Alors que monte le vote en faveur de l’extrême droite, l’école n’échappe pas à ses idées. Les enseignantes et enseignants font face à une libération de la parole raciste, notamment dans les territoires et villes où est implanté le RN.

Tous ont demandé l’anonymat. Les enseignants qui témoignent de la montée des idées d’extrême droite dans leurs établissements scolaires ne veulent pas le faire sous leurs vrais noms. « Si jamais la mairie apprend que c’est moi qui ai parlé, c’est mon école qui va en payer le prix », s’inquiètent des professeurs de Béziers, Orange ou Hénin-Beaumont, des villes dirigées par l’extrême droite. Mais ailleurs aussi, les salles de classe et salles des professeurs font l’expérience de la montée de ces idées.

Maria, enseignante d’histoire-géographie à Nîmes, a constaté l’intérêt de ses élèves pour Jordan Bardella, tête de liste RN aux Européennes, pendant la campagne élections de juin dernier. « Lors d’un cours d’enseignement moral et civique sur la démocratie avec mes terminales, plusieurs d’entre eux m’ont parlé du candidat RN, de sa campagne sur les réseaux sociaux et de leur envie de voter pour lui », témoigne-t-elle.

Suite: https://basta.media/Propos-racistes-a-l-ecole-popularite-de-Bardella-les-profs-face-aux-idees-d-extreme-droite

« Une de mes élèves avait pris un selfie avec sa classe pour la diffuser sur internet. Elle avait commenté "Moi et ma classe de migrants".

L'horreur, complètement le nazisme.

Terrible, le bruit des bottes.

Je verrais bien une comédie où tout le monde a des idées "d'extrême droite" mais essaye de les dissimuler car ils pensent tous être les seuls à en avoir et que ce serait mal vu par les autres

Le 18 septembre 2024 à 13:29:45 :
Je verrais bien une comédie où tout le monde a des idées "d'extrême droite" mais essaye de les dissimuler car ils pensent tous être les seuls à en avoir et que ce serait mal vu par les autres

L'idée serait pas mal cela dit, et je suis sur que ça existe en vrai, genre dans des environnements de travail etc.

Le 18 septembre 2024 à 13:31:03 :

Le 18 septembre 2024 à 13:29:45 :
Je verrais bien une comédie où tout le monde a des idées "d'extrême droite" mais essaye de les dissimuler car ils pensent tous être les seuls à en avoir et que ce serait mal vu par les autres

L'idée serait pas mal cela dit, et je suis sur que ça existe en vrai, genre dans des environnements de travail etc.

Des sondages montrent que dans des professions traditionnellement bien ancrées à gauche (profs par exemple) il y a un nombre significatif en effet, ce serait juste le pousser à 100%

Je condamne fermement

Terrible, les profs ancrés à gauche qui ne peuvent plus imposer leur idéologie comme ils le souhaitent.

les seuls propose racistes, antisémites, misogynes que j'ai entendu à l'école venaient de la "diversité".

combien de fois ils traitaient de racistes d'autres enfants uniquement parce qu'ils étaient blancs ?

Zut alors , les profs n'arrivent plus a manipuler les gosses avec leurs sales idées de gauche.

Le 18 septembre 2024 à 14:43:49 :
Zut alors , les profs n'arrivent plus a manipuler les gosses avec leurs sales idées de gauche.

Excellente nouvelle

On étudiait les migrations et cet élève a dit publiquement que les personnes migrantes "n’avaient qu’à rester chez elles" et que l’on "n’avait pas à être envahis"

La vérité sort de la bouche des enfants.

les propos racistes aujourd’hui c’est plutôt contre les blancs
même les médias s’y mettent

Le 18 septembre 2024 à 14:53:31 :
les propos racistes aujourd’hui c’est plutôt contre les blancs
même les médias s’y mettent

Le seul racisme soutenu et encouragé par l'état d'ailleurs.
Le seul racisme systémique, donc le seul racisme tout court selon la logique de gauche.

Jean, professeur des écoles à Béziers, se souvient de cette toute jeune élève de primaire. « À l’occasion d’un cours sur Léonard de Vinci, j’en viens à parler des valeurs humanistes, que nous sommes tous humains et que le racisme est une construction. Et là, l’élève intervient, affirmant que "Marine Le Pen n’était pas raciste", qu’elle voulait "juste que l’on soit en sécurité chez nous". Bien sûr qu’elle répétait des paroles qui n’étaient pas les siennes, mais comment réagir ? » se demande l’enseignant. Il a essayé dans un premier temps de la faire réfléchir sur ses propos : que veut dire « chez nous » ? Et « en sécurité » ? « Mais j’ai très vite coupé court à la conversation, je sentais que cela glissait vers le terrain des idées politiques. »

Aya, le prof déboussolé par une CE2 qui répète des idées certes démago, mais saines.

Le prof : "Mais ma petite, ça n'existe pas, "chez toi", tu n'as pas de chez toi, tu vas finir sous terre comme tout le monde alors en attendant, tu n'as droit qu'au volume de ton corps et tu devrais en être heureuse. Et tu ne seras jamais en sécurité parce que la sécurité est une construction sociale : l'atteinte à ta personne n'existe pas."

Le 18 septembre 2024 à 15:02:03 :
Jean, professeur des écoles à Béziers, se souvient de cette toute jeune élève de primaire. « À l’occasion d’un cours sur Léonard de Vinci, j’en viens à parler des valeurs humanistes, que nous sommes tous humains et que le racisme est une construction. Et là, l’élève intervient, affirmant que "Marine Le Pen n’était pas raciste", qu’elle voulait "juste que l’on soit en sécurité chez nous". Bien sûr qu’elle répétait des paroles qui n’étaient pas les siennes, mais comment réagir ? » se demande l’enseignant. Il a essayé dans un premier temps de la faire réfléchir sur ses propos : que veut dire « chez nous » ? Et « en sécurité » ? « Mais j’ai très vite coupé court à la conversation, je sentais que cela glissait vers le terrain des idées politiques. »

Aya, le prof déboussolé par une CE2 qui répète des idées certes démago, mais saines.

Le prof : "Mais ma petite, ça n'existe pas, "chez toi", tu n'as pas de chez toi, tu vas finir sous terre comme tout le monde alors en attendant, tu n'as droit qu'au volume de ton corps et tu devrais en être heureuse. Et tu ne seras jamais en sécurité parce que la sécurité est une construction sociale : l'atteinte à ta personne n'existe pas."

La vraie question c'est quels sont les arguments de ce prof pour dire que Marine Le Pen est raciste ? Je serait bien curieux de les connaitre. Peut-être que l'absence d'argument face à cette gamine l'a fait complètement buguer

Le 18 septembre 2024 à 15:08:59 :

Le 18 septembre 2024 à 15:02:03 :
Jean, professeur des écoles à Béziers, se souvient de cette toute jeune élève de primaire. « À l’occasion d’un cours sur Léonard de Vinci, j’en viens à parler des valeurs humanistes, que nous sommes tous humains et que le racisme est une construction. Et là, l’élève intervient, affirmant que "Marine Le Pen n’était pas raciste", qu’elle voulait "juste que l’on soit en sécurité chez nous". Bien sûr qu’elle répétait des paroles qui n’étaient pas les siennes, mais comment réagir ? » se demande l’enseignant. Il a essayé dans un premier temps de la faire réfléchir sur ses propos : que veut dire « chez nous » ? Et « en sécurité » ? « Mais j’ai très vite coupé court à la conversation, je sentais que cela glissait vers le terrain des idées politiques. »

Aya, le prof déboussolé par une CE2 qui répète des idées certes démago, mais saines.

Le prof : "Mais ma petite, ça n'existe pas, "chez toi", tu n'as pas de chez toi, tu vas finir sous terre comme tout le monde alors en attendant, tu n'as droit qu'au volume de ton corps et tu devrais en être heureuse. Et tu ne seras jamais en sécurité parce que la sécurité est une construction sociale : l'atteinte à ta personne n'existe pas."

La vraie question c'est quels sont les arguments de ce prof pour dire que Marine Le Pen est raciste ? Je serait bien curieux de les connaitre. Peut-être que l'absence d'argument face à cette gamine l'a fait complètement buguer

Surtout, surtout, si le prof ne connait pas le concept de "sécurité", c'est à se poser de grosses questions sur comment il peut être enseignant...

Le 18 septembre 2024 à 15:08:59 :

Le 18 septembre 2024 à 15:02:03 :
Jean, professeur des écoles à Béziers, se souvient de cette toute jeune élève de primaire. « À l’occasion d’un cours sur Léonard de Vinci, j’en viens à parler des valeurs humanistes, que nous sommes tous humains et que le racisme est une construction. Et là, l’élève intervient, affirmant que "Marine Le Pen n’était pas raciste", qu’elle voulait "juste que l’on soit en sécurité chez nous". Bien sûr qu’elle répétait des paroles qui n’étaient pas les siennes, mais comment réagir ? » se demande l’enseignant. Il a essayé dans un premier temps de la faire réfléchir sur ses propos : que veut dire « chez nous » ? Et « en sécurité » ? « Mais j’ai très vite coupé court à la conversation, je sentais que cela glissait vers le terrain des idées politiques. »

Aya, le prof déboussolé par une CE2 qui répète des idées certes démago, mais saines.

Le prof : "Mais ma petite, ça n'existe pas, "chez toi", tu n'as pas de chez toi, tu vas finir sous terre comme tout le monde alors en attendant, tu n'as droit qu'au volume de ton corps et tu devrais en être heureuse. Et tu ne seras jamais en sécurité parce que la sécurité est une construction sociale : l'atteinte à ta personne n'existe pas."

La vraie question c'est quels sont les arguments de ce prof pour dire que Marine Le Pen est raciste ? Je serait bien curieux de les connaitre. Peut-être que l'absence d'argument face à cette gamine l'a fait complètement buguer

Le prof te répondrait sûrement que Marine le Pen est raciste car c'est la fille de son père sinon je vois pas

Chaque fois qu'un gauchiste explique que le RN est un parti raciste, il te parle des casseroles de Jm Lepen y a 40ans ou de quelques élus/electeurs qui font/disent des conneries comme n'importe quel parti en faîtes...

Ce pays est irrécupérable, et cela ne va pas en s'arrangeant.