Alors, voilà, hein, faut pas dire ça .

Ce qui marque aussi quand on connaît l'annimé, c'est le générique pourri qui arrache les oreilles

Alex n°2 Le générique de Dorothée ?

Chapitre 75 : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1772912-271-0-1-0--fic-la-revanche-de-taboo.htm#message_1959590
Chapitre 76 : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1772912-274-0-1-0--fic-la-revanche-de-taboo.htm#message_1970068
Chapitre 77 : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1772912-277-0-1-0--fic-la-revanche-de-taboo.htm#message_1975205
Chapitre 78 : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1772912-283-0-1-0--fic-la-revanche-de-taboo.htm#message_1984871
Chapitre 79 : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1772912-285-0-1-0--fic-la-revanche-de-taboo.htm#message_1989859
Chapitre 80 : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1772912-288-0-1-0--fic-la-revanche-de-taboo.htm#message_2001132
Chapitre 81 : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1772912-290-0-1-0--fic-la-revanche-de-taboo.htm#message_2004913
Chapitre 82 : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1772912-291-0-1-0--fic-la-revanche-de-taboo.htm#message_2009764
Chapitre 83 : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11482-1772912-293-0-1-0--fic-la-revanche-de-taboo.htm#message_2019932

Voilà voilà ! /
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Par la rémige du Pygargue !

Ah cool merci
Sinon, il est mort Kirby ?

VG Mystère, mystère...
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Par la rémige du Pygargue !

Pauvre petite chose tombée dans l'oubli

VG: Non, il est juste en otage.

Appel à toutes les unités : rendez-vous dans cinq minutes sur le forum pour cause de surprise géante. \ /
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Par la rémige du Pygargue !

Voila j'ai tout lu

Et voici mon grand retour ....

Et...SURPRISE !

Ah ben non...

Faudrait que j'avance dans TI, moi...

Et 'faut que j'avance dans cette fic, moi.
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Par la rémige du Pygargue !

Chapitre recopié ! /

Je relis et poste ce soir.
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Par la rémige du Pygargue !

J'aime bien Peto qui parle tout seul

Palabrer avec moi-même ? Vraiment ?

Chapitre 84 : Interrogatoire

Résumé : Du côté de Dream Land, l'affaire est arrangée : Alex, Ethan et Lucas ont même l'occasion de régler leurs différends avec Roi Dadidou, acolyte de Taboo impliqué dans l'affaire du Stade Suspendu. Pendant ce temps, X3 et le Général arrivent aux portes d'Eagleland, où ils sont accueillis par un Petoline dans tous ses états.

« Vous... vous êtes bien le Général de la Police Suspatiale ? Mais que... »

L'architecte d'Eagleland resta pantois face à cette apparition inattendue. Que faisait cet illustre personnage ici ? Cela faisait plusieurs années qu'il ne s'était pas déplacé jusqu'au royaume, alors pourquoi venait-il là au moment où tout semblait aller pour le mieux ?

« Bien le bonjour jeune homme, salua le visiteur. Auriez-vous l'amabilité de me conduire jusqu'à Bridgess ? Je vous remercie. »

Petoline regarda successivement le Général, le commandant, et enfin le groupe de soldats armés derrière eux. Sa bouche entrouverte reflétait parfaitement sa stupéfaction.

« Heu...bonjour, finit par répondre l'adolescent. Bridgess est temporairement absente pour une durée indéterminée, mais je peux vous recevoir. Quel est le motif de votre visite ? »

L'architecte avait beau s'efforcer de paraître poli et de donner bonne impression, on décelait aisément chez lui une certaine fébrilité. Détail qui n'échappa pas à la vigilance du commandant et du Général.

« Nous aimerions nous entretenir un peu avec elle. Mais puisqu'elle n'est pas là... pouvez-vous vous identifier ?
- Je suis Petoline, architecte du royaume. Pourquoi cette question ?
- Ah, vous êtes le conjoint de la dirigeante ! Voilà qui simplifiera les choses. Je ne vous cacherai pas que nous nous posons quelques questions sur Eagleland, depuis l'affaire Goldtown.
- Si c'est ça, vous tombez plutôt bien, vu que Bridgess est absente et qu'elle est la seule à avoir un contact avec l'extérieur ! Souhaitez-vous vous mettre au chaud ?
- Ce n'est pas de refus. Nous...
- Monsieur Petoline ! Monsieur Petoline ! »

L'interpellé tourna sa tête vers la voix qui l'appelait. Derrière lui, il vit Luigiteckel, qui courait vers lui aussi vite que ses chaussures à talons le permettaient. Quand elle fut près de lui, elle s'arrêta.

« Qui sont ses gens ? Comment va votre blessure ? Que...
- Un peu de respect, je te prie ! Je te présente le Général de la Police Subspatiale, qui s'est déplacé en personne pour venir voir Bridgess.
- Ah ! Je suis confuse, s'excusa la jeune femme en rougissant et en baissant la tête. Désolée d'avoir été si brusque avec vous.
- Il n'y a pas de mal, pardonna le colosse en souriant généreusement. Votre compagnon nous invitait justement à discuter à l'intérieur. Vous joindriez-vous à nous ?
- Moi ? Mais je ne suis qu'une infirmière, je ne le mérite pas... refusa l'adolescente dont les pommettes prenaient peu à peu une teinte écarlate.
- Allez, ne fais pas ta timide ! la pria Petoline. Tu n'as pas d'autre patient, si ce n'est Death qui est sous la responsabilité d'Al. Et puis tu pourras vérifier si ma blessure n'empire pas pendant que nous parlons.
- Si c'est pour le travail, je vous suis », accepta-t-elle en se reprenant immédiatement.

D'un geste de la main, l'Eaglelandais pria ses invités de le suivre. Le Général fit signe à la troupe de rester à l'arrière et d'activer leurs talkie-walkies. Il irait seul avec le commandant.

. . .

« Quelque chose à boire ? Café, thé, soda, jus de fruit ?
- Rien pour moi, merci, refusa poliment X3.
- Je ne dirais pas non à un jus d'orange, répondit le Général. Merci. »

Petoline s'avança jusqu'au comptoir de bois, puis emprunta l'entrée habituellement réservée aux serveurs. Il sortit du réfrigérateur deux bouteilles, l'une remplie d'un liquide orange, l'autre d'une boisson translucide pétillante qui s'apparentait à de la limonade. Il attrapa au vol deux verres propres, qu'il remplit sans plus attendre.

« Monsieur Petoline, vous me faites peur avec votre blessure, avoua Luigiteckel qui était restée muette depuis l'arrivée au palais. Ça ne vous embête pas si j'y jette un coup d'oeil ?
- Je sers ces deux messieurs et je suis à toi. »

L'architecte revint sur ses pas, un verre à chaque main. Une fois les deux boissons servies, il se déplaça jusqu'à la soigneuse pour un rapide état des lieux. Dans son dos, le Général faisait discrètement humer le jus d'orange au commandant X3 afin de vérifier que le fluide ne contenait aucun poison. Le test se révéla rapidement négatif.

Alors que l'humain sirotait sereinement sa boisson, le loup, lui, avait tout son temps pour admirer la pièce. Le réfectoire était à son goût moins triste que celui du QG. La disposition de la pièce était certes simple - une table collective, trois chaises hautes pour le bar, un comptoir de bois - on y ressentait une atmosphère de convivialité, une chaleur humaine qu'il n'y avait pas à la cantine de la Police Subspatiale. Mais ce n'était pas tout... il flottait ici une autre odeur, celle que le canidé percevait depuis plusieurs minutes sans parvenir à l'identifier... mais dix fois plus forte. Maintenant, elle s'était précisée au point de se scinder en cinq odeurs différentes. De là où il était, l'animal pouvait distinguer des senteurs de cuir, de tissu humidifié, de métal - sans doute de l'or - et... de sang. Mais ces précisions ne l'aidaient pas dans son envie de retrouver la provenance des effluves.

« Les points de suture n'ont pas craqué et la plaie ne saigne pas, diagnostiqua Luigiteckel. Vous avez eu de la chance, vu la vitesse avec laquelle vous avez couru.
- Pas de contre-indication pour cet entretien, alors ? demanda la blessé.
- Non, aucune. Je vous prierai toutefois de ne pas faire de mouvement brusque et de maintenir votre dos droit tout au long de la séance.
- C'est compris. »

Le jeune homme alla s'asseoir sur une chaise, devant le Général. Les deux personnages se fixèrent droit dans les yeux un instant, puis le plus jeune prit la parole.

« Je vous écoute. Quel bon vent vous amène ? »

Le colosse repoussa son verre sur le côté, puis posa les coudes sur la table et joignit ses mains devant son menton.

« Depuis l'annihilation totale de Goldtown, nous n'avons plus eu de nouvelles de vous et cela nous a fortement chagriné. D'autant plus que, étant donné que l'affaire ayant eu lieu sur votre planète, vous êtes les principaux concernés. J'ai cru comprendre que Bridgess était absente, alors pouvez-nous expliquer ce qui s'est passé à sa place ? »

Sans cesser de soutenir le regard de son interlocuteur, le Général reprit son verre de jus d'orange. Petoline eut un petit sourire.

« Je ne sais pas si notre souveraine vous a mis au courant, mais ce matin vers six heures était prévue une mission de haute importance, avec pour objectif la capture des habitants de Goldtown dans un champ de force. C'était l'idée de départ, du moins.
- Attendez, vous avez dit six heures ? Quel est l'équivalent à Smashbros ?
- Dans les alentours de cinq heures moins vingt, intervint le commandant.
- D'accord. Vous pouvez continuer, pria le Général.
- Après avoir effectué le trajet à pied, nous sommes arrivés à destination. Et là, surprise : Goldtown était sans dessus dessous.
- Combien de temps a duré ce trajet ? coupa le colosse.
- Une heure, si mes souvenirs sont bons.
- Ah, tout cela est très intéressant et je regrette de ne rien avoir amené pour écrire. Auriez-vous un crayon et une feuille, s'il vous plaît ?
- Pour sûr ! Luigiteckel, tu peux aller en chercher dans la réserve ?
- Pas de problème, je reviens tout de suite. »

La jeune femme se leva, puis quitta prestement la pièce. Petoline amena son verre de limonade à ses lèvres, puis en but une gorgée.

« Dites-moi si ce n'est pas indiscret, entama l'adolescent en reposant sa boisson, pourquoi êtes-vous venu ici avec une dizaine d'hommes armés ? Craignez-vous que Drygan vous attaque ? »

Ce fut au tour du Général de s'offrir une lampée de jus d'orange. En vérité, il redoutait cette question. Il avait déjà envisagé plusieurs parades, mais aucune ne le satisfaisait. Il opta pour la version sobre.

« Simple mesure de sécurité. »

Petoline opina de la tête, pensif. A ce moment-là, Luigiteckel revint dans le réfectoire, un stylo et quelques copies dans la main. Elle les posa poliment devant le demandeur du matériel, puis retourna s'asseoir à sa place.

« J'ai pioché au hasard dans les stocks, annonça-t-elle. Je n'ai rien manqué ?
- Non non, vous avez fait très vite, assura l'adulte. Bien, nous en étions au moment où vous avez trouvé Goldtown ravagée. Ensuite, donc ?
- Ensuite, nous avons trouvé sous les décombres un Riolu Shiny, qui nous a peu après avoué qu'il était un "voleur de faible envergure". Puis nous avons trouvé Drygan, pas très loin de la scène de crime. Étant donné qu'il dormait, nous avons pensé qu'il serait une bonne idée de l'enfermer dans un champ de force pour vous le remettre. Nous avons réussi à le faire, mais l'opération le réveilla. Ensuite, il nous a habilement provoqués et Bridgess a craqué, arrachant dans son élan de fureur plusieurs piquets qui généraient le champ de force. Drygan en a profité et réussit à s'échapper. Bref... je vous passe le combat. Nous sommes tous tombés tour à tour, et je ne sais pas qui des deux camps a gagné. Quand je me suis réveillé, j'étais à l'infirmerie du palais. »

Pour appuyer son discours, le combattant retira son haut et montra les plaies qu'il cachait sous les bandages.

« Mais comment se fait-il qu'à part cette cicatrice, vous n'ayez aucune blessure visible ? s'étonna le commandant.
- Al, ou Kirbyfana de son pseudonyme, a soigné les hématomes que j'avais un peu partout sur le corps, répondit Petoline en se rhabillant. Il n'a en revanche rien pu pour cette vilaine balafre. »

Tandis que le blessé se servait en boisson, un silence gênant prit place dans le réfectoire, uniquement altéré par le bruit des notes que prenait le Général.

« J'ai une question, dit le colosse. Vous n'en connaissez sans doute pas la réponse, mais avez-vous une idée de pourquoi vous avez aperçu Drygan, alors que l'équipe envoyée sur place ne l'avait pas vu ? »

L'Eaglelandais manqua d'avaler sa limonade de travers.

« Quoi ? Vous avez envoyé des soldats là-bas ? Ah, je me souviens maintenant ! Les traces de moteur ! Les empreintes dans la terre qu'avait trouvé Bridgess... tout se rejoint ! »

* * *

Le dos de Falco percuta le fer du mur de la cellule. Une montagne de muscles géante l'y avait jeté sans ménagement. L'homme le toisa avec dédain, puis lança d'une voix forte :

« Tu passeras devant le tribunal d'audience très bientôt. D'ici là, réfléchis un peu à la gravité de tes actes ! »

Et il referma l'énorme porte coulissante.

Le faucon se redressa tant bien que mal, une main sur le dos. Le personnel de Wonderful Heaven ne faisait décidément pas dans la dentelle. D'un rapide tour sur lui-même, l'oiseau examina la pièce dans laquelle il avait été enfermé. C'était une salle au mobilier extrêmement épuré : seule une planche de bois retenue par deux chaînes, qui faisait office de banc, décorait la geôle. Les murs étaient faits en acier trempé, tout comme le plafond et le plancher. Aucun moyen de s'échapper. Même pas de lit : cette prison ne se préoccupait vraiment pas du bien-être de ses occupants.

Qu'est-ce qu'il allait faire pour s'occuper, dans un endroit aussi vide ? Il sentait qu'il allait s'ennuyer, ici, et pas qu'un peu...

Moui, ce chapitre est court, vide et inintéressant, mais bon...
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Par la rémige du Pygargue !

First !

J'ai beaucoup aimé mais j'ai vu un fail : "la blessé".

Ce chapitre est court, vide et inintéressant.

Bon ba voila quoi

Le chapitre typique de transition, quoi.

Bref, pas mauvais, mais pas palpitant pour autant.

Et j'ai vu deux-trois fails.

Tu t'essouffles, petit pin ? Niveau taille, en tout cas, on dirait que oui.