A quand la suite ? ^^

arrfh... posté trop tard

pas d´argent goten, mais un truc de ma spécialité

ps : c´est pas jambon pates

tr ah bon

Par hasard, tu pourrais me l´envoyer aussi Goten

Fifou , je suis mort , piurtant j´ai pas lu ca
" Il pourrira dans cette cave "
Parfaitement d´accord ...

en plus moi elle va servir dans ma surprise !!

Vite ! La suite

Avant 21h si possible, après je pourrais pas avant demain 14h

Great T´as pas de chance

toujours pas de chap ? c´est une honte ! non je blague mais c´est pour quand ?

C´est pour....
Roh et puis zut !

Je m’appelle Goten67, et je suis ici depuis 487 jours…
C’est moi qui ai eu l’idée d’organiser cette journée atroce…
En fait, c’était moi qui étais responsable de toutes ces morts, d’une certaine façon.
C’était moi qui avait rendu Thomas complètement fou…
Tout ça… C’était moi…

Je tombais donc dans un trou qui me parut sans fond…
La chute dura quelques secondes. Des secondes qui me parurent vraiment interminables, pendant lesquelles je ne pensais plus à rien…
Enfin, la chute…
Un truc qui avait amorti le choc.
Et l’obscurité profond, toute autour de moi.

-Hey, on est où ? Demandais-je, à l’attention, de Daxter et Gugu.
Aucune réponse.
-Euh les gars… Repris-je. On joue au roi du silence ou quoi ? Si c’est ça, bah vous avez gagné, moi je m’incline !
Comme je l’avais pressenti, personne ne me répondit.
Il fallait que je me fasse une raison : j’étais seul dans une cave où je ne distinguais absolument rien !

Touchant la « chose » qui avait amorti ma chute, je me rendis vite compte qu’il s’agissait tout bêtement d’un matelas…
« Qu’est ce que ça fout là, ça ?! » Me demandais-je, tout en pensant que d’autres personnes avaient déjà fait le grand plongeon du rez-de-chaussée jusqu’ici…
Alors d’un coup, bien que je sentais mon cœur sur le point d’exploser, je ressentis une poussée d’adrénaline et me relevai rapidement, prêt à faire face au moindre danger.
Mais le seul problème, c’est que je n’entendais rien non plus. Tout était silencieux autour de moi.
Le seul truc qui faisait du bruit, c’étaient mes dents qui claquaient.
Là, je me décidai enfin à faire mon premier pas dans cette salle.
Mon pas, qui résonna en échos partout.
-Bonjour la discrétion… marmonnais-je, tout en avançant à nouveau…

Il me fallut une bonne dizaine de secondes pour atteindre le mur, à tâtons…
-Je me demande quel genre de papier peint ils ont mis…
Enfin, toujours est-il que je longeai le mur à la manière d’un James Bond ou d’un Sam Fischer pour ne pas me perdre…
« Manquerait plus que le flingue et les lunettes infrarouges ! »
Au bout d’une minute, j’atteignis enfin la première porte. En bois, de toute évidence…
Tirant sur la poignée, je remarquai que celle-ci était fermée, et que même en forçant, je n’arriverais à rien…

Je repartis donc, toujours avec la même technique : le plaquer face au mur…
Des portes comme ça, j’en vis encore 3, qui refusaient toujours de s’ouvrir. Et toujours mes pas, que l’on pouvait entendre à des kilomètres à la ronde…
Je commençais vraiment à perdre patience, et à me dire que jamais je ne pourrais sortir de cette putain de cave !
Et puis enfin, j’arrivai à une cinquième porte.. En fer, cette fois.
Caressant la poignée froide, je tirai, presque certain que la porte resterait bloquée…

Saut que cette fois, elle s’ouvrit belle et bien et laissa ‘échapper un vent froid qui me glaça le sang…
Mais avant que j’ai pu réagir, j’entendis derrière moi comme des bruits de pas précipités.
Un hurlement rauque, et comme des sabots…
Pendant quelques secondes, je restais là, planté comme un bonzaï en train de prendre le soleil, jusqu’à ce qu’une voix dans ma tête me conseille de m’enfuir…
Là, plus question de longer un mur sans fin !
Je pris mes jambes à mon coup, et, tout en hurlant, je courus avec une foulée digne de battre le record du 100 mètres…

J’avais beau m’essouffler, j’entendais toujours derrière mois ces horribles cris, et ces coups de sabots…
Alors je j’accélérai la cadence, je me plantai alors contre un truc froid : je venais d’heurter le mur de plein fouet.
Mon nez s’était sûrement cassé, mais j’en avais rien à battre.
Prenant à gauche, j’ouvris une porte à la volée, et la refermai presque aussitôt…

Et puis d’un coup, plus rien…
Plus de bruit étrange…
C’était comme si la chose qui me courçait s’était volatilisée dans le couloir.
Mais c’est en me retournant que je crus vraiment être devenu complètement dingue : la pièce dans laquelle je me trouvais était éclairée par un lustre en cristal, et quelques bougies.
Au sol étaient disposés plusieurs tapis anciens, et au centre… Une table, avec une lettre posée dessus.
Une lettre encore une fois écrite avec du sang, mais dont l’écriture était plutôt gracieuse.
Dessus, il était noté ce texte :
« Et s’il était plus proche que tu ne le pensais ? »

A peine avais-je lu ce message qu’une autre porte en face de moi s’ouvrit, et qu’avant d’avoir compris quoi que ce soit… Je me pris un poing en pleine face.
Sans prendre le temps d’examiner mon adversaire, je mis alors moi aussi des coups un peu partout, sans vraiment réfléchir.
« Super stratégique la technique ! » Pensais-je, tout en cognant comme un malade.
Mais bon, je dus bien m’arrêter lorsque ma main droite heurta le mur et me fit hurler de douleur.
A ce moment, je me pris un nouveau coup de pied, et avant qu’il ne recommence… Je sortis mon couteau et me retournai, pour égorger celui qui venait de m’attaquer.
Mais lorsque je le vis, je failli tomber à la renverse…
-Gag... C’est toi ?! Lançai-je. Mais qu’est-ce que tu fous là bordel ?
-Je joue à cacher-cache, ça se voit pas ? Répliqua l’intéressé, en baissant sa garde.
Moi, par contre, je continuais à pointer mon couteau de boucher sur lui.

« Et s’il était plus proche ? Et si… Et si le meurtrier c’était Gag ? Après tout, pourquoi je le retrouvais dans cette cave ? »
-Hey ! Lâcha-t-il. T’as quelqu’un à tuer ou quoi ? Enlève ce couteau !
-Ferme-la ! Gueulais-je. Qu’est ce que tu fous là, hein ?
-Bah…
-T’es devenu muet ?
-Calme toi… Dit-il. En fait c’est tout con… J’étais juste allé me promener dans le couloir, histoire d’observer la maison… Et puis… Et puis je suis tombé dans un trou mec ! Je sais pas comment ça se fait, mais je suis là, et j’ai toujours pas trouvé le moyen de me casser.

Suspicieux, je n’avais toujours pas baissé mon arme.
-Et toi… Reprit-il. T’es là parce que tu t’es pris un râteau avec Laurann ?
Fallait bien admettre… Son histoire tenait la route, mais je n’arrivais pas à effacer la lettre de ma mémoire…
C’est ainsi que je décidai de le croire.
Du moins, pour l’instant…
-Ok ! Fis-je en rangeant mon arme. On va trouver une issue à deux !

Mais comme rien ne semblait simple dans cette maison… C’est à ce moment-là que j’entendis des bruits de sabots, de l’autre côté de la porte. Puis celui d’un objet que l’on fracasse contre elle.
-Il… Il essaye d’entrer ! Hurla Gag.
-Tu le connais aussi ? Marmonnais-je ?
-Bah… Il m’a poursuivi jusqu’ici !
Et d’un commun accord, sans nous parler plus, nous décidâmes de sprinter en direction de la porte par laquelle Gag était arrivé.
-Tu sais où ça mène ? Demandais-je.
-Pas la moindre idée !
-Yeah ! Voilà qui nous avance…

Les pièces que nous traversâmes étaient toutes plongées dans le noir… Ou très peu éclairées….
Et toujours ces sabots, qui semblaient se rapprocher de plus en plus…
Là, dans un salon, Gag butta contre une chaise et s’écrasa la tête la première.
Juste à ce moment-là…
La bête entra, fracassant la porte !
C’était… C’était une sorte de centaure noir, qui possédait une grosse hache dans sa main droite, et un autre truc que je en distinguais pas très bien dans la gauche…
« Putain… Encore plus moche que moi ! » Pensais-je, apeuré.

Il renifla, et chargea.

C’est alors que, dans un réflexe inouï, moi je lui lançai mon couteau sur le front…

Un hurlement.
Du sang.
Des bruits de sabots qui fouettent le sol…

Sans plus attendre, j’aidai Gag à se relever, et nous nous précipitâmes tous deux vers la première porte que nous vîmes, avant de la refermer, essoufflés.
Et là, comme la dernière fois… Nous n’entendîmes plus rien, provenant de la pièce d’à côté.
A croire que la créature s’était envolée !
-Ca va ? Lançai-je, encore sous le choc.
Mais… Je vis très vite qu’il n’était pas apte à répondre : il regardait une direction, tétanisé, son corps tremblant de toute part.

Suivant son regard, je vis enfin ce qui lui foutait tellement la trouille : une corde était attachée au plafond… Et, au bout de cette corde, le cou attaché…
Il y avait là Link, pendu, les yeux clos.
Mais, au mur en face de lui, il avait apparemment eu la force d’inscrire un truc au marqueur…

« C’est Gag ! »

c´est franchement long

ouais!!!!!!!!

j´ai aprler trop vite

Gag ! Meurtrier !

Oh mon dieu, ils ont tué Link

C´est des enfo**rés

Et si le c´était le meurtrier qui avait marqué que c´était Gag pour le faire accusé?

NON C´EST MOI !

Bon, au passage je tiens vraiment à remercier Nico qui m´a fourni des idées du tonnerre....
En fait, si vous aimez la Fic, faut aussi le remercier...
Hey, bon bah... J´espère que vous avez aimé ce chap´ en tout cas ! (Le plus long !^ ^)