« Thèse : Le capital numérique (pur) est l'avenir, à condition que l'adoption et la légitimité continuent de croître. Les organes exécutifs, législatifs et réglementaires pro-crypto sont sur le point de sceller cette légitimité de l'encre de l'autorité gouvernementale. Une fois ce sceau apposé, il est presque impossible de revenir en arrière, sauf en cas de catalyseur ou de catastrophe extraordinaire. C'est la SEULE critique valable du Bitcoin : « Et si les États-nations ne l'adoptent pas et ne le légitiment pas ? »
J'ai passé 15 ans dans la finance, dont dix ans à conseiller auprès d'une RIA, fermement ancré dans les approches traditionnelles : théorie moderne du portefeuille, analyse fondamentale, tous les classiques. Mais ce que Michael fait avec le Bitcoin est génial. Il voit l'écriture sur le mur. L'adoption par les institutions privées et les États-nations EST déjà en cours et ne fera que s'accélérer. Point final.
Digression sur Hegel : Le Bitcoin incarne la synthèse parfaite de la dialectique spirituelle de Hegel et de la dialectique matérialiste de Marx. C'est le capital idéal : une convergence de marchandise, d'idéal et d'esprit.
Vous n'avez pas besoin de comprendre les aspects techniques de la dette convertible, de la dilution des actions ou du mnav pour saisir ce qui se passe. Cette connaissance est formidable, bien sûr, mais ce qui compte, c'est l'esprit de ce moment. Nous assistons à la transformation du capital lui-même.
Le Bitcoin est à la fois l'idéalisme envisagé dans le livre blanc de 2008 et sa réalisation matérielle sur le marché. C'est la synthèse du concept et de la condition, l'évolution ultime du capital. »