Derniers tests de jeux vidéo - page 726

Lorsque des transfuges de Blizzard ayant participé au développement de Diablo partent fonder leur propre studio de développement, le résultat ne peut-être que très attendu. Le fruit de plusieurs années de travail est aujourd'hui sur le marché et il reprend grosso-modo la même idée de base que dans la série des Diablo : faire un hack'n slash à la jouabilité intuitive qui se concentre sur les combats et qui dispose d'une gestion simplifiée de l'aspect jeu de rôle. Avec Guild Wars, ce pari est amplement réussi et on se retrouve avec un RPG exclusivement online (sans abonnement payant) de grande qualité.

L'espace est un lieu immense où il est aisé de se perdre. Une mauvaise étoile en ligne de mire, une orbite planétaire mal négociée et on se retrouve vite à errer indéfiniment dans la galaxie, sans réel but, ni espoir de s'en sortir. C'est ce qui arrive à Project Freedom, un titre qui navigue sans cap précis, là haut, quelque part au milieu des étoiles. Perdus Dans L'Espace, ça vous dis quelque chose ?

Directement inspiré du dernier film d'animation des créateurs de l'Age de Glace, Robots nous transporte dans une version édulcorée de la Metropolis de Tezuka où les êtres de métal sont rois. Mais l'avenir des machines n'est pas rose, et un complot visant à recycler les robots se trame dans l'ombre d'un tyran.

Voici l'histoire d'un retour, qui a défaut d'être en fanfare, surprend. En effet, le destin de Yétisports m'évoque les passages les plus épiques du film d'animation Kenshin Le Vagabond. Lorsque Battosaï Himura, épuisé par de douloureux combats et un déchirement psychologique erre dans des landes enneigées à la recherche de Tomoe, sa bien-aimée. Subissant les assauts meurtriers de ninjas et mercenaires divers, notre valeureux rônin poursuit sa progression, miné par des blessures dessinant de vastes arabesques dans la neige fraîche. Aucun obstacle ne semble pouvoir arrêter sa volonté. Ce n'est plus un corps mais une force pure qui se déplace vers un but, malgré le mur d'incertitude enserrant ses pas. Les aventures du yéti le plus sportif du monde sont un peu de cet acabit.

Smack ! Bang ! Pif ! Rrrrrrr ! Poom ! Quoi de mieux que ces quelques onomatopées pour se retrouver plongé dans l'univers de la bande dessinée, et plus précisément dans celui des comics. C'est justement le cadre du jeu de rôle orienté action qui nous occupe aujourd'hui : Freedom Force Vs The Third Reich. Les plus observateurs d'entre vous auront déjà remarqué que ce soft est la suite de Freedom Force, un titre du même genre sorti en 2002. Ce second opus en reprend d'ailleurs le principe et le remet quelque peu au goût du jour.

Le monde change bien vite ma pov' dame. Je me souviens encore, à mon époque, les Lego étaient on ne peut plus honnêtes, se contentant de proposer des briques de construction s'adaptant à l'imagination de chacun. Le pouvoir nous était donné de fabriquer nos rêves, de définir des mondes dans lesquels on pouvait inventer des histoires. Mais désormais, devant l'économie galopante, nos amis les Lego tentent de rapatrier les grandes licences du marché pour toucher facilement un coeur de cible important. C'est aujourd'hui la franchise Star Wars qui se fait prendre au piège de ces petits êtres à tête jaune et ronde. Quand on pense qu'il y a encore une bonne dizaine d'années je m'escrimais avec un ami à construire mon propre AT-AT ou un beau X-Wing... L'initiative créatrice se perd mon pov' monsieur.

Tiens, un nouveau Doom sur Xbox ? Ah non, au temps pour moi, c'est juste un jeu qui reprend la typo de Doom. Ca n'a donc méga rien à voir. Doom est un FPS, Spikeout un beat'em all. Doom est un bon jeu, Spikeout une vaste fumisterie.

Il arrive parfois, lorsqu'on erre innocemment près des rayonnages de jeux vidéo, de tomber sur un titre peu ambitieux vendu pour une bouchée de pain mais qui s'avère au final renfermer un intérêt véritable. Toutefois, je vous le concède, ceci est plutôt rare et Smash Up Derby ne fait aucunement partie de cette catégorie. Alors si un jour vous vous retrouvez par hasard devant ce titre, chassez le doute de votre esprit et passez tout simplement votre chemin.

Lorsqu'on doit tester un jeu qui sort à bas prix, on se demande toujours ce qui se cache derrière le tarif agressif. En effet dans bien des cas, un titre proposé à prix cassé dès sa sortie signifie souvent que l'éditeur s'est aperçu que son soft était mauvais et qu'il ne pourrait pas le vendre plus cher, ou alors que sa durée de vie est trop courte pour qu'il soit écoulé à prix classique. Bien évidemment, il existe des exceptions et il arrive que de bons petits jeux soient disponibles dès leur parution à prix cassé. Et qui sait, peut-être que c'est le cas de Terrorist Takedown ?

Parfois, les mondes du comics et du jeu vidéo pour les plus concernés mettent en place ce que l'on appelle un cross-over, regroupant de ce fait des personnages ou des évènements de deux séries distinctes, afin d'en former une sorte de compilation. Nous étions habitués à voir les X-Men, Batman, Superman agir dans ces imbrications savantes, transcendant les amateurs d'une ou plusieurs des légendes vivantes présentes. Quel ne fut donc pas le choc en observant le premier cross-over mécanique, entre deux sagas aux effluves d'huile du moteur, à savoir MX (Unleashed en particulier) d'un côté et ATV Off Road de l'autre. Mais quelle peut bien être la raison d'un tel métissage ? Et bien tout simplement les équipes de Rainbow Studio qui sont tout de même déjà responsables de la légendaire gamme des Motocross Madness, reconnu pour son parti-pris éminemment arcade. Comme diraient les playmobils : "En avant les histoires !

En attendant de découvrir ses exploits sur Nintendo DS, voici la première aventure inédite de l'ami Yoshi sur GBA après le portage du génial Yoshi's Island. L'occasion pour Nintendo de nous faire découvrir un gameplay d'un genre nouveau qui consiste à incliner la console pour diriger son personnage. La preuve que la GBA a encore les moyens de nous surprendre.

Dans le sillage d'un Secret Weapons Of Normandy, voilà un nouveau titre axé dogfights et acrobaties aériennes. Ce coup-ci, on va voler pendant la première guerre mondiale, dans des coucous forcément un peu plus rustiques. Parés au décollage ? Les issues de secours se trouvent ici, ici et ici.

On ne peut plus les arrêter ! En effet, depuis quelques temps, les éditeurs nous sortent une flopée de STR sur la Seconde Guerre Mondiale. Le problème, c'est que le joueur lambda a un peu du mal à s'y retrouver entre les Codename Panzers, 1944 : Campagne des Ardennes et autres Blitzkrieg. Stalingrad s'inscrit justement dans la lignée de ce dernier. Il en reprend d'ailleurs son moteur graphique et ne fait que proposer de nouvelles missions au jeu de Nival.

Plus de 10 000 ans d'histoire, voilà la période que couvre Empire Earth 2. Ce deuxième volet du célèbre jeu de stratégie tente de nous convaincre avec un gameplay largement remanié et un contenu plus riche. Mission accomplie ? C'est ce que nous allons voir maintenant.

C'est assez hallucinant de voir ce qu'un film peut générer comme marchandising autour de lui. Le film en question c'est Star Wars Episode 3, donc pas n'importe quel nanar, je vous l'accorde, mais qui pouvait penser qu'on aurait droit un jour à une version Lego de la bande à Vador ? Faut quand même être tordu pour penser à un tel mélange.

C'est assez hallucinant de voir ce qu'un film peut générer comme marchandising autour de lui. Le film en question c'est Star Wars Episode 3, donc pas n'importe quel nanar, je vous l'accorde, mais qui pouvait penser qu'on aurait droit un jour à une version Lego de la bande à Vador ? Faut quand même être tordu pour penser à un tel mélange.

Parfois, on va de surprise en surprise. D'abord on vous annonce un jeu auquel vous ne croyez pas, ensuite vous le voyez une première fois et vous finissez par penser qu'il peut être sympa. Et au dernier moment, vous l'avez entre les mains pendant 3 heures, assez non seulement pour le finir mais surtout pour réaliser que vous avez perdu 3 heures de sommeil.

Après l'excellente surprise qu'avait été Stronghold à sa sortie en 2001, les développeurs se sont remis au travail et nous proposent aujourd'hui la suite de ce jeu de stratégie. Il s'agit toujours évidemment, de construire son château fort et de participer à des sièges monumentaux.

Les grands empereurs fondent des dynasties et s'effondrent. Les sages observent ces agitations et sentent les instants où le déséquilibre va poindre. Le passage se veut bref et long à la fois. Tout autant attente que mobilité, tout autant flexibilité que dureté. C'est dans cette dualité complémentaire que naissent les univers oniriques, comportant une part de fantasme sublimée par la vision biaisée de la réalité. Un monde où se rassemblent l'esprit des hommes et leurs rêves, exposant les plus improbables paradoxes et les plus surprenantes illusions. C'est dans cet univers, teinté de magie et de beauté poétique que prend place la légende de Jade Empire. Les strates imaginaires de la Chine Médiévale, auréolées d'un anachronisme général séduisant et habile offrent un véritable voyage, une découverte sans cesse renouvelée qui choisit l'originalité comme moteur. "Savoir être constant s'appelle être éclairé".

Le monde du jeu de course automobile connaît ces temps-ci une carence d'inspiration flagrante. Entre les NFSU 1 et 2, SRS, ou encore RPM Tuning, l'univers vidéoludique aux odeurs d'huile surfe sur une vague bien morne et surtout se répétant sans cesse sans vraiment innover. Une sorte de stagnation dommageable qui ternie sans cesse un univers pourtant accrocheur, celui de la nuit et des mystères urbains. Atmosphère tout autant composée d'ombres et de lumière, d'étroites rues mal éclairées et de la luminescence crue des néons. Un cadre idéal pour jouer les destinées de pilotes désireux de faire des ténèbres leur royaume. Attirés comme des papillons par les couleurs chatoyantes des enseignes agressives, ceux-ci s'empressent de rejoindre leur carcan de métal. Mais est-ce bien la peine ?