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News JVTech Dès qu'il fait chaud, ma Tesla m'énerve
Profil de Xavier Jehl aka « Cthulhus » ,  Jeuxvideo.com
Passionné par tout ce qui touche à la tech. J'adore découvrir et partager les pépites que je trouve. J'aime plonger au cœur des choses, comprendre comment elles fonctionnent et en extraire le meilleur. Avec une véritable culture geek, je prends plaisir à explorer chaque innovation technologique.

L'été est arrivé en force cette année, malgré un début un peu timide. Hélas, lorsqu’il fait chaud, ma Tesla m’énerve et je vais vous dire pourquoi.

Dès qu'il fait chaud, ma Tesla m'énerve

La vague de chaleur qui touche l'Europe de l'Est atteint maintenant une partie de la France, et c'est justement le jour où j'ai décidé de traverser de plein fouet cet épisode de chaleur extrême. J'avais hâte de partir enfin en vacances avec ma famille et un ami, mais je redoutais ce long trajet en pleine canicule. Je possède une Tesla Model 3, réputée pour être protégée contre ce type de météo. Après tout, Tesla est originaire de Californie, un état également sujet à des périodes de fortes chaleurs. Mais comment allait se comporter ma voiture malgré toutes les protections dont elle dispose ? Je vous raconte ce périple de plus de 850 km sous une forte chaleur.

Au départ ! D'après l'odinateur, le trajet devrait durer 11 heures et 30 minutes.

Dès qu'il fait chaud, ma Tesla m'énerve

Sommaire

  • 850 Km en Tesla Model 3 2024 sous la canicule
  • Première galère au Superchargeur Tesla
  • Leçon apprise sur la recharge en période de canicule
  • Climatisation et perte d'autonomie
  • Les limitations de la recharge en plein soleil
  • L'écran tactile : une interaction brûlante
  • Les voitures électriques plus résilientes pendant les canicules ?
  • Problèmes de planification de la recharge
  • 13 heures pour faire 854 km… Un trajet riche en enseignements

850 Km en Tesla Model 3 2024 sous la canicule

Durant notre road trip, nous avons parcouru plus de 850 km en plein pic de chaleur. Si globalement le trajet s'est bien déroulé, les fortes chaleurs ont néanmoins contribué à dégrader fortement notre expérience utilisateur. Il est important de noter que, quel que soit votre véhicule, des épisodes climatiques extrêmes affectent fortement le confort. Que vous ayez une voiture thermique ou une Tesla Model 3, cela ne changera pas grand-chose. Mais alors, comment se comporte une Tesla durant un épisode caniculaire ? Quels sont les points qui risquent de compromettre notre voyage ?

Il est 11 heures et il fait déjà une chaleur insoutenable à Saint-Flour.

Dès qu'il fait chaud, ma Tesla m'énerve

Première galère au Superchargeur Tesla

Notre périple commence à Sarlat-la-Canéda, charmante petite ville du Périgord noir. Notre destination : Valdeblore, une commune pittoresque située dans les Alpes-Maritimes, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur, avec un détour pour récupérer un ami à Saint-Flour dans le Cantal. Un programme ambitieux pour un trajet aller de 850 km, ponctué de trois pauses recharge prévues par l'ordinateur de bord. Malgré notre départ tôt le matin, nous nous retrouvons au second Superchargeur avec une température extérieure frôlant déjà les 35°. Pas étonnant, il est déjà 15H00 passé et cet arrêt est plus que nécessaire car il nous reste 14% de batterie. Comme à son habitude, la connexion avec ce chargeur Tesla d'Aix-en-Provence se passe sans problème. Nous partons ensuite manger un morceau, faire une pause sanitaire et prendre une boisson fraîche. Le site est relativement peu occupé. Et il n'y a personne à côté de moi.

Dès qu'il fait chaud, ma Tesla m'énerve

Cependant, après quelques minutes, je consulte l’application Tesla et constate que la charge n’a guère progressé. J’ai à peine pris 20% en 15 minutes, ce qui est loin d'être normal. La puissance de charge plafonne à 73 kW. La borne est-elle en panne ? Je déplace la voiture sur un autre emplacement, mais le constat est identique : la recharge est anormalement lente.

Dès qu'il fait chaud, ma Tesla m'énerve

Je décide alors de demander à un autre utilisateur qui rencontre le même souci. Il m’explique que nous sommes connectés à des chargeurs V2, qui supportent mal les fortes chaleurs. En plus de partager la puissance de charge avec le véhicule voisin, la chaleur affecte significativement la performance de ces chargeurs. Heureusement, ce Superchargeur dispose aussi de bornes plus récentes, dites V3, censées résoudre ce problème. Mais elles sont toutes occupées.

Je patiente donc sous un soleil de plomb, sous le regard médusé de mon ami. J’imagine déjà ses remarques : "Les voitures électriques, ce n’est pas au point !" Quelques minutes plus tard, je me branche enfin sur un chargeur V3, et la charge démarre à une vitesse respectable, bien que pas optimale est-ce à cause de la chaleur ? Je parviens tout de même à dépasser les 150 kW.

Dès qu'il fait chaud, ma Tesla m'énerve

L’expérience de cette charge m’a permis de comprendre plusieurs facteurs importants. Tout d'abord, il faut éviter les chargeurs plus anciens comme les V2. Bien que ces derniers soient progressivement remplacés par des modèles plus récents comme les V3/V4, il est crucial de se diriger vers les bornes les plus modernes disponibles.

Leçon apprise sur la recharge en période de canicule

Dès qu'il fait chaud, ma Tesla m'énerve

Par ces températures extrêmes, l'intérieur de ma Tesla devient rapidement une véritable fournaise. La température peut facilement atteindre et même dépasser les 60 degrés, rendant l'habitacle presque invivable sans une bonne dose de climatisation. Bien que la Tesla offre une fonctionnalité de refroidissement rapide à distance et automatique, celle-ci consomme une part de la batterie.

Sans la protection de l'habitacle, la chaleur peut vite monter

Dès qu'il fait chaud, ma Tesla m'énerve

La Tesla possède un mode de protection de l’habitacle qui enclenche la climatisation dès une certaine température. C’est une option facultative bien pratique durant ces période estivale mais qui a un impact sur l’autonomie. J’ai constaté que son utilisation intensive peut allonger les temps de charge, car pendant que la voiture est connectée au Superchargeur, c’est l'alimentation de la borne qui fournit l’énergie nécessaire à la climatisation, réduisant ainsi la puissance de charge de la voiture.

Il faut savoir qu'une chaleur extrême dans l'habitacle d'une voiture n'est jamais bonne, et cette option est donc particulièrement utile et agréable, malgré une perte d'efficacité durant la recharge. C'est une concession que tout le monde est prêt à faire volontiers.

Dès qu'il fait chaud, ma Tesla m'énerve

Nous sommes repartis avec 80 % de batterie, agacés d'avoir perdu du temps et de ne pas avoir pu faire une vraie pause. Cette expérience m'aura servi de leçon pour mieux gérer les recharges futures, surtout en période de forte chaleur. À l’avenir : évitez les anciens chargeurs !

Après 40 minutes, nous reprenons notre périple, avec la remarque attendue de mon ami : "Moi, avec ma thermique, j’aurais fait le plein en 2 minutes !" Mais j’ai pu lui clouer le bec quelques heures plus tard, et nous y reviendrons…

Climatisation et perte d'autonomie

Nous repartons donc pour notre périple mais avec une charge de 79%. Le temps de quitter le Superchargeur nous a fait déjà perdre 1%. Car oui, même si cela est évident, voyager à quatre avec des bagages en période de canicule présente plusieurs défis pour ma Model 3, notamment en ce qui concerne la consommation énergétique. Tout d'abord, pour maintenir un habitacle confortable sous une chaleur accablante, tous les éléments de refroidissement doivent fonctionner à pleine puissance : la climatisation, les sièges ventilés à l'avant, ainsi que la climatisation pour les passagers arrière. Cela sollicite fortement la batterie et réduit l'autonomie de la voiture.

Même si la Tesla n’est pas spécialement énergivore grâce notamment à la pompe à chaleur installée à l’avant du véhicule, il est difficile de maintenir une consommation réduite dans des conditions extrêmes, surtout sur autoroute. La batterie de la Tesla Model 3, qui utilise la technologie LFP (lithium fer phosphate), fonctionne de manière optimale dans une plage de température spécifique, généralement entre 20°C et 30°C. En dehors de ces températures, les performances de la batterie peuvent être compromises. Les batteries LFP sont particulièrement sensibles à la chaleur, ce qui peut entraîner une dégradation de leurs capacités de charge et de décharge. Par conséquent, la batterie ne peut pas fonctionner à son plein potentiel, ce qui se traduit par une baisse de l'autonomie.

Dès qu'il fait chaud, ma Tesla m'énerve

J'ai également remarqué une baisse de puissance de la voiture lorsque la batterie est fortement sollicitée en dehors de sa plage de température optimale. La chaleur excessive provoque une augmentation de la résistance interne de la batterie, ce qui limite la quantité d'énergie disponible pour alimenter le moteur. Cela se traduit par une diminution de l'accélération et une performance globale réduite.

Il aurait sans doute été plus judicieux de rouler à 110 km/h pour optimiser la consommation, mais j’ai tout de même opté pour un rythme normal à 130 km/h. Rappelez-vous, j’ai un anti-électrique dans la voiture et hors de question de lui donner du grain à moudre. D'autres facteurs peuvent également affecter l'autonomie de la Tesla Model 3 en période de forte chaleur. Le poids supplémentaire des passagers et des bagages augmente la charge sur le moteur, ce qui nécessite plus d'énergie pour maintenir une vitesse constante. De plus, l'air chaud ne permet pas un refroidissement efficace.

Les limitations de la recharge en plein soleil

Notre périple continue en direction de Nice. Le prochain arrêt s'est bien mieux déroulé que le précédent, car nous avons soigneusement choisi exclusivement des chargeurs V3 ou V4, mais ils étaient tous en plein soleil. Mais malgré mes précautions, je constate que je n'arrive pas à atteindre les performances optimales en termes de puissance de recharge. Ma voiture peut fournir une puissance maximale de 170 kW, mais je plafonne autour des 130/140 kW malgré le fait que je suis dans les 10/15% de batterie et je tombe rapidement sous la barre des 100 kW. Sans doute à cause de la chaleur excessive qui affecte la température de ma batterie.

Dès qu'il fait chaud, ma Tesla m'énerve

La question qui me vient en tête : pourquoi ces Superchargeurs, situés dans des secteurs fortement ensoleillés, ne disposent-ils pas d’ombrières ? Cela permettrait de recharger dans des conditions plus clémentes, protégeant les véhicules du soleil qui tape particulièrement fort en cette fin de journée. Une telle infrastructure pourrait améliorer l'efficacité des recharges et offrir un confort supplémentaire aux utilisateurs.

L'écran tactile : une interaction brûlante

La canicule rend également l'utilisation de l'écran tactile de ma Tesla particulièrement difficile. L'écran, bien qu'ultra-moderne et réactif, devient presque impossible à toucher après avoir été exposé au soleil. À chaque fois que je dois ajuster la navigation ou la climatisation, ou même jouer à un jeu via l'écran durant une pause, je me brûle légèrement les doigts. Ce problème mineur peut sembler anodin, mais il devient rapidement irritant, surtout lorsque l'on doit fréquemment interagir avec le système pour ajuster les paramètres de conduite ou de confort.

Dès qu'il fait chaud, ma Tesla m'énerve

Le confort intérieur, en théorie optimal grâce à la climatisation intelligente de Tesla, est compromis par la surchauffe de l'écran tactile. Imaginez devoir modifier la température de l'habitacle ou changer votre itinéraire alors que l'écran est brûlant au toucher. La situation devient d'autant plus frustrante lorsque vous êtes déjà agacé par la chaleur ambiante. En conduisant pendant plusieurs heures, les interactions avec l'écran deviennent inévitables et chaque tentative de manipulation se transforme en une petite épreuve.

Pour atténuer ce problème, j'ai essayé de couvrir l'écran avec un tissu pendant les pauses, espérant réduire l'exposition directe au soleil. Cela a quelque peu aidé, mais n'a pas complètement résolu le problème. La climatisation rapide à distance, bien qu'efficace pour refroidir l'intérieur du véhicule avant de monter à bord, n'arrive pas à compenser entièrement l'impact direct du soleil sur l'écran tactile. La prochaine fois, j’achèterai un pare-soleil.

Les voitures électriques plus résilientes pendant les canicules ?

Durant notre trajet sur l'autoroute alors que la température montait encore, nous avons été témoins d'un phénomène assez surprenant : de nombreux véhicules thermiques en panne le long de la route. Nous en avons dénombré plus de cinq, éparpillés sur plusieurs kilomètres. Il était évident que ces véhicules rencontraient des problèmes, mais sans pouvoir en déterminer les raisons exactes, nous avons seulement constaté les symptômes visibles.

Chaque véhicule avait son capot ouvert, signe typique d'une surchauffe ou d'un autre problème mécanique. Certains de ces véhicules étaient entourés de leurs propriétaires, désespérément penchés sur le moteur ou au téléphone, probablement appelant une assistance. Les scènes se répétaient, une après l'autre, ajoutant une certaine gravité à notre observation. Plus nous avancions, plus il devenait clair que la chaleur intense de cette journée était impitoyable, affectant non seulement notre Tesla, mais également ces véhicules thermiques.

Dès qu'il fait chaud, ma Tesla m'énerve

Certains véhicules étaient en train d’être chargés sur des camions plateaux, prêts à être emmenés vers le garage le plus proche. La vue de ces voitures en difficulté a été un rappel frappant des défis inhérents à la conduite en période de canicule. Je n'ai pas pu m'empêcher de saisir cette opportunité pour faire remarquer la situation à mon ami, avec une pointe de sarcasme : "Tiens, encore une thermique en panne, ce n'est pas fiable disais-je." Mon ami, habituellement prompt à défendre les véhicules thermiques, ne trouva rien à répondre. Il se contenta de hausser les épaules, reconnaissant peut-être silencieusement la validité de mon observation.

En continuant notre route, la discussion sur la fiabilité des voitures électriques par rapport aux thermiques se poursuivit. Nous avons débattu des avantages et des inconvénients de chaque technologie. La chaleur intense de cette journée mettait à rude épreuve toutes les voitures, qu'elles soient électriques ou thermiques. Mais cette expérience illustrait parfaitement les avantages de la technologie électrique, notamment en termes de gestion de la chaleur et de durabilité.

Dès qu'il fait chaud, ma Tesla m'énerve

Problèmes de planification de la recharge

Cependant, ma Tesla a révélé un autre problème. Au départ de Sarlat, le planificateur de la voiture, pourtant réputé extrêmement précis, s’est montré beaucoup trop optimiste pour ce trajet aller de 850 km. Il prévoyait au départ deux arrêts, dont le plus long était de 40 minutes, et nous avions prévu de nous restaurer durant cet arrêt. Mais force est de constater que son estimation s'est avérée largement erronée et nous avons dû faire un arrêt supplémentaire à Nice. N'ayant pas de possibilité de charger sur place, nous avons décidé de faire ce dernier arrêt un peu plus long afin de pouvoir nous déplacer sans problème une fois arrivés.

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13 heures pour faire 854 km… Un trajet riche en enseignements

Nous arrivons enfin à notre destination haut dans la montagne et le début de soirée est plus qu’appréciable après un long périple assez agaçant par moments. Agacé dans un premier temps par une préparation en amont pas assez réfléchie, je regrette de ne pas avoir acheté des pare-soleil pour limiter l’impact du soleil à travers le toit vitré, qui a tendance à créer un effet loupe en augmentant la température à la surface. Et de ne pas avoir pris de protection pour l’écran. Je regrette aussi de ne pas être parti plus tôt ou de ne pas avoir fait une halte à l’hôtel en chemin. 13 heures, c’est beaucoup. Cependant, ce long périple m’aidera à mieux préparer les prochaines haltes, en évitant par exemple d’utiliser autant que possible les chargeurs de vieille génération ou en cherchant des chargeurs (peut-être non Tesla ?) équipés d’ombrières. À noter que la dernière ligne droite, c'est-à-dire la montée dans les cols, demande plus de temps à cause de la vitesse limitée par les virages et le trafic. Cette même distance sur des routes en plaine aurait évidemment demandé moins de temps. Prochain périple : un aller-retour Paris-Pyrénées en plein mois d'août. Je pourrai mieux m'y préparer.

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Commentaires
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juvamin juvamin
MP
Niveau 5
le 03 août à 20:29

Le mieux à l’heure actuelle (et en attendant l’hydrogene) est de choisir le meilleur des 2 mondes et de prendre une hybride comme la skoda superb ou autre qui atteint des niveaux de consommation d’essence record couplé à un moteur électrique qui va bientôt atteindre la centaine de kilomètres. Largement assez pour que monsieur tout le monde se rende à son boulot « électriquement » tout en gardant la sécurité d’un bon vieux réservoir d’essence. La voiture électrique ne PEUT PAS devenir la norme pour tout un tas de problème assez complexe avec des causes à effet que l’on peut déjà voir apparaitre et qu’on a peu de chance de voir évoluer (réseau électrique non adapté, marché chinois favorisé au niveau des batteries et métaux rares, pollution indirecte causé par l’extraction de ces derniers... Je travail pour une boite qui se veut 100% électrique et j’ai vu passé des dizaines de modèles électrique toute marque confondue ( tesla, européen, coréen …) et je peux vous assurer que c’est pas la gloire.
D’ailleurs, je voudrais voir la tête de ce gars tout content de sa tesla qui va aller au « garage » après 2 mois pour dire qu’il n’arrive plus à ouvrir sa boite à gants via sa tablette. Car oui l’ouverture de la boite à gants dans une tesla se fait via la tablette ! Quand j’ai su ça, me suis dit qu’on allait vraiment droit dans le mur ! le service après vente chez tesla est catastrophique et bien dans l’air du temps du tout connecté écolo bobo. NON MERCI !
De plus, je pose la question : quelle est le moins polluant entre garder son vieux diesel fumant pendant 15 ans ou acheter une électrique tous les 3 ans en se persuadant que ça rendra la terre plus verte....

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