J ai joué a peine 2 heure le jeux est d un ennuie le personnage est mou trop d ennemis pour le peu de munition que t arrive a attraper et en fabriquer est une fraude total (4 poudres pour une balle de pistolet) faut arrêter de nous prendre pour des jambons on est bien loin d un résident evil ou encore d un Outlast qui est sorti des années avant

Un très bon successeur au 1er
L'histoire, les personnages, le côté semi-ouvert, le craft, c'est juste incroyable
Les graphismes sont également très bon

6 ans après sa sortie, offert par Amazon prime sur GoG au mois de decembre, j'ai decider de le tester. Après 1h30 de jeu en arrivant dans la ville, je suis passé à travers le sol et est tombé sous la map... les bugs commencent déjà, aller hop, poubelle. Marre des studio pas foutu de sortir un truc potable, heuresement que j'ai pas payer cette bouse.

J'ai recommencé à jouer à ce jeu récemment, c'est vraiment bien, j'aime cette suite, le jeu est très fluide, le cadre de l'intrigue est bon, j'ai effacé la première partie hahahaha

Obtenu avec le Xbox Game Pass Ultimate.
Config : CPU AMD Ryzen 5 3600, GPU Nvidia RTX 2060 Super, RAM 16Go DDR4 3200CL16, SSD NVMe.

Sebastian Castellanos, traumatisé par les évènements survenus à Beacon, a sombré dans l'alcoolisme. Il est contacté pour le compte de l'organisation Mobius par son ancienne collègue, Juli Kidman, qui lui révèle que sa fille Lily n'est pas morte, mais prisonnière d'un nouveau STEM dont elle est le Noyau. Le contact ayant été rompu avec tous les agents partis à sa recherche, Sebastian est l'ultime espoir pour rétablir la situation. Il va accepter de se reconnecter pour sauver sa fille, qui est traquée par un dangereux psychopathe.

L'histoire est plus accessible que celle du premier opus, son déroulement et ses enjeux plus clairs. On note aussi un changement dans le ton, davantage intimiste et tragique. Pourquoi pas, sauf que le récit est trop fractionné et caricatural. L'antagoniste principal change deux fois en cours de jeu, dont un illuminé qui se croit toujours au temps moyenâgeux de l'Inquisition (on respecte à la lettre le dogme laïque du petit scénariste Christianophobe). De plus, malgré un épilogue doux-amer émouvant, la dernière partie voit son rythme s'effondrer pour franchement tirer en longueur. La narration, plus simpliste que simple, manque de subtilité et d'harmonie.

On évolue dans une poignée de zones semi-ouvertes avec des bâtiments à explorer. On suit la liste des missions sur une carte dont les points d'intérêts se révèlent progressivement. Les planques des agents de Mobius servent de safe rooms ainsi que d'accès à la Moelle, réseau reliant les différentes zones. Les établis servent à fabriquer des munitions, des soins, et à améliorer les armes. La chaise électrique est de retour, prenez-y place pour accéder aux casiers et améliorer vos capacités. Mieux vaut augmenter l'endurance au maximum en priorité, pour ne pas se trainer.

L'infiltration est encore très limitée, et les gunfights délicats, même s'il y a du mieux. Malgré l'orientation plus "action" des situations au détriment du survival-horror, pas de roulade ni de demi-tour rapide, votre avatar souffre d'une inertie assez frustrante. Sans compter les imprécisions de hit boxes. Les dernières heures sont très narratives, avec peu d'interactivité, pour un titre qui ne brille toujours pas par son gameplay.

La direction artistique souffle le chaud et le froid. Il y a tout d'abord une volonté d'élégance malsaine, surtout dans la première partie, où des œuvres d'art morbides prennent vie sous nos yeux. On est plongé au cœur d'un opéra baroque, dont la dramaturgie trouve son apogée au Grand Théâtre. Plus tard, on changera d'ambiance en arpentant des catacombes en décrépitude et une église gothique. En dehors de cela, Union est une petite ville américaine lambda, et la Moelle est composée de couloirs souterrains en bêton. C'est fade et monotone. La mise en scène est pourtant inspirée, immersive, dynamique et spectaculaire. Les éclairages sont encore une fois très raffinés. On bien au-dessus d'une série B. Reste l'impression que cette masse hétérogène est le fruit d'un rapiéçage forcé.

Techniquement, c'est un énorme bond en avant, mais non sans scories. Beaucoup plus fin, et doté d'animations plus fluides, le jeu souffre d'un léger pop-in, de quelques bogues d'affichage, mais surtout de régulières chutes de frame-rate. Pourtant mon GPU était constamment sous-employé, et aucune manipulation dans les réglages n'a pu résoudre ce problème. À ce titre, le menu des options graphiques est bien fourni, on peut notamment y agir sur le champ de vision, ce qui est très utile. Dommage qu'une mauvaise optimisation ternissent le tableau.

Les musiques sont assez discrètes, certainement en raison d'une progression moins linéaire, mais Masatoshi Yanagi s'en tire une nouvelle fois avec les honneurs (un peu aidé par Tchaïkovski). On a le choix des langues et sous-titres, même si ces derniers sont un peu trop petits. La VF est de bonne facture, tout à fait crédible dans le genre.

Il m'a fallu 19h pour en faire le tour, en menant à bien toutes les missions. Un new game+ apporte divers petits bonus et pourra éventuellement contenter les complétistes souhaitant dénicher tous les objets, statues, dossiers, diapositives et souvenirs résiduels. Sans être faramineux, le contenu est honnête.

Globalement plus consensuel que son prédécesseur, et bénéficiant d'un emballage graphique autrement plus moderne, la production de Tango Gameworks pèche surtout par manque de rythme et de cohérence. L'histoire semble définitivement bouclée, en dépit de ce que suggère la scène finale post-générique, et les chiffres de vente étant relativement faibles, il est peu probable qu'une suite voit le jour. Mais ce ne serait pas forcément de refus.

Un bon jeux avec une aventure bien construite, un gameplay franchement sympa, de bonnes armes pour un tps solo, un système d'amélioration réussi, une re jouabilité s'annonçant présente. Je regrette un peu que les boss soient moyen mais vers la fin du jeux (chapitre 14) (ATTENTION SPOIL QUI PEUX) une séquence nous les ferons réaffronter. Je regrette vraiment qu'il fasse si peu peur mais bon je suppose que le 1 était mieux.

très bon jeux à faire graphiquement plutôt beau gamplay efficace bande sonore de qualité bonne durée de vie scénario sympa à suivre un bon jeux à faire si vous aimez ce genre d ambiance

un très bon divertissement gamplay efficace bande sonore de qualité graphiquement plutôt beau scénario sympa à suivre un bon survivol horror à faire je conseille vivement

très bon jeux a faire graphismes top ambiance incroyable level design excellent ost sublimes durée de vie honnête scénario plaisant un vrai bon survivol horror

Un super jeu comme le premier mais qui devient trop bourrin vers la fin. En effet il y'a beaucoup de phases d'actions contre des vagues de mobs et ça n'a rien à faire dans ce genre de jeu. Tu ne peux même pas la jouer infiltration puisqu'il faut TUER tous les mobs pour pouvoir continuer. L'open world est maîtrisé mais je préférai l'aspect "couloir" du premier qui renforce le côté survival horror.

Néanmoins le jeu reste très bon, les balles sont très rares, les ennemis sont mortels, les boss mémorables, l'ambiance et le level design excellent, j'espère vraiment qu'il y'aura un 3.

J aime bien cette suite graphiquement plus beaux gamplay qui évoluer ost magique scénario plaisant à suivre j us qu'à son dénouement finale très bonne durée de vie rien a dire de plus

très sympathique a faire de super graphismes un gamplay plus moderne bande sonore qui claquent bonne durée de vie scenario plus intimiste très bonne suite

excellent suite graphiquement très beau gamplay addictif bande sonore excellente durée de vie correct scénario plaisant à parcourir rien a dire c est un super jeux

très bon jeux a faire si vous aimer le genre graphismes top gamplay classique mais efficace ost sublimes durée de vie correct scénario plaisant à suivre un bon jeux

Très bon jeu ce the evil withim graphismes 17/20 gamplay 18/20 durée de vie 16/20 bande son 18/20 scénario 16/20 en bref un très bon jeu je recommande chaudement