Derniers tests de jeux vidéo - page 608

Quoi de plus étrange que de sortir un jeu à vocation multijoueur, tout en l'amputant soigneusement de toute fonctionnalité online et en limitant le nombre de participants à quatre en réseau local ? Aussi aberrant que cela puisse paraître, ce fut pourtant là le triste sort réservé à Star Wars Battlefront 2 sur PSP. Un titre qui du coup, nous avait paru beaucoup moins sexy que ses congénères de salon. Cette fois cependant, Lucasart ne semble pas disposé à retomber dans le panneau et nous livre un épisode nettement plus abouti.

Près de dix-huit mois après avoir enflammé les pongistes sur Xbox 360, Table Tennis fait son retour sous la forme d'un portage Wii qui a tardé à débarquer sur le marché. Pour un même contenu Offline, les joueurs Wii voont pouvoir apprécier le tennis de table en utilisant leur Wiimote telle une raquette de spécialiste. Une idée qui a du bon. Reste à savoir si ce portage ne souffre pas des mêmes maux que la plupart de ceux qui voient le jour sur la console de Nintendo...

N'ayant plus de longs-métrages de Spider-Man à se mettre sous la main, Activision a résolu le problème en commandant un volet complètement inédit à la gloire du monte-en-l'air de Marvel. Et quitte à proposer un jeu vidéo ne se basant pas sur les aventures filmiques de Spidey, autant innover, du moins dans la forme.

Le dernier Disney a débarqué dans tous les cinémas de France et de Navarre, et pour ne rien changer aux bonnes vieilles habitudes, Disney Interactive a veillé à ce que toutes les consoles disposent de leur adaptation. Et si rencontrer la famille Robinson vous tente, nous ne saurons que trop vous conseiller de jeter un oeil aux quelques lignes qui suivent.

N'ayant plus de longs-métrages de Spider-Man à se mettre sous la main, Activision a résolu le problème en commandant un volet complètement inédit à la gloire du monte-en-l'air de Marvel. Et quitte à proposer un jeu vidéo ne se basant pas sur les aventures filmiques de Spidey, autant innover, du moins dans la forme.

Alors que le long métrage des Rois De La Glisse s'apprête à illuminer les salles obscures hexagonales, son adaptation vidéoludique inonde déjà les rayons des centres commerciaux et des boutiques spécialisées. Et comme à l'accoutumée pour une production de ce type, aucune console n'échappe à la déferlante des pingouins surfeurs. Tour d'horizon de ce que propose la version DS.

Entre Crash et Vivendi ça n'a jamais vraiment été une histoire d'amour si on se réfère à la qualité toute relative des titres nés de l'union de ces deux lascars. Pourtant il faut croire que le public en redemande et c'est donc tout naturellement que les softs dédiés au marsupial nous parviennent à un rythme plus ou moins régulier même si le dernier Crash, Twinsanity, date de 2004. Crash Of The Titans suit donc le train en marche mais se montre bien plus original et surtout beaucoup, beaucoup plus drôle que ses prédécesseurs.

Entre Crash et Vivendi ça n'a jamais vraiment été une histoire d'amour si on se réfère à la qualité toute relative des titres nés de l'union de ces deux lascars. Pourtant il faut croire que le public en redemande et c'est donc tout naturellement que les softs dédiés au marsupial nous parviennent à un rythme plus ou moins régulier même si le dernier Crash, Twinsanity, date de 2004. Crash Of The Titans suit donc le train en marche mais se montre bien plus original et surtout beaucoup, beaucoup plus drôle que ses prédécesseurs.

Entre Crash et Vivendi ça n'a jamais vraiment été une histoire d'amour si on se réfère à la qualité toute relative des titres nés de l'union de ces deux lascars. Pourtant il faut croire que le public en redemande et c'est donc tout naturellement que les softs dédiés au marsupial nous parviennent à un rythme plus ou moins régulier même si le dernier Crash, Twinsanity, date de 2004. Crash Of The Titans suit donc le train en marche mais se montre bien plus original et surtout beaucoup, beaucoup plus drôle que ses prédécesseurs.

Après Ankh, les Allemands de Deck 13 continuent d'exploiter le filon qui a fait leur succès : le jeu d'aventure humoristique au design cartoon. Jack Keane, leur nouveau titre, surfe en effet sur cette vague, plutôt porteuse en ce moment. Et si l'on en croit l'accueil dithyrambique qu'il a reçu outre-Rhin, on tient là un grand jeu.

Coutumier des jeux de billard, Blade Interactive n'en démord pas et nous sert un jeu du même style sur PSP. Pourtant, à bien y regarder, The Hustle : Detroit Streets n'a pas grand-chose à voir avec ses prédécesseurs à commencer par la série des Championship Snooker du même développeur.

Après avoir suivi les premières semaines de la saison 2007-2008 avec passivité, les managers en herbe vont pouvoir prendre le relais, s'armer de leur tableau magique et prospecter dans le monde entier à la recherche de la perle rare. Une quête perpétuelle qui suit le parallèle d'une carrière d'entraîneur riche en événement. Car Football Manager, c'est avant tout la preuve vivante que l'immersion passe parfois par autre chose que des moteurs 3D ultra performants.

Si Eternal Sonata était une partition, sa mélodie serait radieuse, chaleureuse, enjouée, vibrante. La composition de Bandai Namco a ceci d'extraordinaire qu'elle illumine notre coeur en même temps que notre écran. Derrière cette allégorie du pauvre se cache un gros coup de coeur pour un jeu qui ose, sans pour autant aller au bout de tous ses concepts, qui innove, tout en restant lové dans un certain conformisme, qui dépoussière des vestiges ludiques tout en regardant vers l'avenir. Le résultat de cette somme de paradoxes constitue une oeuvre d'exception sur Xbox 360 et plaide coupable. Oui Eternal Sonata est un jeu foisonnant d'idées, inventif et incidemment un des meilleurs, si ce n'est le meilleur RPG sévissant actuellement sur la machine de Microsoft.

A l'instar des Budokai Tenkaichi pour Dragon Ball Z, la série des Naruto Ultimate Ninja et celle des Naruto Clash of Ninja comptent parmi les adaptations qui rendent le mieux hommage au manga original de Masashi Kishimoto. Le premier Ultimate Ninja nous ayant laissé une très bonne impression, on était impatient de découvrir cette suite, d'autant que le soft dépasse largement nos espérances.

Conclusion provisoire de la saga mais en tout cas dernier titre Half-Life 2 de l'Orange Box, Episode Two ne cherche toujours pas à bouleverser les habitudes acquises au long des deux volets précédents mais se montre aussi trépidant qu'on pouvait l'espérer.

Ni un add-on ni vraiment une suite, Half-Life 2 : Episode One vient compléter le jeu de Valve avec brio. Ceci étant, depuis sa sortie initiale, l'arrivée de Episode Two a quelque peu relativisé l'apport de ce premier jet, profitons de l'occasion pour remettre la note à jour.

Fasciné par l'horreur, Clive Barker semble passer le plus clair de son temps à mettre cette dernière en scène. Que cela soit au travers d'une prose acide ou de plans cinématographiques nauséeux, Barker excelle véritablement dans l'art de susciter l'angoisse, et souvent même le dégoût. Ce touche-à-tout talentueux n'aura d'ailleurs pas épargné les amateurs de FPS avec l'excellent Undying, une adaptation vidéoludique d'un de ses romans. Manifestement satisfait du résultat, le britannique retente aujourd'hui l'expérience avec cet ambitieux projet, totalement original, répondant au doux nom de Jericho.

Fasciné par l'horreur, Clive Barker semble passer le plus clair de son temps à mettre cette dernière en scène. Que cela soit au travers d'une prose acide ou de plans cinématographiques nauséeux, Barker excelle véritablement dans l'art de susciter l'angoisse, et souvent même le dégoût. Ce touche-à-tout talentueux n'aura d'ailleurs pas épargné les amateurs de FPS avec l'excellent Undying, une adaptation vidéoludique d'un de ses romans. Manifestement satisfait du résultat, le britannique retente aujourd'hui l'expérience avec cet ambitieux projet, totalement original, répondant au doux nom de Jericho.

Fasciné par l'horreur, Clive Barker semble passer le plus clair de son temps à mettre cette dernière en scène. Que cela soit au travers d'une prose acide ou de plans cinématographiques nauséeux, Barker excelle véritablement dans l'art de susciter l'angoisse, et souvent même le dégoût. Ce touche-à-tout talentueux n'aura d'ailleurs pas épargné les amateurs de FPS avec l'excellent Undying, une adaptation vidéoludique d'un de ses romans. Manifestement satisfait du résultat, le britannique retente aujourd'hui l'expérience avec cet ambitieux projet, totalement original, répondant au doux nom de Jericho.

Galactic Assault : Prisoner of Power est la dernière extension en date de la série stratégique en tour par tour Massive Assault. Directement inspiré d'un roman de science-fiction des années 70, ce nouvel opus propose de prendre en main le destin de quatre factions au travers de batailles futuristes.