T´as déja posté le chap;

j´avais pas vu

Effectivement tu l´a deja poste

https://www.jeuxvideo.com/forums/3-11649-50459-20-0-1-0-0.htm

Voici un chapitre PAS encore posté

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Chapitre XI : Mauvaise compréhension
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- Ho ! Je suis désolé, je n’ai pas pu tous les sauver !
- Que dites-vous, demanda l’homme stupéfait.
- Eh bien, le vaisseau a explosé que je n’aie pu sauver le deuxième enfant ! Je suis désolé…
L’homme partit d’un rire bruyant. Ratchet était surpris et horrifié que la perte d’un proche lui fasse si peu d’effet.
- Mais vous êtes fou ? Vous rigolez alors que votre fils est mort !?
- Mais non, dit l’homme encore amusé par cette situation, mon deuxième enfant est là.
Il désigna du doigt le ventre de sa femme et Ratchet compris que la femme attendait le deuxième enfant et que c’est pour cette raison qu’il ne l’avait pas trouvé à bord du vaisseau. Ratchet se mit aussitôt à rire, soulagé.
- Eh bien on peut dire que vous m’avez fait peur.
- Oui, heureusement vous avez réussi à sauver tout le monde. Je vous en suis très reconnaissant. Je me présente : mon nom est Bradley Foley. Voici ma femme Sherman et mon fis Connors et bientôt le petit Jones.
- Enchanté, dit Ratchet à toute la famille, Oh comme il est mignon le petit Connors.
- J’ai 17 ans, tocard, lui répliqua l’intéressé.
- Il a déjà du caractère dites-moi, constata Ratchet, Poutoupoutou.
- Euh, Ratchet, faut que tu te ressaisisses là, lui fit remarquer Qwark qui venait d’arriver.
- Comment ? Ah oui bien sûr… c’est vrai tu as raison. Bon soit pourquoi vous êtes vous écrasé ?
- C’est une longue histoire, annonça Bradley.
- Mais ta gueule tu vois pas que j’essaie de dormir !, protesta Ratchet en postillonnant.
- Mais c’est vous qui nous avez demandés de vous racontez ce qui nous était…
- Tu sais faire une phrase encore plus compliquée ?, répliqua Ratchet les yeux injectés de sang.
- Il fait une rechute !, s’exclama Qwark en lui injectant son calmant, c’est parce qu’il n’a pas eu ses 15 heures de sommeil.
- Ahhh ça va mieux, fit Ratchet en tiquant, bon alors votre histoire.
- Oui donc, hier, nous étions partis faire une promenade du dimanche…
- On était pas samedi, hier ?, questionna Qwark.
- Qwark !! !! On s’en fout ! Et puis vous essayez de venir aux faits !, s’énerva Ratchet.
- Alors notre vaisseau volait tranquillement lorsqu’il y a eu une grosse secousse à l’arrière et j’ai d’abord pensé que ça venait de Connors…
- P’pa arrête de raconter n’importe quoi, protesta celui-ci.
- Mais j’ai vite compris qu’un autre vaisseau nous rentrait dedans. Puis une minute plus tard, deux vaisseaux sont apparus de chaque côté du vaisseau. Ils portaient tous les deux la lettre « R ». J’ai tenté de les semer mais comme j’avais reçu mon permis intergalactique dans une pochette surprise, je n’ai rien pu faire. C’est alors qu’ils nous ont tirés dessus et nous nous sommes finalement écrasés sur ce satellite.
- Je veux la suite !, s’exclama Qwark.
- Qwark, l’histoire est finie !, s’exaspéra Ratchet.
- Ah bon ?, s’étonna-t-il, mais qu’est-ce qui est arrivé au pauvre petit Billy ?
- Mais il est pas avec nous Billy et personne n’en a parlé !
- Il me manque quand même, pleurnicha Qwark.
- Tu le connais même pas !
- C’est pas une raison, s’écria Qwark.

Ratchet se retourna vers les Foley.

- Ne faites pas attention à lui, il s’est échappé d’un asile psychiatrique, l’excusa Ratchet.
- L’asile le plus protégé de Métropolis Monsieur !, rétorqua Qwark, prenant des airs de snob.
- Tu parles d’un asile, on t’a oublié dedans quand ils l’ont déménagé à Daxx !
- Mais j’ai survécu et je me suis échappé.
- Tu t’es plutôt fait jeter dehors par les ouvriers venus détruire le bâtiment !
- Calmons-nous mes frères, s’interposa Bradley, et organisons-nous pour la suite !
- Bah, il y a pas grand chose à faire, il n’y a que nous, lui répondit Ratchet.
- C’est ça l’erreur !, dit Bradley, N’oubliez pas que si cela nous est arrivés, cela arrivera à d’autres personnes qui s’écraseront sur les satellites avoisinants !
- Pas con le mec !, s’écria Connors.
- On ne dit pas de gros mot, jeune homme !, lui dit Sherman, sa mère.
- Mais maman…
- Il n’y a pas de mais !

Et Connors alla bouder dans son coin.

- Chéri, je peux aller me promener ?, demanda Bradley.
- Non, c’est trop dangereux !
- Mais chéri…
- Allez, c’est bien parce que c’est toi !

Connors ayant vu la scène, s’approcha de la scène et lui dit :

- Mais lui, il…
- Chut ! Il n’y a pas de mais qui tiennent avec moi !

Connors bouda de plus belle tandis que Qwark et Ratchet rigolaient de la situation :

- Hahahahahaha ! Elle est bonne, hein Qwark, lui dit Ratchet.
- Ho oui ! Maïs !, rigola Qwark.
- Mais c’est pas ça qui est marrant ! Et elle dit mais pas maïs !, s’exclama Ratchet, Ton cas devient catastrophique !
- Catastrophique hahahahahaha…, rigola de plus belle Qwark.
- Bon je vais m’en aller, s’exaspéra Ratchet, se dirigeant vers les Foley.

Les Foley et…

Le 50ème jour.

Il s’est passé beaucoup de temps depuis le 15ème jour. Les Foley se sont bien organisés avec l’aide de Ratchet et Qwark. Grâce aux matériaux tombés de Mégapolis, ils ont pu construire deux belles maisons tous équipés pour la modique somme de 150000 boulons TTC ! Mais d’une des maisons, celle de Ratchet et de Qwark s’échappe un bruit, serait ce le bruit du criquet ? Impossible, il n’y en a pas sur cette planète. Non, le bruit n’est qu’un commun ronflement émis par… Ratchet ?! ! Étonnant ! Non, c’est totalement impossible ! Rapprochons encore de la chambre, ha ! Tout s’explique ! C’est ce *** de cameraman qui m’a donné le mauvais script ! Bien, continuons donc, Qwark ronfle et Ratchet se réveille. Il se dirige vers le lit de Qwark et le frappe en disant des injures totalement incompréhensibles. Dans l’autre maison, on entend Sherman leur crié « Â table ! ». Ratchet ne vit plus qu’un nuage blanc à l’endroit où Qwark se trouvait quelques secondes plus tôt. Ratchet en profita pour se recoucher dans son lit et enfin pouvoir dormir tranquille.

Le 100ème jour.

50 jours se sont écoulés depuis et les premiers crashs arrivèrent. Quelques jours plus tôt, le tout premier crash fit son apparition. Ce fut celui d’un petit vaisseau avec à son bord un jeune homme robuste qui n’avait presque rien. Mais aujourd’hui, un crash survint sur l’heure de midi.

- Et Ratchet, c’est quoi cette lumière là-bas ?, demanda Qwark.
- Tiens, cela doit être un autre vaisseau !, dit Ratchet, calme, maintenant il connaissait qu’il devait faire,
- Tous sur le qui-vive !, s’écria Bradley.

Ils se mirent tous en position, Sherman à l’infirmerie avec Connors et Ratchet, Bradley et Qwark pour le sauvetage.
Mais quand le vaisseau allait s’écraser, une autre boule rouge apparut.

- Aïe !, s’écria Bradley, Ratchet va y seul, je m’occupe de celui-ci avec Qwark et puis on vient d’aider !
- Ok, pas de problème !

Le premier vaisseau s’écrasa et Qwark et Bradley se dirigèrent dessus. Quand ils furent tout proches de celui-ci, l’autre vaisseau se écrasa tout près. Ratchet fonça dessus, et commença à sortir le corps inanimé du seul passager. Il se dirigea ensuite vers l’infirmerie de fortune qu’ils avaient construits depuis bien longtemps. Sherman venait d’avoir fini avec les deux autres passagers de l’autre vaisseau quand Ratchet arriva. Sherman l’examina et tira son diagnostic :

- Hum… Fracture de la jambe gauche, il faut lui donnez 10 mg de morphine, 54 d’hémoglobine et une transfusion sanguine en attendant le scan pour éviter tout risque de fracture du crâne !
- Ben, t’en sais des trucs sur la médecine, constata Ratchet.
- Je connais tellement bien l’anatomie humaine que je pourrais te tuer avec mon petit doigt !, lui répondit celle-ci.

Après ses mots, Ratchet quitta la pièce en prétextant d’aller voir comment allait les autres blessés.

Le 154ème jour.

Comme l’avait prédit Bradley, une vague de vaisseaux s’écrasa sur leur satellite. Ils étaient à présents une communauté de 200 personnes vivant en harmonie dans un grand village. Ils se demandaient combien de temps ils pouvaient encore tenir car les matériaux commençaient à se faire rare.

Le 200ème jour.

Voilà, le dernier matériaux venait d’être utiliser ? Il se demandait comment ils allaient pouvoir survivre à présent car ils étaient maintenant 10 par maisons ! Quand, tout à coup, un vaisseau avec le signe « R » se posa sur le satellite…

Je l´a lis

C´est super!!!

p.s Ca ne prend pas 15 minutes a finir

Sherman : Je connais tellement bien l’anatomie humaine que...

Et tu prétends qu´ils sont HUMAINS
Sinon, cool le chapitre

Vois chik suis moi !

Chik : Okaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
Vortex : Oups c´était les escaliers
Chik :

Bien
y´as des trucs un peu fumeux j´ai pas tout suivi mais c´est sympa qu´il soit une communauté, le future résistance à la Redemption
Mwhahahaha !

Qu´est ce qui est fumeux ? Je fait des petites blagues mais j´essaie de changer un peu d´univers parce que je n´aime pas trop le coté " sombre " de toutes les fics alors

VIVE L´HUMOUR !

Je suis d´accord, c´est mieux une fic un peu comique

Hey Hilldrem ! Hilldrem c´est un forumeur sympa qui était et qui est encoree sur le forum Sly 3 !

P.S. : Désolé de t´avoir pas répondu j´ai cru que c´était qui avait posté le dernier post

Pas plus de commentaires ?

post un nouveau chap, y aura des commentaires

Voilà un très bon chap ^^ !
Les questions plus tard :p
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Chapitre XII : Retrouvailles
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- Ratchet, appela Bradley, un nouveau vaisseau est arrivé !

Ratchet accourut vers Bradley et regarda, avec les jumelles, le petit point qui se dessinait dans le ciel.

- Bradley…, dit celui-ci.
- Oui ? Qu’y a t il ?
- Ce n’est pas un vaisseau comme les autres !
- Comment ça ?
- Regarde par toi-même !

Ratchet lui passa les jumelles. Il les prit et chercha le vaisseau, il mit du temps avant de le trouver dans le ciel. Il le vit et, tremblant un peu, essaya d’examiner les moindres détails de l’appareil. Il compris vite que l’appareil n’allait sans aucun doute se crasher comme les autres car il était en parfait état ! Il remarqua une petite lettre sur le coté qu’il essaya de lire. Son visage prit une expression horrifiée quand il l’a lu.

- Alors ?, demanda Ratchet.
- C’est horrible !, dit Bradley.
- Et oui, c’est un vaisseau de la Redemption !
- Il faut le dire aux autres et nous barricadé…, commença Bradley.
- Et nous apprêtés à les attaquer en embuscade !, termina Ratchet debout, la jambe droite légèrement fléchie et l’autre tendue avec son ombre qui se reflétait dans les immeubles derrière lui.
- Ouawww ! T’as la classe comme ça !, dit Bradley.
- Je sais !, dit-il en remettant sa mèche vers l’arrière , C’est des années d’entraînement !
- Ouais, ça aurait été bien si ton pantalon n’était pas tombé et que tu portais une culotte avec des fleurs !, rigola Bradley.

Ratchet remit, tout penaud, son pantalon et, avec Bradley, coururent prévenir les autres. Après leur avoir expliqué le problème, ils se préparèrent à l’attaque.

Ils remontèrent dans le vaisseau pour se diriger vers l’énième satellite qu’ils visitaient.
Celui qu’ils allèrent visiter était étonnamment brillant.

- C’est pas normal ça ?, demanda Billy.
- On dirait un soleil artificiel, s’exclama Clank.
- Ou une grande exploitation de lumière dû à une activité humaine.

Ils y atterrirent. Clank sortit du vaisseau avec Al.

- Tu viens Billy ?, lui demanda Clank.
- Pas envie, répondit celui-ci, on trouvera rien sur ce satellite comme on n’a rien trouvé sur les autres !
- Bon tu fais comme tu veux !

Clank et Al partirent donc tous les deux laissant Billy seul dans le vaisseau.

- C’est calme par ici !, constata Al.
- Ouais… Trop calme, dit Clank, Ho mais regarde ! Une ville !

Ils y coururent. C’était une très belle ville très sophistiquée avec des lampadaires électriques qui fournissait la lumière dans ces lieux très sombre. Ils marchèrent un peu dans toute la ville sans trouver âme qui vive.

- C’est peut être une ville fantôme, répéta Al pour la énième fois.
- Non ! Impossible ! Je le saurais bien sinon, lui répondait à chaque fois Clank.

Il était fatigué de devoir marcher à tout bout de champ pour suivre Clank qui, lui, ne désespérait pas de voir Ratchet au prochain bout de rue. Mais marchant toujours sans sentir la fatigue, Clank arriva sur l’allée principale de la ville. Le brouillard s’était levé. On pouvait encore distingué que les portes et les fenêtres étaient barricadé et là Clank dit tout doucement :

- Houlà ! Je le sens pas bien du tout là !

Juste quand il eut dit ça, les lumières s’éteignirent…

- Mais qu’est ce qu’on va faire ?, s’exclama une femme.
- Au secours ! Haaaaa ****** j’ai marché dans…, dit une autre personne.
- Venez acheter mes beaux tapis ! Pas cher et souple, le poil soyeux et regardez la finesse du poil !, dit un marchand de tapis.
- On aurait pas dû le sauver celui-là !, s’exclama encore une autre personne.
- Tu sais on tu peut te le mettre ton poil soyeux !, vociféra une autre personne.
- ON SE CALME !! !!!!!!!!!!!!, cria de toutes ses forces Ratchet dans un haut parleur.

Ratchet et Bradley venait de dire la nouvelle aux autres rescapés du satellite. Ceux-ci étaient terrorisés comme vous avez pu le voir.

- Calmons-nous, dit la voix amplifiée par le haut-parleur de Ratchet, rien ne sert, il vaut partir à point !
- Hou ! C’est quoi cette expression de ***, hurla une personne de la foule

Ratchet chuchota quelque chose à quelques personnes et deux minutes plus tard, sans qu’on sache pourquoi, la personne gisait à terre, avec un marteau enfoncé dans le crâne .

- Je continue, il faut avoir ces gars de la Rédemption par surprise, barricadons-nous et quand ces vauriens seront dans cette allée, nous éteindrons les lumières et nous attaquerons !
- Ouais ! Il a raison le gros bedonnant qui parle !, dit quelqu’un, sérieusement arrangé .

Deux minutes plus tard, elle gisait aussi par terre, juste à coté de l’autre victime avec un marteau dans le crâne .

- Sherman, sois prête à couper le courant !, dit Ratchet.
- Ok !, dit-elle en se dirigeant vers la groupe électrogène, Tu viens avec moi Bradley ?
- Oui, on pourra faire comme en 69, dit-il en haussant les sourcils.
- Ho grand fou !
- Heu, je vais vous laisser seul, dit Ratchet, courant déjà vers le groupe.

Quelques minutes plus tard, tout le monde était prêt et en place. Deux personnes de forte musculature et munie de bazookas se trouvait de chaque coté de l’allée, sur un toit et à couvert. Deux snipers étaient à l’étage inférieur, avec leur petite lumière rouge pour mieux viser. Et le reste du groupe était équipé de petite mitraillette et ils étaient tous regroupés au sous-sol. Le brouillard se leva d’un coup mais le groupe peut apercevoir deux ombres qui venaient d’entrer dans l’allée. Ratchet appela Sherman par radio pour leur dire d’éteindre le groupe électrogène, apparemment ils comprirent quand même. Les lumières s’éteignirent et Ratchet était près à lancer le combat avec les ennemis.

- Heu Clank, c’est normal cette coupure de courant ?, demanda Al, Et ce cri ? Et aussi ce viseur rouge pointé sur moi ?
- Heu non je ne crois pas !
- En avant ! Go ! Go ! Go, cria une voix provenant du sous-sol de l’immeuble.
- A terre, cria Clank à Al.

Ils s’exécutèrent et Clank vit un léger reflet, à travers le brouillard, qui provenait du haut de l’immeuble. Il sut tout de suite ce que c’était et lança désespérément un bouclier thermique pour les protéger. Les coups de bazooka ne tardèrent pas et vinrent exploser dans le bouclier thermique. Celui-ci les goba et devint plus orange. Les tirs fusèrent et le bouclier les goba tout le temps en devenant de plus en plus orange jusqu’à devenir rouge !

- Al, cria Clank, court le plus loin possible du bouclier !

Al s’exécuta et Clank fonça vers le bouclier et lui asséna un coup de pied, le bouclier valsa plus loin et prit feu. Clank courut dans la direction opposé en se couvrant la tête avec les bras.3 seconde plus tard, le bouclier explosa dans une grande explosion électrique. Mais là où tout les rescapés croyaient qu’ils allaient prendre feu, rien de tout cela ne se fit, il n’avait rien mais la brouillard s’était dissipé. Ils voulurent tirer vers les assaillants mais ils constatèrent que toutes leurs armes, électriques, ne fonctionnaient plus !

- Rendez-vous !, dit Clank, L’explosion a neutralisé temporairement tous les systèmes électriques avoisinants ! Il ne reste plus que cette arme que je tiens en main ! Et vive toutes les armes Ottsel Décim@Pox qui sont comprises dans les 10000 boulons TTC !, cria Clank à tous les rescapés, en faisant un max de pub pour Ottsel Décim@Pox .

Les rescapés avaient été eu par un simple robot mais n’importe lequel, c’était Clank ! Alors que tout le monde rendait les armes, Ratchet, lui, rageait de ne pas avoir pu attaquer l’ennemi et ne supportait pas l’idée de s’être fait battre par des gars de la Rédemption. Il n’avait pas pu les voir à cause de toutes les personnes devant lui, il ne savait donc pas qui ils étaient ! Mais Connors, qui avait pu voir la scène, lui dit :

- Ratchet, ce ne serait pas le petit robot que tu nous as montré sur de tes photos lors de ta victoire sur Vox l’année passée ?
- Qu’est ce que tu dis ?, dit Ratchet, essayant de regarder au dessus des autres.

Ne tenant plus, il poussa tout le monde et se retrouva juste devant Clank. Il le reconnut aussitôt malgré les six mois passés loin de lui.

- Clank, cria Ratchet, fou de joie.

Zwouffff

- Arghhhhh…, gémit-il.
- Oups ! Pardon , le coup est parti tout seul !, dit Clank, Ratchet ?!
- C’est moiaaa, dit-il difficilement.

Clank se jeta dans les bras de Ratchet et après quelsues moment de bonheur entre eux, Ratchet le reposa par terre.

- J’espère que tu as plein d’histoire à me raconter !, dit Ratchet, ému.
- Oui !, reprit Clank, d’un ton plus grave, j’ai quelque chose de très important à te dire…

Voici les questions !

I) Répondez aux deux questions que Al pose à Clank ! ( 3 points )

II) Qui est la voix qui crie " En avant ! Go ! Go ! ( 2 points )

III) Quelle est la marque cachée dans ce chapitre ? ( 1 points )

IV) Dans quel chapitre, le brave marchand de tapis est apparu pour la première fois ? ( 3 points )

3 : Ottsel Décim@Pox

4 : "Carnage et suspects"

3 Juste

4 Presque mais il y a une petite faute

C´est effectivement le meilleur chapitre , tu parles de mon entreprise en plus de l´action

Tu pourrais un peu détailler genre :

- Humour

- Longueur du chapitre

- Ce que tu as aimé

- Ce que tu n´as pas aimé

Et les autres, j´attends vos impressions