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Test Ori and the Will of the Wisps : un portage Switch qui tient du miracle

Ori and the Will of the Wisps : Récit de notre poétique pérégrination

Ori and the Will of the Wisps : un portage Switch qui tient du miracle
94 451 vues
Profil de Jiikaa,  Jeuxvideo.com
Jiikaa - Journaliste jeuxvideo.com

Les portages Switch se suivent et ne se ressemblent pas toujours. Preuve en est l'arrivée d'Ori and The Will of the Wisps que l'on aurait pu redouter, tant le titre inital s'était montré techniquement capricieux sur PC et, surtout, sur Xbox One. Mais les équipes de Moon Studios se sont retroussées les manches et nous propose une adaptation bluffante de fluidité.

Mise à jour du test initial

Le corps de ce test reprend ce qui a été déjà dit à propos des versions PC et Xbox One. Nous ajoutons un encart dédié à la qualité du portage sur Switch.

Acheter Ori and the will of the wisps sur Switch chez Micromania

Version Switch : 60 FPS presque tout le temps, oui madame [[video:2799386]]

Le parti était risqué, la tâche ardue, et pourtant : après des mois de travail, Moon Studios nous livre un portage extrêmement propre et convaincant d’Ori and the Will of the Wisps sur Nintendo Switch. Bien plus beau et détaillé que le premier épisode, cette seconde aventure d’Ori est aussi plus exigeante en ressources, à tel point que, lors de sortie initiale sur Xbox One et PC, le titre avait du mal à maintenir ses 60 images par seconde (un constat alarmant qui a été amélioré à coups de mises à jour). Nous étions donc d’autant plus sceptiques sur la viabilité d’un portage sur une console infiniment moins puissante. Coupons court à tout suspense : la plupart du temps, Ori and the Will of the Wisps tourne à 60 FPS sur la console de Nintendo, ne s’accordant que quelques légères chutes, loin d’être gênantes, lors de passages très chargés en détails. Durant notre test, nous avons également rencontré un freeze d’une bonne seconde, sans raison particulière, mais qui n’a pas fait planter le jeu. Notons également un temps de chargement au démarrage particulièrement long (près d’1mn10), mais c’est le seul que vous subirez.

Ori and the Will of the Wisps : un portage Switch qui tient du miracleOri and the Will of the Wisps : un portage Switch qui tient du miracleOri and the Will of the Wisps : un portage Switch qui tient du miracle

Pour le reste, l’expérience est fluide et particulièrement agréable, que ce soit en mode portable ou en mode docké. Par quel miracle le studio est-il parvenu à proposer une fluidité quasi équivalente aux versions PC et Xbox One ? Essentiellement en jouant sur le niveau de détails des zones les plus chargées et en adaptant constamment la définition, sans que cela soit désagréable à l’oeil, grâce à des techniques d'upscaling. Sur une TV, Ori and the Will of Wisps tourne en 960p, et tombe en 720p en mode portable. Mais il y a de nombreuses subtilités, comme le fait que les décors situés directement autour d’Ori - et donc davantage observés par le joueur - sont rendus avec tous les détails, quand les décors plus éloignés sont calculés dans une résolution moindre. À l’écran, on constate bien entendu une perte visuelle par rapport au jeu initial, mais le rendu reste extrêmement propre, surtout en mode portable.

Ori and the Will of the Wisps : un portage Switch qui tient du miracle

Côté prise en main, les Joy-Con “font le job” sans toutefois offrir la précision et le confort d’une manette Xbox One. Les sauts, notamment, peuvent manquer un peu de précision, mais l’on finit par s’y faire. Bien entendu, avec un pad pro, ces légers griefs disparaissent. Bref, un excellent portage, tout simplement.

Un test sous les bugs, mais un patch est disponible

Chères lectrices et chers lecteurs de Jeuxvideo.com, Ori and the Will of the Wisps est un jeu d’exception qui nous a procuré beaucoup de plaisir. Néanmoins, nous avons testé une version Xbox One X corrompue par une armée de bugs plus ou moins bloquants. En plus de nombreux soucis visuels (disparition des personnages ou des décors, etc.) nous avons fait face à des chutes de framerate, des plantages, des temps de chargement interminables (littéralement) et des bugs de sauvegarde de la pire espèce (puisqu’ils empêchaient de sauvegarder notre progression). De nombreux redémarrages nous ont tout de même permis d’arriver à la fin de l’aventure. Contactées par nos soins, les équipes de Microsoft France ont promis l’arrivée d’un patch correctif… qui est finalement arrivé juste avant le bouclage de notre test. Nous avons donc relancé une partie, et nous n’avons remarqué aucun problème de checkpoint. Plusieurs soucis visuels sont également résolus. Nous notons néanmoins la présence de quelques ralentissements ainsi que celle de divers petits bugs (un sanctuaire qui ne se valide pas, quelques murs/objets invisibles, une cellule d’énergie impossible à ramasser, entre autres). Notre test prend en considération l’arrivée de ce patch.

Une volonté de fer

Ori and the Will of the Wisps : un portage Switch qui tient du miracle

Heureux héros ayant survécu aux événements de l’Arbre Ginso, des Ruines Éplorées et du Mont Horu, Ori reprend ses esprits, trempé, sur les terres menaçantes de Niwen. Sans aucun pouvoir. Il ne peut que se remémorer les derniers instants qui l’ont conduit si loin du cocon familial, à savoir un vol qui a viré au drame sur le dos de Kun, la plus chouette de ses amies. Sans trop dévoiler l’histoire, la quête principale de Will of the Wisps rappelle grandement celle de Blind Forest. Sauf qu’ici, les éléments naturels à retrouver sont remplacés par des feux follets disséminés aux quatre coins de la carte. Ne prenez pas les promesses du premier acte pour argent comptant : s’il est effectivement possible de jouer Kun, la séquence ne dure que quelques minutes et fait figure d’exception. Oui, malgré la présence du duo sur la jaquette, c’est bel et bien Ori l’unique héros de cet épisode.

Gameplay : Quand c'est flou, c'est qu'il y a un loup

Trop beau pour être lisible ?

Comme à l’accoutumée, l’aspect chargé des décors et des animations empêchent de temps à autre une compréhension rapide de ce qui est létal ou non, mais la hitbox plus permissive retire quelques grammes de frustration.

Comme nous l’expliquions dans notre aperçu, cette suite revoit en profondeur les bases de la jeune série en apportant de multiples évolutions à l’esprit sylvestre. S’il est toujours nécessaire de manier son personnage avec précision pour mieux se mouvoir dans des univers aux multiples dangers (et passages dissimulés), les changements sont légion. Ori dispose tout d’abord de différentes armes et compétences spéciales qui peuvent être paramétrées sur les boutons principaux de la manette (excepté “A”, touche dédiée aux sauts). Il est ainsi possible de s’équiper d’une épée sur “X”, d’un arc sur “Y” et d’une sentinelle sur “B” afin d’envoyer les nombreux monstres six pieds sous terre. Un adversaire peut être commencé avec un marteau puis terminé par une flèche plantée entre les orbites, le tout en un clin d’œil.

Les affrontements gagnent en dynamisme mais aussi en profondeur, certaines créatures étant plus sensibles que d’autres à des coups particuliers. Les pouvoirs passifs (appelés fragments spirituels) apportent eux aussi un petit plus aux mécaniques, qu’ils soient purement offensifs (et liés à une arme) ou défensifs. Ils sont à placer dans des slots dont le nombre augmente en réussissant les épreuves de force accessibles via des ruines dédiées. Ces installations déclenchent l’arrivée de vagues de plus en plus puissantes d’adversaires que le joueur doit repousser pour espérer l’emporter. Des épreuves de course ont également été ajoutées, permettant au speedrunner en herbe de participer à des sprints sur des zones délimitées face aux fantômes de la communauté. En battant le temps de base, le joueur gagne des crédits à dépenser aussi bien dans des cartes que dans diverses améliorations.

Ori and the Will of the Wisps : un portage Switch qui tient du miracleOri and the Will of the Wisps : un portage Switch qui tient du miracleOri and the Will of the Wisps : un portage Switch qui tient du miracle

Plutôt deux fois Kun

Ori and the Will of the Wisps : un portage Switch qui tient du miracle

Une des plus grandes forces de Will of the Wisps vient du rééquilibrage général de ses mécaniques de jeu. Plus que jamais, Ori fait la part belle aux mouvements. Sur terre, dans les airs, sous le sable ou dans l’eau, l’animal étincelant bondit, s’accroche, esquive, charge, plane et virevolte de fort belle manière. Pad en main, le joueur doit apprendre à gérer convenablement les gachettes (“LB”, “RB”, “RT”), utilisées pour effectuer la plupart des actions liées à la mobilité du personnage. L’épopée gagne surtout en diversité. Avec ses grands niveaux aquatiques à l’intérieur desquels il est possible de battre des records de vitesse, ses mondes de sable où il est encouragé de se faufiler telle une taupe en furie sous les terres arides, ou encore ses univers montagneux où la plume de Kuro se révèle indispensable, Moon Studios renouvelle méthodiquement les façons d’appréhender les éléments de son jeu au cours du périple. Dans les nouveautés intéressantes, nous citons l’éclat de lumière, sorte de grenade sur laquelle il est possible de prendre appui afin d’atteindre des hauteurs insoupçonnées, ou encore le grappin, qui aimante Ori sur les éléments bleus prévus à cet effet.

Ori and the Will of the Wisps : un portage Switch qui tient du miracleOri and the Will of the Wisps : un portage Switch qui tient du miracleOri and the Will of the Wisps : un portage Switch qui tient du miracle
Des pouvoirs multiples

Au total, Ori peut s’équiper d’une douzaine de pouvoirs/armes grâce aux boutons “X”, “Y” et “B” du pad. Nous comptons la lame spirituelle, l’arc, la lance, l’étoile spectrale mais aussi et surtout la très utile projection.

Cette carte plus généreuse, trois fois plus grande que celle du premier volet selon Moon Studios, n’aboutit pas à un jeu beaucoup plus long que la Definitive Edition de Blind Forest. Il faut en effet une douzaine d’heures pour assister au dénouement de l’histoire (en accomplissant la plupart des quêtes annexes). Cela s’explique par un challenge moins pimenté par rapport au titre originel (en difficulté "normale"), la faute – ou grâce selon le point de vue – à des checkpoints automatiques réguliers qui rendent la main quelques mètres avant le trépas. Il n’est donc plus possible de sauvegarder manuellement via le Puits aux Esprits, l’aptitude étant remplacée par une régénération redonnant trois points de vie en échange d’un seul et unique orbe d’énergie. C’est peu cher payé pour éviter le game over. Le fait qu’il soit aisé de se soigner et que les cristaux soient abondants facilite drastiquement l’avancée. Même les boss, qui font une apparition tonitruante dans cet épisode, s’affrontent dans un joyeux capharnaüm où la précision est moins importante que la quête aux orbes d’énergie, à même de faire regagner quelques points de vie. Le fait de pouvoir changer d'aptitude à la volée, en maintenant “LT”, rend Ori largement plus létal qu’auparavant. Il est à noter que la hitbox mieux gérée rend la progression bien plus agréable.

Ori and the Will of the Wisps : un portage Switch qui tient du miracleOri and the Will of the Wisps : un portage Switch qui tient du miracleOri and the Will of the Wisps : un portage Switch qui tient du miracle

Les maçons du cœur

Ori and the Will of the Wisps : un portage Switch qui tient du miracle

À l’instar du premier épisode et de nombreux Metroidvania, il n’est pas toujours évident de savoir où aller afin d’accomplir un objectif dissimulé dans le brouillard de guerre. Ori and the Will of the Wisps ne s’amuse cependant pas à perdre le joueur inutilement comme d’autres l’ont fait avant lui. Les deux seuls donjons plus compliqués que la moyenne demeurent clairs dans leur construction. Bien sûr, les allers-retours sont bien de la partie pendant la totalité de la progression, mais le fait de pouvoir se téléporter à n’importe quel moment de l’aventure vers un point de sauvegarde rend la recherche moins fastidieuse. En outre, plus Ori gagne de pouvoirs, plus ce dernier dispose de moyens de survoler les niveaux sans avoir à se confronter aux épreuves qui les animent. Si vous êtes perdu, il vous reste deux solutions : parler aux Mokis rencontrés sur votre chemin et regarder attentivement la carte pour retrouver les endroits plongés dans les ténèbres. Contrairement au premier épisode où il fallait en récupérer des fragments, les cartes s’achètent désormais auprès d’un marchand ambulant en échange de quelques pièces.

Ori and the Will of the Wisps : un portage Switch qui tient du miracleOri and the Will of the Wisps : un portage Switch qui tient du miracleOri and the Will of the Wisps : un portage Switch qui tient du miracle
L’utilité des fragments spirituels

Les apports de ces pouvoirs passifs sont nombreux. En équipant les bons fragments, il est possible de transformer Ori en une machine à tuer spécialiste de l’arc, ou en moissonneur d’orbes. De notre côté, nous avons veillé à ne jamais retirer le fragment augmentant les dégâts contre les ennemis volants. Nous détestons les moustiques !

Toute une colonie de marchands et d’animaux rigolos peuplent les contrées de Niwen, des sous-sols de Fongesylve aux hauteurs de Baur. Ce petit monde haut en couleur est à retrouver dans le village des Clairières de la Source, que le joueur est amené à reconstruire grâce à des roches et à quelques graines extraites lors de son aventure. De fil en aiguille, ou plutôt de pierre en bourgeon, des voies auparavant impraticables deviennent accessibles. Comme nous le redoutions, les quêtes annexes ne sont pas des plus mémorables. Elles demandent, pour la plupart, de trouver des objets à ramener à d’autres créatures de l’univers. Nous avons connu plus inspiré. En ce qui concerne l’évolution du personnage principal, Ori bénéficie d’une nouvelle manière de gagner des compétences. Auparavant, les orbes d’expérience récoltés chargeaient une jauge qui délivrait des points à dépenser dans les Puits aux Esprits contre des améliorations. Désormais, les petites sphères lumineuses comptent comme de la monnaie à échanger contre des pouvoirs et des upgrades auprès des PNJ (tels que Twillen ou Opher). Il y a décidément un vrai feeling Hollow Knight dans ce Will of the Wisps, ce qui est loin d’être déplaisant.

Gameplay : De la plate-forme en veux-tu ? En voilà !

Beau à en pleurer

Ori and the Will of the Wisps : un portage Switch qui tient du miracle

Bien que depuis la sortie de Blind Forest d’autres jeux aient utilisé une patte graphique similaire (salut Unruly Heroes ), Ori and the Will of the Wisps prouve qu’il est le maître incontesté de sa catégorie. Chaque zone ressemble à un artwork jouable baignant dans des éclairages voluptueux d’une beauté mirifique. Les effets spéciaux sont superbes en plus d’être nombreux, et les animations sont détaillées. Il suffit de s’arrêter quelques secondes durant un affrontement contre un boss pour mieux comprendre le travail d’orfèvre accompli par les artistes de Moon Studios. Le flou cinétique, peut-être légèrement trop présent dans la configuration de base, est désactivable dans les options. Et que dire des musiques ? Elles sont une nouvelle fois superbes, en plus d’être en total accord avec les ambiances multiples des différents territoires. Les partitions signées Gareth Coker sont un régal pour les oreilles et appuient des séquences chargées aussi bien d’émotions que de poésie. Aurait-il pu en être autrement pour un jeu de la gamme Ori ? La griffe Moon Studios se retrouve aussi dans les grosses ficelles déjà utilisées dans le premier épisode, à l’image des cutscenes racontées via des ellipses, ou encore de la séquence de fuite face à des trombes d’eau (rappelant l’Arbre de Ginso). Mais tout est tellement bien orchestré que l’épopée devient un enchantement de tous les instants.

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Points forts

  • Un portage de grande qualité
  • 60 FPS presque tout le temps
  • Une direction artistique qui fait un sans-faute
  • Une aventure très rythmée aux défis sans cesse renouvelés
  • Des combats beaucoup plus dynamiques et intéressants
  • Les nouveaux mouvements, bienvenus
  • Des boss impressionnants

Points faibles

  • Maniabilité un peu moins précise aux joy-con
  • Les quêtes secondaires virent au remplissage
  • Un déroulement finalement assez convenu

Moon Studios mérite un énorme "GG" pour ce portage d'Ori and the Will of the Wisps sur Switch, tant le travail d'optimisation est admirable. En utilisant habilement la résolution dynamique et l'upscaling, le studio parvient à proposer un jeu qui tourne presque constamment à 60 FPS tout en restant très beau, surtout en mode portable. Le plaisir de jeu est donc intact et l'on peut désormais profiter, où que l'on soit, de l'un des meilleurs Metroidvania de ces dernières années.

Note de la rédaction

18
17

L'avis des lecteurs (26)

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