Le retraité de 63 ans arrêté mercredi dans le cadre des enquêtes sur deux cold-case des « disparus de l’Isère » a été présenté ce lundi au juge d’instruction. Le suspect, qui nie les faits, a été placé en détention.
Cinq jours après son arrestation, au petit matin dans l’appartement de sa compagne, à Dijon (Côte-d’Or), Mohammed C. a été mis en examen ce lundi par un juge d’instruction du pôle cold-case du tribunal de Nanterre, pour les meurtres de Nathalie Boyer et Laïla Afif. Ces deux affaires appartiennent au dossier dit des « disparus de l’Isère » repris depuis 2022 par ce pôle spécialisé dans les affaires non élucidées.
Mohammed C. a été confondu par des traces ADN relevées sur divers objets liés à la scène de crime concernant Laïla Afif. Le retraité au teint cireux et cheveux blancs, 63 ans, a été présenté vendredi, à l’issue de sa garde à vue, à un juge des libertés et de la détention qui lui a notifié son maintien en prison en attendant le mandat d’amené délivré par le juge d’instruction. Ce lundi, l’ancien ouvrier de Renault a été transporté jusqu’à Nanterre (Hauts-de-Seine), où il a été entendu par le magistrat instructeur à la mi-journée.
https://www.leparisien.fr/faits-divers/mohammed-c-mis-en-examen-pour-les-meurtres-de-nathalie-boyer-et-laila-afif-36-et-24-ans-apres-02-12-2024-27M3F4MVX5FLLEYRK23BTOBW2U.php
Comme quoi il ne faut jamais jeter l'éponge. Bravo aux enquêteurs
Que les victimes reposent en paix.
Le sexagénaire, au RSA depuis plusieurs années, vivait dans l’appartement de sa compagne. Une existence en apparence paisible, seulement troublée par une réputation de « coureur » qui lui collait à la peau
Cela ne nous apprend pas comment son ADN a pu se retrouver dans un fichier
Le 04 décembre 2024 à 08:13:17 :
Le sexagénaire, au RSA depuis plusieurs années, vivait dans l’appartement de sa compagne. Une existence en apparence paisible, seulement troublée par une réputation de « coureur » qui lui collait à la peau
Cela ne nous apprend pas comment son ADN a pu se retrouver dans un fichier
Les tests génétiques sont à priori interdits en France sauf si la loi a changée et je ne vois pas un RSA payer pour ce genre de service.
Le 04 décembre 2024 à 08:13:17 :
Le sexagénaire, au RSA depuis plusieurs années, vivait dans l’appartement de sa compagne. Une existence en apparence paisible, seulement troublée par une réputation de « coureur » qui lui collait à la peau
Cela ne nous apprend pas comment son ADN a pu se retrouver dans un fichier
Au TAJ.
Suffit qu’il s’est fait prendre les empreinte pour un truc « anodin » comme un defaut d’assurance (vu que c’est super courant…) et voilà.