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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 24hmoins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 an
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Sur Playstation Network, il y a des jeux qui marqueront durablement les joueurs et d'autres moins. Par chance, DeathSpank : Episode 1 : Orphans of Justice appartient justement à la première catégorie. Bénéficiant d'un design unique et d'un gameplay accessible, ce hack'n slash délirant signé Ron Gilbert (le créateur des Monkey Island) mérite vraiment le détour comme nous allons le voir sans tarder.
Sur Xbox Live Arcade, il y a des jeux qui marqueront durablement les joueurs et d'autres moins. Par chance, DeathSpank : Episode 1 : Orphans of Justice appartient justement à la première catégorie. Bénéficiant d'un design unique et d'un gameplay accessible, ce hack'n slash délirant signé Ron Gilbert (le créateur des Monkey Island) mérite vraiment le détour comme nous allons le voir sans tarder.
A Boy and his Blob ne dira peut-être rien aux jeunes joueurs. Aux plus anciens pourtant, la simple évocation du nom fera souffler un doux vent de nostalgie dans leurs souvenirs. Ils se rappelleront sans doute du premier volet sorti jadis sur Nes ou peut-être de sa suite sur Gameboy. Après 19 ans de silence et deux tentatives de résurrections avortées (sur GBA puis sur DS), il est grand temps de retrouver notre garçon et son fameux Blob.
A une époque lointaine où le jeu de rôle informatique se limitait quasi-intégralement à parcourir d’interminables couloirs en exterminant tout ce qui avait le malheur de se présenter sur la route du héros, une série parmi toutes les autres est parvenue à se faire un nom en proposant une véritable approche du rôleplay en lieu et place de l’habituelle course à l’expérience. Initiée par Richard Garriott, la saga Ultima a marqué au fer rouge toute une génération de joueurs, et inspiré des références aussi célèbres que Dragon Quest ou Final Fantasy.
Si je vous dis Sega vous me répondrez très certainement Sonic ! Vous aurez bien sûr raison mais le hérisson bleu ne fut pas toujours la mascotte de l'ex-constructeur. Avant lui, la vedette revenait à Alex Kidd, un personnage que nous allons redécouvrir via sa troisième aventure.
Décidément, il faut vraiment chercher les innovations de gameplay du côté des jeux indépendants. C'est ce que prouve Cold Beam Games, après tant d’autres, en nous livrant une petite merveille du nom de Beat Hazard un shoot'em up dans la lignée d'Audiosurf. Ou plutôt la réponse à ce dernier.
Dans la famille des séries de RPG pointant souvent aux abonnés absents en Europe, je demande les Tales of ! Représentée pour la première fois sur notre vieux continent en 2004 par le génialissime Tales of Symphonia, la franchise de Namco a depuis autant soufflé la joie que le désespoir dans le coeur de nombreux amateurs occidentaux de jeux de rôle, étant donné l'intermittence avec laquelle les opus de cette série se sont décidés à parvenir jusqu’à nous. Il faut dire que cette licence a de quoi se faire désirer, chacun de ses épisodes étant synonyme d’innombrables heures de bonheur et c’est donc sans appréhension que nos yeux se sont posés sur Tales of Hearts, sans doute le dernier volet à paraître sur Nintendo DS.
Lorsqu’on se souvient, émus, d’un vieux jeu qui nous a marqués, on évoque bien souvent un élément de gameplay particulier, une musique entêtante qui fait remonter en nous le baume de la nostalgie, ou bien des graphismes éblouissants nous ayant scotchés des heures durant. Mais très rarement, on évoque ces ancêtres virtuels pour tout le mythe qui s’est tissé autour de leur développement, pour la prouesse d’un homme, animé d’une ambition créatrice si féroce, qui s’enferma deux années entières pour produire, seul, une œuvre qui allait renverser notre perception d’un média tout entier, et hisser son jeu au rang d’art mineur, pour l’éternité.
La route, royaume d’asphalte pour des hors-la-loi en quête de liberté, théâtre vrombissant de moteurs assoiffés, où le métal hurlant résonne comme parole d’évangile. Rejoignez une armée de motards sans peur ni moral dans un tournoi illégal à travers l’Amérique. Bienvenue dans Road Rash 2 !
Lorsqu’on se souvient, émus, d’un vieux jeu qui nous a marqués, on évoque bien souvent un élément de gameplay particulier, une musique entêtante qui fait remonter en nous le baume de la nostalgie, ou bien des graphismes éblouissants nous ayant scotchés des heures durant. Mais très rarement, on évoque ces ancêtres virtuels pour tout le mythe qui s’est tissé autour de leur développement, pour la prouesse d’un homme, animé d’une ambition créatrice si féroce, qui s’enferma deux années entières pour produire, seul, une œuvre qui allait renverser notre perception d’un média tout entier, et hisser son jeu au rang d’art mineur, pour l’éternité.
Né d’une collaboration entre Enix et Squaresoft qui fêtait alors ses 10 ans, Chrono Trigger a été développé sous la houlette d’une équipe de rêve dans laquelle on recensait entre autres le fondateur de Final Fantasy et le réalisateur de Dragon Quest. C’est donc logiquement que ce petit bijou ébranle le monde des RPG à sa sortie en 1995, avec notamment un scénario en marge des concepts habituels et arborant un thème à la fois utopique et source de nombreux rêves. Oui mesdames et messieurs, il est question ici de secourir le monde en voyageant à travers le temps… Et c’est en l’an 1000, dans le royaume de Gardia, que cette merveilleuse aventure débute.
Trois ans après Galaga Legions, une relecture moderne du fameux shoot'em up de Namco jamais sortie sur PS3, l'éditeur remet ça avec une version DX dotée de quelques nouveautés. Cette variante mérite-t-elle l'investissement quand on est amateur de jeux de scoring ? C'est la question à laquelle nous allons tenter de répondre.
Si le snipe est présent dans tous les FPS, rares sont ceux qui en font une tête d'affiche. Dans ce genre sous représenté, Sniper Ghost Warrior avait réussi à se faire attendre. Et bien évidemment, il déçoit.
Des cartes, des symboles aux similarités propres à vous déboussoler, un totem, une pression permanente et beaucoup de convivialité. Voilà les ingrédients du Jungle Speed, un jeu de société vendu dans le commerce. Playful Entertainment s'intéresse de près à ce moyen de passer d'agréables soirées entre amis, et décide de le retranscrire sur votre écran avec la jouabilité de la Wii. La copie vaut-elle le jeu original ?
Avec Angry Birds, Rovio signe un véritable tour de force et nous sert sur un plateau d'argent un des jeux les plus addictifs jamais conçus à un prix défiant toute concurrence. Mais que vaut vraiment l'indétrônable number one des jeux payants de l'App Store, téléchargé à plus de 4 millions d'exemplaires en 5 mois ?
Du premier Crackdown, certains ne se souviennent sans doute que de l'accès privilégié à la bêta multijoueur d'Halo 3 disponible sur la galette. D'autres en revanche avaient tout de même donné sa chance au titre de Realtime Worlds et étaient ressortis de Pacific City avec un large sourire de satisfaction sur le visage. Car quoi qu'on dise, Crackdown ne manquait pas de qualités et offrait un gameplay simple, bourrinissime même, mais incroyablement addictif. Aussi, nous n'avons guère été surpris de voir que le bougre serait doté d'une suite, une suite confiée aux bons soins de Ruffian Games et dont nous allons maintenant vous dire si elle a su conserver l'essence de son généreux grand frère.
En marge d'une version PC visuellement remaniée en profondeur, Cyanide nous propose cette année le quatrième opus de la série Pro Cycling sur PSP. Quatre ans déjà que nous enchaînons stratégies flashs et sprints manuels... La lassitude commencerait-elle à poindre ?
Depuis la création du genre en 1984 avec Kung-Fu Master, on peut bel et bien dire que le beat’em all a su prospérer, et ce malgré son manque certain d’évolution au fil des années. Aujourd’hui, lorsqu’un jeu de ce type vient à paraître et pour peu qu’il trouve preneur, un accord tacite est conclu entre le soft et son possesseur: ce dernier doit s’éclater et être confronté à un challenge digne de ce nom. En bref, en avoir pour son argent. Alors, Invincible Tiger remplit-il les termes de ce contrat ?
Depuis la création du genre en 1984 avec Kung-Fu Master, on peut bel et bien dire que le beat’em all a su prospérer, et ce malgré son manque certain d’évolution au fil des années. Aujourd’hui, lorsqu’un jeu de ce type vient à paraître et pour peu qu’il trouve preneur, un accord tacite est conclu entre le soft et son possesseur: ce dernier doit s’éclater et être confronté à un challenge digne de ce nom. En bref, en avoir pour son argent. Alors, Invincible Tiger remplit-il les termes de ce contrat ?
Garfield avait tout pour réussir. Le héros félin de la série de Jim Davis partait à l'origine avec un CV impressionnant : longévité, expérience, humour potache de très grande qualité... Et pourtant, malgré ce passif, les adaptations de la bande dessinée sur écran (grand ou petit) ont donné lieu à des échecs retentissants. The Garfield Show : Threat of the Space Lasagna est la dernière transposition de l'univers de Garfield sur nos machines. Va-t-il réussir à sauver la donne ?