Vous avez probablement tous eu vent de la dernière histoire choc incriminant un jeu vidéo ? Celle du meurtre soit-disant commis pas un ado sous l'emprise maléfique de ce jeu de Satan qu'est Manhunt. Passons sur le débat qui consiste à rappeller que pour être influencé par un jeu ou un film, il faut déjà présenter une certaine pathologie pour aller à l'essentiel : l'enquête avance et il apparaît que le jeu en question n'a pas été retrouvé dans la chambre du tueur mais dans celle de la victime. La police penche d'ailleurs pour considérer que le vol soit le véritable mobile. Oui forcément ça relativise un peu les choses, d'autant que la presse ne s'est pas privée de sauter sur ce nouveau cas démontrant à quel point les jeux vidéos sont d'horribles perversions de l'esprit, alimentant le moulin de leurs plus vifs détracteurs. C'est dommage, Sept à Huit avait déjà commencé à monter un sujet là-dessus...