une longue corde de mon coffre. J’ouvrai silencieusement la fenêtre droite, de peur que des gardes soient alertés par le raffut, et accrochait solidement la corde de sorte qu’elle tombe. Après avoir vérifié que tout était parfaitement calme, je descendis discrètement, suivis de près par mes deux amis. Au moment où nous avions tous trois touché le sol, j’insérai une munition au bout aussi tranchant qu’une épée longue, visait minutieusement, et tirais le bout de la corde qui s’effondra à mes pieds. Je la ramassais, l’enroulais, et la rangea soigneusement à un crochet de ma ceinture. J’avais laissé un mot bien camouflé dans mon coffre bleu à la destination de l’ami de Ridenos « Nous sommes partis, n es traqués, cache les armes contenues et mets les au vestiaire, et arrange toi pour qu’ils ne cherchent ni ici, ni à la forge. »
FIN DU CHAPTIRE 2
Suite ?
preum's
hum... pas mal^^
mais bon...
le truc de la munitions fumigène pas sur que ca existe ca...
J'lirais plus tard
Sinon tant pis pour pour l'autre fic :/
Il faut un peu inventer aussi, sinon tu fais (Il balança une bombe de fumée avec son coffre où étaient rangés toutes ses armes et armures et talismans. Vite, Le Barroth + va tous nous défoncer, avec le mec de la guilde full Barde + niveau 9 ...)
lol j'ai pas dis ça non plus...
Ah d'accord
Plus de commentaires
WTF y a le père "Son" ?
Oh ouais, le gars il emmène son ami à la chasse en sachant pertinemment qu'ensuite ils devront s'enfuir comme des déchaînés. En plus, les noms sont merdiques. Et genre, le gars qui veut pas alerter les gardes, ah parce qu'un énorme monstre qui grimpe au troisième étage d'une auberge c'est tellement discret.
1 : Il voulait chasser, il s'en fout de se casser après ...
2 : Tu trouves qu'ils sont merdiques chacun ses gôuts ...
3 : Il veulent pas alerter les gardes pour qu'ils viennent pas les cueillir en bas quoi. Le Barroth est aux gardes en plus ...
Moi aussi j'trouve ça merdique.
Toi aussi, j'te trouve merdique