Derniers tests de jeux vidéo - page 107

Il est toujours plaisant d’assister au retour de Shantae, la série d’action/plates-formes du studio WayForward Technologies. La fraîcheur du design et la simplicité du gameplay ont déjà fait quelques heureux ces 14 dernières années. Le nouvel opus Half-Genie Hero est-il du même acabit ? Sans nul doute : OUI !

Nouvel entrant dans la catégorie des shooters en réalité virtuelle pour Oculus Rift et HTC Vive, VR Invaders marque la première tentative des russes de chez My.com dans le monde impitoyable des jeux pour casques. Autant le dire tout de suite : tout n’est pas rose, malgré quelques bonnes idées...

Habituellement destinée aux consoles de salon et de l'arcade, la série The Idolmaster a pourtant possédé un autre série qui est destiné exclusivement sur mobiles (exepté la Vieuwing Revolution sur le VR se Sony). Il s'agit ni plus ni moins qu'un certain Idolmaster Cinderella Girls. Reprenant l'univers fidède de la série Originale en rajoutant (un peu) de l'univers "Cendrillon" (d'où le titre), cette série existe depuis 2011 sous forme d'un jeu de carte qui a séduit pas mal de japonais (voir l'encart). En septembre 2015, Bandai Namco sortait, au Japon uniquement (pas de version Occidentale pour le moment), un autre titre tiré de cet univers, mais cette fois-ci orienté un jeu de rythme. Pari réussi ?

Créé en 2006 par le studio allemand Fishlabs, la franchise Galaxy on Fire a depuis ses débuts remporté un vif succès auprès des joueurs. Signe flagrant de ce triomphe, les divers épisodes de cette série ont depuis bien longtemps connus des versions PC qui ont elles aussi conquises leur public. Il faut dire que Fishlabs s’est dès le départ donné les moyens de ses ambitions en produisant un titre riche, complet et se payant en sus le luxe d’offrir une partie graphique flattant agréablement la rétine. Véritable réussite lorgnant du côté des grands classiques de la simulation spatiale comme Elite, la série en est aujourd’hui à son troisième épisode canonique, Galaxy on Fire 3 - Manticore. Un nouvel épisode qui prend un tournant inattendu, s’éloignant de la formule établie par ses prédécesseurs, et qui risque de déstabiliser, voire décevoir, les amateurs de la saga.

Créé par Tabasco Game, Battleship Lonewolf est un titre qui mélange les genres pour nous proposer une sorte de SHMUP utilisant un système de progression et une grande partie des mécaniques d’un Tower Defense. Assez intéressant sur le papier, ce principe est-il pour autant probant une fois le jeu lancé ? Une question qui trouvera sa réponse dans les quelques paragraphes ci-dessous.

En 2011, Capcom réussissait l'exploit de sortir deux nouveaux épisodes de Marvel Vs. Capcom. Enfin, plus exactement, Marvel Vs. Capcom 3, puis sa version enrichie, Ultimate Marvel Versus Capcom 3. Ce dernier intégrait notamment tous les DLC du jeu original et proposait quelques personnages supplémentaires. Autant vous dire que malgré ses qualités, Ultimate ne s'était pas fait que des amis. Mais voilà, le temps passe et les esprits s'assagissent. En proposant son portage/remaster à l'orée de l'an de grâce 2017, Capcom ne devrait pas trouver beaucoup de grincheux cette fois-ci.

Dans la longue liste des action/RPG édités par Falcom depuis les années 80, il y a Ys, il y a Brandish, mais il y a aussi le plus discret Xanadu. Ce titre empreint d'heroic fantasy, aussi connu sous le nom de Dragon Slayer II Xanadu, fut un pionnier du genre en 1985 sur MSX et autres ordinateurs personnels de l'époque. Pour les trente ans de la licence, Falcom sort Tokyo Xanadu, un titre qui explore non plus l'heroic fantasy mais les légendes urbaines dans un style cette fois inspiré de la pop-culture japonaise.

Forte d’une remarquable longévité, la prestigieuse série des Nobunaga's Ambition ravit les amateurs de grande stratégie depuis les années 1980 avec son souci tout particulier de la précision historique. Il y a un an les développeurs de Koei Tecmo publiaient un quatorzième épisode toujours plus complet et ambitieux, nous embarquant une fois de plus durant de longues heures au temps de l’Époque Sengoku. Et cet automne le studio japonais nous propose une nouvelle édition en ajoutant une particule au titre : "Ascension". De quoi s’agit-il exactement, à qui cela s’adresse et qu’est-ce que cela vaut ? C’est ce que nous vous proposons de découvrir à travers ce test.

Depuis que les jeux vidéo existent, nombreux sont les développeurs à avoir tenté d'intégrer les grands classiques que sont les Scrabble, les Trivial Pursuit et autres Monopoly au format numérique. Dans la plupart des cas, ces titres n'ont pas donné satisfaction et on a longtemps pensé, au grand dam des amateurs de RISK ou de Cluedo, que les deux univers devaient garder leur distance. Pourtant, avec Werewolves Within, ce point de vue pourrait bien changer. Profitant de l'arrivée de la réalité virtuelle dans les foyers, le jeu d'Ubisoft et Red Storm (spécialisé dans les productions Tom Clancy's) apporte un nouveau regard sur les jeux de plateau. Drôle, bien réalisé et accessible, il pourrait bien s'agir d'une surprise que personne n'attendait.

Annoncée à la gamescom 2016 alors qu'on ne l'attendait franchement pas, cette seconde extension de The Crew prouve que le jeu de course d'Ubisoft et Ivory Tower se porte bien, merci pour lui. Ce qui n'était pas gagné, puisqu'à sa sortie le titre n'a pas vraiment fédéré. Mais les développeurs ont retroussé leurs manches et aujourd'hui, The Crew a des arguments. Parmi lesquels Calling All Units, cette nouvelle extension qui lui donne un air de Need For Speed des grands jours... Et donc un petit goût de « reviens-y ».

La tendance des zombies dans l’univers vidéoludique a encore de beaux jours devant elle et ce n’est pas Arizona Sunshine, titre développé par Vertigo Games, qui nous fera dire le contraire. Annoncé il y a un peu plus d’un an et demi par les auteurs de World of Diving, ce titre tente d’offrir ce qui plait le plus aux explorateurs de la réalité virtuelle, à savoir une bonne dose de frisson et du tir décomplexé. Shooter zombiesque sur PC, Arizona Sunshine tente donc en ce mois de décembre de nous immerger dans l’état américain, alors en proie à la classique invasion de morts-vivants…

Depuis de nombreuses années, Games Workshop exploite sans relâche sa licence Warhammer et son pendant futuriste Warhammer 40.000. Jeux de stratégie (Battlefleet Gothic : Armada, Total War : Warhammer...), shooter (Warhammer : The End Times - Vermintide, Warhammer 40.000 : Eternal Crusade), jeux d'aventure (Eisenhorn : Xenos), Hack'n'Slash (Warhammer 40.000 : Inquisitor - Martyr)... les guerres fantastiques et galactiques harcèlent le marché du jeu vidéo à un rythme effréné. C'est désormais au tour de l'éditeur Focus Home Interactive et Streum On Studio d'adapter cette licence avec Space Hulk : Deathwing, un FPS à dominante multijoueur. Les Space Marines sont de retour et avec eux ce conflit séculaire mené contre les ennemis de l'Imperium. Bolter hurlant et Chainsaw au vent, une nouvelle croisade est sur le point de débuter.

Il paraît que dans notre secteur ludique favori, le deuxième opus d'une franchise est souvent plus abouti que le premier. Passée la fraîcheur du concept, la formule prend alors le temps de s'affiner, gagner en profondeur et offrir une identité forte à ce qu'il convient désormais d'appeler une licence. C'est évidemment ce que nous sommes en droit d'attendre de Watch Dogs 2, à l'accueil controversé, mais aux ventes conséquentes qui auront convaincus Ubisoft de nous offrir une suite aux aventures d'Aiden Pearce. Une suite ? Pas tout à fait, puisque c'est cette fois-ci aux commandes d'un nouveau hacker que nous allons écumer les rues d'une destination inédite : la baie de San Francisco.

C’est en 2003 que 10tons a débarqué dans l’industrie vidéoludique avec Crimsonland, un Twin Stick Shooter sorti sur PC ayant récolté son petit succès au fil des ans jusqu’à ressortir en 2014 sur une ribambelle de plateformes. Après avoir officié en tant que consultant sur quelques titres mineurs, et sorti des productions assez oubliables, le studio revient à ses premières amours avec Neon Chrome, un Twin Stick Shooter sorti cette année sur PC, consoles, et plus récemment, sur mobiles. Et le moins que l’on puisse dire c’est que le studio a mis les petits plats dans les grands pour nous en mettre plein la vue avec un titre diablement efficace, riche, prenant et sacrément joli pour ne rien gâcher.

Le moins que l’on puisse dire, c’est que le studio Image & Form à la bougeotte. Car après s’être essayé au Tower Defense avec SteamWorld Tower Defense et à la plateforme avec SteamWorld Dig, cette bande de joyeux drille s’attaque aujourd’hui au jeu de stratégie avec son SteamWorld Heist. Enfin aujourd’hui, c’est vite dit, car avant d’atterrir sur mobile, SteamWorld Heist est surtout sorti sur Nintendo 3DS l’année passée, puis sur PC courant 2016. Très bien reçu par la critique comme par les joueurs, l’arrivée de ce jeu de stratégie au tour par tour sur mobile est une très bonne nouvelle pour tous les amateurs du genre dans la mesure où son gameplay semble taillé pour un usage nomade et tactile. Reste à savoir si Image & Form a bien fait son travail. Une question à laquelle nous allons répondre sans plus attendre.

Confirmation de l’orientation action de la franchise au détriment de la survie, Resident Evil 5 et ses hordes d’infectés envahirent les consoles de 7ème génération le 13 mars 2009 avant de se répandre sur PC puis Android dans les années qui suivirent. Et ce cinquième épisode résume à lui seul la stratégie de Capcom. Reboot, Remake, version HD et simple portage constituent un pan entier du catalogue de l’éditeur. Resident Evil 5 débarque donc 7 ans plus tard sur PlayStation 4 et Xbox One en version dématérialisée avant de s’offrir un baroud d’honneur en boîte. Une manière comme une autre de (re)découvrir la saga et de raviver nos souvenirs quelques semaines avant la sortie de Resident Evil 7.

Un adepte de Picross 3D doit savoir faire preuve d'une qualité essentielle : la patience. Mais cette aptitude n'est pas nécessairement exigée pendant le jeu lui-même. Non, on parle là plutôt de la persévérance à montrer pendant l'attente infinie qui sépare deux sorties de ces jeux. Il faut en effet remonter à 2010 pour retrouver la trace du premier épisode Picross 3D, une éternité. Entre temps, un autre jeu a connu son petit succès sur le créneau de l'exploitation du cassage de cubes au maillet du côté de chez Mojang, mais c'est une autre histoire. L'art de se faire désirer est donc une discipline qui les japonais d'HAL Laboratory maitrisent à la perfection. Presqu'aussi bien que celle qui consiste à pondre des jeux aux petits oignons. Difficile de rougir en effet quand son CV affiche comme références Kirby, Smash Bros ou Mother, avouez. Reçu à juste titre comme une perle en son temps, le premier Picross 3D laisse à son cadet la lourde responsabilité de la relève. Alors, l'héritier est-il à la hauteur de la succession ?

Née en 2004 sur N-Gage et Nintendo DS, la série des Asphalt a depuis gagné le marché mobile pour s’y installer confortablement. Jeu de course créé par Gameloft et fortement « inspiré » par des licences classiques telles que Need for Speed ou Burnout. Ces titres orientés arcade délivrent à chaque itération des prestations correctes en dépit d’un modèle Free to play un brin agressif, typique de l’éditeur. Pour ce nouvel épisode, Gameloft a décidé de quitter l’asphalte des circuits pour nous emmener faire un tour sur les pistes poussiéreuses du monde entier. Un changement de cadre bienvenu qui permettra de découvrir tout un tas de destinations plus exotiques les unes que les autres, ainsi qu’une ribambelle de nouveaux véhicules pour les parcourir. Un changement sur la forme qui ne vient cependant pas bousculer la formule créée il y a de cela quelques années.

Vous êtes jeune, fort, en bonne santé et vous rêvez de répandre la démocratie à travers l’univers ? Devenez un Helldivers ! Cela ne vous dit rien ? C’est fort dommage… Après un Magicka très fun sorti en 2011 et une reprise en demi-teinte du cultissime Gauntlet de la NES en 2014, Arrowhead Game Studios remet le couvert avec un troisième jeu, en coop 4 joueurs et vue de dessus, nommé Helldivers. Associé cette fois-ci à Sony, Arrowhead Game Studios nous propose un twin-stick shooter plein de bonnes idées. Sorti sur PS4, PS3 et PSVita (avec un système de cross-platform bien entendu) et depuis peu sur PC (qui eux ne jouent qu’entre eux), Helldivers a su conquérir le cœur de bon nombre de joueurs. Alors, pourquoi la mayonnaise a-t-elle prise sans que ce jeu ne fasse de gros titres ?