Comment une fiction peut être semi-hs ?

Semi-HS voir la suite.

"[LoSt]LeafTime Voir le profil de [LoSt]LeafTime
Posté le 16 mai 2011 à 16:29:02 Avertir un administrateur
Nul à chier . "

Si tu le dis.

"[LoSt]LeafTime Voir le profil de [LoSt]LeafTime
Posté le 16 mai 2011 à 16:29:02 Avertir un administrateur
Nul à chier . "

Arguments ? N'oublie pas que ce n'est que le prologue !

Je ne cherche pas a défendre coute que coute l'auteur, mais je vous trouve assez dure avec son prologue, ce n'est qu'un prologue alors ne vous attachez pas à des détails à la con, ce qui est prenable dans son texte, c'est le fait qu'on soit dans une nouvelle ere biologique, attendez de voir la suite avant de vous jeter dessus J'attends la suite

Le fait que ce ne soit que le prologue ne justifierait pas le fait qu'il soit nul. Même si, personnellement, je ne le considère pas comme tel.

Il trouve ça nul à chier. Si il explique pas, sa remarque est inutile, d'accord. Elle ne m’apportera rien, mais ne m'enlèvera rien non plus. Ce genre de remarque me laisse plutôt indifférente.

Si il trouve ça nul, tant pis/mieux pour lui.

Jejewii, le prologue est LE truc fondamental pour une histoire.
Ce prologue n'est pas nul à chier comme l'a dit LeafTime sans argument. Il n'est pas extrêmement loin d'la vérité.

J'ai juste souligné les nombreuses incohérences de ton univers ( que j'trouve un peu copié sur Fallout, mais passons) et ton style plat, comme déjà expliqué.

Pour l'instant il ressemble à un simple squelette sans vie. On est pas accrochés par l'histoire, ni par l'univers. Tout y est expliqué de façon... bizarre, je saurais pas définir ça, ça doit être purement personnel.

Je cherche pas à te couler, juste t'améliorer en pointant les défauts et les qualités de ton récit

nn c'est mon poste qui est nul a chier

Non, mais c'est Leaf, faut pas faire attention. J'suis presque prêt à parier qu'il a même pas lu.

Si tu veux

Comme j'ai dis; Tant pis/mieux pour lui.

Fallout?

Déjà entendu le nom, sinon j'en sais rien.

Fallout c'est l'histoire de l'espèce humaine qui, après une guerre nucléaire, tente de reconstruire un monde nouveau.
Sauf que dans Fallout, le contexte, le background et la chronologie sont tellement prenantes et réalistes. Le scénario et les factions y sont traitées en profondeur, si bien qu'on s'attache vite et qu'on a rapidement "son p"tit préféré"

J'ai finis de faire mon fan-boy de Fallout.

J'attends la suite.

Après un temps d'attente plutôt long, voici enfin, pour mes quelques lecteurs, la suite de ma Fiction. J'ai tenté de mettre en pratique vos critiques et me suis relu et rerelu et rererelu. N'hésitez pas à continuer de critiquer.

~Chapitre 1~

La chambre baignait dans la douce lumière du soleil qui hésitait à sortir le bout de son nez et à percer la pénombre de la nuit. Il était tôt, et seul le chant d'un oiseau matinal qui sifflait un air joyeux se faisait entendre. Bien que la situation ait un air serein et joyeux, un grognement retentit dans la chambre. Brusquement, les couvertures recouvrant la silhouette étendue sur le lit furent éjectée de ce dernier et se retrouvèrent sur le sol, découvrant la personne qui se trouvait recouvert quelque secondes plus tôt; moi. Je me plaçai en position assise et posai mes pieds sur le plancher de bois. J'étais dans une petite pièce carrée, avec comme simple ameublement un lit de bois, une table de chevet et un coffre ou je plaçais mes effets. Je me levai, replaçai sommairement mes couvertures sur le lit pour donner un air propre à ma chambre, puis me dirigeai vers la salle de bain. J'ôtai le peu de vêtements avec lesquels je dormais et entrai dans la douche, donnant un petit coup sur le cristal bleuté situé un peu plus haut que ma tête pour que de l'eau en jaillisse.

Je posai un pied hors de ma salle de bain, une serviette autour de la taille. Je passai devant un miroir, jetant un coup d'œil rapide à mon reflet; plutôt grand, svelte, pas très musclé, mes bras sont plutôt longs et mes jambes aussi, bref je n'ai pas une carrure de chasseur. Je n'ai ni les larges épaules, ni les gros bras permettant de soulever une énorme épée, ni les jambes musclées permettant de courir pour échapper à une attaque meurtrière. En bref, je ne suis vraiment pas fait pour être un de ces héros.

Je m'habillai, enfilant mon pantalon noir qui me descendait jusqu'au milieu du tibia, puis mon t-shirt sans manches bleu azur, par dessus lequel je mis une veste ouverte à manches courtes verte foncé. J'attrapai mon sac et le mis en bandoulière, y enfournant le livre que je lisais ces temps-ci; un journal de chasse écrit par un des plus grands chasseurs ayant foulé cette terre. Il y relatait chacune de ses chasses en détails, et complétait des fiches sur les monstres. Ce livre était vraiment passionnant, et chaque chasses plus épiques les unes que les autres. Mais le plus surprenant, c'était que ce chasseur était censé être mon ancêtre! Mon père est un chasseur, son père en était un, son père à lui en était un, et même le père du grand-père de mon père! Du plus loin que je me souvienne, mes parents et ma famille m'ont toujours dis que j'étais un chasseur dans le sang. Pourtant, je ne veux pas être un chasseur. Je ne suis qu'un passionné d'histoire qui se rends à l'université tous les matins pour apprendre son futur métier; professeur d'Histoire, bien entendu...

Je sortis de ma petite maison et en verrouillai la porte avec la minuscule clé que je portais au cou grâce à une chaînette. D'un pas rapide, je marchai entre les habitations des gens de ma famille, et passai devant la hutte du chef, mon oncle. Sa femme me salua et je lui souris, puis j'arrivai finalement devant la gare qui me mènerait à l'Université, dans une autre ville.

Quelle ne fût pas ma surprise quand je m'aperçus que la gare était fermée. D'autres personnes étaient là, comme moi, surpris. Je me retournai vers une jeune fille qui se tenait près de moi.

-Tu sais ce qui se passe?, lui demandais-je.

-Je n'en ai absolument aucune idée..., répondit-elle simplement en haussant les épaules.

Les gens commencèrent à s'attrouper devant l'entrée. Certains parlaient d'un monstre, d'autres d'extraterrestres, certains parlaient même d'un mutant! En bref, que des théories les plus invraisemblables et farfelues les unes que les autres. Je me fis un chemin à travers la foule pour pouvoir voir ce qui se passait vraiment. Arrivé à la source de toute cette agitation, je fût surpris. Il n'y avait là qu'une feuille de papier, sur laquelle était écrit un texte et une liste. Je bousculai quelques personnes qui me bloquaient le passage en m'excusant, puis j'arrachai la feuille, qui était accroché au mur. Je la pris entre mes mains et la lu d'une voix forte.

-Comme vous l'avez remarquer, la gare est fermée. La raison de cela est des plus alarmante, sans vouloir vous faire paniquer. Nous avons découvert plusieurs meurtres dans la capitale, et pour écarter le danger nous avons mis chaque ville et chaque village en quarantaine. Un chasseur par communauté sera choisi pour protéger la dite communauté, et si il y a des chasseurs en trop ils seront déportés dans un village qui n'en possède pas. Toutes ces mesures ne sont que pour votre sécurité. Ci-joint est la liste des chasseurs de chaque ville, nous vous prions de bien la lire et de la suivre.
Sincèrement,
Votre gouvernement.

Je terminai ma lecture, puis parcouru la liste des yeux. Mes yeux s'arrêtèrent sur une ligne en particulier;

Lincoln Seth-17; Xueshan

-QUOI?! MAIS J'SUIS PAS UN CHASSEUR MOI! J'VEUX PAS ALLER DANS UN VILLAGE DE PAUMÉS!, hurlais-je, alors que tout le monde me regardais encore.

Je lâchai la feuille et me mis à courir vers la maison de mon père. Mon cœur battait à tout rompre, des dizaines de pensées confuses se bousculaient dans ma tête en un tourbillon infernal. Je tournai brusquement un coin et dérapai, m'étendant de tout mon long au sol. J'arrivai face première sur le chemin, m'écorchant les mains au passage. J'étais complètement paniqué. Je me relevai rapidement sous le regard amusé des passants et repris ma course. Moi, je ne trouvais pas ça drôle. J'arrivai finalement devant l'habitation de mon père et ouvrit la porte d'un coup. J'entrai d'un bond.

-PAPA! ILS VEULENT QUE JE DEVIENNE UN CHASSEUR, CES CONNARDS! J'VEUX PAS QUITTER MON TROU PERDU POUR UN AUTRE TROU PERDU! PAAAAPAAAAAA AIDE-MOI! JE VEUX PAS ÊTRE UN FOUTU CHASSEUR!

-Calme toi, mon fils. Assieds-toi, et on va en parler. , répliqua de sa voix grave mon paternel.

Je m'exécutai, me laissant tomber sur une des quatre chaises entourant la table, toujours dans cet état de panique même si la voix rassurante de mon père m'avait un peu calmer. Il allait sûrement trouver une solution, après tout c'était un homme très débrouillard...

-Bon, laisse moi t'expliquer. J'ai toujours voulu que tu sois un chasseur. Je ne voulais pas que tu brise la tradition. Alors, je t'ai inscrit en tant que chasseur à ton insu.

-QUOI?!, criais-je en me levant de ma chaise et en tapant la table de mon poing, TU M'AS INSCRIT COMME CHASSEUR?! ESPÈCE DE PÈRE INDIGNE!

-Mais, tu sait que j'ai fait ça pour ton bi-

Un violent coup de poing coupa court à la phrase que prononçait, en essayant de garder son calme, celui que je répugnais désormais à appeler mon père. Il tomba de sa propre chaise et se retrouva étendu au sol, se frottant la joue de douleur. J'étais furieux et je m'approchai de lui. Je n'étais plus paniqué, mais complètement hors de moi.

-SI TU VOULAIS VRAIMENT MON BIEN, TU ME LAISSERAIS FAIRE CE QUE JE VEUX FAIRE DANS LA VIE PLUTÔT QUE DE CHOISIR POUR MOI!

Je tournai les talons et claquai la porte derrière moi. Comment avait-il pu me faire ça? Il voulais que je soit chasseur, d'accord, et quand j'étais petit il m'emmenais toujours à ses chasses d'herbivores ennuyeuses. Mais de là à m'inscrire entant que chasseur à mon insu? Je replaçai rageusement une mèche rebelle de mes cheveux noirs de jais qui tombait devant mes yeux, grognant. Il voulait que je me rende à Xueshan? Je me rendrais à Xueshan. Je vais lui montrer, moi. Je vais lui montrer.

J'entrai dans ma demeure et vidai devant moi mon sac. Je mis mon livre de côté, puis pris quelques vêtements, une photo de moi et mon frère, qui habite maintenant sur le troisième Quart, et quelques autres trucs qui trainaient pas loin, dont un cristal à feu et un cristal de lumière. J'enfournai le tout dans mon sac, puis posai le regard sur le couteau de dépeçage que mon père m'avait offert à mes quatorze ans. Je le pris en main, puis sortis de ma maison et en verrouillai la porte pour une dernière fois. Je marchais d'un pas rapide et sûr, passant sans regarder devant les habitations de mon père et de mon oncle. Moi qui était rancunier, il allait y goûter, cet enfoiré... Je retournai à la gare, puis pris le papier de directives, qui trainait maintenant sur le sol. L'embarquement vers les villages se ferait au port, à 10h45. D'après la position du soleil, il était environ 10h15. Je laissai la feuille ou je l'avais trouvée, puis me dirigeai, toujours de mon pas rapide et sûr, vers le port.

J'arrivai sur la plage à peine quelques minutes plus tard. Je serrai le couteau de chasseur dans ma main droite. De toutes mes forces, je lançai dans la mer, et le plus loin possible, ce vestige de la relation tout de même sympathique entre mon père et moi. Calmé par ce simple geste qui était pourtant bien libérateur, je montai sur le quai et me plaçai dans la file des vingtaines de personnes qui attendait d'être dirigés. Finalement, mon tour vint, et un préposé blasé me demanda:

-Nom?

-Seth-17.

-Comment ça, Sept-17?

-Bah, Seth-17.

-Mais je comprends pas, 717?

-Non, Seth-17.

-Mais c'est ce que je dis; 7-17! Comme dans sept-cent dix-sept!

-NON, BORDEL! SETH! S-E-T-H!

-Ah, pas la peine de hurler... Bon... Cinquième bateau, au fond. Vous vous rendez dans une région glaciale...

Et merde... Dans toutes les destinations où j'aurais pu me rendre, fallait que je me retrouve avec le trou de paumés en pleine toundra... Pourquoi pas une belle région tropicale, ou on se promène à moitié nu toute la journée? M'enfin...

D'un pas las et en soupirant, je me rendis au cinquième bateau au fond... J'y embarquai, au moins c'était pas un bateau de paumés, puis descendit directement à l'endroit ou se trouvait la petite chambre que je partagerai avec un autre garçon pour les... dix prochains jours de voyage en mer, selon ce que l'on m'avait dit. Paresseux, j'entrai dans la première chambre à ma droite. Je voyais bien que quelqu'un s'y était déjà installé, d'ailleurs cette personne se tourna vers moi, un grand sourire aux lèvres. C'était un blondinet, pas plus grand que moi, au yeux bleu clair qui se leva et marcha vers moi. Il avait la peau mate, ses muscles étaient finement taillés comme un artiste taillerais chaque détail de son œuvre, et ses cheveux blonds comme les blés lui tombaient légèrement devant les yeux. Lui, au moins, avait une carrure qui pourrait s'apparenter à celle d'un chasseur; des bras fins mais musclés, des jambes taillées pour la course, des épaules qui semblaient capable de porter un poids aussi lourd que celui de protéger un village... Il me serra la main et je lui rendis son sourire, heureux de trouver quelqu'un avec qui partager pour oublier la trahison de mon père...

-Salut! Je m'appelle Drey, et je m'en vais vers Xueshan!, lança-t-il, joyeux.

-Ah, moi aussi! Oh et, tu peux m'appeler... Seth., répondis-je.

Je ne voulais plus me faire appeler par ce nom donné par mon paternel, ainsi j'avais choisi le premier nom qui m'était venu par la tête; celui de mon ancêtre chasseur de monstre. Je pris mon sac et en vidai le contenu sur mon lit, contenu que je m'empressai de placer dans le coffre prévu à cet effet, au pied du lit. Je terminai rapidement ma besogne, puis me retournai vers Drey.

-Ça te dirais d'aller discuter autour d'un verre? Moi, j'en ai bien envie.

-Ouais!

Nous remontâmes donc les escaliers et commandâmes à manger et à boire. Le reste de la journée se passa à cette même table, à discuter de notre futur, de nos familles, de nos craintes et nos espérances, bref de tout et de rien. La soirée, quant à elle, termina bien arrosée avec nous deux qui chantaient, choppe à la main, des chansons populaires de chasseurs...

Ah bah voila il s'amuse le jeune homme

Bon, ma critique:
Deja, d'un point de vue global, j'adore
Malgré quelques fautes d'orthographe (entrain =/= en train par exemple) et quelques mots qui, à mon sens, sont à éviter (pomer surtout), je trouve que c'est bon
Pour l'histoire, je suis un peu surpris que ni le père ni l'oncle n'aient tenu à arrêter le fils lorsqu'il quitte sa maison sans dire ou il va . Et je suis surpris du trèèès leger commité d'accueil du bateau
Sinon, j'ai ris à "vous vous rendez dans une région glacière" mdr il a tout vecu jusqu'a la fin ^^

Bon, maintenant, remet toi au chapitre 2 de la fiction en quatuor

Un debut qui s'il ne releve pas de la haute litterature ( mais l'on te l'a deja mentionne cette absence un peu trop visible de figure de style et l'utilisation d'un repertoire un peu familier, quoi que au vu du theme post apocalyptique ou se situe ta fic l'on est pas obliger de te le reprocher) reste tout de meme plaisant a mes yeux et se laisse lire sans reticence. De plus on voit ta volonte de bien faire avec ta prise en compte des premiere critique ( quoi que toujours trop legere pour moi, mais bon, passons) et je trouve que c'est l'esprit qu'il faut avoir.

J'espere que tu continuera ta fic, t'amelioreras dans l'ecriture, et que tu y trouve du plaisir ( chose essentiel car tu ecris pour les autre mais aussi pour toi.)

J'ai toujours aimé écrire donc pour ça, ce n'ets absolument pas un problème

n'est* ._.

Ce qui serait bien, c'est que tu écrive sur ton autre fic Sinon ça deviendra un problème

C'est pas mal, mais ca manque de style, bordel de Zeus !

Et puis sinon c'est assez classique pour l'instant, j'attends la suite

Pour commencer, j'aime bien, malgré que le thème principale ne me plaise pas trop (mais ça, c'est moi )

Ensuite, je relève quelques erreurs de style.(je m'explique, "Je me plaçai en position assise", ça sonne pas très bien, tandis que "je m'assayais sur mon lit" sonne déjà mieux (c'est un avis personnel, là encore )

Sinon, ça se laisse lire et c'est assez bon pour me donner envie de suivre la progression du bazar.

Continue.