On arrive au dénouement et ça se sent ! Voici les différents impératifs à remplir pour espérer rejoindre sain et sauf notre belle planète bleue.
Amener l'obus jusqu'au canon spatial lunaire
Partez pour le dernier étage au sous-sol et approchez de la machine. Celle-ci dispose d'une réserve d'essence qui va nous être indispensable pour la suite. Posez le bidon vide sur le bloc de pierre, et remplissez-le d'essence. Passez ensuite par l'inventaire et combinez le tableau trouvé à ce même étage avec le coton et le bidon d'essence. Un nouveau tableau se révèle alors sous vos yeux. Passez par le journal pour lire les différentes informations qu'il comporte. Ceci étant, vous devriez disposer d'un bidon d'essence remplit de 3 mesures. Partez pour le laboratoire, et passez dans l'arrière-salle au purificateur. Chargez un plan de Sagittaria (plante violette) dans le four et laissez mijoter. Vous obtenez alors des isotopes floconneux de Klipsgaal (vive la science !et ses mots imprononçables !). Il vous faut à présent isoler les isotopes. Placez votre échantillon sur la balance de la machine derrière vous, et procédez au mieux (il faut séparer les isotopes et les peser jusqu'à trouver l'échantillon le plus léger). L'élément isolé, combinez-le avec les 3 doses d'essence et un fruit bleu. Vous obtenez alors une peinture capable de rendre les éléments légers. Revenez vers votre obus et peignez-le de cette substance. Déplacez la pierre retenant votre embarcation d'un coup de barre de fer pour finir de déplacer l'obus. Partez ensuite pour le centre du cratère où il va nous falloir remettre en marche l'orgue. Avancez près du poster à tête d'alien dans la petite cavité. A droite se trouve une machine à verrou disposant de deux manettes. Pour venir à bout de ce simple casse-tête, cliquez comme ceci : 2 fois sur la manette de gauche, 2 fois sur celle de droite, 1 fois sur celle de gauche, puis à nouveau 2 fois sur celle de droite. Le panneau s'abaisse, révélant alors un nouvel interrupteur. Appuyez dessus pour que l'air puisse à nouveau s'engouffrer dans les tuyaux de l'orgue. Sortez ensuite et marchez en direction des sources d'eau. Cliquez sur les motifs représentant l'eau (les quatre du bas), et placez la manette qui se découvrira devant vous, inclinez-la vers la droite. Ardan devrait faire une remarque sur l'écoulement de l'eau vers la droite. Mais le débit d'eau n'est pas encore assez suffisant. Cela tombe bien, juste en face se trouve une autre source. Cette fois-ci, le panneau comportant les idéogrammes se trouve être légèrement endommagé et certaines touches ont été effacées. En numérotant ces touches de gauche à droite, rangée après rangée, cliquez sur les numéros 1, 7, 12 et 14. La manipulation réussie, inclinez le levier sur la gauche. Le débit devrait s'avérer assez puissant à présent. Retournez dans la petite caverne et actionnez les manettes d'air et d'eau. L'orgue fonctionne et vous pouvez en jouer. Avant de vous lancer dans la session musicale, approchez de la machine près des fruits jaunes. Celle-ci fonctionne en fait par rapport au poids, et vous remarquerez que la porte juste en face s'ouvre si vous placez le cadran du haut en position 1 (en numérotant les touches du haut de gauche à droite). Il faut prévoir l'arrivée des Sélénites de bas niveau et placer la cage sur le bouton 3 de manière à ce que la porte puisse s'ouvrir à leur arrivée. Ceci étant, avancez vers l'orgue et insérez votre clé dans la serrure juste à côté. Jouez alors les touches bleues et jaunes pour débuter. Appuyez ensuite sur les touches en surbrillance pour enchaîner les mélodies jusqu'à ce qu'un alien soit arrivé jusqu'à vous. Suivez la même procédure en enclenchant les touches vertes et violettes, puis rouges et violettes. Observez les créatures rentrer par l'ouverture puis imitez-les en vous y engouffrant à votre tour. Gagnez pour finir l'étage nourriture et parlez au Sélénite pour l'informer que ses instructions ont bien été suivies.
Charger le canon d'explosif
Partez pour l'étage "Aller, venir, Terre" et résolvez l'énigme mathématique du boîtier au bout du couloir, près des champignons explosifs (vous pouvez également utiliser une clé directement). La manipulation effectuée, un sas à gauche s'ouvrira. Pénétrez à l'intérieur de celui-ci et actionnez la première manette à gauche. La porte se fermera. Actionnez la seconde manette et vous accéderez à la chambre de combustion du canon spatial. Tournez votre clé dans la serrure, et placez un agrégat détonnant de Prülmuïs (Poudre cristalline de Prültuuk + spores ; voir "fabrications issues du purificateur").
Protéger le hublot arrière d'une plaque bien boulonnée
Rentrez dans l'obus et placez une plaque en bon état sur la fenêtre du hublot près des emplacements de rétrofusées.
{{uppage}}Disposez ensuite les boulons puis vissez à l'aide de la clé anglaise.
Trouver une substance capable de produire de l'oxygène
Pour subvenir à cette contrainte, il vous suffit de combiner les éléments suivants : concentré de Brozlÿss + lumen + fruit de Voracia. Vous obtenez alors une préparation oxygénante de Brozludjak. Reportez-vous au paragraphe "fabrications issues du purificateur" pour plus d'informations.
Se procurer de la potasse pour purifier l'air de l'obus
Le chlorate de potasse n'étant pas pris en compte, il vous faut vous procurer de la potasse pure. Pour cela rien de plus simple ; il vous suffit de mettre sur le feu n'importe quel élément de provenance végétale (roseaux, plantes, branche morte...). Vous récupérez de cette façon un stock de potasse suffisant pour le voyage du retour.
Procéder à la mise à feu des explosifs
Revenez à l'étage où se trouve à présent votre obus. Dans le premier sas, l'antichambre de la salle de propulsion, se trouve une manette affublée de l'idéogramme "feu". Placez l'aiguille tout à fait à droite en appuyant sur la gâchette de gauche, puis actionnez la touche centrale afin d'enclencher la mise à feu. Foncez ensuite dans la salle de propulsion, et refermez à l'aide de la manette sur le mur. Montez ensuite dans votre obus et refermez le hublot (en pointant votre curseur tout à gauche du hublot). Et voilà, c'est la fin d'une belle aventure ou qui sait ? Le commencement d'une nouvelle...