Toi c'est vive les double post
Yeah ! t'as fait le 60e post...je préviens et j'en suis désolé mais je fais un double post dans pas longtemps
La sweet ! Wirk !
Bonne lecture
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Chapitre V
Le soleil était levé depuis un bon moment déjà lorsque je me réveillai. Gluty était prêt et m’attendais avec la patience d’un félyne. C'est-à-dire sans patience.
-Nia ! Et c’est seulement maintenant que tu te lève ! me cria-il de sa voix grinçante.
-Tu n’avais qu’à dormir plus tard, répondis-je, somnolant, encore marqué par les évènements de la veille.
Je ceignis ma dague de chasseur à la taille et ajustai ma tunique. J’emmenai cinq cents zénis avec moi si je tombais sur un marchand. Durnik avait déjà vendu le couteau de chasseur créé la veille et une carabine de couleur blanche quand nous descendîmes au rez-de-chaussée. Il était temps de partir à la découverte de Kokoto.
Gluty était aussi impatient que moi car il était arrivé seulement trois jours avant. Son pelage frémissait sous l’effet de l’excitation. Il n’y avait tout de même pas de quoi, selon moi. Nous commençâmes par la rue principale qui traversait le village. Elle était bordée de boutiques de bibelots, de maisons et plus loin, à l’extrémité, se situait la cabane -ce n’était pas vraiment une maison- du chef du village. Ce dernier était vieux, très vieux. Un ancêtre même. Mais il paraissait serein, et digne de diriger cet humble hameau… Et oui, cette balade m’avait permis de me rendre compte que le monde n’était pas plus beau ici qu’ailleurs. Ce village avait lui aussi son lot d’arnaques, de truands, de mauvaises fréquentations… C’est ce dont je me rendis compte quelques minutes après.
Nous étions devant un marchand itinérant. Je lui demandai s’il possédait un artefact permettant d’augmenter la capacité naturelle de résistance aux attaques. Il farfouilla quelques instants dans son énorme sac, suite à ma requête puis il tira un minuscule objet et le tendit bien haut.
-Et voilà ! Ceci est un charmure, c’est un objet d’une rareté exceptionnelle. Ca vous fera vingt-cinq mille zénis !
-Vous êtes fou ! -j’aime bien traiter les gens de fous en ce moment- Ce bibelot n’en vaut pas dix !
-Vous n’êtes pas convaincus ? Démonstration…
Il passa un fil par le trou de l’objet et l’enfila autour de son cou.
-A présent, je suis presque insensible aux coupures et aux brûlures. Observez bien…
Il s’empara d’un couteau et se taillada l’avant-bras. A ma surprise -Gluty aussi fut étonné- il n’en subsistait aucune trace, aucune coupure. Ensuite, il alluma une petite torche et l’appliqua au même endroit. Toujours rien. L’artefact était peut-être efficace en fin de compte…
Un homme de haute stature, portant une épée de glace au côté et une armure complète en rathalos argenté -selon Gluty- s’approcha de nous. Il dégaina son arme, je pris mon bouclier et le plaçai devant mon ami félyne. Inutile puisque l’homme ne voulait pas nous attaquer et même si c’était son dessein, nous n’aurions rien pu faire. Au lieu de ça, il effectua un léger mouvement du poignet, ce qui eu pour effet de trancher net l’auriculaire du marchand, des éclats de glace à l’impact, le sang gelant avant de s’échapper de la plaie. Le vendeur regarda son doigt avec horreur puis, ramassa son sac en vitesse en faisant tomber une plaque de métal et quitta le village sans demander son reste en criant : « Je ne reviendrai plus jamais ici, ils sont tous fous ! ».
Suite à cet évènement plus ou moins étrange, l’homme à l’arête glacée nous expliqua sans plus de manières :
-C’était un arnaqueur, ils ne sont pas rares à Kokoto. L’objet qu’il voulait vous vendre, était un simple pendentif en bois qu’il faisait passer pour un charmure.
-Mais, et la démonstration ? demandai-je.
-Du pipo, il avait glissé une plaque de machalite sous un bandage et le tour était joué. Au fait, je m’appelle Jorask.
-Et bien merci Jorask. Vous nous avez évité une belle arnaque. De toutes manières, je n’avais pas l’argent.
Je ramassai la plaque de machalite avec la conviction qu’elle me servira. Il était déjà midi. Jorask nous quitta mais j’étais certain que nous nous reverrions et nous retournâmes à l’atelier pour le repas.
Ce dernier vite avalé, je repartis, seul cette fois, dans le petit village de Kokoto mais qui recelait bien des surprises. Pour démarrer l’après-midi, j’allais dans une armurerie. L’armurier était relativement peu aimable. De ce fait, je m’enfonçai le plus loin possible dans la boutique. Ici, je découvris des magnifiques pièces. Il y avait là des casques encornés de couleur sable et blanche, de Monoblos, comme était écrit sur le présentoir. Dix mille zénis… Hors de prix pour moi. Il y avait aussi des équipements plus modestes, en cuir ou en vélociprey par exemple. Justement, des protections d’avant-bras trônaient sur une étagère. Elles étaient en écailles de vélociprey, d’un bleu éclatant et d’assez bonne qualité. Le prix avait dû être rabaissé car elles étaient disponibles pour seulement quatre cent zénis. A ce prix, le jeu en valait la chandelle et puis le vendeur, malgré sa gentillesse incertaine avait l’air de connaître son métier.
-Ca vous f’ra quatre cent zénis, annonça-t-il rudement.
-Les voici, répondis-je en présentant les pièces sur le comptoir.
-Et v’là vot’ article.
Je m’emparai avec avidité de la première pièce d’armure que j’achetais. Mon aventure commençait plutôt bien finalement. Je l’attachai sur mes bras. J’avais un air un peu ridicule avec seulement cette pièce d’armure mais au moins, je ressemblais un peu plus à un chasseur à présent.
J’avais encore du temps. Mais plus rien à faire. Je décidais d’errer dans les rues jusqu’à ce soir. Je pensais à tout et à rien. Durnik… Il n’avait pas l’air surpris quand je suis arrivé et m’a tout de suite accueilli. Il avait l’air de…me connaître. Pourtant, je suis certain de ne l’avoir jamais vu. Mon père et ma mère, maintenant. C’est étrange qu’ils ne soient pas venus me chercher. Comme s’ils avaient confiance et que je ne risquais rien à Kokoto. Tout cela était très bizarre et je n’avais pas la tête à réfléchir à ces choses là. Sans m’en rendre compte, j’étais arrivé devant une taverne. Je décidai d’y entrer.
L’atmosphère était étouffante. La pièce était petite mais il y avait beaucoup de monde. Il y faisait sombre et les seules sources de lumière étaient des bougies en cire accrochées au plafond. Pour celles qui n’étaient pas tombées. La taverne retentissait des bruits de verres qu’on lave, des paroles des consommateurs et des cris des serveurs et serveuses. Beaucoup de gens fumaient, un cigare à l’herbe de feu, souvent, qui finissait sur le plancher pour déclencher un incendie mineur. Bref, c’était un endroit miteux, malfamé, tout ce qu’on peut imaginer de pire. Beaucoup de discussions n’étaient pas bonnes à entendre et j’en surpris beaucoup ce soir là. Je marchais entre les tables, cherchant une place vide, seule si possible. J’en trouvai enfin une, dans un coin, près d’une bande de malfrats, d’apparence.
-…et il parait que Zell s’est fait ridiculiser par un vendeur d’armes ! s’exclama un homme.
-Ouais, même que c’était Durnik, le célèbre chasseur des « quatre pourfendeurs de wyvern » ! dit un autre.
La conversation commençait à être intéressante.
-Le Durnik ? Celui qui a battu un fatalis ?
-N’oublie pas que c’est Rant, Naïa et Tsaï qui ont participé au combat, et que c’était Rant le meneur avec sa compagne !
-De toutes façons, Rant n’est plus alors pourquoi en parler ? Sans compter que Naïa n’est plus très dangereuse aux mains de Zell…
-Ha Ha ! C’est vrai alors que Rant est mort, enseveli sous les débris de sa chère ferme ? Lui qui se lamentait encore d’être devenu hunter pour voir Tsaï se faire cramer par un fatalis pourpre…
-Ouaip, rien d’inventé. J’ai moi-même pris part à l’assaut donné par Zell sur la ferme. On était vingt… Ils n’avaient aucune chance mais ils ont tué quinze des soldats suréquipés ! Zell a préféré garder Naïa pour son entourage personnel. En plus, je…
J’avais envie de les étriper pour parler comme ça de mes parents. Mais il y avait plus urgent. Vérifier leurs dires et poser quelques questions à Durnik. Direction la ferme…
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Voilivoilou pour la sweet ! C'est fini pour ce chapitre!
Comme avant, commentaires, conseils etc... et demandes d'intégration de la fic !
La liste des forumeurs dont UN n'est pas apparu...
Zell (Nakverrion) schismes/gradios ultimus + full Diablos noir cheveux noir, gras, sales, possède un œil de Garuga.
Jorask (JoRaSkAtTiTuDe) arête glacée + full rathalos argent grand, brun aux yeux verts, intelligent, 26 ans.
Ender (Enderafter) tempête de balles + full rathian verte stratège, un peu beaucoup psychopathe, yeux bleus et blond, assez grand, 18 ans.
Annonce officiellement officielle
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-Ender sera présent dans le chapitre 6, beacoup psycho
-Le chapitre 6 sera pas avant le 29 juillet
-Je pars sans ordi du 18 juillet au 29 alors pas de news
-Je vous remercirai de ne pas faire couler ce topic
dsl du triple post
Alors finalement je suis pas un hyperactif en armure garuga coiffe comme sephiroth? Si tu pouvais me mettre la coiffure quand meme, j'y tiens beaucoup.
Joli suspens, rebondissement...J'aime.
il reprend mon expresion j'arrive bientot pour torturer juji
dsl du double post mais il a demander qu'on coule pas son topic alors on a qua faire un voisin du dessus en attendant qui revienne non
Je viens juste de la lire
PAs d'action, et pourtant on accroche
La souite =)
Meme juju a lancé sa Fic Suspense concernant l'histoire ....
Bon juju, qu'est-ce tu fous?
Ah merde c'est vrai, je crois qu'il est en vacances sans ordi (mais pas sur).
Gaga, en parlant de fic, j'ai continuer la mienne.
Ok je vais tenter de la lire des que j'ai un peu de temps, tout comme celle de Littledoc et de juju
je suis de retour XD (ça ce voit pas...)
littledoc, l'action viendra bientôt...ou pas XD
merci pour vos commentaires, je continu, la suite viendra a petits pas car je viens de rentrer et l'inspiration n'est pas au rdv mais j'ai des idées pour la suite
merci
L'action viendra bientôt, doc aussi (normalement)...
pas compris
ps: la suite avance !
je dois me rendre à l'évidence: la fofo est mort... aucune chance d'avoir des commentaires et des critiques si y a que 5 personnes maximum qui viennent tous les 2 jours... j'ai pas choisi le bon endroit pour poster ma fic, d'autant plus que j'ai pas MHFU enfin, on peut toujours espérer une soudaine arrivée de forumeurs.....................
Mec, moi je suis toujours là, mais c'est vrai que tu a mal choisis l'endroit pour poster.
Tiens juju, va là-dessus: http://plumesgardemiennes.*orumactif.net/forum.htm et poste ta fic là-bas. (remplace le * par un "f")
la flemme............................mais le chapitre VII arrive à vitesse grand V ! et puis apres tout c'est les vacs XD
et voilà le tant attendu chapitre VII !!
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Chapitre VI
Je passai à toute vitesse récupérer ma dague de chasseur sans répondre aux questions des apprentis qui me regardaient avec un air étonné. Je descendis ensuite à l’atelier dans le but de prévenir Durnik mais celui-ci était introuvable. Je me résolus donc à quitter le magasin, toujours en courant, sans prévenir qui que ce soit. J’étais dans un état très bizarre. Tant de sentiments mêlés… Je ressentais à la fois de la terreur à l’idée que les dires des hommes soient réels et en même temps, de la rage envers Durnik qui, selon les apparences, connaissait mon père, et ne m’en avait rien dit mais par-dessus tout, je bouillonnais de colère à cause de cet ignoble Zell qui aurait fait tuer mes parents. J’étais aussi curieux -ça fait beaucoup…- de connaître l’histoire de mes parents et de l’artisan.
Une fois dehors, je n’avais plus de temps à perdre. Je partis en direction de la sortie du village. Durnik était à l’entrée, discutant vivement avec l’homme dont j’avais fait connaissance auparavant.
-Et donc tu as vu Juji ?
-Oui, il regardait un marchand lui faire une belle arnaque sans rien comprendre, répondit Jorask, faisant tinter la cotte de son armure en rathalos.
-Une seconde, le voilà qui arrive, dit-il en souriant faussement, qu’est-ce qu’il peut bien faire ici, marmonna-t-il.
-Durnik, annonçais-je solennellement en arrivant, encore tout essoufflé, nous aurons à parler, bientôt.
-C’est donc ça, répondit-il en se rembrunissant. Je savais que ce jour devais arriver. Mais pas si tôt.
-Je vais à la ferme.
Sur ces mots, je partis en courants, deux perles de cristal roulant sur mes joues, sans que j’en comprenne la raison, laissant un scintillement derrière elles.
Cela faisait maintenant deux heures que je courais. Le domaine agricole était à seulement dix kilomètres à présent. En effet, à l’aller, j’avais mis énormément plus de temps puisque je ne connaissais pas bien la route et que je prenais mon temps. Mais cette fois, c’était différent. Je n’avais pas une minute à perdre. Paradoxalement, j’étais harassé et je priais tout le monde et personne d’arrêter ma souffrance. Pourtant, je continuais de courir, me ressassant sans cesse l’image de Zell. Quelques instants plus tard, j’aperçu un jeune homme, environ la majorité -qui était de dix-neuf ans à Gardemine-, ses cheveux blonds resplendissants. Il parlait à voix haute. Je décidais de m’approcher avec méfiance, après tout, j’avais bien mérité une pause.
-…Je lui coupe d’abord la tête ou les ailes ? Et puis j’en fais quoi des yeux ? Pourquoi ne les ferais-je pas frire pour les donner aux autres oiseaux ? disait-il. Et puis tu sais, tu peux te montrer ! Je ne vais pas te manger comme ce poulet, me surprit-il en se retournant, tenant un poulet vivant par les pattes.
-…Comment… ?
-Tu sais ce n’est pas facile d’être silencieux quand on vient de courir un marathon ! me fit-il avec un clin d’œil.
-Ah…Oui, vu comme ça…, dis-je, dépité.
-Eh oh ! Relève la tête mon gars ! s’exclama-t-il en voyant ma mine déconfite. J’apporte le soleil dans ta vie, en espérant que tu resteras longtemps en vie. Ah, j’oubliais… Je m’appelle Ender.
Il était… bizarre, un peu fou, pour reprendre mon expression favorite. Franchement, martyriser un poulet… Enfin, il avait remarqué que quelque chose n’allait pas. Je lui avais donc expliqué la situation. Immédiatement, il avait proposé de m’accompagner. Au début, j’avais refusé mais il m’avait convaincu. De plus, il portait une armure complète en rathian verte. Très belle pièce, avec ses écailles rutilantes, d’une dureté étonnante. Il possédait un fusarbalète rapide appelé « tempête de balles ». En somme, un compagnon bizarre, bien équipé mais joyeux.
Avant de ramasser les dernières affaires, je crus entendre un bruissement de feuilles mais comme Ender m’appelait, je n’avais pas eu le temps de vérifier. Nous reprîmes donc la route de conserve, en pressant l’allure.
Après deux nouvelles heures de marche forcée -non de course, j’avais déjà donné…- nous arrivâmes en vue de la ferme. La vue de ce spectacle sordide me coupa le souffle. Ender, pourtant amateur d’horreur, comme j’avais pu m’en apercevoir, était lui aussi bouche bée. Il fallait nous comprendre.
Plus aucun signe de vie. Les champs, brûlés. Les animaux, égorgés. Il y avait du sang partout autour des enclos et certaines bêtes gémissaient encore, agonisant. Les autres gisaient sur le sol herbeux, de larges plaies au niveau de la gorge. Des braises fumantes et de petites flammèches parsemaient le chemin. En levant les yeux, on apercevait la ferme, des ruines en feu. Tout cela ajouté aux gémissements du vent et au crachin qui tombait, sans relâche et sans éteindre les flammes, me paralysait l’esprit. Ce n’est que lorsque Ender me toucha l’épaule que je pris conscience de cela.
Je me mis à sprinter vers les débris encore fumant de mon ancien foyer, tout en criant de désespoir. J’avais tout perdu, ou presque. Ma famille, ma maison, mes connaissances limités. Mon amitié me procurait un baume apaisant mais rien ne pourrait retirer ce pénible spectacle de ma vue. Arrivé à l’endroit qui était autrefois la cuisine, j’entendis des gémissements. Un bruit sourd et quelques toussotements suivis d’un cracha. Un espoir ? Je m’approchais de la source du son, j’en étais proche à présent. Une main. Du sang. Deux doigts en moins. Une manche déchiqueté. Et une alliance.
-Papa ! criai-je.
-Juji, moins fort s’il te plait, et enlève moi tout ça, répondit-il avec difficulté.
-Tout de suite.
Aidé par Ender, nous arrivâmes à libérer la tête et le torse de mon père. Pourtant, il ne bougeait pas sa main.
-Ils ont sectionné les tendons, m’avait-il simplement répondu.
Son état était plus qu’alarmant. Il ne pouvait plus bouger son bras droit, un affreux trou lui perforait un poumon et sa tête était couverte de sang frais, sans doute dû à une hémorragie cérébrale importante. Sans compter les innombrables estafilades qui lui barraient le corps. Rant n’avait aucune chance de survie.
-Papa… Je regrette d’être parti, m’excusai-je, un peu tard.
-Tu n’as pas à le faire. Si tu étais resté, ils t’auraient réservé le même sort !
- J’aurais pu vous aider et…
-Non Juji, me coupa-t-il doucement, même nous, nous n’avions aucune chance face à cette attaque surprise. Peut-être qu’avec Durnik et Tsaï…
-C’était donc vrai.
-J’ignore où tu as entendu cela mais oui, c’est la vérité.
Pendant cet échange, Ender était resté muet. Il respectait notre intimité de dernière minute.
-Juji, ne me juge pas trop sévèrement maintenant que tu sais qui j’étais. Tu comprends à présent pourquoi je refusais que tu deviennes un chasseur.
-Tsaï…, murmurai-je.
Il hocha la tête, ce geste lui arrachant une grimace.
-Mais maintenant poursuivit-il, suis ton chemin, vis ta vie. Je te laisse.
Il poussa son dernier soupir. Pour l’honneur, je m’interdis de verser des larmes. J’avais quatre priorités maintenant : venger mon père, libérer ma mère, parler à Durnik et devenir le plus grand et jeune chasseur de l’histoire.
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Et les gentils personnages:
Zell (Nakverrion) schismes/gradios ultimus + full Diablos noir cheveux noir, gras, sales, possède un œil de Garuga.
Jorask (JoRaSkAtTiTuDe) arête glacée + full rathalos argent grand, brun aux yeux verts, intelligent, 26 ans.
Ender (Enderafter) tempête de balles + full rathian verte stratège, un peu beaucoup psychopathe, yeux bleus et blond, assez grand, 18 ans.