Apparement, tout le monde poste sa fic alors je vais faire de même.
Fiction : Asilium
Chapitre 1 : A la porte de la mort
Thomas avait toujours réussi à donner des raisons à ses retards. Tout d´abord, il avait pretexté le troisième jour de son travail qu´il avait loupé le bus, puis qu´il avait chuté dans la rue un jour de pluie et qu´il avait eu très mal. Dernièrement, il avait affirmé que les pneus de sa voiture s´étaient crevés après être passés sur un hérisson mort.
En réalité, Thomas ne se réveillait jamais à l´heure. Il avait depuis longtemps quitté le monde de la rigueur, et n´était pressé par rien. Il avait toujours rêvé pendant sa jeunesse et son adolescence de vivre une vie non-monotone, incroyablement démentielle et super jolie. Il avait imaginé une foultitudes de scénarios dans lesquels il finissait par découvrir un nouveau monde, où il y´avait toujours de la magie ou des paysages magnifiques. Il est vrai que la vie est étonnement monotone, prévisible, banale, identique de bout en bout. Thomas n´avait jamais accepté celà, et avait toujours un peu d´espoir, que peut-être, un jour, il vivrait quelque chose de fantastique.
Ce jour là, il roulait sur l´avenue centrale de la ville dans laquelle il vivait, et était en retard de déjà une demi-heure. Il n´avait pas encore trouvé d´excuses, mais avait déjà des idées qui germait dans sa tête, sans qu´elles soient encore parfaites. Le soleil était étincelant, ses rayons provoquant des mirages de vagues sur le goudron chaud. Thomas était tranquille, extrêmement bien installé, il aimait ce temps. Arrivant au carrefour N°3 (car dans cette histoire chaque carrefour à un chiffre), il ne s´arrêta pas au feu ! Il était vert. Mais le camion qui transportait des Stabilos Fluos lui, ne s´était pas arrêté non plus, pour lui, le feu était rouge. Un gros Bang, des stabilos partout sur la route et un peu de fumée et de cris plus tard, Thomas mourrait.
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Fiction : Asilium
Chapitre 2 : Dramatique Opera
Gerald avait passé une dure journée, éreinté, il avait décidé de se reposer à son domicile, au troisième étage d´un banal immeuble.
Le soleil dominait les toîts en marbre ou en tuile rouge, et Gerald partait pour un profond sommeil sur son lit. Un léger courant d´air passait dans la pièce, chatouillant ses pieds, il réprimait un rire.
Tout à coup, il se leva. Appeuré, effrayé, il regardait partout, cherchait quelque chose. Un profond malaise s´installait en lui, il savait qu´il devait partir. Il attrapa sa veste, sortit de son appartement sans fermer à clé et descendit à toute vitesse l´escalier de son immeuble. Arrivant dans la rue, il chercha sa direction, pris à droite, bouscula une femme âgée et continua à courir. Alors qu´il commençait à avoir du mal à respirer, il traversa la rue à toute vitesse, évita de peu un bus, se fit bousculer par une voiture mais continua tout de même sa route. Il pris ensuite une petite ruelle sombre, puis une avenue, bordée d´arbres, où les voitures s´entassaient, alors que sur les trottoirs des marchands improvisés essayaient désesperement de vendre leurs produits. Gerald renversa quelques étables, se cogna à une multitude de choses, accélerant sa course, en sueur.
Il arriva alors à une grande place ensoleillée, calme, au bout de laquelle dominait un élegant et immense Opera.
Après avoir traversé la place il rentra à l´intérieur de celui-ci. Le hall était majestueux, avec un très beau carrelage, d´impressionantes baies vitrées, et des palmiers en pot, assez petits. Gerald arriva au niveau de la caisse, personne n´était à l´intérieur, il poussa une porte, arriva dans un couloir aux murs en moquette rouge, éclairé par une lumière tamisée, qui rappelait les couloirs de Cinema. Il arriva devant une grande porte coulissante, qu´il ouvrit et sentit qu´il arrivait près du but. Il était rentré dans une très grande salle d´Opera. Un orchestre était en train de répeter des musiques. Il dévala les rangées de sièges, et à quelques mètres des musiciens sû ce qu´il devait dire.
"Arrêtez ! Arrêtez ! Sortez tous d´ici !" cria-t´il. Les musiciens interloqués ne bougeaient pas. Gerald desesperait. Il sentait que ce n´était qu´une question de secondes. Dans un dernier effort il arriva sur la scène, essouflé, et tenta de dire quelque chose avant de s´effondrer. Au même instant, une balle traversa toute la salle, et atterit dans la poitrine d´un saxophoniste. Le corps pencha doucement, le sang dégoulinant sur le costume du pauvre homme, puis il s´effondra à son tour, provoquant l´effroi de tous les autres. Le chef d´orchestre avait déjà la mail sur son téléphone portable et appelait les urgences. Pendant ce temps-là, les musiciens allaient voir le corps, s´évanouissaient ou courraient en tous sens de peur de recevoir à leur tour une balle. Mais rien n´arriva.
Le chef d´orchestre, après avoir passé le coup de téléphone, s´agenouilla, dépité, et dit alors "Eh merde, on pourra pas faire le concert Mercredi".
Quand Gerald se réveilla, il était dans une ambulance. Il était tranquille, mais choqué. Il venait de comprendre ce qui s´était passé, et sentit que sa vie ne serait plus jamais comme avant.
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Voilà, j´vais maintenant poster chaque chapitre les uns après les autres, pour une meilleure lisibilité.
Bonne lecture.
Super une fic
T´as vu le nouveau clan au fait ? Ça devient patéhtique ...
Je commence ma bonne lecteur
Chapitre 3 : L´Asile
"Il se Réveille ! Je pense qu´il va falloir que vous me laissiez seul avec lui..."
Gerald était en train de se réveiller, après un long sommeil. Il regarda autour de lui et remarqua qu´il était dans ce qui semblait être une chambre d´hôpital. Les murs étaient blancs, sans décoration, il n´y avait comme meuble que le strict minimum. Quelqu´un au ventre prohéminant était assis sur son lit et le regardait avec intérêt. Derrière lui, deux personnes sortaient de la pièce, se parlant en murmurant. Gerald comprit quelques bribes de la conversation comme "Malade mais je ne..." ou encore "Directeur".
_Je me présente, Bernard Goldstein, directeur de cet... endroit.
_Où suis-je ? demanda aussitôt Gerald
_Chaque chose en son temps... Premièrement, je vais vous expliquer ce qu´il vous est arrivé, après votre... Accident à l´Opera.
_Ce n´était pas un accident, j´ai vu quel...
_Donc, repris le directeur avec autorité, une ambulance vous as transporté jusqu´à l´hôpital le plus proche où vous avez subit divers examens. Puis, peu après, vous avez été envoyé ici...
_Mais quel est cet endroit ?
_Ah... Eh bien, voyez-vous, après que vous ayez eu votre euh.... Accident eh bi...
_Ce n´était pas un accident ! cria Gerald en interrompant le directeur.
_Vous allez me laisser finir ? Donc, eh bien, euh... Voilà. Ce qui vous est arrivé à montré que vous aviez un équilibre mental assez défaillant, donc, vous avez été envoyé dans notre établissement, spécialisé dans ces cas...
_Un asile ?. .. demanda-t´il avec beaucoup plus de calme que précedemment.
_Oui, on peut dire ça comme ça...
_Mais je, mais... Je ne suis pas fou !
_On a pas besoin d´être fou pour être dans un asile ! Sûr ce, reposez-vous, ajouta t´il précipitemment, craignant une nouvelle interruption de Gerald, je reviendrez dans quelques heures.
Tout à coup, Bernard Goldstein se leva, et le lit se releva d´une bonne vingtaine de centimètres. Puis, il examina une dernière fois son nouveau patient, et sortit tranquillement de la pièce. Gerald eu le temps d´apercevoir quelque peu ce qu´il y´avait derrière la porte. Une sorte de couloir aux lumières tamisées et au papier-peint jauni, avec un carrelage blanc. Il y´avait une autre porte en face de la sienne et il pu y lire le nombre 321. Puis, la porte se referma et il fut obligé d´arrêter son examen. Il scruta alors toute sa chambre en détail. Une fenêtre fermée, donnée sûr de la végétation. Il faisait apparement jour. Par réflèxe, il regarda à sa droite et vit sur la table de chevet l´heure affichée sur un radio-réveil des plus banals. Il était tout pile midi.
Il y´avait une autre porte dans sa chambre, Gerald ne savait pas où elle pouvait mener mais se doutait que celà devait être une salle de bain ou au moins des toilettes pour lui. Il se rendit compte ensuite qu´il n´avait plus grand chose à regarder, et suivit les conseils du directeur, se reposer. Il s´endormit aussitôt.
Quand il se réveilla, il regarda instinctivement son radio-réveil, il avait dormit encore plusieurs heures. Quelqu´un frappait à la porte. Gerald hésita, puis il dit très fort, "Entrez", et la porte s´ouvrit aussitôt. Un très grand et très mince jeune homme se tenait dans l´encadrement de celle-ci. Il portait une blouse blanche, sur laquelle était accrochée une petite étiquette. Gerald tenta de lire ce qu´il y´avait dessus mais c´était bien trop loin. L´inconnu portait également un pantalon bleu, sûrement le reste de sa "combinaison", et des chaussures de randonnées, sûrement car il trouvait celà très pratique et sobre à la fois. Il souriait à Gerald mais celui-ci remarqua que c´était un sourire forcé. Puis, il prononça presque comme un robot : "Il va falloir vous habiller, le repas à lieu dans une demi-heure, il faudrait descendre." Puis, il sortit.
Gerald s´éxecuta aussitôt, trouva des habîts potables après avoir fouillé l´armoire pour trouver où ils pouvaient bien être rangés, puis sortit de sa chambre et arriva dans le fameux couloir. Il lu le numéro de sa chambre, "222", et commença à avancer dans le couloir, après avoir minutieusement fermé sa porte. C´est alors qu´il se rendit compte qu´il ne savait pas où aller. L´infirmier ne lui avait donné aucune indication. Arrivé au bout du couloir, il commença à descendre l´escalier. Il se rappelait que le jeune homme lui avait dit de descendre, il le fit aussitôt, et arriva à l´étage du dessous. Apparement, cet étage était identique au précedent, et l´escalier s´arrêta là. Gerald se demanda s´il avait pris la bonne direction, il pensait que l´infirmier avait peut-être pris cette direction pour indiquer la même information aux autres patients de l´asile. Gerald decida alors de remonter, et de prendre le couloir où était sa chambre, dans l´autre sens. Arrivé à l´étage du dessus il commença sa marche, mais, alors qu´il était presque arrivé au niveau de sa chambre, une autre porte s´ouvrit à la volée et un homme du même âge que lui apparu. Il portait une veste noire en cuir, un jean, et des rangers. Il avait les cheveux en désordre et avait un regard étrangement vide. Il se tourna vers Gerald et dit : " Ah, tu es sûrement le nouveau ! Salut, j´suis Leonard ! Content de voir que tu es enfin arrivé !" .
Chapitre 4 : Leonard
Leonard avait été d´un grand secours lors des premières journées à l´Asile. Il l´avait guidé pour aller à différents endroits, lui avait expliqué le fonctionnement de l´établissement, et lui avait raconté quelques anecdotes.
"C´était en Mai, l´année dernière, tu vois, j´ai vu d´un coup une voiture débouler dans l´asile. Elle a détruit tout un couloir. Moi j´étais aux toilettes juste avant, si j´y étais resté un peu plus, eh bien j´me serais fait écrasé. Ca m´fait encore frissoner.
_Mais quelle était cette voiture ? demanda Gerald
_Ah... Des imbéciles anti-asiles, qui ne comprennent même pas à quoi ça sert.
_En fait, pourquoi es-tu là ?
_Ah, ceci, c´est... Une très longue histoire. Je n´voudrais pas te la raconter trop mal. Si un jour on a l´occasion...
_Mais, je ne vais pas rester ici longtemps tout de même ?
_Eh bien... Personnellement je n´ai jamais vu un résident d´ici s´en aller...
_T´es là depuis comb...
_9 ans, l´interrompit Leonard, ça fait un bail comme tu vois...
_Ah oui... Effectivement.
C´était la fin du mois de Septembre, Gerald avait fini de manger, et il y´eut de nouveau des coups à la porte. Gerald permit à l´infirmier de rentrer, mais ce n´était pas lui.
Une jeune demoiselle aux cheveux blonds qui descendaient jusqu´aux épaules se tenait devant lui. Elle avait une blouse blanche et portait un jean ainsi que des chaussures blanches qui, d´après Gerald, étaient à la modes.
L´infirmière s´avança vers lui et lui dit en articulant bêtement, comme si il était un enfant en bas-âge : "Alors, on est prêt pour une balade dans le parc ?"
Le parc ! Leonard lui en avait beaucoup parlé. "Sûrement le meilleur endroit de cet établissement" avait-il dit, avant de rajouter : "Ah non, y´a bien mieux en fait...".
Le parc était un endroit dont il n´avait pas encore eu l´accès. Leonard n´avait jamais sû pourquoi on ne pouvait accéder au parc dès le début, mais il s´était dit que c´était peut-être le temps des résultats des examens. Leonard savait telllement de choses à propos de cet asile que quand il avoua ne pas savoir quelque chose d´aussi dérisoire, Gerald s´étonna.
"Vois-tu, lui avait-il expliqué un soir dans la grande salle à manger, ici le personnel n´est pas très bavard. Sauf peut-être le petit intello, enfin, c´est comme ça que j´l´appelle. Il me dit parfois qu´il trouve la gestion de cet endroit totallement abhérrante."
Gerald n´avait encore jamais vu ce personnage, tout comme il n´avait jamais vu le parc, il se précipita donc dans la salle de bain pour s´habiller, et quand il sortit dans le couloir peu de temps après, l´infirmière était toujours là.
"Nous allons prendre ce couloir, et il y´aura un petit escalier qui ménera à une verenda, dit-elle toujours avec son articulation plus qu´inutile, tu vas voir, le parc est magnifique."
_Je n´en doute pas, ajouta Gerald de mi-voix.
Ils arrivèrent au petit escalier, descendirent une dizaine de marches et arrivèrent à la Véranda. Elle était splendide. Le toît en verre laissait passer la lumière à l´intérieur d´une sorte de paradis des plantes. Partout, des fleurs, des fougères et des petits arbustes, ainsi que quelques sièges et bancs. Puis, après avoir traversé cet endroit magnifique, ils arrivèrent au parc.
Il était immense. Incroyablement beau, avec quelques bancs au début, puis des sentiers qui partaient dans la brouissaille avoisinente. Des arbres géants dominaient une sorte de forêt, sombre, mystérieuse, et apparement inaccessible. Des centaines d´oiseaux voletaient au dessus du gazon frais. Dans le fond de ce paradis naturel se trouvait une étendue d´eau très importante, où l´on pouvait apercevoir des canôts. Apparement, les pensionnaires pouvaient les utiliser, car il en apercevait un qui était vers le milieu de ce qu´il appellera le lac, et dans son bord, deux personnes qui ramaient.
L´infirmière le laissa là après lui avoir donné quelques recommandations qu´il n´écouta qu´à moitié. Gerald chercha Leonard des yeux, mais il n´avait pas l´air présent. Gerald s´étonnait toujours de la faculté de Leonard pour être introuvable à certains moments. Il se doutait qu´il était quelque part dans le parc, car il devait y´avoir des heures d´accéssibilités, mais pourtant, il n´avait vraiment pas l´air d´être ici.
Gerald se dirigea instinctivement vers le lac, mais au bout d´un moment, aperçu un sentier plus isolé, qui menait à une petite colline, sur laquelle se trouvait une partie de la grande forêt. Il hésita, puis pris ce chemin. Au bout de quelques minutes il s´aperçu qu´il s´éloignait vraiment de l´asile, mais ne s´en souciait pas trop. Arrivé au bout du sentier il s´aperçu qu´il y´avait des trâces de pas qui menaient jusqu´à l´intérieur de la forêt. Gerald se dit que pour une première balade il se contentrait de la lisière, mais qu´il faudrait qu´il revienne ici prochainement. Il rebroussa alors chemin et très vite, aperçu de nouveau le lac, au loin, la lumière scintillant sur l´eau claire, éblouissante.
Alors qu´il contemplait cette incroyable vision, quelqu´un le bouscula et il tomba sur d´imposantes racines, lui éraflant le coude. Il leva les yeux et aperçu Leonard courrant, comme s´il fuyait quelque chose. Il compris juste après, un autre pensionnaire arrivait à son tour à toute allure. Gerald, dans un sursaut de courage, décida alors de défendre son nouvel ami et fit trébucher l´imposant personnage qui courrait après lui. Celui-ci, après être tombé violemment, se releva d´un bloc, la tête couverte de terre et de boue, et attrapa Gerald par le col, le soulevant au sol de quelques centimètres. Leonard revint alors.
"Mais Gerald, qu´est ce que t´as fais, c´est entre lui et moi, t´avais pas à t´en meler. Allez Johnny, viens m´attaquer au lieu de t´en prendre à un nouveau !"
_Toi, dit alors l´inconnu qui le tenait toujours au col, t´avises pas de recommencer ! Tu connais pas le coin ici ! Birirjlkj !"
Il le lâcha alors et repris la poursuite qu´il menait juste avant. Gerald se releva péniblement et se hâta de rentrer dans l´asile. Sa première sortie au parc n´avait pas été aussi réussi que ça.
Chapitre 5 : La pièce interminable
Le lendemain de sa mésaventure au parc, Gerald décida d´aller voir Leonard pour lui demander quelques explications. Il imaginait déjà Leonard en train d´expliquer une de ses très nombreuses histoires de trafics en tout genre et de provocations diverses.
Il n´eut pas besoin de faire beaucoup de marche pour arriver à la chambre de son ami, en effet, ils étaient voisins. Il frappa à la porte, et après quelques secondes n´eut aucune réponse. Il refrappa avec l´espoir que ça marcherait mais encore une fois aucune réaction ne vint en retour. Gerald se décida alors à aller fouiner dans les couloirs pour essayer de le retrouver. L´asile était immense. Les couloirs étaient nombreux, tous identiques, et aboutissaient tous sur l´escalier central, et à l´autre boût sûr une pièce spécifique. L´infirmerie pour le Couloir de Thobias Melithen, le bureau du directeur pour le couloir du rez-de-chaussée, etc... Un seul de ces couloirs n´avaient pas de pièce spécifique au fond de celui-ci. Un mur blanc, très simple, était mit à la place.
Leonard lui avait tout montré. Il lui avait même expliqué qu´il y´avait des pièces secrètes, mais ne lui en avait donné aucune. "Il faut le mériter pour y accéder" avait-il dit un soir.
Gerald décida de prendre le couloir de Benedicte Horasson, au deuxième étage. Il savait que Leonard aimait bien s´y trouver. Dehors, le vent soufflait fort, et il pleuvait dru. Il faisait étrangement froid dans le couloir, Gerald frissona et réajusta son pull. Plus il avançait dans ce très long couloir, plus il trouvait qu´il y faisait froid. Arrivant au bout du couloir il décida de rentrer dans la bibliothèque, Leonard aimait lire.
Arrivé à l´intérieur, il constata qu´il n´y avait apparement personne. Il faisait encore plus froid dans cette pièce que dans le couloir pensa-t´il. Il se fraya un chemin parmit les rayons de livres et arriva au bureau d´emprunt. Il n´y avait pas la bibliothéquaire, Mme Crayine, qui avait pourtant laissé à Gerald l´impression d´être là 24/24h. Plus il scrutait l´intérieur de cette pièce et plus il la trouvait lugubre. Il se sentait opressé, observé. Pris de panique il courru vers la porte mais celle-ci était fermée et, malgré de grands effort, il ne réussissaient pas à l´ouvrir. Il ne se rappellait pas avoir fermé la porte et celà le paniquait encore plus. Après quelques minutes où il s´était épuisé à ouvrir cette porte il décida de faire une pause. Il en profita pour voir si il n´y avait pas une autre porte quelque part. Après quelques nouvelles minutes de recherches, il découvrit une petite porte, discrète, dans le fond de la bibliothèque, qui semblait mener à l´extérieur, mais rationnellement ce n´était pas possible, la bibliothèque étant au deuxième étage. Malgré tout, il enclencha cette porte, mais ne la pris pas tout de suite. Ce qu´il vit alors devant lui dépassait tout ce qu´il avait imaginé. Une interminable pièce aux extrêmements longs rayons remplis de sortes de parchemins rapiécés s´étalait devant ses yeux. Les rayons se superposaient et atteignaient un plafond grandiose d´une hauteur qu´il n´avait encore jamais vu pour une pièce. Il décida de rentrer à l´intérieur, mais vérifia si cette porte ci n´allait pas se fermer derrière lui en attendant quelques secondes, scrutant celle-ci. Puis, assuré que rien ne se passerait, il avança à travers une des rangées. Il se rendit compte qu´il faisait beaucoup plus chaud ici que dans la bibliothèque, et se sentit tout de suite plus en sécurité. Il ne voyait toujours pas le bout de la pièce après quelques mètres, mais se rendit compte de la largeur de la pièce. Elle devait faire plus de six fois la largeur de l´asile. Enfin, il distingua, après avoir fait plus d´une centaine de mètres, le mur opposé à celui auquel il était quelques minutes auparavent. Il hésita, puis décida de continuer jusqu´au bout. Il distinguait parfois un bruit, même si personne n´apparaissait dans cet étrange endroit : Des sortes de murmures, des bruits de collision entre différents matériaux, et d´autres choses dont Gerald n´avait pas saisi le sens. Arrivé vers la fin de la pièce, les bruits redoublèrent d´intensité, résonnant dans toute la pièce. Gerald sentit que celà venait de la droite et décida, à l´arrivée d´un nouveau croisement de tourner dans cette direction. Il vit alors de multiples poutres s´installer à la verticale toute seule, à une vitesse ahurrisante, et des planches se fixer contre celles-ci. Gerald compris que ce qu´il voyait n´était autre qu´une constructions très rapides de rayons. Prenant peur il rebroussa chemin, et commença à courir quand il trébucha sur son lacet défait et tomba contre une étagère, qui se renversa et déversa tous les parchemins qu´elle contenait sur le sol. Gerald, après avoir repris ses esprits, eut l´idée de regarder ce qu´il y´avait sur ces bouts de papiers usés. Il en saisit un et lu alors cette simple phrase :
"Quand Robert Derriveau est arrivé chez lui, Antoinette Derriveau n´était pas encore prête pour le bal. 1912"
Il se sentit alors aspiré en arrière et vit une multitude de couleur passer devant ses yeux. Enfin, après quelques secondes, il réatterit sur le sol froid de la bibliothèque avec violence et perdit connaissance.
"Hé oh ! Oh ! Réveillez-vous !"
Gerald se réveilla en sursaut. Devant lui se tenait accroupie l´infirmière blonde qui le regardait avec intérêt et apparement, avec inquiètude. Derrière elle se tenait debout et avec un air partagé entre l´agacement et l´incrédulité, Mme Crayine, la bibliothéquaire.
_Ah, enfin... dit l´infirmière, écartant cette fois-ci de sa voix l´articulation poussive et inutile qu´elle avait utilisée la veille, que vous est-il arrivé ?
Gerald regarda successivement l´infirmière, la bibliothéquaire et la pièce, puis décida de mentir, pensant que ce serait la meilleure solution pour se sortir de là.
_Eh bien, je euh... je ne sais pas trop, commença-t´il. J´étais là, en train de chercher un livre, et pensant que vous étiez là, dit-il en désignant d´un signe de tête Mme Crayine, je n´ai pas trouvé anormal de le faire. Et puis soudain, boum, j´me suis évanoui...
_Ah... C´est... étrange. Il va falloir en parler au directeur. En attendant venez à l´infirmerie, je vais vous y accompagner. Mme Crayine, veuillez avertir Ronald, qu´il aille vérifier s´il n´y a pas quelque chose de bizarre ici. Allez, prenez mon bras.
Gerald attrapa le bras de l´infirmière, se leva, et la suivit distraitement, milles idées se poussant dans sa tête. Ils arrivèrent rapidement à l´infirmerie, et Gerald se coucha rapidement, comme le désira l´infirmière. Il s´endormit presque aussitôt, malgré l´effusion de pensées qu´il avait.
Cette mésaventure avait été déroutante, et il était pressé de raconter tout celà à Leonard dès qu´il le pourrait.
Boost
Je vais attendre que tu es finis puis je lis !
Fiction : Asilium
Chapitre 6 : Décès et Pasage Secret
Dans les jours qui suivirent son accident dans la bibliothèque, Gerald ne vit pas Leonard. Il n´était plus dans sa chambre, jamais dans la salle à manger, et jamais dans le parc. Gerald mourrait d´envie de raconter ce qui était arrivé à celui-ci.
Ce ne fut qu´une dizaine de jours plus tard qu´il le trouva par hasard dans le couloir du dernier étage.
"Hé ! Leonard !" cria-t´il.
_Chut ! Fais moins de bruit, répondit Leonard en chuchotant, tu vas me faire repérer.
_Mais, je te cherche depuis un moment, j´dois te raco...
_Je suis en train de les faire tourner en bourrique, interrompit Leonard, voilà dix jours que j´me planque partout ! C´est marrant...
_Mais... J´ai vu quelque chose de bizarre dans...
_Il y´a plein de choses bizarres ici, tu t´y habitueras. Sur ce, je m´en vais.
Et il le laissa planté là.
Gerald, le lendemain, ne comprit toujours pas pourquoi son ami devenait si distant, si peu intéressé à la discussion, alors qu´il y´a encore quelques semaines il était extrêmement bavard, et lui racontait une multitude de choses sur cet asile.
Un matin, trois jours après la discussion qu´il avait eu avec Leonard, Gerald se rendit dans la salle à manger, comme à son habitude, pour se nourrir et en profiter pour discuter avec les patients autorisés, quand, sur le chemin, dans l´escalier menant au hall de transition, un hall qui ammène à la salle à manger, à la sortie et à d´autres pièces, il vit un atroupement près de la porte d´entrée de la pièce de repos des infirmiers. Apparement quelqu´un était étendu sur le sol. Gerald s´approcha, et, se frayant un chemin parmit la foule, vit alors le corps d´une infirmière, apparement sans vie. Elle baignait dans une mare de sang, affichant un regard figé et terrifié. Gerald entendu des bribes de conversation dans la foule :
"Tommy l´a trouvé là ce matin....funeste."
"Bah, ça peut....un animal...comme y´a deux ans."
Il s´approcha d´un groupe de trois personnes discutant avec ferveur et demanda à l´un deux :
"Mais, savez-vous ce qui s´est passé ?"
_Apparement on l´a trouvée morte ici y´a environ vingt minutes. Comme par hasard y´a pas de témoins. Et en plus le directeur n´est pas là donc bon.
_Enfin bon, ajouta un autre, je pense qu´elle s´est fait tuée par vengeance. Elle a reçu pas mal de coups de couteau quand même !
Gerald réexamina le corps et vit effectivement qu´elle avait été mutilée par un couteau. Elle était touchée à de très nombreux endroits.
Il ne s´attarda pas plus longtemps, se retourna dans la direction de l´escalier pour remonter dans sa chambre en attendant que la foule se dissipe et vit ,alors qu´il montait les premières marches, Leonard marcher rapidement en direction de la salle à manger. D´où était-il venu ? Gerald ne le savait pas, mais il décida de le suivre pour voir ce qu´il allait faire. Il rebroussa donc chemin et le suivit discrètement.
Arrivé vers le milieu de la salle à manger, Leonard tourna à droite et pris la direction du mur, qu´il longea rapidement. Gerald le suivait difficilement. Il y´avait heureusement encore beaucoup de monde ici et il pouvait rester discret. Leonard arriva enfin devant un pan de mur, regarda tout autour de lui, n´apercevant pas Gerald, et appuya sur un des motifs qui le hornait. Le mur se retourna rapidement mais Leonard eut juste le temps de passer. Gerald était sidéré. Prendre un passage secret en plein déjeuner avec beaucoup de témoins potentiels pouvait ressembler à de l´inconscience. Il décida tout de même d´essayer de passer également dans ce passage. Arrivé devant le pan de mur, il appuya à de nombreux endroits, mais rien ne réagit. Le mur resta immobile. Décontenancé il décida de retourner dans sa chambre mais d´attendre Leonard, qui devrait finir par revenir dans la sienne. Il monta et s´allongea sur le lit, tendant l´oreille...
Quelques heures plus tard Leonard n´était toujours pas venu. Gerald s´y attendait. Celà faisait un moment qu´il n´y allait jamais. Il s´assoupit alors et tomba dans un profond sommeil.
Il fut réveillé brutallement par une voix très forte, sortant de hauts parleurs apparement situés dans le couloir.
"On demande à voir tous les patients valides dans la salle à manger, je répète, on demande à voir..."
Gerald se leva d´un bond et parcouru les couloirs d´un pas rapide, se demandant ce qu´il pouvait bien nécessiter cet appel, quand il se souvint, un peu avant de passer les portes de la salle à manger, de l´infirmière qui était morte le matin même.
Rentrant dans la pièce, il fut étonné de voir qu´elle avait changé d´aménagement. De longues rangées de chaises étaient disposées à la suite, comme dans un cinéma, et, au fond, se tenait une longue table où étaient assis tout le personnel de l´asile, le directeur étant assis au milieu. Gerald s´assis dans une des rangées du fond et attendit quelques minutes. Enfin, quand tout le monde fut arrivé, le directeur se leva et commença à parler, très fort :
"Ce matin a eu lieu un terrible drâme. En effet, Mademoiselle Laure Meliodin est décédée. Nous..."
Gerald n´écoutait qu´à moitié le discours, il cherchait surtout des yeux Leonard, mais ne le trouvait pas.
"famille et les proches. Laure était une jeune..."
Enfin il le trouva ! Assis dans les premiers rangs. Il avait le regard blème, mais Gerald remarqua que ce n´était qu´une attitude forcée. Il regardait régulièrement le mur par lequel il était passé quelques heures avant et paraissait stressé. Que pouvait-il bien attendre ?
"Merci d´être venu. Vous pouvez retourner dans vos chambres."
Au fur et à mesure, tous les patients se levèrent. Beaucoup discutèrent entre eux, mais certains partaient directement. Gerald lui attendit Leonard à la sortie de la salle à manger, il ne pourrait pas le louper cette fois-ci. Mais, après que tout le monde soit sortit, même le personnel, Gerald ne l´avait toujours pas vu. Il sortit dépité et rejoignit sa chambre, esperant avoir bientôt enfin l´occasion de lui reparler. Il se mit sous les draps, et s´endormit rapidement, s´en s´apercevoir du froid qui s´installait dans sa chambre...
Vive le copier/coller
Trooper -> Mdr ! ^^
Bon ça y´est, j´vais en profiter pour écrire un nouveau chapitre.
Woulah! J´ai lu les deux premiers chapitres, plutôt pas mal. Je vais lire le reste.
Whites tu sais ce que j´en pense c´est superbe, je pourrais ton prochain chapitre que lundi
Bad -> Pas grave. ^^ Va falloir que je me remette à ta fic.
Lego -> Merci.
whites t´es pas obligés, mais elle s´est amélioré avec le temps
Chapitre 7 : Le Rendez-vous
Le directeur se sentait mal, très mal. Il avait beaucoup bu ce soir là, et il était en sueur, appeuré par l´idée que la malédiction comme il l´avait appelée, revienne dans son établissement.
Il avait du répondre aux questions du Ministre de la Santé, qui, en fin de soirée, l´avait appelé. Il avait maintenant peur...
Il se leva péniblement de sa piètre chaise, sortit de son bureau, et commença à arpenter les couloirs. Il le faisait tous les soirs, mais il trouvait que ce soir là était beaucoup plus inquiétant que d´habitude. Moins de bruit, moins d´agitation, et ce froid. Il persistait depuis quelques jours, envahissant peu à peu les moindres recoins du bâtiment.
Le directeur frissona, et décidé de retourner sur ses pas. Sa visite nocturne serait écourtée. Alors qu´il traversait un des nombreux couloirs du rez-de-chaussée, il entendit un petit bruit derrière lui. Inquiet, il se retourna, mais n´aperçu rien. Le couloir sombre et vide s´étendait devant ses yeux.
Il continua alors de marcher et réentendu le même bruit. Un bruit discret, mais facilement reconnaissable, car impossible à reconnaître.
Il tremblait. N´écoutant que son courage il fit alors demi tour et s´enfonça dans l´obscurité du couloir, pour voir d´où venait ce bruit.
Arrivé au niveau de l´escalier central, il se rendit compte qu´il n´y avait rien, et repris possession de ses moyens. Il repartit rapidement dans son bureau, mais pris la précaution de charger son pistolet. Un ancien modèle, peu performant, mais suffisant pour tuer un être vivant.
Il fermit sa porte à clé, et resta éveillé toute la nuit.
Ce matin là, Gerald ne descendit pas prendre le petit déjeuner, il resta dans sa chambre à méditer. Il se demandait toujours à quoi rimait le comportement de Leonard. Quelqu´un frappa à la porte, Gerald se précipita, l´ouvrit, mais il n´y avait personne.
Sur le sol il vit alors un petit papier. Il le ramassa et pu lire :
"J´te donne rendez-vous devant l´arbre géant tout à l´heure après le déjeuner, j´ai des trucs importants à te dire...
Leonard."
Gerald relu la lettre plusieurs fois, et après avoir bien reconnu l´écriture de son nouvel ami, il se décida à s´habiller.
Pendant ce temps, dans la salle des infirmiers, deux infirmiers discutaient entre eux en chuchotant. Ils s´appellaient Jack et Thomas :
"Tu penses quoi toi de ce qu´il nous as dit le directeur ? demanda Jack.
_Je sais pas ce qu´il a dit, j´suis arrivé en retard...
_Ah... Eh bien, il nous as dit de redoubler de vigilence, apparement, des patients préparent une sorte de révolte... Tu y crois ?
_Ca serait abhérrant. La plupart se serviraient de leur coussin comme d´un pistolet ou essaierai de nous poignarder avec leurs pots de chambre...
_C´est sûr... Je pense qu´il cache quelque chose, il était bizarre.
_Il a l´air soucieux depuis la mort de Laure...
_Qui ne le serait pas ?
_Oui, je suis d´accord, mais il regarde partout, se trimballe avec son pistolet personnel, donc bon...
_T´as raison, c´est louche, faudra ouvrir l´oeil.
Gerald descendait l´escalier central pour atteindre la salle à manger quand quelqu´un le bouscula. L´individu avait la vingtaine, les cheveux courts, de grands yeux assez effrayants placés un peu bizarrement sur un visage rond. Il avait un regard perçant, étonnant. Ses habîts étaient classiques, mais sa chemise paraissait usée, rapiécée. Il avait un peu de sang sur la lèvre.
_Ah pardon, désolé de vous avoir bousculé, dit le jeune homme que Gerald ne connaissait pas.
_Ce n´est rien, répondit-il. Mais dîtes-moi, je ne vous connais pas, vous venez d´arriver ?
_Oui.
_Ah c´est donc pour ça. Et vous vous appelez comment ?
_Alexis.
_D´accord, heureux de vous avoir rencontré.
_On se reverra je pense.
Gerald continua alors sa descente, alors qu´Alexis continua lui de monter. Puis, Gerald arriva dans la salle à manger, il y´avait beaucoup plus de bruit que d´habitude.
Les patients allaient de table en table, parlant avec d´autres patients certains à voix basse, d´autres en approchant du cri.
Le directeur se tenait au milieu de la table du personnel comme d´habitude, une table qui comptait deux chaises vides. Celle de l´infirmière morte la veille et celle de celui qu´on appelle "L´informaticien". C´est lui qui dépanne tous les appareils électroniques et qui s´occupe de la gestion par ordinateur.
Gerald s´installa à une table tranquille, où il y´avait peu de personnes, et commença à se servir. Après s´être bien rassasié il se leva en trombe et sortit rapidement de l´établissement, rejoignant le parc. Il ne se rappellait plus où était l´arbre géant, mais c´était un arbre facile à repérer par sa grande taille.
Il finit par l´apercevoir, à sa droite, au fond d´une allée. Il se pressa et arriva, après un peu plus d´une minute, juste devant. Il attendit alors. Dix, Quinze, Vingt minutes... Que pouvait bien faire Leonard. Il commençait à tourner en rond, quand soudain, un bruit dans les épais buissons retint son attention. Leonard apparu, l´air épuisé, mais content de lui. Aussitôt Gerald pris la parôle :
_Mais qu´est ce que tu foutais ? Ca fait un bon moment que j´t´attends ! Et qu´est ce que tu faisais pendant tout ce temps, ces derniers jours, j´commenc...
_Tais-toi, l´interrompit Leonard. Je vais t´emmener à un endroit étrange que j´ai découvert cette semaine. Mais n´en parle à personne, on ira tout à l´heure, en attendant que tout le monde parte de la salle à manger. On se faufilera à l´intérieur et on prendra un petit passage que je prend régulièrement. Tout seul c´est discret mais à deux ça l´est beaucoup moins, alors il vaut mieux prendre ses précautions. D´accord ?
Gerald, qui ne s´attendait pas à ça, hocha simplement la tête, encore étonné de ce qu´il venait d´entendre de la bouche de son ami.
_Enfin, en attendant, continua Leonard, j´vais te dire ce que j´ai fais pendant ces quelques jours. C´est ce que tu veux savoir je me trompe ?
Gerald prononça un faible "Oui" et Leonard repris la parôle.
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Petit chapitre amorçant une nouvelle ère dans la fic.
c´est une atmosphère pour le moins étrange.
Oulah oui quel atmosphèe! Je sens qu´avec cette fic on va avoir bien des surprises héhé! En tout cas très bien écrit, continue comme ça whites!
Un peu sombre tout de même
J´adore continue comme ça
ça m´a fait rire le
" _Ah c´est donc pour ça. Et vous vous appelez comment ?
_Alexis. "
j´ai tout de suite pensé à ce fameux modo
pas mal, quelques fautes comme " je ne sais pas ce qu´il as " ... mais sinon c´est bien écrit. ^^
Trop court,pas assez de saut de ligne.
est-ce que tu pourrais utiliser les tirets "-" plutôt que "_" c´est beaucoup mieux pour les dialogues