Au premier contact, Frostpunk déçoit quelque peu. En effet, le jeu semble manquer de contenu et la page d'accueil ne propose qu'un nombre restreint d'options. À côté des crédits et des réglages sur lesquels nous reviendrons ultérieurement, ne se trouve effectivement que la ligne « sélectionner un scénario ».
S'ils ont promis d'ajouter davantage de contenus par le suite, les développeurs ne proposent effectivement rien d'autre que trois scénarios aux objectifs assez proches. Pas de mode bac à sable pour débuter une partie et la faire durer autant qu'on le souhaite. Pas de non de modes originaux ou d'aspect multijoueur.
Notons au passage qu'au premier lancement, un seul de ces trois scénarios est accessible. Les deux autres se débloquent successivement dès lors que l'on atteint les 20 jours de jeu sur le premier, puis sur le second. En d'autres termes, le nouveau venu ne pourra débuter que sur « Nouveau départ », le scénario de base qu'il est toutefois possible de paramétrer (légèrement) afin de découvrir toute l'étendue de Frostpunk de manière moins brutale.
Cinq curseurs sur trois positions sont là pour jouer sur la difficulté générale du jeu.
- Difficulté modifie tous les autres curseurs d'un seul coup afin de rendre le jeu facile, moyen ou difficile.
- Besoins des citoyens réduit ou augmente leur risque de tomber malade et leurs besoins en nourriture.
- Économie permet de rendre les ressources plus ou moins nombreuses et leur collecte plus ou moins efficace.
- Météo vient modifier la température : froide en facile, frigorifique en difficile.
- Comportement de la communauté altère le moral des citoyens et leur attitude à votre égard.