Nous avons pu mettre la main sur la dernière édition de la console de Nintendo à l'approche de sa sortie. L'occasion de voir ses nouveautés, et notamment son argument premier, à savoir son écran OLED, qui offre un meilleur rendu et contraste des couleurs. On vous parle de notre expérience en détails.
La fin d'année s'annonce chargée pour Nintendo. En parallèle du retour de Samus Aran avec Metroid Dread, Nintendo prévoit de sortir la nouvelle version de sa dernière console : la Switch OLED. Nous avons pu la tester dans le cadre de la Preview du dernier Metroid. Voici ce qu'il faut savoir de la nouvelle itération de la Switch.
Avant toute chose, il faut retenir que son design est proche de celui de la Switch classique. Les dimensions sont identiques, les joy-con sont les mêmes, les boutons sont placés aux mêmes endroits. Ce qui change tout particulièrement c’est sa couleur blanche avec quelques modifications néanmoins : le port ethernet est directement intégré au dock, le support situé derrière la console fait quasiment toute sa longueur et est inclinable, le stockage interne qui passe de 32 Go à 64 Go, et bien évidemment l’écran qui est plus grand. Oui, le design de cette Switch OLED est globalement identique à celui de la précédente version, mais les touches de nouveauté dans les fonctionnalités, même si elles sont discrètes, sont bienvenues.
L’argument premier de cette nouvelle version de la Switch est bien évidemment l’écran OLED qui envoie des couleurs chaudes et des contrastes prononcés. Dans Metroid Dread notamment, les effets lumineux affichés étaient très convaincants sur cet écran qui n’est pourtant pas HDR. Par rapport à la Switch classique, l’écran de la console est plus grand, passant de 6,2 pouces à 7 pouces. Nintendo assure de plus que l’autonomie sera la même que celle du deuxième modèle de Switch, c’est-à-dire entre 4 et 9 heures environ, selon le type de jeu.
S’en prendre plein les yeux, c’est bien, mais s’en prendre plein les oreilles, c’est bien aussi. La Switch OLED propose des hauts-parleurs intégrés plus grands et plus puissants. Quand on s’amuse avec la console, c’est immédiatement perceptible et ça rend les sons plus précis. Alors oui, le rendu peine toujours à faire émerger les basses fréquences, mais le résultat nous a semblé réussi durant notre essai.
Niveau puissance, il est à noter que la Switch OLED est une machine qui sera incapable d’afficher des graphismes en ultra haute définition. En matière de CPU/GPU, c’est tout simplement identique à ce que l’on retrouve sur Switch classique. Ne l’oublions pas, le matériel qui se trouve dans la Switch date de 2017, et dans le monde du jeu vidéo, ça fait une éternité. Le fait que les Joy-Con soient identiques nous fait également craindre des problèmes de Joy-Con Drift.
Nous n’avons plus besoin d’attendre trop longtemps pour mettre nos petites mains sur la Switch OLED, puisqu’elle débarquera le 8 octobre 2021, en même temps que Metroid Dread. Elle sera disponible en deux coloris : dock blanc, Joy-Con blancs ou dock noir, avec des Joy-Con bleus et rouges. Côté prix, il faudra débourser 349 euros selon les enseignes pour récupérer cette machine qui dispose d’un écran OLED pour seulement 30 grammes de plus.
Nous reviendrons très prochainement sur la Switch OLED dans les lignes de JV. En attendant vous pouvez consulter notre Preview de Metroid Dread juste ici :
Metroid Dread : La Switch OLED tient son meilleur représentant
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