Enfin ! Quatre ans après l'annonce du développement de Starfield, Bethesda a dévoilé les première image de gameplay du titre, censé sortir dans les 12 prochains mois. Comme vous vous en doutez, les fans et les curieux scrutent chaque image diffusée afin d'en tirer des information supplémentaires et de mettre sur pied des théories.
Starfield : une ambition cosmique
Très attendu mais également un peu craint en ce qui concerne les finitions, Starfield promet beaucoup. Todd Howard, le game director, nous a parlé d'une centaine de systèmes, d'environ 1000 planètes explorables, d'une histoire conséquente permettant toutefois une grande liberté, de grandes villes, des stations, de la construction de bases et de vaisseaux, du combat au sol et spatial, le recrutement d'un équipage, du craft.
Bref, un bon gros RPG à la première personne à la Bethesda, mais dans l'espace. On ne sait évidemment pas si tous ces éléments fonctionneront et si le jeu sera bon, mais en attendant, les fans décortiquent chaque image des 15 minutes diffusées dimanche lors du Xbox & Bethesda Games Showcase dimanche soir.
Sur les traces de la conquêtes spatiale ?
Et après observation, une théorie plutôt intéressante qui concerne notre planète bleue. Tout commence à partir de la fin de la présentation, lorsque la question de la taille de l'univers a été abordées. On a d'abord vu une planète, puis un système, puis une partie de l'univers explorable. A ce moment-là les joueurs ont aperçu Alpha du Centaure, mais également SOL. Or, ce nom est celui du système solaire, dans lequel on trouve notre planète. De plus certains images de gameplay laissent entrevoir ce qui pourrait être le sol martien.
Le jeu se déroule en 2330, donc les choses auront changé, mais plusieurs membres de la communauté estiment qu'il est possible qu'on puisse visiter la Terre, la planète rouge, éventuellement la Lune et qu'on y croise des éléments envoyés par les agences spatiales terriennes, à la manière d'easter eggs. Une image, qui apparaît très brièvement, laisse même à penser qu'on croisera la route de Curiosity, le rover envoyé sur Mars en 2003, et dont la mission a pris fin en 2018 après une tempête.