Si jamais le modo (nuagedeneige) passe par là je tiens a lui dire merci de m'avoir locker pour me proposer de faire une autre fic
Donc tu veux que ta fiction soit Locker ?
Tu es sûre de ton choix ? Si tu veux faire locker celle-ci, demande sur La Mairie de Modville. :o
Non ! Elle était bien ...
J'en profite pour signaler à Peto que j'ai posté un autre chapitre
MAIS NON!!!!!!!! VOUS AVEZ RIEN COMPRIS AVANT, J'AVAIT FAIT UNE AUTRE FIC ET ON M'A PROPOSER DE LA LOCKER POUR EN FAIRE UNE AUTRE ET G FAIT CELLE LA!!!
MAIS JE VEUX PAS DU TOUT LA LOCKER!!
bouhou maintanant ya plus personne par ce que vous avez cru que je voulais locker
mais, si ya quelqu'un qui revient je PROMET de faire une suite digne de ce nom alors svp
Revener ze veux pas être toute seule
J'ai Lu et j'aime bien. :3
HO
merci ma petite Mélia je t'adore car j'espere que les autres vont revenir car comme tu as vu il y a eu un petit malentendu.
Alors vraiment merci a toi d'aimer ma fic^^
Je vais creuser mon inspiration pour que tu puisse apprécier la suite
Oui, j'ai vu. :/
De rien.
Owiii, merci, la suite.
Merci ... bon, je m'y mets ^^
Je suis là.
salut, je poste la suite demain!!!^^
Cool.
^^
Belle fic
merci emilie et voila the suite:
Chapitre 3 : La déesse
BOUM ! Des morceaux de verre se brisèrent.
- Dis donc, Anna tu n’as pas changée dis moi toujours aussi… pareil.
Cette voix me semblait pour la première fois familière. Et ce nom… il semblait traverser l’espace, pour arriver jusqu’à mon cœur et faire partie de moi.
J’avais l’impression de revivre de comprendre enfin quelque chose dans ce tourbillon de vie, de question, d’espoir, de peur et d’ignorance.
Douce, mais d’une manière lente ; elle susurrait presque de façon à que ce son me soit amer et sec.
Je me tournais.
Et c’est alors que je la vis.
Ses yeux noirs dardaient sur moi un regard de glace, profond et effrayant à la fois. Sa bouche couleur rouge sang s’étira laissant apparaître des crocs aiguisés. Sa peau de satin blanche contrastait avec sa robe noir de soie, moulante, ses manches en dentelle cachaient ses mains laissant entrevoir des mains fines et belles. Son corps était fin et elle était grande, toute sa personne semblait m’écraser. Et ses cheveux… D’un noir de jais ils tombaient dans une cascade brillante et soyeuse, les reflets de la nuit les faisaient assombrir d’une manière provocante.
C’était parce qu’elle était belle, assise sur le rebord de la fenêtre, de sa beauté irréelle qu’elle faisait peur.
Ses traits fins et impérieux me dévisageaient et semblaient me demander pour qu’elle raison j’étais là, à exister alors que je n’étais rien et elle était le monde.
Pourtant, malgré la créature parfaite qu’elle était je n’aurais pu la qualifier d’ange.
Ce serait l’insulter.
Non, c’était une déesse.
De souffrance, de peur et de promesses rompus ;
Et de mort.
Et soudain en même tant que de me mettre à genoux j’avais envie de déformer de mes mains ce visage parfait pour arracher son cœur et montrer, montrer que son cœur n’était que noirceur.
- A… allez vous en ! Cette voix tremblante me fit l’effet d’une vague de chaleur, d’amour de caresse, d’espoir et mon droit d’exister me revint. Au son de cette petite voix je sus sans même me retourner que c’était Elisabeth.
C’était injuste.
Oui, la vie était injuste.
Car la sœur d’Opélie se battait chaque jour malgré sa souffrance, sa malédiction et ses différences.
Et, malgré ses paroles peu agréables, je savais que son cœur était empli de bienveillance.
Alors que cette déesse elle, avait sûrement un cœur pourri, et elle avait tout ce dont elle désirait.
Et c’est alors que je compris pourquoi l’oiseau violet avait si peur.
La malédiction me revint comme un coup de poing dans le ventre.
C’était elle qui les avait maudite.
Et tous sentiment de soumission disparut alors pour laisser place à la colère et à la haine
- Anna, tu m’as donc oubliée ?
Cette désormais démone à mes yeux pesait cette phrase feinte de surprise.
- Je ne sais pas plus que vous êtes un monstre qui a maudit des gens innocent et moi, je vous hais car vous avez beau être ravissante vous n’êtes au fond que destruction et désespoir. Mes poings blanchirent tant je me retenait de lui faire du mal.
Elle rit et me dit :
- Ho, pauvre chérie tu es amnésique c’est pourtant la deuxième fois et sache que toi aussi tu les a maudits et tu riais je te signale.
Elle rit doucement d’un rire parfait mais qui résonnait dans la pièce de glacial.
Non… je ne voulais pas croire cela.
Mes sentiments redevinrent éparpillés de tous part dans ma tête et mon cœur.
- À la prochaine fois alors ! Et elle claqua des doigts avant de disparaître.
Et Elisabeth hurla. Car l’hôpital avait pris feu.
Alors, comme pour pardonner ce que j’avais peut être fait ou pour tout pardonner je la soulevais et courut.
Je sortis de ce bâtiment désormais brûlant de flammes.
Un amas de pattes, d’ailes de plumes et de fourrure nous entourèrent.
- Que s’est il passé ? Hurla une espèce de grenouille.
Elisabeth me regarda et je baissais les yeux. Et à ma grande surprise elle s’écria :
- Cassez vous espèces d’imbéciles vous avez jamais vu un vieux bâtiment s’détruire ! De toute façon fallait bien qu’il s’pète un jour ! Puis, j’ai fumée une clope et puis c’est tombé ! C’est bon, yavait façon personne à l’intérieur !
Et je devinais que je m’étais fait une amie. Et avant qu’elle se relève dignement je lui soufflais :
- Merci…
Et pour la première fois dans ce visage de peur et de souffrance je vis un rayon de soleil ; un sourire se dessiner sur ses lèvres.
Puis, je distinguait l’adorable blonde me sourire et avant qu’elle ne puise dire un seul mot je lui dit :
- Où est le maire ?
Opélie était dans ses bras depuis des heures mais pour elle ce n’était que des secondes, sa tête collée contre lui elle sanglotait doucement.
Elle aurait tant aimée qu’il l’aime comme elle l’aimait.
Elle savait qu’elle était égoïste d’abuser de sa tristesse pour qu’il la réconforte. De toute façon, malgré ce qu’elle était maintenant il ne l’avait jamais aimé.
Elle se souvient de ce jour d’automne où les feuilles rayonnaient de leurs couleurs.
Où elle avait décidée de lui dire.
Cette phrase qui l’angoissait qui n’était pourtant que mots mais qui l’obligeait à rougir dès qu’elle le voyait.
« Je t’aime ».
Elle l’avait prononcée de sa voix timide mais joyeuse et pourtant, il avait secoué la tête d’un air triste et lui avait dit que son cœur n’était pas à elle.
Mais, elle essaya de ne pas refaire surgir ce souvenir douloureux.
Elle savait aussi qu’à part elle personne ne connaissait son existence.
Et qu’il était humain.
Il avait des mèches de jais qui aurait fait craquer n’importe quelle fille ; des beaux yeux noirs et un teint pâle qui faisait ressortir ses yeux.
Grand, élégant mais musclé il était beau comme un dieu.
Il avait surtout des lèvres pulpeuses comme il faut qu’elle rêvait d’embrasser.
Il ne portait que des vêtements noirs qui faisait encore plus ressortir son teint pâle.
- Tout vas bien murmura t-il.
Alors, Opélie lui raconta tout.
Il fut surpris et dit :
- Ecoute moi bien, Opélie cette fille, il faut la tuer.
Il sortit une arme qui la fit trembler.
- Tu es fou, souffla t-elle.
Elle recula. Et elle réalisa soudain qu’elle ne savait rien de lui, ni de sa vie.
Elle prit peur.
Il lui sourit d’un sourire démoniaque laissant entrevoir des crocs.
Elle se rendit compte que sa beauté était bien étrange, presque fausse. Et la détonation se fit entendre.
Opélie hurla, de peur, de souffrance.
Et juste avant que tout devienne noir, elle l’aperçut qui riait d’un rire glacial.
Anna… Ce nom me plaisait ; il m’était étrange, mais c’était pourtant le mien.
J’inspirais et me remémorais dans ma tête ce que m’avait expliqué le vieux et la blonde qui s’appelait en vérité Aurore.
- Le maire s’est exilé dans une grande maison même s’il sort de tant en tant pour diriger la mairie ou pour faire des discours. Il lui est arrivé des choses… Pas très heureuses mais il vaut mieux qu’il te raconte à toi comme il la fait pour nous.
J’arrivais enfin dans une énorme maison. La maison.
Elle était assez modeste et la peinture blanche des murs s’écaillait et laissait voir des traces de vie et d’ancienneté.
Le toit était d’un bleu presque royal et qui se dressait fièrement vers le village comme pour les protéger d’un éventuel danger.
Et la porte. De bois, elle était imposante grâce à la petite étiquette où était écrit :
Maire Tortimer
Officiel et dirigeant de la ville
« M »
Et à droite un petit mot où était écrit frapper svp qui donnait une petite touche de chaleur dans cette maison à l’allure presque orgueilleuse.
J’ouvris la porte.
La maison était tout en bois « teck » sauf le sol qui était d’un bleu vif presque turquoise.
Une vielle tortue me regardait à travers ses yeux fatigués. Il me sourit d’un air plein de sagesse, d’expérience et me donna l’impression qu’il pourrait enlever ce lourd poids qui était sur mes épaules.
- Tu n’as pas changée Anna, j’ai cru comprendre que tu étais amnésique.
- Heu… ce n’est pas faux car vous ne me dites rien.
- Anna, si tu savais… Il y a longtemps que j’aurais du te tuer pour toutes les atrocités que tu as faites.
Il se leva et se dirigea vers moi et il ne me parut plus si vieux et bienveillant que ca.
Que va t’il arriver à Opélie et a notre héroïne vous le saurez en lisant la suite ^^
voila comme promis g fait la suite dimanche^^
j'ai hate
Bonne continuation !