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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 1 semainemoins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 anmoins de 24h
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
Issu de l'esprit déjanté du studio Nippon Ichi, The Witch and the Hundred Knight est un action-RPG situé à la frontière du hack'n slash qui se démarque par son originalité et son atmosphère typiquement « disgaeaesque ». Ce n'est pas la première fois que le développeur s'aventure au-delà de son domaine de prédilection, le RPG tactique, mais le soft atteint-il seulement ses ambitions ?
Ressusciter les vieilles légendes est un exercice délicat à bien des égards. Le simple fait de s'attaquer à une licence qui a bercé de nombreux joueurs dans leur jeune vie de gamer est un risque qu'a pris un certain nombre d'éditeurs et de développeurs qui se sont parfois attiré les foudres des nostalgiques. Ces derniers constituent un public particulièrement exigeant n'acceptant pas, à juste titre, que leur titre fétiche soit adapté d'une manière trop paresseuse pour rendre justice au rapport affectif intense qu'ils entretiennent avec leur précieuse licence. Et lorsqu'en plus, des développeurs font le pari de porter un titre vieux de 20 ans et culte pour beaucoup sur les plates-formes mobiles, inutile de dire que l'échec n'est pas envisageable.
Cela fait maintenant presque deux ans que Diablo III occupe les journées des fans de hack & slash. Critiqué par certains, adulé par d'autres, le jeu a évolué depuis sa sortie via diverses mises à jour, dont la dernière en date a sensiblement modifié le gameplay : nouveaux systèmes de loot et de niveaux Parangon, disparition de l'hôtel des ventes, équilibrage des classes, etc. Un patch qui sert d'introduction parfaite à cette première extension, intitulée Reaper of Souls. Celle-ci apporte son lot de contenu inédit (acte supplémentaire, mode Aventure, nouveau héros) mais cela justifie-t-il les 40 euros demandés par Blizzard ?
Quand une licence est une véritable mine d'or, on se doit d'en tirer profit : Nintendo a rapidement compris le principe avec ses fameux Pokémon, qui nous reviennent aujourd'hui sous la forme d'un puzzle-game. Si l'expérience n'est pas inédite pour nos monstres préférés, le précédent opus était arrivé en 2006, une époque antérieure au succès massif des nombreux titres du genre sur nos navigateurs ou réseaux sociaux habituels. Pokémon : Link Battle est-il donc capable de se différencier et d'apporter un peu de variété à un gameplay maintes et maintes fois copié ?
Ressusciter les vieilles légendes est un exercice délicat à bien des égards. Le simple fait de s'attaquer à une licence qui a bercé de nombreux joueurs dans leur jeune vie de gamer est un risque qu'a pris un certain nombre d'éditeurs et de développeurs qui se sont parfois attiré les foudres des nostalgiques. Ces derniers constituent un public particulièrement exigeant n'acceptant pas, à juste titre, que leur titre fétiche soit adapté d'une manière trop paresseuse pour rendre justice au rapport affectif intense qu'ils entretiennent avec leur précieuse licence. Et lorsqu'en plus, des développeurs font le pari de porter un titre vieux de 20 ans et culte pour beaucoup sur les plates-formes mobiles, inutile de dire que l'échec n'est pas envisageable.
Bien que le premier Lords of Shadow ait été un succès critique et commercial, tout le monde s'accordera à dire que les deux DLC qui étaient sortis dans la foulée avaient grandement émaillé sa surface polie. Quatre ans plus tard, Lords of Shadow 2 s'offre à nous et avec lui les inévitables contenus supplémentaires dont Revelations, qui a la lourde tâche d'ouvrir le bal. Pourtant, il semble bel et bien que MercurySteam ait mis à profit les années séparant les deux jeux pour peaufiner à l'extrême ces extensions souvent décriées.
La patience est une vertu qui est toujours récompensée. Vous faisiez partie des joueurs qui rongeaient leur frein de ne pas pouvoir profiter de FEZ au moment de sa sortie sur le XBLA il y a deux ans ? Vous n'aviez pas pu mettre les mains sur la version PC l'année dernière ? Vous pouvez désormais retrouver ce jeu hors du commun en cross buy sur le PSN aussi bien pour votre PS3 que votre PS4 et votre Vita.
Bien que le premier Lords of Shadow ait été un succès critique et commercial, tout le monde s'accordera à dire que les deux DLC qui étaient sortis dans la foulée avaient grandement émaillé sa surface polie. Quatre ans plus tard, Lords of Shadow 2 s'offre à nous et avec lui les inévitables contenus supplémentaires dont Revelations, qui a la lourde tâche d'ouvrir le bal. Pourtant, il semble bel et bien que MercurySteam ait mis à profit les années séparant les deux jeux pour peaufiner à l'extrême ces extensions souvent décriées.
La patience est une vertu qui est toujours récompensée. Vous faisiez partie des joueurs qui rongeaient leur frein de ne pas pouvoir profiter de FEZ au moment de sa sortie sur le XBLA il y a deux ans ? Vous n'aviez pas pu mettre les mains sur la version PC l'année dernière ? Vous pouvez désormais retrouver ce jeu hors du commun en cross buy sur le PSN aussi bien pour votre PS3 que votre PS4 et votre Vita.
La patience est une vertu qui est toujours récompensée. Vous faisiez partie des joueurs qui rongeaient leur frein de ne pas pouvoir profiter de FEZ au moment de sa sortie sur le XBLA il y a deux ans ? Vous n'aviez pas pu mettre les mains sur la version PC l'année dernière ? Vous pouvez désormais retrouver ce jeu hors du commun en cross buy sur le PSN aussi bien pour votre PS3 que votre PS4 et votre Vita.
La mode du rétrogaming n'a pas fini de faire des siennes. Vous voulez faire parler de votre jeu mais vous n'avez pas les moyens de vous payer une campagne de communication XXL ? Vous n'avez qu'à opter pour un rendu pixelisé qui ravira tous les joueurs nostalgiques... Toutes les bonnes choses ont une fin et cette petite touche vieillotte est un artifice qui finit, avouons-le, par lasser. Ne vous en dégoûtez pas tout de suite, prenez quand même le temps de savourer entre amis ce TowerFall Ascension qui mérite amplement le détour.
Bien que le premier Lords of Shadow ait été un succès critique et commercial, tout le monde s'accordera à dire que les deux DLC qui étaient sortis dans la foulée avaient grandement émaillé sa surface polie. Quatre ans plus tard, Lords of Shadow 2 s'offre à nous et avec lui les inévitables contenus supplémentaires dont Revelations, qui a la lourde tâche d'ouvrir le bal. Pourtant, il semble bel et bien que MercurySteam ait mis à profit les années séparant les deux jeux pour peaufiner à l'extrême ces extensions souvent décriées.
Disney n'est pas toujours synonyme de jeux à licences. Sur mobiles, la boîte à Mickey s'autorise régulièrement quelques expérimentations, loin de ses personnages fétiches. Généralement, le résultat est plutôt convaincant, on se souvient notamment de Jetez-vous à l'Eau ou de Mittens. Dans cette veine, Disney Mobiles présente Lost Light, un puzzle-game original, mais un peu plus austère qu'à l'accoutumée.
Disney n'est pas toujours synonyme de jeux à licences. Sur mobiles, la boîte à Mickey s'autorise régulièrement quelques expérimentations, loin de ses personnages fétiches. Généralement, le résultat est plutôt convaincant, on se souvient notamment de Jetez-vous à l'Eau ou de Mittens. Dans cette veine, Disney Mobiles présente Lost Light, un puzzle-game original, mais un peu plus austère qu'à l'accoutumée.
Dans le courant des années 90, les point'n click battaient leur plein et trouvaient toute leur légitimité dans les rayons des boutiques spécialisées. Néanmoins, le genre a disparu progressivement des étalages pour finalement connaître une période de vache maigre, ne parvenant plus à trouver un public face à une concurrence graphiquement toujours plus ambitieuse. Mais le point'n click dit « à l'ancienne » n'a pas dit son dernier mot et connaît un regain d'énergie ces dernières années, de quoi donner l'envie à pas mal de créatifs de ressusciter les vieilles légendes, comme c'est le cas pour ce nouvel épisode des Chevaliers de Baphomet, sous-titré La Malédiction du Serpent. Est-ce pour le meilleur ou pour le pire ?
Dans le courant des années 90, les point'n click battaient leur plein et trouvaient toute leur légitimité dans les rayons des boutiques spécialisées. Néanmoins, le genre a disparu progressivement des étalages pour finalement connaître une période de vache maigre, ne parvenant plus à trouver un public face à une concurrence graphiquement toujours plus ambitieuse. Mais le point'n click dit « à l'ancienne » n'a pas dit son dernier mot et connaît un regain d'énergie ces dernières années, de quoi donner l'envie à pas mal de créatifs de ressusciter les vieilles légendes, comme c'est le cas pour ce nouvel épisode des Chevaliers de Baphomet, sous-titré La Malédiction du Serpent. Est-ce pour le meilleur ou pour le pire ?
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Les Chevaliers de Baphomet : La Malédiction du Serpent - Episode 1
La mode du rétrogaming n'a pas fini de faire des siennes. Vous voulez faire parler de votre jeu mais vous n'avez pas les moyens de vous payer une campagne de communication XXL ? Vous n'avez qu'à opter pour un rendu pixelisé qui ravira tous les joueurs nostalgiques... Toutes les bonnes choses ont une fin et cette petite touche vieillotte est un artifice qui finit, avouons-le, par lasser. Ne vous en dégoûtez pas tout de suite, prenez quand même le temps de savourer entre amis ce TowerFall Ascension qui mérite amplement le détour.
Après quelques années d’attente, Metal Gear Solid revient sur le devant de la scène et profite de la sortie des consoles PlayStation 4 et Xbox One pour fournir aux joueurs une expérience plus immersive que jamais. Nous avons testé pour vous le prologue de ce 5ème épisode de la saga et contre toute attente : la copie est loin d’être parfaite…
Après quelques années d’attente, Metal Gear Solid revient sur le devant de la scène et profite de la sortie des consoles PlayStation 4 et Xbox One pour fournir aux joueurs une expérience plus immersive que jamais. Nous avons testé pour vous le prologue de ce 5ème épisode de la saga et contre toute attente : la copie est loin d’être parfaite…
Après quelques années d’attente, Metal Gear Solid revient sur le devant de la scène et profite de la sortie des consoles PlayStation 4 et Xbox One pour fournir aux joueurs une expérience plus immersive que jamais. Nous avons testé pour vous le prologue de ce 5ème épisode de la saga et contre toute attente : la copie est loin d’être parfaite…