Legend Ouais moi ausi ça m´a fait marré
En lisant le tout début Whites, je me suis dit qu´il faudrait que tu cases un Alexis dans l´histoire mais aparemment tu y as déjà pensé
Sinon mon avis, même si j´ai été rapide pour lire
L´histoire est pas mal, le style littéraire est plus que satisfaisant, je n´ai pas vu de fautes de concordances des temps, ou très peu, idem pour les fautes d´orthographes. Continue comme ça
Sinon fais vivre longtemps mon Alexis tu as réussi à restaurer la classe originelle du prénom
Alexis -> Ca serait drôle qu´il meurt dès le prochain chapitre non ?
On peut poser une fic sur SSBB, la mienne parle de Dragon Ball Z?
Personne ne veut répondre
solid Postes là sur tenkachi 2.
C´est parfait Whites, vraiment très bien on s´y croirait. ^^
Vivement la suite!
WildMushroom, je viens de ce forum et apparemment elle a fait un succès quasi total
Whites Non j´accepte qu´il soit le grand méchant de l´histoire, le mec machiavélique qui fait chier tout le monde mais je veux pas mourru
J´en profite pour upper la fic
ta fic est superbe withes a part que des - a la place des _ dans les dialogues seraient mieux sinon j´attends la suite avec impatience
Comme vous le souhaitez "tous" et que ça demande pas un effort surhumain je changerais ça ok. ^^
Bientôt un nouveau chapitre, j´espère. On va enfin savoir ce qui s´est passé avec Leonard.
On va enfin le savoir... Quand aussi ?
Eh bien ça tombe bien, un prochain chapître aujourd´hui, mais quand ? ^^
Chapitre 8 : 144 secondes
"Bon, alors y´a une semaine à peu près, y´a un gars dans l´asile, un certain William, qui m´as raconté qu´il avait repéré une éventuelle sortie de l´asile, à l´intérieur même de la salle à manger. Je ne l´ai pas cru bien sûr mais j´ai accepté de le suivre pour qu´il me montre où il avait vu ça. Et là, il me montra le fameux pan de mur dans lequel j´ai disparu plusieurs fois. Bien sûr, ayant trouvé celà très intéressant j´ai fais mine de ne pas le croire et il a lui même abandonnée l´idée que c´était quelque chose d´intéressant. J´ai donc pu m´occuper de ce mystère tout seul. J´ai mis du temps à trouver le fonctionnement de ce truc. J´ai fais pas mal d´essais, mais finalement, un jour, ça s´est ouvert. Et là, j´ai accédé à un long escalier, menant dans un noir intense. J´peux te dire, ça fait peur quand tu connais pas. Alors j´suis pas allé plus loin. Je suis retourné dans ma chambre et je suis allé chercher une lampe torche. Mais bien sûr, le fameux William avait repéré mon agitation et a commencé à me menacer si j´lui expliquais pas ce qui m´arrivait. Alors j´lui ai tout dit, même ce que je pensais de lui, pourquoi j´lui avais rien dit. Et là, il retourna humblement dans sa chambre. On dit qu´il n´en sort plus... Bref. Je retourne dans l´escalier, mais avec la lampe et je m´enfonce dedans..."
-Attends, l´interrompit Gerald, pourquoi tu parles au présent là ?
-Ah pardon, j´ai pas fait gaffe. Bon j´parles comme je veux de toute façon.
-Oui, bien sûr.
-Je reprend. Donc je descend l´escalier et là, arrivé au bout, je vois un truc assez étrange, une sorte de petite pièce, alors bon, j´me demande à quoi elle sert. Bref, alors que j´arrivais dans cette pièce, oui je change de temps... Donc alors que j´y arrivais, une grande lumière l´éclaira, et je vis plus clairement les lieux. C´était une sorte de poste de surveillance, avec des télés partout. Seulement, les télés montraient pas des endroits de l´asiles. Non, ils montraient une maison, une simple maison, assez grande quand même, peut-être une villa plutôt, et y´avait pas mal de monde dedans. Alors évidemment, j´étais intrigué. Mais j´me suis dit qu´il fallait pas trop que j´y traine, on est jamais trop prudent. Donc j´suis reparti. Le lendemain j´y suis retourné. De nouveau, j´y vis les caméras. Mais apparement dans la fameuse maison les gens étaient assez agités. J´ai donc décidé de regarder plus en détail. Y´avait un corps étendu dans un coin d´une pièce, dans une mare de sang. Apparement c´était pas vraiment une maison normale donc... Enfin bon, tout ça pour dire, c´était vraiment bizarre. Et après j´ai entendu du bruit derrière moi, donc j´me suis barré en vitesse. Les jours d´après j´y suis retourné pour voir et mieux comprendre, mais j´ai rien vu de particulier. A part un petit compte à rebours sur chaque écran, qui indiquait 144 secondes et qui allait jusqu´au zéro. Je ne sais ce que ça signifie malheureusement.
-Eh bien, intéressant, et tu pourrais me montrer ça ?
-Hey, pas si vite, attends donc un peu. J´t´ai dis que oui, mais sois patient.
-Oui, t´as raison.
-Et toi, des trucs intéressants ?
-Bof, pas grand chose...
-Ok, ok.
-Dis, tu connais un certain Alexis ?
-J´en connais plein.
-Ah... Ok.
Et Leonard s´en alla au fin fond d´une allée. Gerald resta sur place un bon moment. Toutes les informations qu´il venait d´avoir un quelques minutes tournoyaient dans sa tête sans en avoir un sens. Puis, au fur et à mesure, son esprit repris le dessus, et il réflechissa avec cohérence à ce que lui avait raconté Leonard.
Après avoir conclu qu´il verrait ça plus en détail, et que pour le moment, seul une sorte d´expérience de Télé-Réalité lui venait dans la tête, il décida de retourner dans sa chambre, prendre sa lampe de poche et se reposer un peu.
La journée s´annonçait longue, et perilleuse.
Leonard l´attendait, ce soir là, dans le hall principal, il paraissait nerveux, agité.
"Alors, on y va ?" demanda Gerald.
-Si tu es prêt, c´est parti, répondit Leonard.
-Alors c´est bon.
Ils se dirigèrent alors vers le fameux mur, après avoir traversé la salle qui ne contenait plus grand monde, quelques personnes solitaires qui n´avaient pas encore finies de manger, ou qui pensaient tranquillement. Mais quand Leonard arriva au niveau du fameux pan, il fut pris d´effroi. Il était déjà à demi-ouvert.
"Il va falloir faire attention, je sens que nous ne sommes pas les seuls..." dit Leonard.
Et il s´enfonça dans la brèche, suivit par Gerald.
L´escalier était assez étroît, et très penché. La descente ne dura pas très longtemps, une minute tout au plus, et enfin, arrivés en bas, Leonard s´arrêta et écouta. Il chuchota alors à Gerald :
"Tu vois, on va rentrer, et la lumière va fortement s´allumer, puis, si y´a quelqu´un, on sera tous les deux pris, alors, j´y vais tout seul, au maximum tu pourras t´en sortir."
Gerald acquiessa et Leonard avança. Une lumière blanche très puissante éclaira la petit pièce, dont les murs étaient remplis d´écrans divers. Certains ne marchaient pas, d´autres montraient des endroits vides, ou habités. Chaque écran avait une fonction propre, apparement. Leonard continua d´avancer, scruta la pièce, et rassura, appella Gerald discrètement. Gerald vint, et Leonard repris la parôle :
"Eh bien, voici le grand mystère que j´ai découvert... Alors, que dis-tu de cel..."
Il fut interrompu par un fort bruit, venant de la droite de la pièce. Là, se tenait un homme, d´apparence replète, semblant atteint de démence.
"Alors Leo, on continue de faire le traître à son vieil ami ? demanda t´il, tu croyais donc que je ne viendrais pas un jour ? Et en plus, tu ammènes ce nouveau... Tu me déçois beaucoup...
-Tu sais très bien que tu viens de franchir la limite, répondit Leonard, qui sortait en même temps un canif de sa poche. Je t´apprécies, mais tu es allé trop loin, désolé, mais je vais devoir m´occuper de ton cas plus sérieusement, William...
-Je ne suis pas sûr de ça... prononça alors quelqu´un d´autre, dont la voix disait quelque chose à Gerald. Leonard se retourna, et vit alors le directeur de l´asile, du côté opposé de la pièce, qui sortait d´on ne sait-où. Vous êtes bien curieux dans cet asile, Leonard, vous m´avez donné du fil à retorde, mais maintenant, je vais enfin pouvoir me débarasser de vous... Tout comme vous, le petit nouveau.
Et Leonard enfonça alors son canif dans son épaule, puis courru à toute jambes vers l´escalier. Il le grimpa rapidement et atteint rapidement la fin.
-Eh bien, il vous a laissé dans une bien mauvaise position, repris le directeur, il mettra 144 secondes à revenir ici, assez de temps pour que je me débarasse de vous, et ensuite, je ne sais ce que je ferais...
Il s´approcha alors de Gerald, tout comme William. Gerald était encerclé, il ne voyait comment s´en sortir, quand il eu une idée.
-Vous êtes vraiment dur avec vous-même, déclara t´il alors au directeur, je comprend que ces évenements vous embètent, mais c´est pareil pour moi, je peux vous aider à camoufler la vérité...
Il ne savait ce qu´il disait, mais espèrait que le directeur l´interprète bien. Le directeur, qui paraissait fébrile, et qui hésitait à répondre. Enfin, il dit :
"Je ne savais pas que vous étiez au courant... Et Leonard aussi ? Décidemment, ils sont forts. Enfin, j´accepte votre aide. Tout d´abord, débarassons-nous de William, il ne servira plus à rien maintenant.
Et le directeur sortit un revolver qu´il pointa vers William, et il appuya sur la gachette.
Une giclée de sang sortit de la poitrine de William, qui tomba lentement, sur le sol carelé.
-Maintenant que ceci est fait, Gerald, nous avons du boulot...
Ne te serais-tu pas inspiré de Lost par le plus pur des hasards ?
A quand Robert ? :contant:
Aaaaaaaaaah, je veux savoir ce qu´il va se passer ensuite
Trop bien cette fic
Hunk -> Un peu, mais à vrai dire, c´est pas du tout la même chose. ^^
En fait, peu de choses sont similaires. ^^
Par contre, j´me suis rappellé que Leonard c´est le nom du gars dans l´asile. mdr ^^
Merci pour vos avis.
ouais des ressemblances de lost mais moi je me suis bien inspirés de eragon, tos etc...
sinon car c´est une genre très sympathique qui change de ce que je lis habituellement (heroic fantasy)
Chapitre 9 : Cache-Cache
Le directeur se dirigea alors vers une petite porte, et laissa passer Gerald en premier. Il scruta ensuite l´escalier, vérifiant si Leonard n´était pas déjà là, mais, comme il n´arrivait pas, il referma la porte.
La pièce était spacieuse, colorée de rouge à peu près partout. Un somptueux bureau se tenait au milieu de celle-ci, entouré de canapé et de fauteuils paraissant confortables. Un peu plus loin, sur une petite table en verre, une bouteille de Whisky trainait encore.
"Bon, installez-vous, je vous en prie." dit le directeur.
-Merci
Gerald s´installa, et repris la parôle :
-Alors, comment allons-nous faire ?
-Eh bien, nous allons essayer tout d´abord ne t´attirer aucuns visiteurs sur les lieus du euh...problème. Les individus à l´intérieur de la maison semblent encore assez calmes, malgré quelques débordements. Ils réussissent quand même à rester rationnels. Malheureusement, ça ne peut continuer ainsi. Nous avons maintenant, depuis la mort de Fanny, coupé toute liaison avec le réseau servant à fournir les images pour Internet, donc des gens se posent des questions... Je crois que ce n´était pas une très bonne idée... Heureusement que peu de monde est au courant.
-Je voudrais être sûr, vous parlez de quoi exactement là ?
-Eh bien de l´émission. Il y´a quelques jours, Fanny, une protagoniste de notre euh... "expérience" a été tuée par l´un deux... Les gens abonnés à notre système l´ont vu, et maintenant ils risquent d´en parler...
-Ah oui, c´est bon, nous sommes sur la même longueur d´onde.
-Bref, vous auriez une idée pour camoufler cette affaire, trouver une solution ?
Gerald fit mine de réflechir. Rien ne pouvait maintenant le sauver, à part l´apparition inesperée de Leonard. Il entendit alors du bruit derrière, Leonard entra discrètement, armé d´un couteau, et menaça alors le directeur :
-Vous êtes fou ! Vous allez maintenant me dire tout ce que vous savez sur ce... truc !
-Comment ça ? répondit le directeur. Vous ne savez pas ce que c´est que tout ceci. Et vous Gerald, vous m´avez bien eu aussi !
-Mais... Je vous assure, il a du m´avoir... essaya Gerald.
-Tssss, pas de sotises.
Le directeur se dirigea alors vers une armoire d´un style ancien. Ces gestes étaient rapides et sacadés si bien que Leonard s´inquièta. Il se rua sur le directeur et lui planta dans l´abdomen le couteau. Le directeur eu un long râle, et s´écroula sur le sol.
-Je crois qu´il est mort... dit alors Leonard.
-Mais merde, t´aurais pu faire gaffe ! Tu as tué le directeur... Quand ils sauront ça...
-Est-ce qu´il sont obligés de le savoir ?
-Eh bien... Ils le verront bien un jour.
-Apparement cet endroit n´est pas très visité. On a le temps de prendre le corps, en pleine nuit, et de le noyer dans le lac ou ce genre de trucs.
-Et les expertises ADN, et tout ça ?
-Alors, trouvons une bonne cachette...
-J´ai une idée...
Deux silhouettes arpentaient les couloirs de l´asile, discrètement. Gerald ouvrit doucement une porte, et rentra dans la pièce, suivit de Leonard.
-Que fait-on à la bibliothèque ? demanda Leonard.
-Je vais te montrer ceci...
Pendant ce temps, dans la salle de repos des infirmiers, les occupants disctuaient avec animosité.
Ils étaient tous étonnés par la disparition du directeur. Celà faisait maintenant deux jours qu´il n´y avait plus de nouvelles.
Une rumeur comme quoi il était parti car il en avait marre de ce milieu circulait dans l´établissement, mais les infirmiers n´y croyaient pas trop.
L´un deux, se prénommant Xavier, avait inspecté le bureau du directeur, discrètement, avec l´informaticien, dans la journée. Ils n´y avaient pas trouvés grand chose.
Frustré, Xavier avait décidé de ne plus chercher à comprendre, et était resté dans sa chambre commune, tout le reste du temps.
Il n´était même pas présent dans la salle de repos, avec tous les autres. Il restait dans sa chambre, méditant. Il se posait de nombreuses questions. Il avait déjà vu le directeur bizarre. Il l´avait déjà surpris au dernier étage, où il n´y a rien à part quelques pièces vides, et il paraissait agité, nerveux.
Le directeur avait toujours été assez annormal. Mais là, Xavier sentait que c´était important. Il décida de se ballader dans les couloirs. Il faisait souvent ça, pour pouvoir réflechir, faire le point, et il a vu de nombreuses choses qu´il n´a jamais répété...
Il monta au niveau supérieur et pris le chemin de la bibliothèque. Il faisait toujours froid, mais ça s´était tout de même bien calmé depuis quelques jours. Tout d´un coup, il s´arrêta. Paraissant hésité, il scruta le couloir, et sortit alors de sa poche une cigarette, qu´il mit à la bouche, et qu´il alluma. Fumer était interdit dans l´établissement. Mais la nuit, Xavier ne pouvait résister et, dans les couloirs, il le faisait tout de même. Il n´avait jamais était surpris. Alors qu´il reprenait son chemin, il vit que la porte de la bibliothèque était mal fermé. Minutieux, il décida de bien la refermer, mais, arrivé à son niveau, il entendit du bruit. Des pas, des voix, tout laissait croire que des gens se trouvaient dans la bibliothèque, en pleine nuit. Il ouvrit doucement en plus grand la porte, et attendit. Les voix se rapprochaient, et quand elles furent très proches, il alluma la lumière.
Il vit alors devant lui deux patients, qu´il connaissait de loin.
-Que faîtes-vous dans les couloirs à cette heure-ci ? demanda-t´il.
-Nous euh...
-Hey ! Quelle est cette ouverture là-bas.
Xavier venait de voir une porte ouverte dans le fond de la pièce. N´ayant aucun souvenir d´une porte située ici, il se dirigea vers celle-ci, après avoir fermée à clé la porte d´entrée.
Gerald pris la parôle :
-Non mais, justement, cet après-midi on est resté enfermé là-dedans, c´était vraiment étrange.
-C´est ça, c´est ça...
-Pourquoi ne pas nous croire ?
-Pourquoi vous croire ? Vous savez ce qu´il y´a là-dedans ?
-Non, on est pas allé voir.
-Non mais attendez, vous vous foutez de ma gueule là ? Vous avez accès à quelque chose d´étrange, à un endroit bizarre mais semblablement intéressant, et vous n´allez pas voir ? C´est insencé !
-Bon d´accord, on est allé voir. Mais on ne sait pas ce que c´est.
-Moi non plus... Mais une chose est sûre, continua Xavier qui avançait doucement vers la porte, c´est que ce n´est pas logique...
Il arriva enfin à destination. Il regarda une dernière fois les deux individus, leur donna un ordre,"Vous restez là surtout, si vous tentez quoi que ce soit ça ira vraiment mal !" , et rentra dans le sombre couloir. La porte se referma alors sur lui et il se retrouva enfermé.
Il essaya de réouvrir la porte, mais ça ne marcha pas. Il essaya alors de la défoncer, de l´abimer, etc... Sans succès. Il cria alors des appels au secours aux autres, Leonard répondit :
-Je suis désolé, mais ça ne nous sommes pas arrivé... Je ne vois pas comment on pourrait faire.
-Faîtes quelque chose ! ajouta alors Xavier. J´peux pas rester comme ça !
-Eh bien, je crois que nous allons euh... J´en sais rien zut...
-Bon, si c´est parce que je vous ai vu, je ne dirais rien, rien, ok ? Mais sortez-moi de là.
-Je veux bien vous croire, mais il n´y a rien à faire.
Gerald tentait d´ouvrir la porte par des moyens plus saugrenus les uns que les autres, mais rien n´y fit.
-Ras-le-bol de ce boulot de merde. Faut vraiment qu´il m´arrive que des tuiles. Bon, j´vais aller voir au fond du truc, doit y´avoir quelque chose d´intéressant.
-NON ! N´y allez surtout pas, répondit précipitemment Leonard, soudain pris de panique à l´idée que l´infirmier pourrait voir le corps sans vie du directeur.
-Pourquoi ?
-C´est euh... c´est dangereux ! On vient de y´aller, et c´est horrible.
-Il faut bien que je tente, je ne pourrais tenir ici très longtemps.
Et Xavier commença à avancer, quand une intense lumière le submergea. Il vit alors la fameuse pièce.
ils vont se faire tuer
J´vais faire un p´tit up quand même, certains ont pas du voir le nouveau chapître. ^^