Membre des weebs de la rédaction, Jinxeb doit ruser pour mettre la main sur les J-RPG, à part la saga Kingdom Hearts qu’on lui laisse avec le sourire… On peut compter sur lui pour les jeux d’action et les RPG. Même pour le cinéma, les séries et les animes, il est là, au grand bonheur de Silent_Jay !
D'ici quelques jours, nous pourrons déjà dire au revoir à l'année 2022. Durant les douze mois qui se sont écoulés, Netflix n'a eu de cesse de nous offrir des programmes inédits, que ce soit des films, des séries ou des animés, afin de mieux faire passer la pilule de certains départs. Que les abonnés du service de SVOD se rassurent, il n'y a pas que des films de Noël qui vont rejoindre le catalogue de Netflix : voici d'ailleurs une sélection des programmes à suivre durant les prochaines semaines !
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Berserk (1997)
En mai 2021, l’équipe du magazine de mangas japonais Young Animals annonçait, le cœur extrêmement lourd, le décès de Kentaro Miura, mangaka au coup de crayon reconnaissable entre mille à l’origine du seinen Berserk. Pendant plus de 30 ans, l’auteur aura couché sur le papier les aventures de Guts sans avoir la chance de nous offrir lui-même la conclusion de son œuvre : une énorme mission qui incombe désormais à son grand ami, Kōji Mori, ainsi qu’à ses assistants du studio Gaga. Étonnamment, et malgré son immense aura, le manga n’a connu que très peu d’adaptations : l’arc « L’âge d’or » a eu le droit à trois films (d’ailleurs disponibles sur Netflix) ainsi qu’à une série animée étalée sur deux saisons, entre 2016 et 2017 et débutant avec l’arc « L’ère des châtiments », qui a laissé les aficionados du manga sur leur faim. Et depuis, plus rien. Cependant, les fans ne jurent que par un seul format et il ne date pourtant pas d’hier. Car, oui, avant tout cela, Berserk a eu le droit à un anime de 25 épisodes en 1997, et il s’apprête à débarquer dans le catalogue du géant américain de la SVOD ! Après un premier épisode introductif qui nous permet de découvrir Guts et son emblématique Dragonslayer, les 24 épisodes restants nous replongent dans l’iconique arc « L’âge d’or » pour y retracer les premiers instants de Guts au sein de la Bande du Faucon, sa rencontre avec Casca et Griffith et les batailles épiques qui vont autant contribuer à la légende de cette troupe de mercenaire qu’à sa déchéance lors de l’apparition de l’Éclipse et de la Main de Dieu, l’un des événements les plus traumatisants vécus par Guts.
Au-delà de faire plaisir aux grands amateurs d’animes, Netflix devrait également ravir celles et ceux qui attendent impatiemment après des adaptations de jeux vidéo. En la matière, le géant américain de la SVOD a plus d’un tour dans son sac et, dernièrement, il nous a offert des séries de bonne facture ainsi que de très beaux cartons comme ce fut le cas avec Arcane, extrait de l’univers de League of Legends, et Cyberpunk : Edgerunners, influencé par Cyberpunk 2077, le dernier AAA du studio CD Projekt RED. Galvanisée par ces nombreux succès et ces jolies critiques, la plateforme de streaming ne va pas relâcher ses efforts et nous l’a bien fait comprendre à travers de récentes annonces, à l’image de l’arrivée d’une série d’animation dans l’univers de Dragon Age, l’une des célèbres franchises du studio BioWare à qui l’on doit, par exemple, la licence Mass Effect. Entre le space opera et l’heroic fantasy, Netflix a fait son choix et s’attaquera donc à l’histoire bouleversante de Miriam à travers les six épisodes de Dragon Age : Absolution. Sur le continent de Thédas, la ville de Tévinter est désormais entre les mains d’un gouvernement magique redoutable qui a pris la décision de tirer profit des elfes en les réduisant à l’esclavage. Pour Miriam, qui a longtemps souffert de cette condition, s’en est trop et elle décide de participer à une mission pour le moins périlleuse en compagnie de cinq autres mercenaires, trois combattants et deux magiciens, qui consiste à subtiliser un artefact très puissant, empli de magie de sang : le Circulum Infinitus. Mais, comme vous vous en doutez, cette mission aura encore plus de répercussions que celles d’un simple larcin.
Nouvelle date du calendrier Netflix et nouvelle adaptation de jeux vidéo, et pas n’importe laquelle puisqu’il s’agit de l’emblématique licence de SEGA, Sonic the Hedgehog. Depuis quelque temps, le hérisson bleu est sur tous les fronts avec un opus inédit sur PC et consoles de salon, baptisé Frontiers, un second volet de ses aventures sur écran géant avec Sonic 2, le film et une série animée où il est entouré de sa traditionnelle bande de copains pour une aventure unique… à travers le multivers ! Une fois de plus, c’est une trouvaille d’Eggman qui est à l’origine des péripéties de la mascotte de SEGA et de ses acolytes, et plus précisément sa découverte du Prisme du Paradoxe dont l’extraction, mais aussi le vilain choc avec Sonic lancé à pleine vitesse, va créer des réalités alternatives (des « Shatterspaces » ou « Paraspaces », comme dirait Tails). Séparé de ses amis, notre cher et véloce hérisson fera la découverte d’un univers futuriste parallèle où règne les entités robotiques et le Conseil, haute instance dans laquelle siège Eggman et quatre personnages qui ont l’air d’avoir un air de famille très prononcé avec le scientifique. Toutefois, ça ne sera pas le seul univers dans lequel Sonic va atterrir mais l’on ignore encore la manière dont il sera amené à voyager entre ces réalités alternatives. Une chose est sûre, il pourra compter sur ses alliés de toujours même s’il va devoir faire fort pour les convaincre : quelque soit l’univers visité, aucun d’eux ne se souvient de Sonic. Quoi qu’il en soit, c’est ensemble qu’ils réussiront à retrouver leur monde, et Shadow semble lui aussi prêt à filer un coup de main !
Du côté du show télévisé, les protagonistes d’Alice in Borderland voient leurs nerfs mis à rude épreuve. Pour les abonnés de la plateforme Netflix qui ont suivi la première saison, c’est plutôt leur patience qui est testée puisque cela fait plus de deux ans qu’ils attendent cette nouvelle salve d’épisodes. Toutefois, ça y est, les aventures d’Arisu Ryōhei vont pouvoir se poursuivre ! Il faut dire que pour le jeune homme, peu énergique, au chômage et immense fan de jeux vidéo, sa vie bascule du tout au tout lorsqu’il se retrouve pris au piège d’une version alternative de Tokyo en compagnie de ses deux meilleurs amis, Karube Daikichi et Chōta Segawa. Malheureusement pour eux, cette expérience étrange où ils ne croisent plus un chat dans les rues de la capitale japonaise va se transformer en une terrible épreuve morbide qui s’inspire du genre du « battle royale », un concept que l’on a déjà pu rencontrer dans tout un tas de jeux vidéo. À la manière de Squid Game, les évènements qui s’y déroulent sont loin d’être un jeu d’enfant, notamment parce que chacun des participants dispose d’un visa à durée limitée et que l’expiration de celui-ci est synonyme de mort assurée. La seule solution consiste donc à réaliser, à la nuit tombée, des défis mortels, dans des arènes qui apparaissent à différents endroits de la ville, afin d’étendre la durée du fameux visa. Chaque épreuve est ainsi déterminée par un système de cartes : le type de cartes détermine la thématique tandis que le nombre attribué à la carte fait référence à la difficulté du défi. Dans cette saison 2, la survie s’annonce d’autant plus ardue puisqu’Arisu et ses amis commencent à démêler les nœuds de cette intrigue glauque et à comprendre qu’une mystérieuse organisation semble en tirer les ficelles.
Regarder Alice in Borderland (saison 2) sur Netflix
Glass Onion : Une histoire à couteaux tirés
Après s’être invité dans le développement de la nouvelle trilogie Star Wars, quitte à mettre les fans de l’univers imaginé par Georges Lucas en rage en raison de certains parti-pris scénaristiques qui continuent de faire débat, Rian Johnson s’est essayé, avec brio, au genre du « whodunit / whodunnit ». Cette contraction, qui provient en réalité de la phrase « who (has) done it », est une référence au genre littéraire du roman d’énigme, dans lequel Agatha Christie excellait tout particulièrement. Point de Hercule Poirot ici, mais un Benoit Blanc, incarné par un Daniel Craig qui a troqué son permis de tuer contre une licence de détective privé. Après avoir mené l’enquête autour de la mort du romancier Harlan Thombey, injustement qualifiée de suicide, voilà que celui-ci s’attaque à un nouveau mystère entouré d’un casting de personnages inédits et incarnés par une flopée de stars triées sur le volet ! Dans cette suite, seconde partie d’une trilogie et baptisée Glass Onion, on quitte la demeure familiale des Thrombey pour mettre les voiles sur les côtés bleutées de la Grèce, et plus précisément sur l’île du milliardaire Miles Bron qui a décidé de réunir quelques-uns de ses amis le temps d’un séjour cocasse. Une fois en présence de tous ses convives, et de Benoit Blanc, l’homme richissime explique qu’il organise, en réalité, une murder party autour de son assassinat fictif et que chacun des invités doit tenter de trouver le coupable. Cependant, la réalité rattrape bien vite la fiction puisque le jeu est stoppé net à cause d’un crime qui risque d’être particulièrement difficile à résoudre, d’autant que chacune des personnalités présentes à un réel motif pour nuire à l’extravagant milliardaire.
Disponible le 23 décembre
Regarder Glass Onion : Une histoire à couteaux tirés sur Netflix
The Witcher : Blood Origin
Si l’on pensait qu’il n’y avait qu’un seul moyen pour Netflix d’adapter l’univers de The Witcher, nous nous trompions. Pour entretenir le succès de la franchise, le géant américain continue de développer son intrigue autour de Geralt de Riv (qui sera incarné par un nouvel acteur à compter de la saison 4), mais pas seulement. Le monde imaginé par l’écrivain Andrzej Sapkowski fourmille de mystères et Netflix a jugé intéressant, grâce à la mini-série Blood Origin (ou L’Héritage du sang, en français), de revenir en quelque sorte aux prémisses de cet univers, 1200 ans avant les évènements auxquels Geralt, Yennefer et Ciri sont confrontés. Le Loup Blanc n’est effectivement pas le premier être à subir le traitement que l’on réserve aux apprentis sorceleurs, mais alors d’où proviennent ces êtres à part, capables de décimer les créatures les plus féroces et de décupler leurs capacités à l’aide de puissantes décoctions ? C’est la question à laquelle la mini-série Blood Origin, teasée à la fin de la diffusion de la saison 2 de The Witcher, tentera de répondre au cours de ses quatre épisodes. À partir de cette intrigue, on en apprendra également un peu plus sur la Conjonction des Sphères (soit le nom que l’événement à l’origine de la réunion des hommes, des elfes et des monstres), notamment à travers le récit de plusieurs personnages dont Scian, Fjall et Éile que l’on a pu revoir à l’œuvre dans le tout dernier trailer. Aussi bien ensemble que chacun de leur côté, ces personnages encore jamais vus dans l’univers de The Witcher nous promettent des moments épiques et même sanglants : un cadeau rouge vif pour les fêtes de fin d’année !
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BumpOz33
MP
Niveau 13
le 04 déc. 2022 à 00:29
Heu non ça ira, je ne suis plus abonné à Netflix, ni Disney+, je n’ai plus que Prime Vidéo et c’est le top niveau prix/qualité/quantités il n’y a pas photo
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