Surtout, ne cherchez pas à comprendre, c'est trop compliqué, et pour vous et pour moi.
Donc, bonne lecture aux quelques-uns qui l'attendaient, bonne découverte aux autres. :D
(sachez qu'il n'y a pas besoin d'y connaître quoi que ce soit au Magnumisme pour apprécier)
« L’homme s’appelle Bozo, le plus comique nom de la nature; mais c’est un Bozo pensant. »
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La sonnerie… sonna. Tant mieux. C’aurait été un problème autrement plus grave si elle meuglait ou allait se servir en fromage dans le frigo. La sonnerie donc, se contentant de remplir sa fonction première, sonna. La porte s’ouvrit sur un homme imposant, habillé d’un imperméable noir. Son regard inspirait la crain… non, la pitié plutôt. Il était recroquevillé sur lui-même, malgré sa corpulence. Il resta ainsi plusieurs secondes sans parler en vacillant avant d’ouvrir une bouche aux lèvres tremblantes, balbutiant d’une voix féminine :
« J’ai… J’ai besoin de vous.
-Une enquête ? demanda un autre homme, qui se tenait derrière un bureau de carton plaqué marbre.
-Comment le savez-vous ? questionna le premier, les yeux écarquillés.
-Eh bien… c’est le métier que j’exerce. Je suis enquêteur, vous savez. D’ailleurs, le titre de ce texte serait ridicule s’il était question de sonnerie en train de se servir en fromage dans mon frigo.
-Ah. Je vois. Comme je le disais, j’ai besoin de vous… Alex Ares. »
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L’homme était reparti. Alex Ares avait croisé ses bras sur son bureau de carton plaqué marbre -qui manqua de s’écrouler – le regard animé d’une violente lueur, composée d’excitation et de goût du danger. Une fois que la porte claqua, une femme aux cheveux bruns mi-longs mi-courts mi-ratés ressortit de sous le bureau.
« -Me revoilà, M.Ares., lança-t-elle toute souriante.
-Klo… Klo Ay ? Mais… que faisiez-vous sous le bureau ?
-N’est-ce pas évident ? Je jouais à cache-cache !
-Cache-cache… Je comprends. Je crois. J’imagine que je l’aurais ressenti sinon…
-De quoi parlez-vous ? demanda-t-elle, la face interloquée, témoignant d’une candeur et d’une naïveté qui ne pouvaient que faire sourire maladroitement Alex Ares.
-Bref, nous avons une nouvelle affaire sous les bras. Un meurtre, encore un. C’est navrant de voir à quel point le nombre d’homicides a augmenté dans notre monde depuis l’invention du roman policier et de la venue de l’inspecteur Mairrick. Bref, dans notre cas, il ne s’agit pas d’un homicide… mais d’un homocide.
-Un homocide ? Quelqu’un qui aurait assassiné plusieurs homosexuels ? s’exclama Klo Ay, une expression horrifiée sur le visage, sa fierté d’anti-homophobes prenant le dessus.
-Non, un seul en fait.
-Alors, pourquoi qualifiez-vous ceci d’homocide ? Ce n’est peut-être qu’une coïncidence…
-Non, et j’en ai la preuve, répliqua Alex Ares sur un ton supérieur.
-Ah bon ? Et quelle est-elle ?
-TAKE THAT ! cria-t-il soudain d’une voix tonitruante tout en pointant un index accusateur vers sa secrétaire. »
Car en effet, Klo Ay était sa secrétaire, bien que l’auteur ne l’ait pas encore précisé jusque là. C’est une nouvelle figure de style, l’assartisme, qui consiste en fait à dissimuler une tare grammaticale par une tentative ratée d’humour car l’auteur ne trouve nulle part où placer l’idée en question avant ce passage du texte.
« -Et… que suis-je censée prendre exactement ? demanda la secrétaire.
-Ah, oui, c’est vrai. Quand la preuve est immatérielle, il est assez compliqué de la lancer aux gens. Je disais donc, l’homme qui est venu me voir m’a dit qu’il avait tué la victime car elle était homosexuelle, lâcha finalement le détective, détournant les yeux, fuyant le regard acéré de la femme suite à son échec.
-D’accord. Alors, qu’avons-nous comme indices pour… UN INSTANT !
-Vous voulez que je témoigne ?
-Non, seulement que vous me laissiez parler. Vous venez de dire que l’homme qui vient de sortir a tué la victime, non ? Alors pourquoi devrions-nous mener une enquête ?
-Il est effrayé par les policiers et refuse d’aller au commissariat par lui-même. Il veut que nous le dénoncions nous-mêmes à la police.
-C’est ridicule ! Il vous payera au moins ?
-Ce n’est pas encore prévu, mais il le fera, pour sûr. Je suis persuadé qu’il a prétendu être le coupable de cet homocide afin de protéger un proche. De toute manière, c’est pareil dans tous les épisodes de Mairrick.
-Vous voulez donc que j’enquête sur sa famille ? Ce sera fait tout de suite, je vous ramène l’arbre généalogique détaillé de sa lignée dans moins de cinq minutes !
-Non… Ce n’est pas la peine, finit par déclarer Alex Ares. Une telle débâcle atavique ne sera pas nécessaire, surtout vu la faiblesse de l’homme en question. Nous allons plutôt commencer notre enquête… à l’épicerie du coin. »
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« -Aga. Tu sais, j’étois au bard de la mare avac le gros Lucas, et je batifolois avac lui, vu que le gros Lucas, il aime batifoler, et là, je le voyois fixiblement, et pis tout d’un coup je voyois que je voyois plus rian, et je tomba dans la tarre près de la mare, et j’étois tout sale, et…
-Bonjour, monsieur. Est-ce que je pourrais vous acheter du fil de pêche ? déclara Alex Ares en entrant dans l’épicerie suivi de son assistante, vêtu d’un imperméable brun ne le rendant que plus louche.
-Eh bian, nan, je ne crois pas, dit l’épicier en tournant brièvement son regard vers le duo avant de reprendre sa conversation avec un de ses habituels. »
Sans un mot de plus, le regard droit, la bouche dévoilant un léger rictus de victoire, il sortit de la boutique, suivi docilement de son éternelle assistante. Celle-ci, une fois dehors, lui demanda ce qu’il avait découvert. Sa réponse était sans appel et sans équivoques :
« J’ai trouvé le coupable. »
_________
« -Le… le coupable ? Déjà ? Alors que vous n’avez aucun résultat ?
-Aucun résultat ? Bien au contraire, ma chère Klo. Le résultat est là où il doit se trouver justement. Il n’y a plus de fil de pêche en vente ! annonça-t-il d’une voix puissante.
-Et où voulez-vous en venir ?
-Mais c’est évident, bien sûr ! Le meurtrier qui a utilisé ce fil de pêche n’est autre que… la terrible Ombre Noire !
-L’Ombre Noire ?! Vous voulez parler de l’Ombre Noire ?! …Attendez, qui est l’Ombre Noire ?
-N’est-ce pas évident ? C’est le terrible malfaiteur de tous les meurtres de Meitantei Conan ! La voilà, l’horrible Ombre Noire ! *
-Et pourquoi pensez-vous que c’est l’Ombre Noire qui a utilisé le fil de pêche ?
-Pour la seule et unique raison qu’elle utilise des fils de pêche pour commettre des meurtres dans chaque tome sans que quiconque ne se doute de sa culpabilité ! C’est devenu sa marque de fabrique !
-Mais il serait aussi possible que quelqu’un ait simplement acheté ce fil de pêche pour aller au lac !
-C’est tout aussi ridicule. Nous nous trouvons dans un pays imaginé par l’auteur où il n’y a pas de lac, ni d’étang, ni rien du tout.
-Mais l’épicier tout à l’heure a affirmé qu’il était tombé près de la mare !
-Oh, ça ? N’y prêtez pas attention, ce n’est qu’une tentative désespérer de l’auteur pour remplir le quota de références et faire croire que le texte est recherché.
-Il l’affiche clairement d’ailleurs. L’effet est… remarquable.
-En effet. D’ailleurs, s’il ne voulait pas qu’on la voie, il aurait supprimé ces quelques lignes plutôt que me laisser continuer à parler. C’est désespérant, les lecteurs vont commencer à trouver cet humour pittoresque fort lourd. Sans compter ceux qui pensent que la faute à « désespérés » deux répliques plus tôt étaient des fautes d’inattention. Bref, maintenant que nous avons gagné de la place dans le texte, rentrons dans l’épicerie.
-Nous y rentrons à nouveau ? Pourquoi nous en sommes-nous sortis alors ?
-Pourquoi en êtes-vous sortie, vous ?
-Je vous suivais, déclara-t-elle sur un ton revêche.
-Disons que… que je… que je poursuivais mon destin alors, déclama simplement Alex Ares qu’il reprit place sur le seuil de la porte. »
_________
Alors que le détective caressait doucement la poignée de carton plaquée or, sachant que le moment d’ouvrir la porte n’était pas encore arrivé dans le script, une main se posa sur son épaule gauche, manquant de le faire sursauter – en fait, non, car c’était prévu, ça. Une figure souriante s’offrit à lui, soulignée par des dents jaunes non lavées depuis plusieurs semaines.
« -Serait-ce… As Saertti ?
-Evidemment, mon cher Ares. Que croyiez-vous donc ?
-Rien du tout, franchement. Cet humour raté commence vraiment à exaspérer le lecteur. Vous pouvez partir, ici et maintenant.
-Mais… ne vous rappelez-vous donc pas ? Je suis utile à l’intrigue à partir de maintenant !
-Ah, c’est vrai… Néanmoins, vous sortez de nulle part, et en plus, on ne sait rien de plus sur vous que votre sourire dégueulasse.
-Très bien, je me présente alors. Je m’appelle As Saertti, j’aime les petites choses, les jeux vidéo, la lecture, l’animation japonaise, je suis Capricorne, mon groupe sanguin est O+, je…
-Votre sourire dégueulasse suffira parfaitement. Bon, entrez-vite que je puisse faire de même et que le lecteur se retrouve enfin face au dévoilement de la vérité ! »
Et ils entrèrent.
Devant eux se tenaient l’épicier, et le client de dos. Celui-ci conversait tranquillement avec le commerçant de fixiblité, de tarre et du gros Lucas. Très vite, As Saertti sortit un haut-de-forme de… sortit un haut-de-forme tout simplement, qu’il posa délicatement avant de s’avancer vers les deux compères.
Alex Ares restait en retrait, devant l’entrée. Il fit un rapide signe à Klo Ay, qui se posta devant la porte à sa place, alors que lui se cacha derrière un bac de légumes, enleva son pantalon l’espace de quelques secondes, puis le remit discrètement en le sortant.
« -La manœuvre est faite. Il ne me reste plus qu’à dénoncer l’identité de l’Ombre Noire ! »
Après un silence de quelques secondes, As Saertti commença à parler. Le marchand et son hôte s’arrêtèrent soudain pour l’écouter dans l’une des introductions de personnages les plus ridicules qui me soient venues à l’esprit d’écrire. Aucun bruit ne troublait l’atmosphère grave de la pièce, autre que le couinement d’une sonnerie qui était en train de se servir en fromage dans les réserves de l’épicerie. Le seul mouvement notable, hors les cent pas du garçon aux dents jaunes, était une série de va-et-vient derrière les fesses d’Alex Ares.
Ares se servait de son dildo-émetteur, qui transmettait ses paroles vers un récepteur situé dans le chapeau de Saertti. Oui, Alex Ares était analoque.
_________
« Nous avons la preuve, expliquée dans les parties antérieures, que nous ne citerons pas pour ne pas emmerder le lecteur, que le meurtrier était l’Ombre Noire, crachouillait l’émetteur ridiculement inefficace. Eh bien, ce meurtrier… c’est donc moi ! »
Saertti pointa son doigt vers lui-même de façon grotesque. Plusieurs secondes passèrent. Tout-à-coup, il se tourna vers Alex Ares, lui hurlant de lui expliquer ce qui se passait.
« -C’est très simple en réalité… l’Ombre Noire, c’est vous Saertti ! Rien d’autre ne pouvait expliquer votre arrivée impromptue sur le lieu du crime, si ce n’est que vous avez paniqué en apprenant ma venue et que vous vous êtes rapatriés ici afin de vous assurer de votre sécurité !
-C’est ridicule. C’est l’excuse la plus ridicule que j’ai entendue de la part d’un auteur qui ne comprend rien à l’affaire qu’il décrit lui-même. Même Mairrick fait mieux. »
Deux policiers sortirent soudain de nulle part (les policiers sortent toujours de nulle part) afin de menotter Saertti. Celui-ci, dans un dernier élan de rage, cria au Ciel :
« -ASSARTY ! JE T’AURAIS UN JOUR ! Oh, attendez, c’est moi… »
_________
Le lendemain, le mystérieux individu qui avait prétendu tuer la victime revint au domicile d’Alexares. Il claqua par inadvertance la porte, faisant réellement chuter le bureau de carton plaqué marbre.
« -Euh, bonjour, euh… excusez-moi… En fait, l’homme que vous avez mis en prison, ben, euh, en fait, euh… c’était un innocent… C’est vraiment moi qui ai tué la victime homosexuelle, là, vous savez… »
Alex Ares fit un rapide aparté en faisant sortir sa collègue de sous le bureau, avant de lui dire :
« -Voyez, Mlle Ay, comme les péripéties d’hier nous ont amené un nouvel élément d’enquête ! Cette affaire vient d’être résolue par moi-même ! L’exécution d’As Saertti n’était qu’un malheureux contretemps, puisque la vérité vient d’éclater au grand jour ! Cet homme est coupable, appelez la police, voulez-vous ?
-C’est plutôt vous qu’on devrait dénoncer à la police. »
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« Les hommes sont distingués par leur appareil rectal […], mais cela est très raisonnable. »
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Liste des références :
-Pensées de Blaise Pascal.
-Le Magnumisme ( )
-Le 15-18.
-Derrick et Maigret.
-Gyakuten Saiban/Kenji
-Dom Juan de Molière
-Meitantei Conan de Gôsho Aoyama
-Ano Hi Mita Hana no Namae wo Bokutachi wa Mada Shiranai (je sais, c’est très dur de placer un passage « drôle » sur une œuvre aussi triste.)
-Gintama de Hideaki Sorachi
-Reiton Kyouju
Et voilà, ce fut vraiment dur d’écrire un OS pareil, surtout que le comique, c’est pas du tout mon style (j’ai eu un « éclair de génie » avec un HS sur le McBrawl, mais sinon rien), mais d’un autre côté, ce fut un réel plaisir vu je l’ai écrit en l’espace de 2 jours, ce qui n’est pas rien du tout par rapport à mon rythme de publication, surtout que j’y ai passé 4 heures en moyenne. De ce point de vue là, j’admire Alex et ses 3 pages par jour. 0.0
Sinon, j’espère que vous avez aimé, ce qui est sûr, c’est que je ne réécrirai sûrement pas de trucs comme, trop long, trop épuisant, résultat trop médiocre au final.
PS : Nek, j’ai menti.
First + Je lis !
Nan stop, je peux pas bider avec ça !
Ah ok mon fail.
Pfiou, c'est... pas exactement comme je l'avais imaginé.
Je pensais que ça allait davantage être axé sur le Magnumisme, en fait.
Mais j'ai bien aimé, en tous cas ! Ton humour est sympa et le texte est fluide, on prend réellement du plaisir à lire le texte.
Swee... ah non en fait.
Tu peux pas imaginer à quelle point ta première phrase était flippante pour moi. 0.0
Mais merci.
J'ai bien aimé, et j'ai bien ri
Ton humour, bien que le qualifie de lourd, est très bon, pour moi en tout cas.
Je n'ai pas vu de faute, et le texte se lit bien, les références rendent le texte encore plus drôle et meilleur à lire
En bref, c'est un bon texte.
"-TAKE THAT ! cria-t-il soudain d’une voix tonitruante tout en pointant un index accusateur vers sa secrétaire. "
"-D’accord. Alors, qu’avons-nous comme indices pour… UN INSTANT ! "
J'ai comme l'impression d'avoir déjà lu ça quelque part, mais je sais plus où...
+ je lis
Gyakuten Saiban Rey, Ace Attorney si tu préfères.
Waaaaah, trop coooool ...
Mais c'est génial !!
J'ai pas compris le truc avec Bozo au début . Ca sert à quoi ?
Sinon on rit bien: "on ne sait rien de plus sur vous que votre sourire dégueulasse", est ce qui m'a fait le plus rire: noel: .
Sinon, je pense qu'on croyait tous qu'Alex était en train d'chier dans le bac à légumes . Mais on a mieux compris après .
Mais elle est où la référence à Dom Juan?
Ass l'ironie tu connais?
Bien sur que je m'en souvenais, le noel était la pour le prouver
+ GG, mais c'est totalement perché comme truc
Le coup de Bozo (ainsi que la phrase finale) sont des parodies d'extraits des Pensées. :oui
Et la référence à Dom Juan, c'est l'épicier (dans l'oeuvre originale Pierrot le paysan qui parle aussi du gros Lucas qui batifole et de la "tarre" près de la mare)
Franchement Rey, t'aurais fait un truc sérieux avec un tel thème ?
Ah baah ouiiii, j'ai pas tilté !! Enfin, je pense avoir tilté un peu quand j'ai lu le passage, mais je m'en souvenais plus .
j'en sais rien, a vrai dire je sais absolument pas ce que j'aurais fait
Fallait en faire des sushis.
+ Si tu trouves ton humour lourd, ben j'adore l'humour lourd .
"-Klo… Klo Ay ? Mais… que faisiez-vous sous le bureau ?
-N’est-ce pas évident ? Je jouais à cache-cache ! "
OMG, en plus ça colle tellement à son caractère
"dans notre monde "
Pas terrible comme tournure de phrase à l'oral à moins de parler de dimensions paralleles, car à dernière nouvelle il n'y a qu'un monde
"Car en effet, Klo Ay était sa secrétaire, bien que l’auteur ne l’ait pas encore précisé jusque là."
J'ai toujours aimé les petites références d'auteur inside
"-Il est effrayé par les policiers et refuse d’aller au commissariat par lui-même. Il veut que nous le dénoncions nous-mêmes à la police. "
Joli scénario, c'est moins banal que ça pourrait en avoir l'air
"Une telle débâcle atavique "
Les gens connaissant le mot "atavique" son rare de nos jours, j'ai eu le malheur de le mettre dans une expression écrite, et ma prof de Français me l'avais barré...
"-C’est tout aussi ridicule. Nous nous trouvons dans un pays imaginé par l’auteur où il n’y a pas de lac, ni d’étang, ni rien du tout."
Jerry de mon caractère
"-Il l’affiche clairement d’ailleurs. L’effet est… remarquable. "
Pour la modestie on repassera...
"Bon, entrez-vite que je puisse faire de même et que le lecteur se retrouve enfin face au dévoilement de la vérité "
L'enquête est un peu la dernière chose qui m'interesse, mais c'est l'effet recherché j'imagine.
« -Euh, bonjour, euh… excusez-moi… En fait, l’homme que vous avez mis en prison, ben, euh, en fait, euh… c’était un innocent… C’est vraiment moi qui ai tué la victime homosexuelle, là, vous savez… »
"Alex Ares fit un rapide aparté en faisant sortir sa collègue de sous le bureau, avant de lui dire :"
n'empeche, rien n'égale les bienfaits d'une bonne secrétaire
"j’admire Alex et ses 3 pages par jour"
Les jours de cours seulement 2, mais le week-end je tourne entre 5 et 10
Conclusion: J'ai adoré, cet humour et cette originalité est tout bonnement génial. On peut dire que c'est loin d'être bateau
Humour spécial sur un thème très dur à exploiter, mais parfaitement réalisé, je te félicité, c'est du beau boulot
OUF.
Un des deux principaux intéressés qui apprécient.
Plus que l'autre.
Je suis emballé