Oh, serait-ce un chapitre qui aurait échappé à ma vigilance ?
"ses manches en dentelle cachaient ses mains laissant entrevoir des mains fines et belles" >>> Faille spatio-temporelle détectée \ /
Avec répétitions de "mains" au passage. :3
"je compris pourquoi l’oiseau violet" >>> C'est bien d'utiliser des substituts, mais pour le coup c'est pas super réussi, il aurait fallu qu'on connaisse vraiment le personnage pour pouvoir le reconnaître tout de suite.
Dernière chose qui m'a interpelé... pourquoi tous ces sauts de lignes ?
A part ça, c'est bien, l'orthographe est globalement maîtrisée, la syntaxe est bonne, le scénario est sympa.
Peut-être un rappel du décor aurait été le bienvenu, toutefois... :3
Voilà ! Sur ce, j'ai bien aimé, et je demande une sweet !
PS : Tu as atteint le chiffre symbolique des trois chapitres, tu peux dès à présent immortaliser ta fiction dans l'annuaire : https://www.jeuxvideo.com/forums/1-11372-4284781-1-0-1-0-annuaire-mise-a-jour-du-sujet.htm !
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Par la rémige du Pygargue !
heu... j'ose pas trop mais je vais le faire comme meme de l'imortaliser dans ton truc
voila, c fait ^^
J'adore cette fiction.
merci Wesker mais heu pour la suite je la posterais le week end prochain parce que en ce moment g eu un peu d'inspiration et g fait un brouillon mais apres j'en vais plus mais la ca marche^^G trouver mon inspiration hier soir donc je vais seulement commencer a ecrire aujourdhui c pour ca que ce sera le week end prochain^^
Donc le week end prochain Suite!
merci a tous de sui vre ma fic malgré le temps que je prends à écrire
Oki, d'accord.
Merci beaucoup de nous tenir au courant.
Waouw! tu réponds vite!
J'ai lu en diagonale, ça m'a pas l'air mal du tout !
J'appuie les commentaires précédents, en fait, je ne vois pas assez de failles pour rédiger un super pavé.
J'ai juste noté un petit manque de description et quelques substituts maladroitement donnés, mais ça reste agréable .
Good job !
ho, merci Bridgess34
mais heu c'était pas toi qui m'avait aider pour la premiere fic que g fait sur ce forum
Sisi, c'était moi.
D'ailleurs, t'as vachement progressé, c'est super .
Bridgess
Un grande Héroïne pour moi.
Je peux avoir un autographe ?
Euh...
Salut à toi, ô forumeur.
Que me vaut cet accueil chaleureux ?
Si, c'est toi; encore merci
et oui, moi et la description on s'entend pas tres bien mais les sentiments sur les fics c'est le grand amour J'ADORE quand c des fics bourrées de sentiments^^
c gentil de me dire que g progresser ^^
J'aime beaucoup ta fic, bravo ! :o
Bridgess J'aime bien ce que tu fais.
merci homycat c gentil de ta part! ^^
wesker 40 je suis d'acord! g lu la fic de bridgess qu'est encours elle est génialissime!!!
vous savez quoi?! Celui qui posteras le 100eme poste aura son nom dans l'histoire!^^
mais si c moi ca ne marcheras evidemment pas^^
Chers lecteurs enfin, g fait le chapitre lmais, je pars demain donc ne pourrer pas vous répondre^^
Bonne lecture ^^
Chapitre 4 : La vie est un long fleuve tranquille... ou pas
Respirer, expirer. Opélie ne s’était jamais rendue compte à quel point cela lui était important ; vital. D’avoir du souffle. Pas une contraction une grosse boule qui se bloquait dans sa gorge et qui l’alarmait, faisait battre d’effroi son cœur, serrer ses doigts qui se contractaient puis se relâchaient frénétiquement et mordre les joues jusqu'à les avoir en sang.
Ses jambes lui faisaient pensée à de la cire. Tout son corps, et elle même paraissait pour elle une longue et fragile poupée de cire. Qui allait bientôt se brisée, se craquelée puis devenir cendre que le vent éparpillerait.
Mais ce qui lui faisait tordre le ventre d’une douleur inexpliquée c’était parce qu’Opélie avait découvert quelque chose d’horrible.
Elle avait peur d’elle et du futur, ainsi que de la vie.
Et du noir de l’évanouissement.
Elle était appuyée contre un arbre. Un très grand arbre. Ses racines étaient encrées dans le sol et ressortaient faisant penser à des serpents ondulants mais gracieux. D’une nuance de tous les marrons virant dans certains endroits à l’oranger caramel lorsque son épais feuillage laissait voir des trous de lumière de part et d’autre. C’était un grand tronc épais sec et rugueux que les bucherons n’auraient jamais pût couper par sa prestance.
Son feuillage était d’un vert clair tirant parfois au vert sombre. Ses feuilles étaient grandes, douce et tremblotante lorsque la brise venait par là. Elles étaient fines et chaque petite courbe, ligne ou trait les rendaient gracieuse.
Alors, cette âme brisée pensait à cet arbre.
Sans cesse elle revoyait celui qui lui avait tiré dessus.
Pourtant, si on lui aurait demandé si maintenant elle le détestait elle n’aurait pas pu dire non.
Ni oui.
Son cœur battait de tristesse, brisé en deux.
Elle comprenait pour quoi on représentait les amours perdus par un cœur séparer par une fissure semblable à un éclair.
Puis, une belle renarde à la fourrure resplendissante arriva, ayant la démarche parfaite d’une lady. Elle l’observa un instant avant de lui donner une lettre.
- Mon dieu, tu as vu l’état don tu es ?
- Laisse moi je n’ai pas besoin d’être soignée, ce n’est rien.
- Mais…
- Tais toi.
- C’est pour toi, Opélie ; ta sœur est allée à l’hôpital avec la nouvelle, le bâtiment a pris feu. Et donc personne ne pouvait te la remettre. Sauf moi.
Elle déclara sa phrase d’une voix et d’un ton parfait, comme si s’aurait été un discours appris avec ardeur.
La destinataire de la lettre soupira tristement et la lady posa une patte sous son épaule. Elle avait un regard compatissant ; et un pauvre sourire s’étira sur sa bouche.
- Tout le monde souffre, même moi.
Et sous la perfection qu’était la renarde Opelie sentit une personne faible, fragile qui se cachait dans ces poils luminescents.
C’était comme une petite fille qui aurait mis des talons de sa mère, les chaussures lui allaient bien. Mais elles étaient d’une autre personne, les ballerines coincés au fond du placard lui irait sûrement bien il suffisait qu’elle ouvre le placard et trouve la clé.
Le félin n’avait même pas trouvée la clé ni la serrure mais , la clé était pourtant juste devant elle.
Il fallait juste qu’elle lève la tête.
L’oiseau se rendit compte que le silence était au complet.
Elle regarda soudain la lettre avec curiosité. Qui pouvait bien lui envoyer une lettre ?
- Au revoir Opélie et si jamais tu veux apprendre des conseils pour être une lady, viens me voir ! Elle me fit un clin d’œil.
Mais, juste avant qu’elle parte une réplique se fit entendre :
- Je viendrais, mais pas forcément pour être une lady !
Un sourire apparut sur les deux demoiselles.
Quand elle partit la jeune maudite déchira l’enveloppe avec empressement.
Le papier était d’un noir très sombre et il était impeccable.
L’écriture était serrée, petite mais elle s’étalait tranquillement.
La lecture n’était pas aussi belle.
Le visage d’Opélie se crispa. Voici ce qu’elle lut :
Je sais que tu es là, Opélie.
Ne dis rien, ne crie pas et fait comme si de rien n’était.
Qu’elle idiote tu es.
Je vais revenir et tuer LA Anna.
Tu ne sais rien d’elle et si tu l ‘approche tu mourras.
Ne te mêle pas de ça.
Tu crois que je tiens à toi ?
Laisse moi rire.
IL m’a obligé à te réconforter mais chaque jour je me retenais de t’étrangler.
Meurs.
Je n’aime que deux choses : une jeune fille et tuer.
Meurt.
Souffre.
Tuer.
Je te hais.
Le tireur.
Les mains d’Opélie étaient crispées et son visage resta figé.
Je reculais. Les mots paraissent résonner comme un écho dans ma tête :
« - Anna, si tu savais… Il y a longtemps que j’aurais du te tuer pour toutes les atrocités que tu as faites. »
Mon cœur se serra. Je fermais les yeux imaginant un couteau ou pistolet sortir et atterir dans ses mains.
J’eus seulement une main posée sur mon épaule.
Il voulait juste me réconforter.
- Tu sais quoi Anna ? Je crois que toi, entre le bien et le mal il y a toi. D’ailleurs ce que disais souvent ta mère qui avait raison c’était « Il n’y a ni noir ni blanc mais que des nuances de gris ».
Alors, je sais que ma phrase est froide et que c’est vrai mais, je pense qu’une couleur noire peut facilement virer au gris. J’ai crût comprendre que tu étais amnésique.
Les larmes coulèrent sur mon visage.
- Je… qui est ma mère, je n’y comprend rien, rien à rien. Je n’en peux plus.
- Je sais, c’est dur, c’est très dur mais il faut que tu t’accroches. D’ailleurs, pourquoi est tu venue ?
- Je… une espèce de déesse est apparue et le bâ… bâtiment a brûlé. J’ai demandé à voir le maire comme ça.
Mais, s’il vous plait qui est ma mère, dites le moi !
- Les choses se répètes…
Je vais e raconter, assis toi.
Nous entrâmes dans une vaste pièce au couleurs pastels. Tout était de toyutes les formes, les couleurs. Quand on regardait en arrière, cela formait un amas d’objets multicolores.
Il me proposa une vielle chaise vert pomme qui était assez confortable et lui même s’assit sur un petit fauteuil jaune citron. Je remarquais une petite étagère bordeaux et des des livres et lut :
« Ma vie parmi les non humains » ou encore : « Les voies de l’âmes ».
- Je veux que tu te rappelés toi même. Je prononcerais un mot qui te sera familier et il faut que tu laisses aller le flash back et si tu y arrives je te raconterais tout.
Neige.
Ce fut un coup violent mais je laissais les souvenirs venir :
Je cours. Je me vois dans l’une des vitrines du magasin.
Je suis très joli avec mon petit manteau bleu marin et mes chaussures rouge ainsi que mon pantalon orange.
Je me souviens que mes cheveux me vont jusqu’à la taille et que deux petites barretes roses les retiennes. J’ai 8 ans.
Une dame m’appelle. Elle est très belle. Elle a un long manteau rouge de fourrure qui descend jusqu’à ses pieds et qui ondulent laissant des traces sur la neige, des petits talons noirs ainsi qu’un beau pantalon noir.
Ses cheveux bruns, coupés court, ce sont des mèches lisses qui font un beau rideau chocolat juste sous la tête. Son rouge à lèvres carmin est impeccable et ses yeux pareils à ses cheveux sont magnifiques.
Elle est très belle.
Je suis toute excitée, c’est la première fois que je vois la neige. Elles est blanche, fait penser à un long manteau blanc.
Des petits flocons tombent sur mes cheveux et cela me donne un petit frisson. Chaque petit grain est éclatant, on voit encore des traces de chaussures qui laissent un petit ton gris sur le sol.
Je me penche et tire la langue jusqu’à que je sente un petit rond glacial qui se répand dans ma gorge et qui devient liquide.
C’est bon, je ferme les yeux pour ressentir ce goût .
Je rouvre les yeux et murmure à Tortimer :
- Je me souviens.
- Bien , je vais te raconter…
Je me sens excitée comme à mes 8 ans mes cette fois pour une chose plus importante...
Voilà^^
mince, c'est mais cette fois et non mes et heu... g l'impression que ce chapitre est nul je crois que je l'ait fait trop vite et je me suis pas relue