Membre des weebs de la rédaction, Jinxeb doit ruser pour mettre la main sur les J-RPG, à part la saga Kingdom Hearts qu’on lui laisse avec le sourire… On peut compter sur lui pour les jeux d’action et les RPG. Même pour le cinéma, les séries et les animes, il est là, au grand bonheur de Silent_Jay !
Un nouveau mois est sur le point de commencer et Netflix a, encore une fois, de quoi nous gâter ! Toutefois, le géant américain de la SVOD ne nous assomme pas directement d’exclusivité, laissant le temps à ses abonnés de profiter des quelques épisodes de la saison 4 de Stranger Things qui leur restent à visionner. Voici une sélection de contenus qui vous feront patienter, par exemple, entre les différentes conférences estivales de la période de l’E3 qui débute le 9 juin.
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Peaky Blinders (saison 6)
Pour Netflix, les années à venir sont importantes : la plateforme travaille activement sur les programmes qui rejoignent et rejoindront le catalogue car, mine de rien, de plus en plus de séries ont bouclé leur conclusion (Ozark, La Casa de Papel, …) ou sont en train de le faire (Better Call Saul, Stranger Things, …), à l’image de Peaky Blinders qui entame sa dernière salve d’épisodes sur la plateforme d’ici quelques jours ! Thomas Shelby et sa bande de malfrats en ont bientôt fini avec les crimes et les services peu légaux, après huit longues années de règne dans les rues de Birmingham, le fief du groupe de gangsters britanniques vers la fin des années 1910. Toutefois, tout cela ne s’est pas fait sans sacrifice durant la trentaine d’épisodes que compte la série car les bandes rivales ont, elles aussi, voulu mettre la main sur leur part du gâteau, mais c’était sans savoir ce qu’est en mesure d’accomplir Tommy, vétéran de la Première Guerre Mondiale. S’il leur fallait, au préalable, resté sous les radars de la police et de leur chef, mais également de Churchill et ses officiers, le sentiment de menace laissera vite place à un échange de bons procédés entre le Premier Ministre et les Peaky Blinders. Pour celles et ceux qui ont résisté à la tentation de télécharger les épisodes de cette ultime saison (diffusée outre-Manche à la fin février), vous pouvez vous attendre à une amorce de conclusion ambitieuse (un long-métrage se chargera de clore définitivement l’histoire du gang de Tommy Shelby) et sous haute tension puisque le charismatique fondateur du groupe se donnera pour mission de retrouver celui qui l’a trahi, tout en voguant vers de nouvelles opportunités pour agrandir son empire.
Plus tôt ce mois-ci, Netflix a présenté son nouveau projet autour de l’emblématique licence de jeux vidéo de Capcom, Resident Evil. Tandis que la franchise se porte à merveille sur PC et consoles, on ne peut pas dire que ce soit le même son de cloche du côté des adaptations filmiques et sérielles : les longs-métrages avec Milla Jovovich n’ont jamais été transcendants, le film Bienvenue à Raccoon City est loin d’avoir remonté le niveau, et la série d’animation Infinite Darkness n’est pas un ratage complet mais elle ne nous a pas laissé un souvenir impérissable. La réputation des adaptations de Resident Evil est aussi décharnée que le sont ses zombies, mais cela pourrait peut-être changer grâce à la série en prises de vues réelles qu’est sur le point de lancer Netflix. On oublie donc les images de synthèse, et l’on se concentre sur une série avec des acteurs en chair et en os pour, une nouvelle fois, nous plonger en pleine apocalypse zombiesque ! Pour planter le décor, le géant américain de la SVOD nous a offert deux bandes-annonces : l’une qui nous montre les environnements proprets de New Raccoon City de 2022 et son ambiance trop idyllique pour ne pas éveiller les soupçons, et l’autre qui nous permet de mieux comprendre les raisons derrière les évènements qui ont conduit le monde, et notamment la ville de Londres, à la catastrophe. La cause principale ? Les dérives d’Umbrella Corporation qui, avec son comprimé miracle baptisé Joy, a propagé le virus T de patients en patients. Mais pas que, comme en témoigne les horribles créatures que l’on aperçoit dans les extraits diffusés !
En ce moment, Chris Hemsworth est sur tous les fronts. Celui que l’on retrouvera bientôt dans le quatrième volet des aventures du dieu nordique de Marvel dans Thor : Love and Thunder revient déjà, sous la houlette de Netflix, avec une nouvelle grosse production après le très musclé et explosif Tyler Rake. Cette fois-ci, l’acteur australien met de côté les gilets pare-balles et les flingues de son rôle de mercenaire pour enfiler une tenue plus classieuse et une jolie paire de lunettes. Aux antipodes de son précédent personnage, Chris Hemsworth incarne donc, dans Spiderhead, Steve Abnesti, un scientifique visionnaire à la tête d’un centre pénitencier révolutionnaire aux méthodes toutefois peu conventionnelles. Dans la prison de Spiderhead, qui n’a pas l’air d’en être une, les criminels sont ici de leur plein gré. Et pour cause, ils ont accepté de participer à des expériences, de plus en plus démentielles et qui repoussent les limites du libre arbitre, dans le but d’obtenir une remise de peine. Pour cela, on leur propose, grâce à un dispositif chirurgical préalablement implanté, de s'inoculer des drogues psychotropes qui entraîne, à chaque fois, des stimulations cérébrales bien précises. Mais tout ce procédé va vite dégénérer lorsque deux sujets vont se lier dans leur quête de rédemption. Derrière cette adaptation d’une nouvelle de George Saunders (L’évadé de Spiderhead), on ne retrouve pas seulement du beau monde devant la caméra puisque ce n’est autre que Rhett Reese et Paul Wernick qui s’occupent du scénario (après celui de Deadpool), tandis que Joseph Kosinski œuvre à la réalisation, lui que l’on retrouve aux commandes de Top Gun : Maverick actuellement.
Disponible le 17 juin
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The Umbrella Academy (saison 3)
Marvel a ses Avengers, DC Comics a sa Justice League, Amazon a ses Sept avec The Boys et Netflix, lui, à ses membres de l’Umbrella Academy. À ne pas confondre, évidemment, avec l’organisation pharmaceutique dont on vous parle juste au-dessus avec la série Resident Evil. Le programme est, en réalité, adapté d’une bande-dessinée élaborée à quatre mains par Gerard Way, iconique chanteur du groupe My Chemical Romance, et Gabriel Bá, lauréat de nombreux prix dans le milieu, qui se sont respectivement occupés du scénario et des illustrations. En février 2019, Netflix inaugure donc la première saison d’un show qui gagnera en maîtrise et en efficacité grâce à sa seconde salve d’épisodes. Le diffuseur étant ravi de la popularité de l’adaptation sérielle, voilà que les super-héros de l’Umbrella Academy sont de retour, pas comme ceux de Jupiter’s Legacy, pour une toute nouvelle intrigue. Selon le proverbe, on ne choisit pas sa famille, mais le milliardaire Sir Reginald Hargreeves vous répondrez certainement « faux », lui qui a adopté, suite à une étrange série de naissances, sept enfants dotés de pouvoirs hors du commun dans le but de préserver le monde des dangers qui le guette. À deux reprises déjà, Luther, Diego, Allison, Klaus, Cinq, Ben et Vanya (désormais, Viktor) ont empêché qu’une apocalypse se produise et, bien évidemment, la même chose les attend pour cette saison 3. À l’exception près qu’une autre menace va venir leur mettre des bâtons dans les roues : un paradoxe temporel les a bien ramené chez eux mais dans un univers parallèle où leur père a fondé la Sparrow Academy avec d’autres enfants dotés de super-pouvoirs, et ces derniers ne vont pas les accueillir chaleureusement !
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Money Heist : Korea — Joint Economic Area
En décembre 2021, la très populaire série La Casa de Papel a tiré sa révérence après cinq saisons. Certes, le show d’Álex Pina ne reviendra pas sur Netflix mais son héritage perdure toujours sur la plateforme de SVOD grâce à un remake en version coréenne ! Depuis quelques temps, le géant américain s’intéresse de plus en plus aux créations en provenance du pays du Matin calme, et la relecture coréenne de l’emblématique série espagnole est un candidat tout trouvé, comme l’a été Squid Game en son temps. Pour le coup, la série va reprendre le titre anglais du show tout en précisant sa localisation, à savoir Money Heist Korea — Joint Economic Area. Fini les rues de Madrid, les couloirs de la Banque d’Espagne et les masques de Salvador Dali, Money Heist Korea imagine, au sein d’une réalité alternative, un tournant géopolitique où une union pacifique entre le versant Nord et Sud de la Corée sont sur le point de se réunifier. Forcément, pour que cette Corée ne fasse plus qu’un, il est envisagé qu’une monnaie unique soit créée et c’est là que nos chers braqueurs, épaulés par le Professeur, cerveau de cette opération, rentrent en scène et se rendent dans le Mint Bureau (l’endroit où sera fabriquée la monnaie) pour en dérober une somme faramineuse afin qu’elle ne profite pas qu’aux personnalités les plus nantis de ce pays réuni. Bien cachés derrière leurs masques hahoetal, ils vont devoir suivre un plan considéré comme parfait sur le papier, mais le facteur « humain », la riposte de la police et les otages pourraient enrayés tout cela !
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Spider-Man : New Generation
Lorsque Netflix ne se charge pas d’alimenter son catalogue en matière de films ou de séries d’animation par ses propres moyens, le géant américain de la SVOD tente d’attirer dans ses filets des fleurons du genre. Après la claque administrée par la nouvelle et troisième saison de Love, Death + Robots, c’est un long-métrage d’animation qui a fait un carton en décembre 2018 qui arrive enfin sur la plateforme, à savoir Spider-Man : New Generation (ou Into The Spiderverse en VO, un titre bien plus pertinent) dont le second volet est extrêmement attendu, quand bien même il faudra se montrer patient car il ne sortira qu’à l’été prochain ! En attendant, Netflix nous offre le moyen idéal de se replonger dans l’univers de la franchise de Sony et de nous familiariser avec le personnage de Miles Morales, notamment. Le jeune garçon admire Spider-Man mais, chez lui, tout le monde ne partage pas cette admiration. Surtout son père, un officier de police qui ne voit pas d’un très bon œil les actes du tisseur. Coincé entre une école dans laquelle il ne se sent pas à l’aise et un père qui ne partage pas les mêmes avis que lui, Miles trouve du soutien auprès de son oncle qui lui transmet sa passion du graffiti, un art qu’il exerce dans les galeries du métro new-yorkais, l’endroit même où le jeune Miles se fera mordre par une araignée radioactive. De cet évènement en découlera d’autres aussi étranges que tragiques qui impliquent l’Homme-Araignée, le Caïd ainsi que d’autres Super Vilains, mais Miles tentera de reprendre le flambeau tout en étant épaulé par de nouveaux compagnons et un mentor inattendu : Peter B. Parker, un Spider-Man venu d’une autre dimension !
