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Bungie n'avait pas que La Reine Sorcière à dévoiler lors de son événement de présentation, en amont de la GamesCom 2021.
Hier soir, Bungie dévoilait le futur de son FPS coopératif et multijoueurs, Destiny 2, et à la clef, les joueurs ont certes pu en apprendre davantage sur la Saison des Disparus, disponible dès à présent, mais également sur Destiny 2 : La Reine Sorcière, nouvelle extension de la saga, qui sortira le 22 février 2022.
Mais le studio également à l'origine de la franchise Halo avait d'autres informations concernant le futur plus lointain. On savait depuis l'an dernier que trois extensions étaient prévues (Au-delà de la Lumière, déjà disponible, La Reine Sorcière et Eclipse) pour clôturer l'histoire de Destiny 2, mais dans le courant de l'année, Bungie a finalement annoncé une quatrième extension de conclusion.
La fin des Ténèbres et de la Lumière
Celle-ci a désormais un nom : La Forme Finale, et est prévue pour 2024 sur Xbox One, Xbox Series, PC, Stadia, PlayStation 4 et PlayStation 5.
Dans un billet dédiée à la présentation live d'hier soir, le studio précise que ce DLC sera "le dernier chapitre de la saga de la Lumière et des Ténèbres". Les joueurs mettront donc visiblement un terme à ce concept, bien que le chemin soit encore long pour y arriver.
Vers un Destiny 3 ?
Plus cryptique cependant, Bungie explique que La Forme Finale sera surtout un moyen de "préparer le terrain pour l'avenir de Destiny 2". Le studio avait jusqu'ici balayé la nécessité d'un Destiny 3, mais avec ce chapitre de la saga qui s'achève, et la volonté de ses créateurs de continuer sur la licence, il ne serait donc pas étonnant qu'une véritable suite voit le jour dans les 5 prochaines années. De plus, des projets transmédias (films, séries, BD...) sont également au programme.
En attendant, d'ici 2025, Bungie prévoit de lancer une nouvelle IP, qui, selon les rumeurs et les offres d'emplois, devrait se dérouler dans un univers de Dark fantasy (comme Diablo par exemple), avec des éléments de gameplay proche du jeu à service. Ce projet est financé en grande partie par le géant chinois NetEase, qui a ainsi injecté pas moins de 100 millions de dollars pour le soutenir.