ActionShooterRPGAventureFPSCourseStratégiePlate-FormeSportCombatInfiltrationBeat'em AllSurvival-HorrorGestionMMOSimulationRéflexionTactiqueTirAction RPGRythmePoint'n ClickAutresTPSOpen WorldParty-GameMMORPGPuzzle-GameJeu de cartesCréationHack'n slashWargameSurvieShoot'em UpSandboxTactical RPGAdresseMOBAGod GameDungeon RPG4XCity BuilderRoguelikeBattle RoyaleManagementCoachingCompilationFlipperMMOFPSCasse briquesFilm InteractifMatch 3Simulation de volJeu de sociétéRunnerSimulation de vieTower DefenseVisual NovelDanseDragueJeu de RôleKaraokéLudo-EducatifObjets cachésSerious Games
Événement
BlizzConE3Find Your Next GamegamescomGDCJapan ExpoParis Games WeekQuakeConTokyo Game ShowAGDQAs d'OrBlack FridayBrasil Game ShowCESComic-ConCyber MondayESWCFrench DaysGame AwardsGamers AssemblyJOKakutop FRKAKUTOP LeagueMineconMWC 2022PAX EastPlayStation ExperiencePrime DaySaint ValentinSingles DaySoldesStunfestSummer Game FestToulouse Game ShowVentes flash amazon
Sorti en 2015 sur iOS et Android, Taichi Panda a très vite su convaincre des millions de joueurs grâce à son gameplay parfaitement maîtrisé et une patte graphique très réussie. Hack 'N' Slash évoulant dans un monde fantaisiste fortement teinté d’influences asiatiques, Taichi Panda déploya un univers très riche, séduisant et en constante évolution capable de séduire une vaste gamme de joueurs grâce à ses mécaniques bien pensées, et surtout, très accessibles. Si ce titre n’échappe pas à l’écueil du Free to play, son modèle demeure assez équilibré tout en n’incitant pas à la consommation. Après ce succès largement mérité, Snail Game commence à penser à l'avenir de sa franchise avec Taichi Panda : Heroes, qui vient tout juste de débarquer en soft launch dans quelques pays bien ciblés. L’occasion pour nous de voir si Snail Game a cédé à la tentation de verser dans le simple « more of the same », ou si le studio a bel et bien réfléchi à une toute nouvelle formule.
Titre développé par Vanillaware et édité par Atlus, Odin Sphere débarqua sur PlayStation 2 en mars 2008 réjouissant les amateurs d’univers féerique et de gameplay à la croisée du Beat'em All et de l’Action RPG. Au programme, graphismes 2D somptueux et difficulté retorse pour une perle insoupçonnée qui aura su alimenter un catalogue de jeux d’ores et déjà colossal. Et le studio Vanillaware ne s’est pas arrêté en si bon chemin, continuant de peaufiner sa recette au point de lancer dans les années qui suivirent deux oeuvres qui restèrent gravées dans les mémoires : Muramasa : The Demon Blade sur Wii en 2009 et Dragon's Crown sur les consoles de Sony en octobre 2013. Ce jeu se démarqua de la concurrence par son gameplay à la fois original et inventif et une direction artistique à couper le souffle pour un Action RPG aux relents de Beat’em Alll obtenant la note de 18/20. Vanillaware, conscient de tenir entre ses mains une poule aux oeufs d’or, surfe désormais sur la vague de Remake et autre Reboot se fracassant sur les rives du jeu vidéo et attise la nostalgie des fans en ressortant du placard Odin Sphere dans une version HD intitulée Odin Sphere : Leifthrasir sur PlayStation 3, PlayStation Vita et PlayStation 4.
Ca n'arrête pas. Tous les éditeurs lâchent leurs démos pour stimuler le marché et vendre du rêve concret aux acheteurs indécis. Koei Tecmo n'est évidemment pas en reste et sort deux démos de son chapeau pour ce printemps. Mais à l'inverse de celle de Ni-Ô qui concernera le monde entier, la version d'essai de Tôkiden 2 est pour l'instant réservée au Playstation Store japonais.
Nous n'allons pas nous la faire à la « Je vous parle d'un temps que les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître », mais pour bien comprendre la logique Carmeggeddon, il faut remonter à 1995, donc un peu, tout de même. Ce jeu de caisse qui, avant d'être un jeu de course était avant tout un titre brutal, absurde et fun, avait mis des étoiles dans les yeux des mômes que nous étions, pour finalement ressusciter, sous l'impulsion d'une campagne de financement participatif, sous la forme du très décevant Carmageddon Reincarnation. Alors, l'annonce de Carmaggeddon Max Damage à destination des consoles nous a laissé dubitatifs et nous avons tenté de lever nos doutes en compagnie des membres de l'équipe de Stainless, studio responsable du jeu depuis toujours.
Fin mars, Xbox invitait la presse européenne à venir découvrir le multijoueur de Gears of War 4, titre ô combien attendu par les fans de la marque au X vert. Il faut dire que jusqu'à présent, la série était aux mains de Epic Games et de Cliff Bleszinski, dont le travail était aussi réputé qu'apprécié. Désormais développé par The Coalition, un studio monté par Xbox pour gérer la licence, Gears of War intrigue, car on sait finalement bien peu de choses à son sujet. Une présentation orale et quelques heures de jeu nous ont rassuré sur un point : les troupes de Rod Fergusson savent parfaitement ce qu'elles font.
Shin Megami Tensei X Fire Emblem, comme certains préfèrent encore l'appeler, a suscité en 3 ans bien des fantasmes. Arrivé bien différent de ce que beaucoup imaginaient lors de sa ré-annonce en avril 2015, Tokyo Mirage Sessions #FE a la difficile tâche de séduire malgré lui. Symbole d'un line-up en perdition avec seulement 30 000 exemplaires vendus à son lancement sur l'archipel, le cross-over d'Atlus peine à convaincre. Alors, les japonais auraient-ils été trop durs ?
Certains d’entre-vous se souviennent très certainement avec émoi de leurs premières parties de FPS en ligne, détruisant leurs souris sous les coups de clics frénétiques imposés par Doom 1 et 2. Les années passent et c’est au tour de Quake et Unreal de prendre cette place de shooter vitesse TGV avant que le "réalisme" ne prenne le dessus. Lorsque la série iconique d’id Software revient en 2003, c’est pour suivre le mouvement lancé par les Call of Duty et autres Battlefield en revenant avec un Doom 3 bien plus lent et orienté vers le survival-horror. Le genre Fast-FPS s’est donc endormi et même si certains irréductibles tentent de faire revenir le genre sur le devant de la scène, il est aujourd’hui assez clair qu’il ne s’agit pas de la tendance dominante. En récupérant le bébé de Carmack et Romero, Bethesda a toutefois fait le choix audacieux de revenir vers des mécaniques plus rapides. Ce risque pourra-t-il payer ? Nous avons pu nous faire un avis sur la question avec la bêta fermée dédiée au multijoueur.
Il arrive. Repoussé à plusieurs reprises depuis son annonce, Uncharted 4 : A Thief's End est enfin passé "gold", signifiant par la-même la fin du développement officiel pour l'équipe de Naughty Dog, désormais tournée vers le 10 mai prochain. C'est à cette date que les amateurs des aventures de Nathan Drake pourront se procurer le dernier épisode de la série dans les étals : nous avons pu nous essayer pour l'occasion à une séquence en solo d'une trentaine de minutes amenant Sully, Nathan et son frère Sam dans les terres boueuses de Madagascar. En voiture, simone.
Alors que la sortie de Yôkai Watch sur Nintendo 3DS est attendue pour fin avril, Level-5 compte prendre son essor sur le marché du jeu mobile avec un spin-off intitulé Yo-kai Watch Wibble Wobble. Le titre propose de retrouver tout l'univers faisant le succès de la franchise sous la forme d'un Puzzle-Game aux allures de Match 3, un genre qui a tout pour plaire sur cette plateforme. Actuellement disponible en pré-lancement sur iOS et Android en Amérique du Nord et en Australie, nous avons essayé ce jeu promis à un succès certain.
En marge de l'événement-clé Uncovered dédié à Final Fantasy XV, au Shrine Auditorium de Los Angeles, nous avons pu tester dans son intégralité la nouvelle démo du jeu, baptisée Platinum Demo. Concept atypique jusqu'au bout des ongles, ce contenu gratuit et non-intégré au jeu final nous permet de découvrir la puissance du Luminous Engine et les améliorations apportées au titre depuis la dernière démo en date : l'Episode Duscae 2.0.
Il est rapidement devenu le fer de lance de cette nouvelle génération de FPS reposant sur le concept en vogue des héros, le représentant de Blizzard Entertainment est baptisé Overwatch et fait déjà le bonheur de quelques milliers d’heureux sélectionnés pour participer à une bêta ultra fermée et réservée au PC. Et s’il faudra définitivement faire l’impasse sur une version Mac, le studio californien avait créé la surprise en annonçant que son petit protégé serait également disponible sur les consoles de la huitième génération. Le risque est grand pour "Blibli" : premier FPS, premier univers original depuis 18 ans et premier titre développé spécialement pour les machines de salon, Overwatch se devra d’être irréprochable afin de ne pas entacher la réputation de ses créateurs.
Depuis sa création en 2000, PopCap Games a toujours su créer des jeux à la simplicité enfantine, et pourtant capable de retenir l’attention des joueurs de nombreuses heures durant (osez dire que vous n’avez usé vos semelles sur Peggle, Bejeweled 2 ou ce bon vieux Zuma). C’est en 2009 que le studio a créé Plants Vs Zombies, un Tower Defense un brin différent de ses confrères, doté d’une esthétique soignée à l’humour omniprésent. Une combinaison du fond et de la forme qui saura s’attirer la bonne grâce de la presse et du public, afin d’en faire un succès commercial et critique. Après une déclinaison en jeu de tir à la troisième personne que personne n’attendait (sous l’impulsion d’Electronic Arts qui a racheté le studio en 2011), c’est une toute nouvelle itération de la licence Plants Vs Zombies qui s’apprête à débarquer sur nos mobiles. Nommé Plants vs Zombies Heroes, ce titre mélange habilement les mécaniques classiques du titre de PopCap Games avec le Jeu de cartes à collectionner à la Magic, ou plus récemment, HearthStone : Heroes of Warcraft. Un cocktail qui fonctionne parfaitement bien, et que nous avons décidé de tester à l’occasion de son soft-launch en Nouvelle-Zélande.