N'abuse pas non plus de ma crédulité.
Sincérité était pourtant de mise
Tu veux dire "mise de côté" ?
Tout comme mon ironie
Hmm, oui, oui, je vois.
J'ai bien aimé, et je veux une suite.
+ Osef si t'as menti, tant que je suis brune.
Extérieurement certes, mais intérieurement...
Sinon j'ai adoré!
Dommage que c'était un one-shoot.
Et voilà... En Quête d'Enquêtes 2 !
J'avais dit que je n'en ferais qu'un OS, mais finalement, je n'ai pu résister au flot de nouvelles idées (j'ai pas résisté longtemps, faut dire ).
Donc voilà, suite légérement inférieure, roxxor d'après Alex, m'enfin, j'attends plus de preuves.
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Rappel des faits (si vous êtes devenu un poisson rouge depuis hier soir) : Alex Ares et Klo Ay ont résolu brillamment une affaire en sacrifiant dans une scène particulièrement tragique un As Saertti dépourvu de tout espoir, mais qui choisira de suivre son destin et de laisser sa vie dans la recherche fatidique de la vérité. Le lendemain, dans un dernier acte mélancolique, Alex Ares pleurera sa mort et décidera de jouer sa vie lui aussi dans la dernière ligne droite : la recherche du véridique. Voilà, j’espère vraiment que vous êtes devenu un poisson rouge depuis hier soir.
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« L’homme est un pervers incompréhensible […] dont il est ardu de démêler l’embrouillement »
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« Et nous voilà donc à nouveau dépourvus d’affaire, ma petite Klo Ay, soupira longuement Alex Ares. »
La police avait prestement emmené le coupable de l’homocide à la prison pour homocides (elle se trouve en Ardèche, il y a de tout d’ailleurs en Ardèche, sauf Internet) depuis 5 minutes, et l’homme à l’imperméable louche s’ennuyait déjà.
« -Il ne pourrait pas nous arriver quelque chose qui sorte de l’ordinaire, continua l'homme, comme… l’esprit d’un Zanpakutô qui apparaîtrait ?
-Je ne savais pas que vous lisiez des mangas… Quelque chose comme une belle et grande femme aux cheveux blonds ? demanda son acolyte, des étoiles dans les yeux.
-Non, plus comme un vieillard binoclard avec des habits de SDF… Enfin, passons. Imaginons quelque chose de plus commun mais aussi peu probable, comme la porte qui s’ouvrirait d’un coup avec un autre client derrière.
-C’est ça, votre fait peu probable ? Ca n’aurait pas pu être quelque chose comme un cactus avec des pattes qui ferait des pas chassés devant nous ?
-Ca existe déjà, ça, ça s’appelle un pampa. Bon, arrêtons-nous sur ces comparaisons vaseuses, le lecteur va vraiment penser que la suite du texte est aussi nulle que ce début. De plus, si j’ai dit que la porte s’ouvrirait sur un nouveau client, c’est parce que c’était indiqué sur le script qu’il arrivera 6 répliques plus tard.
-Tiens, parlons-en de ce script. Quel est-il en fait ? L’auteur copie sur un autre ouvrage ?
-Plein d’autres en fait. Et à la fin, il en fait une liste de « références » pour qu’on croie que c’est la classe et que c’est une inspiration culturelle audiovisuelle et littéraire, alors qu’il ne s’agit que d’un vulgaire plagiat. Bon, plus que 4 répliques…
- Trois…
-Deux…
-Une…
-…
-…
-…
-…
-Je crois que si on ne dit rien, ça ne compte pas. »
La porte s’ouvrit brusquement, accompagné d’un « Bonjour ! » d’une voix virile à la limite de la trivialité banlieusarde.
« Bonjour ! Vous êtes Alex Ares, je présume ? J’ai besoin de vous pour une enquête.
-En êtes-vous sûr ?
-Bien sûr, baby. Et là, en dessous, est-ce… une femme ? Eh, chérie, que faîtes-vous sous le bureau ? Ne me dîtes pas que vous seriez… en train de jouer à cache-cache ? *
-Vous me flattez, voyons… répondit Klo Ay toute rougissante.
-Et sinon, qui êtes-vous ? lança Ares, essayant de changer de sujet de justesse.
-Ne me reconnaissez-vous donc pas ?
-Bien sûr que si, mais on n’a eu aucune description de vous jusqu’alors et le lecteur aimerait bien savoir quand même. Surtout que vous m’avez tout l’air d’un horrible stéréotype du voyou de base.
-Je m’appelle Ray, oui monsieur, mais vous pouvez m’appeler Ray « Luke à Rio », vu que j’ai joué dans le film Luke à Rio. Je suis acteur.
-Une telle appellation est débile.
-Je sais. Enfin, je ne sais pas. C’est sûrement l’Inspiration Divine qui m’est venue.
-L’auteur, vous voulez dire. Bref, expliquez-moi votre affaire, voulez-vous ?
-D’accord. Alors, on m’a volé ma figurine préférée. Elle m’a coûté plus de 100 euros et elle représentait une infirmière dénud… en train de mettre son pyjama. Je soupçonne un des acteurs du film « La Chanson de Roland », adaptation libre du bouquin du même nom, d’être le coupable.
-Je vois. Pourquoi de tels doutes ?
-On s’en fout, c’est pas le sujet, vous n’allez pas me faire croire que quiconque sur Terre s’en soucie ? De toute manière, l’auteur n’y a pas réfléchi et a la flemme.
-Vous aussi, vous pouvez traverser la quatrième dimension ? demanda Alex, jaloux que cette capacité ne lui soit pas propre.
-Apparemment. C’est assez pratique, il faut bien l’avouer.
-Il y a beaucoup de parlotte pour l’instant, vous ne trouvez pas ? dit l'enquêteur. Même pas de sonnerie qui cherche du fromage dans mon frigo, c’est désolant.
-Ne vous inquiétez pas, c’est un passage de transition. Et arrêtez de parler de sonnerie et de fromage, c'est plus lourd que l'humour du premier one-shot.
-Sauf que là, nous ne disons rien d’utile à une quelconque transition.
-De toute manière, l’auteur dit que le chapitre est un chapitre de transition dès qu’il en publie un. »
___________
Alex Ares, Ray « Luke à Rio » et Klo Ay s’étaient ainsi dirigés vers les Studios Chome Chome où, après avoir rapidement passé un contrôle effectué par un gardien, ils étaient entrés dans le Studio 1, celui du tournage de la Chanson de Roland.
« -Un instant… La Chanson de Roland, le film, c’est bien ça, hein ? Vous ne m’aviez pas dit que c’était un porno.
-Je ne le savais pas. Et de toute manière, j’ai dit adaptation libre, qui s’en soucie ?
-Moi, par exemple. Je vous parie le cadavre d’As Saertti qu’en ce moment, la communauté des lecteurs est intégralement divisée en trois parties : ceux qui bavent sur leur écran en se demandant si l’auteur décrira des scènes de X, ceux qui ont quitté la page Internet par pudeur, et ceux qui ne font que survoler le texte pour vérifier sa longueur et défilent trop vite pour pouvoir happer un mot.
-Je ne parie jamais sur les morts.
-Vous devriez. »
L’enquête allait pouvoir commencer. Ray « Luke à Rio » repartit vers le studio de son propre film, laissant Alex Ares et Klo Ay faire leur boulot seuls, vu qu’il n’était pas intéressant comme personnage.
La pièce était uniquement décorée d’un papier peint rose et d’un lit pour cinq en carton plaqué matelas. Une actrice dénud… en train de mettre son pyjama se faisait maquiller pendant qu’un homme élégant, blond, à la fine moustache, portant un haut-de-forme noir, affublé d’une canne d’ébène sur laquelle il s’appuyait, restait dans un coin de la salle en attendant que les deux énergumènes viennent converser avec lui.
« -Bonsoir, mes chers, leur dit-il quand ils vinrent à sa rencontre.
-Euh… enchantée, répondit simplement Klo Ay alors qu’Alex Ares gardait le silence.
-Je me prénomme Georges Ducantel de Roy. J’ai déjà joué dans le film Lesb-Ami où je copulais avec 4 lesbiennes en même temps. C’était une expérience fort enrichissante, qui je l’espère m’aidera un jour à devenir député ou ministre, bien que je ne sache pas comment. D’ailleurs, l’une des quatre était la femme de mon patron, et une autre sa fille. Je doute qu’il le prenne bien, mais je n’y puis rien. La voie du succès ne pardonne que le succès, comme on dit à partir de maintenant. Bref, j’ai été pris pour jouer dans La Chanson de Roland, d’ailleurs la scène que je m’apprête à jouer est basée sur cet extrait :
[NON, CECI N’EST PAS UN PLAGIAT. C’EST UNE REFERENCE]
« La bataille est prodigieuse et s’étend de toutes parts. Le comte Roland se dépense sans compter. Il frappe de son épieu aussi longtemps que la hampe résiste. Mais que quinzième coup, la voilà brisée et inutilisable. Alors, il met à nu Durendal, sa bonne épée. Il éperonne son cheval et court frapper Chernuble. Il brise son casque brillant d’escarboucles, coupe à la fois sa coiffe et ses cheveux, tranche son visage entre deux yeux, sa cuirasse blanche aux fines mailles et son corps tout entier jusqu’à l’entrejambe. Traversant la selle incrustée d’or [nb : carton plaqué or pour les besoins du film], la trajectoire de l’épée s’arrête au cheval, puis elle tranche son échine sans se soucier de chercher la jointure et Roland l’abat raide mort sur l’herbe drue du pré. […] Le comte Roland traverse le champ de bataille avec Durendal qui tranche et taille vivement. » Vaste programme, n’est-il pas ? Maintenant, au lieu de répondre aux questions que vous allez poser, et plutôt que de jouer cette scène du film, je vais repartir dans ma propre dimension, afin de rabattre son caquet à un commentateur qui conteste l’existence de plusieurs dimensions. Si vous vouliez bien m’excuser...
-Un instant ! cria soudain Klo Ay.
-Oui, ma chère ?
-Comment comptiez-vous adapter la scène que vous nous avez décrite en X ?
-C’est très simple : Je joue Durendal. »
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« -Ma chère Klo, j’ai bien peur que notre petite conversation avec M.Ducantel de Roy se soit révélée entièrement futile et inintéressante.
-Mon cher Alex, j’ai bien peur que vous ne commenciez à parler comme lui.
-Bref, maintenant que le studio 1 s’est révélé tout aussi futile et inintéressant, passons au studio n°2. »
Le studio n°2 représentait un cimetière. Des tombes plantées les unes derrière les autres, sous une atmosphère oppressante, rance, fétide, de moisissure, de mort. Un spectacle d’horreur qui ferait frémir même Alex Ares.
« -Excusez-moi… Je pourrais vous parler ? cria-t-il dans les oreilles du metteur en scène.
-Non, répliqua celui-ci, fort énervé de cet énergumène qui prenait place aussi singulièrement dans un tel décor. Et oui, l’auteur aussi commence à parler comme Georges Ducantel de Roy.
-Vous êtes en train de me parler là, continua le détective tout en hurlant au tympan du pauvre homme.
-Oui mais non.
-Vous tournez quel film ?
-La Nuit Chaude des Morts-Vivants.
-La Nuit des Morts-Vivants… Attendez, la nuit chaude ?
-Oui. Maintenant, taisez-vous, l’invectiva le metteur en scène particulièrement en colère.
-Vous êtes en train de tourner un film nécrophile ?
-Il faut de tout pour faire un monde, ajouta simplement Klo Ay que l’on avait pas entendue depuis 9 répliques.
-En effet, avoua l’homme, gêné. Maintenant, si vous n’êtes ici que dans le but de me chercher des noises, veuillez sortir immédiatement.
-Donc, ça veut dire que si l’on vous aide, on pourra vous poser quelques questions ?
-Euh… oui…
-Très bien, dit soudainement Alex Ares d’un ton retenu et bref, bien que vif. Ma petite Klo, je vous prierais d’aller me chercher le cadavre d’As Saertti. »
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« -Vous vouliez me poser quelques questions ?
-En effet. Que savez-vous du vol de la figurine d’infirmière de M. Ray « Luke à Rio » ?
-Ah, ça ? C’est moi qui l’ai volée.
-Vous êtes en train d’avouer votre crime à des détectives sur un air tout naturel.
-Vous êtes des détectives ? Je croyais que vous étiez des receleurs de cadavres.
-Non non, nous sommes des détectives. Mais si vous insistez, on pourra faire tourner votre cadavre un jour.
-Merci bien. »
« Et comme les policiers n’allaient pas pouvoir sortir de nulle part, vu qu’un studio de cinéma n’est pas nulle part, contrairement à une épicerie avec un paysan et une sonnerie qui vole du fromage dans un frigo, Klo Ay dut utiliser ses compétences de karaté pour battre le grand méchant et recevoir de l’argent de la part des policiers et copuler avec Alex Ares dans le studio 1. » Voilà ce qu’aurait été la fin accélérée d’une véritable fiction. Cependant, ce texte étant un gros bordel, aussi bien scénaristiquement que par rapport au premier one-shot, la véritable fin était toute autre :
Klo Ay leva soudain ses bras et sa jambe droite, les soulevant le plus haut possible, suite à quoi elle rabaissa sa jambe et entreprit de faire des tours circulaires répétés avec ses bras dans le vide. Au bout de quelques secondes apparut derrière elle un arrière-plan de galaxie dessinée grossièrement et tenu par deux zombies qui passaient par là. Enfin, elle arma son poing droit, tendit le bras gauche, et relança l’autre en criant d’une voix fière : « Pegasus… Ryû-Sei Ken ! »
Et rien ne se passa. Le metteur en scène prit un couteau et trancha la tête de Klo Ay avant de rajouter son corps dans le lot des figurants, puis il brandit la figurine d’infirmière en train de mettre son pyjama qui fit saigner Alex Ares du nez. Il le laissa allongé par terre, seul, la face livide, exsangue, en train de se vider de son sang par les voies nasales avant de mourir.
C’est alors que l’Inspiration Divine décida de ressusciter Alex car il le fallait bien, puis elle transporta tout ce que contenait le texte jusqu’alors en Ardèche, car l’Ardèche ne se situe nulle part, et les policiers purent ainsi sortir de nulle part et arrêter le criminel qui n’avait fait que voler une figurine (et décapiter une femme, mais c’est négligeable).
Ensuite, l’Inspiration Divine fit réapparaître devant Alex Ares la figurine de l’infirmière, ce qui le fit ressaigner et mourir de nouveau, puis elle lui rendit la vie, puis elle recommença ce petit manège jusqu’à ce que ça ne l’amuse plus, et comme un texte aussi raté par rapport au premier doit comporter une fin ratée et que l’Inspiration Divine est sadique, elle décida qu’elle ne s’en lasserait jamais.
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« En Quêtes d’Enquêtes 2 , c’est comme Genshiken 2, ça a l’air mieux que Genshiken mais en fait c’est la loose. » (Non, ce n’est pas du
Pascal)
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Liste des références :
-Pensées de Blaise Pascal
-La Désencyclopédie
-Bleach de Taito Kubo
-Final Fantasy
-La Chanson de Roland
-Le McBrawl.
-Gintama de Hideaki Sorachi
-Bel-Ami de Guy de Maupassant
-Le commentaire d’Alex
-Saint Seiya de Masami Kurumada
-Genshiken/Genshiken 2 de Kio Shimoku
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Et-et-et-et voilà.
Je suis ouvert à tout commentaire positif, élogieux, mélioratif ou adoratif.
Le reste, je ne le prendrai pas en compte.
"Quelque chose comme une belle et grande femme aux cheveux blonds" Ce sont des cheveux blancs.
Sinon, c'était bien, un peu incompréhensible et gros foutoir, mais c'est bien quand même.
(Je suis morte d'une manière encore plus débile que les morts que fait Alex dans sa fic. )
"elle se trouve en Ardèche, il y a de tout d’ailleurs en Ardèche, sauf Internet)"
"« -Il ne pourrait pas nous arriver quelque chose qui sorte de l’ordinaire, comme… l’esprit d’un Zanpakutô qui apparaîtrait ?
-Je ne savais pas que vous lisiez des mangas… Quelque chose comme une belle et grande femme aux cheveux blonds ?
-Non, plus comme un vieillard binoclard avec des habits de SDF… Enfin, passons. Imaginons quelque chose de plus commun mais aussi peu probable, comme la porte qui s’ouvrirait d’un coup avec un autre client derrière"
On ne comprend pas qui parle
"De plus, si j’ai dit que la porte s’ouvrirait sur un nouveau client, c’est parce que c’était indiqué sur le script qu’il arrivera 6 répliques plus tard."
J'adore toujours autant cette petite touche d'auto-dérision
"- Trois…
-Deux…
-Une…
-…
-…
-…
-…
-Je crois que si on ne dit rien, ça ne compte pas. »"
OMG
"-Vous me flattez, voyons… répondit Klo Ay toute rougissante."
C'est vrai que blanchissante, ça aurait fait louche
" Luke à Rio"
Humour vaseux mais efficace
"-Je vois. Pourquoi de tels doutes ?
-On s’en fout, c’est pas le sujet, vous n’allez pas me faire croire que quiconque sur Terre s’en soucie ? De toute manière, l’auteur n’y a pas réfléchi et a la flemme.
-Vous aussi, vous pouvez traverser la quatrième dimension ?
-Apparemment. C’est assez pratique, il faut bien l’avouer.
-Il y a beaucoup de parlotte pour l’instant, vous ne trouvez pas ? Même pas de sonnerie qui cherche du fromage dans mon frigo, c’est désolant."
Un peu confus ce passage, et au final pas si drole
"-De toute manière, l’auteur dit que le chapitre est un chapitre de transition dès qu’il en publie un. »"
"Vous ne m’aviez pas dit que c’était un porno."
Ca promet
"la communauté des lecteurs est intégralement divisée en trois parties : ceux qui bavent sur leur écran en se demandant si l’auteur décrira des scènes de X, ceux qui ont quitté la page Internet par pudeur, et ceux qui ne font que survoler le texte pour vérifier sa longueur et défilent trop vite pour pouvoir happer un mot."
Perspicace
" vu qu’il n’était pas intéressant comme personnage"
Je plussois.
"[NON, CECI N’EST PAS UN PLAGIAT. C’EST UNE REFERENCE]
« La bataille est prodigieuse et s’étend de toutes parts. Le comte Roland se dépense sans compter. Il frappe de son épieu aussi longtemps que la hampe résiste. Mais que quinzième coup, la voilà brisée et inutilisable. Alors, il met à nu Durendal, sa bonne épée. Il éperonne son cheval et court frapper Chernuble. Il brise son casque brillant d’escarboucles, coupe à la fois sa coiffe et ses cheveux, tranche son visage entre deux yeux, sa cuirasse blanche aux fines mailles et son corps tout entier jusqu’à l’entrejambe. Traversant la selle incrustée d’or [nb : carton plaqué or pour les besoins du film], la trajectoire de l’épée s’arrête au cheval, puis elle tranche son échine sans se soucier de chercher la jointure et Roland l’abat raide mort sur l’herbe drue du pré. […] Le comte Roland traverse le champ de bataille avec Durendal qui tranche et taille vivement. » Vaste programme, n’est-il pas ? Maintenant, au lieu de répondre aux questions que vous allez poser, et plutôt que de jouer cette scène du film, je vais repartir dans ma propre dimension, afin de rabattre son caquet à un commentateur qui conteste l’existence de plusieurs dimensions. Si vous vouliez bien m’excuser..."
Il n'y a bien que toi pour tourner un texte historique en texte érotique
"-Vous êtes en train de tourner un film nécrophile ?"
Need lien
"Klo Ay dut utiliser ses compétences de karaté pour battre le grand méchant et recevoir de l’argent de la part des policiers et copuler avec Alex Ares dans le studio 1"
Elle est chaude Nek là
"et trancha la tête de Klo Ay"
Non tu n'as pas osé
"et les policiers purent ainsi sortir de nulle part "
J'adore ce trait de génié, franchement
Cette idée du nulle part que tu avais inutilement exposé une dizaine de lignes avant prend tout son sens
"Ensuite, l’Inspiration Divine fit réapparaître devant Alex Ares la figurine de l’infirmière, ce qui le fit ressaigner et mourir de nouveau, puis elle lui rendit la vie, puis elle recommença ce petit manège jusqu’à ce que ça ne l’amuse plus, et comme un texte aussi raté par rapport au premier doit comporter une fin ratée et que l’Inspiration Divine est sadique, elle décida qu’elle ne s’en lasserait jamais."
Ca c'est de la fin originale.
Conclusion: J'adore encore, j'ai pas aimé le scénario (encore moins que le premier), mais l'humour noir et complexe est tout bonnement exellent
(C/C du MP)
DDB Alex pour c/c de MP.
Up.
Deuxième up.
Bon, je me croyais sur le forum de SSBB, par sur celui des alcoliques depressifs.
Bon, blague pourites mises à part, c'est quand même moins drole que le premier, avec encore moins de logique. Peut-être que t'a voulu trop faire un truc décalé.
Je crois que je suis tombé dans le piège de "mettre des références pour mettre des références".
En effet. Que savez-vous du vol de la figurine d’infirmière de M. Ray « Luke à Rio » ?
-Ah, ça ? C’est moi qui l’ai volée.
Jay compris "violée"
Sinon j'aime bien, surtout la blague sur l'Ardèche
Y a des moments où j'ai pas vraiment compris parce que c'était le bordel.
Mais l'humour rattrape ce mauvais point
Sinon j'pense qu'Alex à tout dit
J'ai adoré, rien à dire. Particulièrement le "Luke à Rio" et l'Inspiration Divine qui fait saigner Alex du nez jusqu'à ce qu'il en meurt.
Je réclame un troisième One Shot.
Non, c'est fini là, je ne me lasserai jamais de tuer Alex.
Si ça t'amuses...