Bonsoir,
J'aimerais que vous jugiez mon poème. Je suis débutant donc si vous voyez des erreurs de syntaxe ou tout autres erreurs, n'hésitez pas à me corriger et à donner votre avis.
Je sais que le thème du poème est assez barré, donc j'ai voulu écrire là-dessus en y mettant, si possible les formes.
Mon obsession
Cet aveu délicat que présentement je vous laisse
Est des plus particuliers et étranges
Il est en effet de ceux qui adorent les fesses
De celles que l'on perçoit, à tort, comme des anges
Donnez-moi l'occasion de vous en conter davantage
Des femmes et plus particulièrement d'une zone érogène
Bien connue de tous les amateurs de courbes, ce sensuel virage
Que l'on retrouve bien souvent chez ces belles métisses et ébènes
La croupe tant convoitée cache un inestimable trésor
Si tabou et absent des conversations conventionnelles
L'orifice magnifique, étoilé, d'ou, toujours sort
La matière fécale tant convoitée de ces demoiselles
Elle prends forme de tant de façons,
Pour satisfaire les envies de ces messieurs
Avides de surprises et d'excitations
Grandement enivrés par l'incroyable enjeu
Car lorsque l'invité aux odeurs peu flatteuses
Se montre aux plus curieux des coquins
Il sort péniblement mais rends, la demoiselle heureuse
De redonner à la nature ce qui lui appartient
De ce cadeau magnifique flottant dans une étuve renfermée
Munie d'un grand couvercle arrondi et fin
Je rêverais de m'en emparer pour enfin pouvoir tâter
La création du corps de ma promise de mes mains
Quand il est de forme oblongue, compact, grand et bien fait
Il est toujours le fruit d'une maturation intérieure
Preuve irréfutable d'une compagne en parfaite santé
Mais aussi l'occasion pour l'aimable coquin rêveur
D'admirer l'auguste derrière de sa bien-aimée
Imposant mais toujours bien arrondi malgré les années
Afin d'offrir le meilleur à son mari, comblé
D'un présent surprenant offert avec gaieté
La matière, sur mon visage, soigneusement étalée
Pourra faire corps avec mon âme et enfin me combler d'un bonheur
Que j'attends, depuis si longtemps, et dont je suis privé
Mais dont le souvenir prégnant chassera mes pleurs.