tu me prends pour plus bete que toi maldae ? ^^

encore heureux que je sache ou est paris et ou est le Nord vu que j´y habite >< .
bien sur je parlais de la region , en plus ya la majuscule !!

est ce que c´est moi ou le forum est pratiquement mort ou plutot endormit

je dirais plue endormi que mort : c´est les vacances tout le monde est partit en vacances (meme Malade bientot

seulement dans deux semaine

PS: Vous aviez remarquer que le puissant et symbolique 12 était de retour?

Resortez les viaux badges, T-shirt et autre gadget Malade 12 est de retour.
Fan a l´assaut de ma boutique je fait des reducs jusque -50% sur tous les articles.
Et je vais tirer une nouvelle série de T-shirt avec marqué devant :
"Malade 13
Malade
[Lorek]
= "
Et dériére :
"Malade 12
Le seul, l´unique"

Mais vous n´avez pas compris? le Héros, ce n´est pas Lorek, mais Iorek (iorek) et mon pseudo #4, c´est maiade, textuellement. je devrais effectivement me faire un T-Shirt comme ca, c´est bien pensé.

...té encore ici malade ??

lol, et moi je vend les Stylos dédicassés pas Malade 12 ! (heu, stp, tu peux faire les dédicases

Frantic, on dirait que tu a perdu de la hauteur en t´adressan a moi ou est passé ton orgueil démesuré et le mépris que tu m´a jadis porté.

Sinon, je dédicasse tes stylos avec quoi? essaye d´écrire avec un seul stylo sur le meme stylo

Déja écrire sur un stylo c´est pas facil.

Vege, mes condoléance a ton pseudo

T´es pas encore parti Malade quand même ?

Non, je fini de taper un long chapitre 27 juste pour vous

Et apres... vive la tour eiffel, le louvre, l´arc de triomphe et St-Sulpice

pour les dédicaces... gribouille un truc il seront content ;) et puis bonne visite de la St-Suplice :D

Ben tiens en voila une parodie ptdr machin

Eh, j´suis pas Ptdr et c´est une fic sérieuse non mais

Je lui montrais ce qu´etait une parodie, et non je ne me suis pas trompe

Je crois qu´il y en aura un autre en plus de celui-ci avant que je parte en vacance

Chapitre 27 : Une dure coopération

Le lendemain de leur rencontre, au matin, Vokof et Elyane s’étaient levés très tôt. L’homme-tigre soupçonnait même la belle femme de n’avoir jamais fermé l’œil, même lorsqu’il était de garde. Il la sentait, par ses sens aiguisés, très tendue et méfiante. Il devinait que l’aube venait de passer en observant les rayons lumineux passer par la commissure de l’entrée et du gros rocher la bloquant. Avec son arc, la princesse avait pêché deux poissons et les faisait cuire. Vokof avait observé sa technique : elle encochait deux flèches à la fois, qui partaient ensuite dans de différentes directions, ce qui expliquait comment elle avait vaincu les deux Yrnikaux simultanément, la veille.
-Où avez-vous trouvé les matériaux pour faire ce feu?
-Je transporte toujours un peu de bois et de la paille lorsque je vais en excursion.
« Ou en exil » pensa-t-elle.
-Est-ce que je peux vous aider de quelque manière que ce soit? Lewis ne se réveillera pas avant une heure ou deux.
-Oui : fichez-moi la paix, tous les deux, à moins que vous y soyez contraints. Je déteste parler pour rien.
-Moi, je pense que ça vous permettrais, au contraire, de…
-Je ne le répèterez pas. Ne m’adressez la parole que si cela concerne les décisions ou la sécurité de notre groupe. Aucun bavardage inutile, use ta salive pour raconter des histoires au petit.
-Bon…
D’un mouvement vif, il arracha un des poissons des flammes et retourna s’asseoir près de son protégé.
-Eh!
-T-t-t, pas de bavardage inutile, vous l’avez vous-même dit.
De sa puissante mâchoire, il prit une bouchée dans la créature marine sans enlevé les écailles ou les arrêtes, qui ne semblaient pas l’incommoder. Elyane lui jeta un regard noir, puis pêcha un nouveau poisson et le remit sur le feu, comme si elle le mettait au défi de recommencer. Vokof termina d’avaler son frugal repas en quelques bouchées, puis se leva. Avec un mutisme presque insultant, il se saisit du poisson qui cuisait depuis plus longtemps. La princesse se campa sur ses deux jambes, le foudroyant des yeux, mais le tigre ne réagit pas. Il retourna s’asseoir, encore une fois. Mais cette fois, avant qu’il n’entame la nourriture, elle marcha d’un pas décidé et la lui arracha des mains. Vokof leva les yeux vers elle et se redressa de nouveau. Ce fut au tour de la jeune femme de lever les yeux. Puis, du bout des griffes, l’homme-animal se saisit de la dépouille du poisson. La fille blonde attendit qu’il le porte à sa bouche, puis lui balança son poing dans l’estomac et reprit son bien. Elle alla se rasseoir rapidement et commença à retirer la peau écailleuse du poisson. La conscience féline de Vokof qui partageait son esprit commençait à craindre que cet affront psychologique ne se termine mal, mais l’hybride voulait s’amuser un peu. Après s’être brièvement massé les abdominaux légèrement douloureux, il s’agenouilla au bord du ruisseau. D’un coup de patte, il envoya une gerbe d’eau éteindre le feu d’Elyane.

Cette fois-ci, il en faisait trop. Obtenir les premières étincelles de ce feu lui avait prit un gros quart d’heure d’efforts, et elle ne tolérait plus ce petit jeu. Elle se lança littéralement sur la grosse bête et lui martela le torse de ses poings. Vokof la laissa le frapper quelques secondes, puis, se disant que tout cela avait assez duré, il la saisit par le dos et la déposa brusquement dans la rivière glacée.
-STOP! J’ai compris, arrête ça! Tu as gagné.
-Dois-je en conclure que nous pouvons désormais bavarder « inutilement »?
Aucune réponse.
-Je le prend pour un « oui ». Il y a un sujet que vous aimeriez aborder?
-Non…
Se disant qu’il n’y avait rien à faire, il alla replacer la couverture sur les épaules du petit prince. Elle changerais sûrement d’avis.
-Comment es-tu devenu comme ça?
Un sourire se dessina sur ses babines de félin.
-Comme quoi?
-Et bien, en… en tigre humanoïde…
-C’est une longue histoire.
-Je crois qu’on a encore une heure ou deux…
-Tu connais le royaume d’Hyrule?
-Oui. Tu viens de la bas?
-Oui. J’étais un pèlerin qui voyageait beaucoup. Puis, un jour, j’ai du servir la Couronne pour pouvoir subvenir à mes besoins financier. J’étais un simple garde Mineur qui gardait les grilles du château, jusqu’au jour où le Héros du Temps…
-Qui?
-Ça aussi, c’est une longue histoire…

Après avoir rallumé le feu pour qu’elle puisse se sécher, Vokof entreprit de tout lui raconter sur les légendes du royaume, puis de son aventure et de sa mutation. Ses talents de conteur semblait avoir conquis la belle jeune femme, dont les yeux n’affichait plus la dureté de la méfiance, mais plutôt l’exaltation d’une enfant qui apprend les merveilles du monde. Elyane trouvait même du réconfort en discutant avec Vokof. Elle avait laissé tomber sa carapace, et les incidents des derniers jours semblaient lointains. La mort de son père n’était qu’un très mauvais souvenir, bien encré dans sa mémoire, mais qui se faisait discret.

Lorsque Lewis se réveilla, il vit ses deux compagnons face-à-face à côté du feu rallumé. Il se rapprocha en trottinant, encore ensommeillé. Ils ne semblaient même pas le remarquer tellement ils étaient plongés dans leur discussion. À la manière d’un somnambule, le petit prince alla s’asseoir sur les genoux de Vokof en se frottant les yeux. En les rouvrant, il s’étonna de voir que la mine sévère de le jeune femme avait laissé place à de la compassion.
-T’as bien dormi? lui demanda-t-elle.
-Humum… acquiesça-t-il. Pourquoi t’es gentille, ce matin?
Au lieu de s’insurger contre lui, elle sourit.
-Hier soir j’était tendue et triste, mais ce matin, je me sens mieux.
-Tu sais, tu ressemble beaucoup à ma sœur, mais en blonde. Avec des yeux noirs, aussi. Et une bien plus grosse poitrine.
Cette fois, elle se retint de le gifler ou même de lui lancer un regard menaçant. Elle se contenta, à sa grande surprise, de rougir et de froncer les sourcils.
-Je vois que Vokof ne t’a pas tout appris. Saches qu’on évite de parler de la poitrine des femmes.
Vokof regarda Lewis en haussant les sourcils, mal à l’aise.
-Euh… effectivement, elle a raison. Je t’apprendrai quelques règles de savoir-vivre envers les femmes… plus tard.
-Ce n’est pas grave… est-ce que le poisson vous plait?
-D’habitude le matin je mange des fruits et du lait frais… mais pour du poisson, c’est délicieux.
-Je suis d’accord avec Lewis, tu cuisines très bien.
-Merci, c’est tout de même rare que je cuisine, et encore, d’habitude c’est de l’ours.

***

Dans le palais de Fhevyut, le roi prenait les mesures nécessaires pour retrouver son fils héritier.
-Alors, Sirus, de quoi se compose l’armée que nous montons?
-Les Quatre Frères ont formé une trentaine de soldats prêts à partir. Mais ils m’ont spécifié que leur formation n’était pas complète, et ils espèrent les retrouver. Ils ont gardé une dizaine d’apprentis sous leur tutelle afin d’en faire d’autre professeurs. D’autre part, l’énorme Goron qui a tiré votre véhicule depuis le Mont du Péril s’est montré volontaire pour nous accompagner. Je suis moi-même prêt à mener cette campagne. Aussi, à ta demande, mon frère, le guerrier de Mornanra revient tout juste d’Heljar pour aider tes hommes. Il vient de parcourir plusieurs kilomètre à cheval, n’ayant eu comme seule escale Mornanra.
-Pourquoi était-il à Heljar?
-Apparemment, il aurait été chargé par Jane de renouer les liens avec ce petit village. Elle serait, à ce moment même, à Hyrule.
-Je me demande ce qu’elle peut bien avoir derrière la tête. Mais où est-il, ce guerrier? Je demande à le voir.
-Il attend dans le couloir, mon frère.
-Qu’il entre.
La grande porte ciselée s’ouvrit sur un homme en légère armure de cuir brun, constituée de jambières, d’épaulières, de brassards et d’un plastron. Un heaume d’acier, ne possédant qu’une poignée de petits trous circulaires pour respirer et une fente pour les yeux, laissait entrevoir deux iris noirs comme le charbon. Cachant son bras gauche, un large bouclier ovale se dressait du sol jusqu’à son cou. À la ceinture de l’homme, un énorme marteau pendait.
Le Mornanrois prit la parole le premier.
-Laissez-moi me présenter : je suis gladiateur, mais le maire de Mornanra m’a fait savoir qu’il me promouvait au rang de soldat royal. Sur votre recommandation, paraît-il. Je vous suis reconnaissant. Mon nom…
-Vous semblez jeune, pour un combattant hors paire.
-Vous ne me reconnaissez pas, majesté?
-Ma foi, je ne le pourrais sans que vous retiriez votre heaume.
Il s’exécuta. Son visage basané barré d’épais sourcils exprimait une sorte d’émois. Il pleurait presque de joie.
-Vous êtes sûr que l’ont se connaît?
-Enfin, vous ne m’avez probablement pas vu souvent depuis plusieurs années, mais je suis un grand ami de votre fille, Jane.
-Ah oui, Jane m’a souvent parlé de toi, mais je me fait vieux… tu dois être… heu, attends… Molrav?
-Presque. Je m’appelle Mohas, pour vous servir.

***

La vache du Ranch Lon Lon n’avait fait que brouter et boire depuis près d’une semaine. Elle s’était enfuie lorsque la porte de l’enclos s’était mystérieusement ouverte, quelques jours auparavant. Le jour même de sa fuite, elle revit le papillon bleu retourner vers le Mont du Péril, puis elle retourna paître. Le bovin connaissait déjà presque toute l’étendu des plaines d’Hyrule par cœur. Pendant qu’il pensait à toutes les variétés d’herbe que pouvait renfermer le marché d’Hyrule, qui se trouvait un peu un Nord de sa localisation, deux chevaux fonçaient sur lui.

***

-Link, c’est normal que les vaches se promènent librement, à Hyrule?
C’était le soir, le ciel s’obscurcissait.
-Non… elle doit être égarée.
-On peut la manger?
Les deux humains se retournèrent d’un bloc vers Skrilf, le foudroyant du regard.
-Non mais! C’est vraiment injuste! Je ne peux pas manger Epona, je ne peux pas manger les poulets du village de dingues, je ne peux pas manger mon propre cheval et je ne peux même pas goûter à une vache égarée et sans surveillance!
-Écoute, rendus à Hyrule, nous achèterons de la viande fraîche.
-Alors il n’y a pas une minute à perdre!
Le Lizalfos donne une claque vigoureuse sur la croupe de Tête-de-Mûle, qui décolla vers le château. Epona le suivit à la vitesse de l’éclair, ne voulant laisser son nouveau compagnon s’éloigner.

-Halte! Déclinez vos noms et déclarez ce que vous transportez!
Une garde Mineur, du haut des remparts, héla Link et ses compagnons.
« Tiens, on ne m’avait jamais fait le coup de l’inspection au porte de la ville, se dit Link. Peut-être que Skrilf lui a fait peur. »
-Je suis Link, et voici Jane et Skrilf. Nous transportons quelques armes et des vivres. La princesse Zelda nous attend, pouvons nous y aller?
-Link… le Héros?
En entend le nom de Zelda, Skrilf songea aux moqueries de l’après-midi, ce qui lui fit pousser un petit rire. Le garde, déjà soupçonneux en voyant un Lizalfos monté sur un cheval, se posait des questions.
-Qu’est-ce qu’il a, votre prisonnier, à rire?
-Un prisonnier? Où ça? demanda innocemment le lézard.
-C’est de toi que je parle, lança le garde.
-Moi, un prisonnier? Non mais vous vous êtes regardé avant de parler? Vous semblez travailler dans des conditions évoquant l’esclavage, mon vieux.
Pour le faire taire, le garde lui envoya un fragment de pierre, trouvé sur le chemin de ronde.
-Cessez d’importuner mon ami, menaça Link, ou j’en référerai à la princesse.
-Pardon, sir…
-Avant que nous entrions… puis-je savoir depuis quand et pourquoi vous interceptez les gens aux portes de la ville?
-Depuis l’arrivé du prince Kermus, pour sa sécurité, sur ordre du roi.
-C’est qui, ce prince? demanda Jane.
-Un prince qui vient des terres nordiques. Il compte se marier à la princesse, je crois.
Sur ce, les trois voyageurs purent accéder au marché.

-Non mais il en a, un de ces culots, ce garde, de me traiter de prisonnier.
-Skrilf, dans le bourg d’Hyrule, c’est différent qu’au village Cocorico, l’avertit Link.
-Tu veux dire qu’ici les gens sont sympa?
-Non, il le sont beaucoup moins.
-Oh…
-Donc tu reste près de nous, tu ne te fâches pas et tu souris aux commerçants.
-Essaye de faire bonne figure, quoi.
-Jane, je ne t’ai rien demandé, à toi. C’est déjà assez gênant d’obéir à un humain, imagine donc à une humaine!
Vexée, la princesse du désert lui lança sur un ton menaçant :
-Vois ça sous un autre angle : l’humaine en question manie très bien le cimeterre, et je crois que tu n’aimerais pas te faire trancher la langue.
Le Lizalfos ravala nerveusement ses paroles.

Leur passage au marché fut bref : ils n’achetèrent que des flèches, une cape pour soustraire Skrilf au regards, un peu de nourriture fraîche et de l’avoine pour les chevaux. Ensuite, ils se dirigèrent avec empressement vers le château, se dressant dans la nuit. En avançant vers l’avant-poste où Vokof travaillait autrefois, Jane aborda Link.
-Dis, j’ai l’impression que cette histoire de prince te traquasse.
-Évidemment, que ça me traquasse.
-Je ne comprend pas pourquoi…
-Moi non plus je ne comprend pas.
Skrilf se lança alors dans la discussion.
-Moi je paries que tu es jaloux.
-Qu’est-ce que tu raconte? Jaloux de quoi?
-Et bien du prince. Si tu bave uniquement en pensant à la princesse, imagine si elle se mariait, et pas avec toi.
La princesse du désert et le reptile se mirent à rire de plus belle, enterrant les protestations énergiques de Link.
-Mais sérieusement, ce n’est pas une question de sentiments…
-C’est mieux de ne pas l’être! répliqua Jane sur un ton faussement offensé. J’aurais l’air de quoi si mon petit copain était jaloux parce qu’une princesse se mariait? Ne te fais pas d’illusions Link, tu n’es pas un prince, mais le Héros du Temps, tu n’as aucune chance avec les princesses.
-Arrête de te moquer de moi, je te l’ai dit, ce n’est pas elle qui m’intrigue, mais ce Kermus.
-Bon, bon, si tu le dit.

• traCasse

Shame on me

lol, je n´avais meme pas vu la faute ^^ alors mes impression en operations mathématique
impressions = (pourri*nul*pas drole*completement c**)*-1
^^

(je rappelle pour les nul en math, que *-1 change le signe, par consequent l´operation dévient
impressions = super*cool*drole*completement marrant

en tout cas a peu pres