Dès lors que le jeu vidéo fût, la triche s’est immiscée dans son univers et cela vaut pour toutes les disciplines du monde. Mais aujourd’hui, quels sont les titres qui génèrent le plus de triche en 2022 ? Un élément de réponse plutôt solide nous est donné en graphique.
Un podium peu glorieux
Si la triche existe depuis la nuit des temps, les codes de triche sont en revanche beaucoup plus acceptés dans l’univers du jeu vidéo : c’en est même un élément culte et la représentation de toute une époque. Toutefois, les tricheurs sur les jeux en ligne, voilà qui devient tout de suite plus barbant puisque tout simplement non voulus par les développeurs, qui voient leurs propres règles brisées et l’équilibre de leur expérience entière… biaisé.
Mais qu’importe, la société Surfshark (connu pour son système de VPN) a décidé de faire un classement des jeux où la triche est la plus populaire, et l’on parle là de titres solos comme multijoueurs. La firme s’est tout particulièrement appuyée sur les vidéos de triche les plus visionnées sur YouTube : bien que nombre de viewers ne soient pas forcément des cheaters, Surfshark estime tout de même qu’il s’agit d’un facteur primordial pour établir son top 10. Que voici, d'ailleurs :
- Minecraft
- Among Us
- 'Fortnite
- Roblox
- Les Sims 4
- PUBG
- Call of Duty : Warzone
- Pokémon Épée / Bouclier
- Mario Kart 8
- The Elder Scrolls V : Skyrim
Un tricheur sachant tricher
C’est ainsi Minecraft qui remporte la palme avec des statistiques deux fois plus importantes qu’Among Us, à la seconde place. Sur la troisième marche du podium se trouve Fortnite. Notons que certains jeux du classement - comme Minecraft justement, ou Les Sims 4 et Skyrim - proposent des codes de triche ou des mods qui interviennent sur l’expérience solo, ce qui change donc radicalement la donne puisque cela ne concerne personne d’autre que l’utilisateur.
En revanche, pour des jeux comme Call of Duty Warzone, PlayerUnknown's Battlegrounds et autres, leur présence dans ce top 10 est forcément beaucoup moins glorieuse : les communautés en pâtissent largement, poussant les développeurs à la sanction ou à développer leur propre système anti-cheat. Hélas, il y a fort à parier que la situation ne s’arrange pas de si tôt.