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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 anmoins de 24h
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Presque 4 ans après son lancement, The Fall s'offre enfin une suite directe qui ravira les joueurs ayant posé leurs mains sur l'excellent titre d'Over the Moon. Cette deuxième partie, sous-titrée Unbound, reprend l'aventure là ou son prédécesseur l'avait laissée. Pour un résultat encore meilleur ?
En annonçant Metal Gear Survive, Konami est loin de s’être fait des amis dans la communauté. Il faut dire que le départ de Hideo Kojima a fait quelques vagues et les joueurs ont du mal à voir la série vivre dans son créateur. Mais au-delà de ça, il faut aussi remettre les pendules à l'heure et évaluer le jeu pour ce qu’il est plutôt que ce qu’il représente aux yeux de certains. Alors, Metal Gear Survive, ça vaut quoi ?
Après avoir récolté un peu plus 80 000$ sur Kickstarter en octobre 2016, Rad Rodgers est sorti sur PC deux mois plus tard suite à une phase d'accès anticipé. Avec la volonté de rendre hommage aux jeux de plate-forme des années 90, le studio danois Slipgate (anciennement Interceptor Entertainment) s'inspirait de séries telles que Commander Keen, Conker, Jazz JackRabbit ou encore Ruff 'n' Tumble. Acquis entre temps par THQ Nordic, voilà maintenant que le jeune blondinet et sa vieille console débarquent sur PS4 et Xbox One avec leur humour vulgaire mais totalement assumé. Le tout, garni de niveaux supplémentaires et quelques fonctionnalités additionnelles.
Ce début d’année 2018 débute fort pour les fans de jeux de Plate-Forme 2D. Après Celeste ou encore Dandara, c’est au tour du coloré Aegis Defenders de bomber ses sprites. Plutôt que de s’axer sur l'intransigeante dextérité de ses pères, le jeu de Guts Department mélange les genres et s’arme d’une grosse notion de Tower Defense. Le comble pour un titre qui incite à camper sur ses positions !
Premier projet de Piece of Cake Studios à s'infiltrer sur Steam, Hacktag est enfin sorti après deux bonnes années de développement et de présentations sur les salons. Avec l'ambition de remettre au goût du jour les jeux coopératifs, le titre n'a cessé de proposer de nouvelles mécaniques et défis à réaliser en binôme tout au long de son accès anticipé débuté en juin. Mais après de belles promesses, le jeu en coopération asymétrique parvient-il à faire de sa proposition un jeu complet, qui saura séduire les joueurs en mal de titres du genre ?
La nouvelle année est déjà bien entamée et à la rédaction de jeuxvideo.com, les tests et les articles s'enchaînent. L'actualité du jeu vidéo ne dort jamais vraiment, pour le plus grand bonheur de ceux qui la commentent quotidiennement. Mais c'est aussi une malédiction qui tend à les éloigner, un peu plus chaque jour, des plaisirs simples du jeu ; jouer pour jouer, découvrir et s'amuser, indépendamment des contraintes de toute activité professionnelle. Alors aujourd'hui, on oublie un peu le planning, pour vous parler d'un petit titre qui nous vient du Japon et qui nous a rapidement mis l'eau à la bouche : Break Arts II.
Avec son contenu riche et son gameplay profond, Endless Space 2 s'est imposé comme le 4X spatial le plus réussi du marché. Si toutefois vous n'en aviez pas assez, Amplitude a pensé à vous en proposant, en marge de mises à jour successives et gratuites, un DLC payant introduisant une nouvelle race au jeu : les Exilés.
Le Metroidvania saveur pixel art a le vent en poupe. Après un remarquable Iconoclasts sorti en début d’année, c’est au tour de Raw Fury de dégainer son Dandara qui pourfend les airs. Avec son système de déplacement original filmé par une caméra qui tourne dans tous les sens, le jeu malmène celui de l’orientation. Dans ses grandes diagonales, le titre demande un peu de mémoire, beaucoup de dextérité et un soupçon de matière grise salée. À bondir de mur en mur, l’héroïne peut-elle se targuer de disposer des fondations nécessaires pour bâtir une proposition convaincante au genre très représenté du platformer 2D ?
En s’attelant à un remake de Secret of Mana, Square Enix savait pertinemment qu’il allait être difficile de contenter tout le monde, entre les fans de la première heure et les potentiels nouveaux venus. Un grand écart particulièrement difficile à accomplir, ce qui peut parfois aboutir à l’accident...
20 ans après, la magie qui entourait le premier et le mythique STR historique que nous avons tous connu aimé et chéri, fait-elle encore effet ? Le Age of Empires qui nous a appris la stratégie gestion est-il encore un cador du genre ? Pour fêter le quart de siècle de cette oeuvre mythique, Microsoft nous propose d'y retoucher dans les meilleures conditions possibles grâce à une version remaster qui a la lourde tâche de moderniser un précurseur du genre.
Paru chez nous au mois d'avril dernier sur Steam, Slice, Dice & Rice se laisse aujourd'hui approcher. Développé par le studio polonais Dojo Games et édité par PlayWay S.A., il s'agit d'un jeu de combat bien particulier. Largement inspiré de Bushido Blade, le jeu repose sur un gameplay s'appuyant sur la stratégie et les réflexes. À l'heure où tous les regards sont tournés vers Dragon Ball FighterZ avec ses combinaisons de touches à rentrer de manière bien précise, Slice, Dice & Rice souffle un certain vent de fraîcheur pour les amateurs du versus fighting. À vos sabres, ça va découper !
Ah... L'Europe et les J-RPG. Une histoire difficile faite parfois d'import, de localisation uniquement en anglais, d'arrivée tardive, voire tout simplement d'absence. Et dans le cas présent, le titre ne déroge pas à ces éléments puisque Radiant Historia, épisode d'origine paru initialement sur DS en fin de vie de la machine de Nintendo, n'a eu droit qu'à une sortie au Japon et aux Etats-Unis respectivement fin 2010 puis début 2011. L'excellent J-RPG d'Atlus débarque enfin officiellement sur le vieux continent, édité par Deep Silver, dans un portage amélioré et agrémenté de contenus supplémentaires à destination de la 3DS et au grand bonheur des amateurs du genre.
À l'ombre des FPS, RPG et autres softs d'Action qui inondent le marché de notre loisir favori, certains genres continuent de tracer leur petit bonhomme de chemin, faisant le bonheur de la niche de joueurs à laquelle ils s'adressent. C'est notamment le cas de ceux mêlant Point'n Click et séquences d'objets cachés, dont True Fear : Forsaken Souls est l'un des représentants. Issue de la longue liste de productions du même genre du site Bigfish, la première partie du titre amené à devenir une trilogie débarque aujourd'hui sur PlayStation 4, après avoir honoré de sa présence la plateforme Steam et les supports mobiles.
Dans la marée de JRPG indés qui envahissent nos consoles et PC, The Longest Five Minutes débarque avec un concept original. Vous commencez directement au combat final, sans aucun souvenir de ce qui vous a amené sur place. C’est alors qu’une série de flashbacks va vous conter toutes vos pérégrinations, ce qui constituera la majorité du gameplay.
Ah ! La guerre. La guerre ne meurt jamais, comme dirait l’autre. Et ce n’est pas l’éditeur et développeur My.com qui viendra contredire cela, en mettant à la disposition des joueurs une centaine de chars d’assaut et autres blindés légers, via son titre disponible sur PC et PS4 : Armored Warfare. La question étant de savoir si au moins, ils en ressortiront explosés de rire…
Lorsque l’on prononce son nom, Fe sonne tout d’abord comme une note de musique qui virevolte près du sol. Une image musicale qui convient ici à merveille, puisque le petit être héros de cette aventure est capable de fredonner divers dialectes animaliers pour fraterniser avec d’autres espèces. Si Fe s’appuie sur de multiples références, le titre de Zoink! peut-il à son tour s’enorgueillir de donner le la ? Comme le dit le dicton : avec des “si”, on coupe du bois. Il est donc grand temps de retourner dans cette forêt mystique afin de vérifier si le voyage a de quoi faire grimper à la cime.
La relation entretenue entre le manga et le jeu vidéo ne date pas d'hier et ce mariage des genres est prolifique. Éditeurs et studios exploitent sans relâche cette source intarissable d'univers, de personnages, de récits depuis des décennies. Bandai Namco, spécialiste de l'exercice, se rue sur la majorité des licences juteuses et ne pouvait décemment ignorer The Seven Deadly Sins (Nanatsu No Taizai en japonais), phénomène dans le petit monde du Shonen. Mais le jeu vidéo est-il à la hauteur du manga et de l'anime ? L’absolution va débuter.
Si dans l’esprit de beaucoup RPG médiéval rime avec promesses de magie et de créatures démoniaques à occire, Kingdom Come : Deliverance (KCD) embrasse une toute autre approche de la chose. Amateur de Fantasy calmez vos ardeurs, le titre des Tchèques de Warhorse Studio laisse la Fantasy sur le bord de la route pour concentrer tous ses efforts vers la peinture réaliste d’une époque historique : celle de la Bohême du 15ème siècle. « Des donjons, mais pas de Dragons », tel est le slogan de ce RPG Kickstarté avec panache dès le début d’année 2014. Un changement de format de sortie, un éditeur déniché et plus de quatre ans plus tard, voilà que débarque enfin l’ambitieux Kingdom Come Delivrance porté par son monde ouvert, son système de combat technique et ses interactions sociales réalistes. Un rêve pour les férus de reconstitution médiévale aux premiers pas toutefois quelque peu difficiles comme vous allez le constater.
Alors que PlatinumGames bosse sur Bayonetta 3, le petit studio japonais a travaillé main dans la main avec Nintendo pour proposer des portages des deux premiers épisodes, à destination de la Switch. La dernière-née de Big N fait un tabac et de nombreux joueurs n'ont pas eu la possibilité de découvrir les épisodes de Cereza, la sorcière la plus mortelle de l'univers. C'est encore plus vrai lorsque l'on parle de Bayonetta 2, sorti exclusivement sur Wii U, la console la moins vendue de ces 15 dernières années. Alors forcément, ce portage Switch est attendu de pied ferme.
Halloween est bien loin et pourtant en ce mois de février, nous avons droit à une double ration de sorcières. En attendant la sortie de Bayonetta 3, Platinum Games et Nintendo relancent le premier épisode de Bayonetta sur Switch, pour le plus grand bonheur des fans de la sorcière d'Umbra. Mais après une version PC très haut de gamme, qu'attendre de ce portage sur la console hybride de Nintendo ? Et ne risquait-on pas d'y perdre en lisibilité, et donc en jouabilité ? C'est avec ces questions en tête que nous avons lancé Bayonetta sur Nintendo Switch.