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Sujet : seule notre adversité sera rime à notre fraternité

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Niveau 1
24 juillet 2024 à 18:14:10

Le péché ardent gelait à mes doigts en sang. J’avais giflé cette prostituée. Je m’anesthésiais, au clou de girofle. La dent de sagesse était têtue. Je ne pouvais plus prendre à pleine bouchées. Je pouvais à peine respirer. J’avais respiré ton spleen, ton lent recueillement. J’avais respiré tout ce qui se déchoit sous le grand soleil.

Je reviendrai à cette mère, à ses horizons. A toutes voiles hissées. Le serpent sur l’océan ardent. Sa fraîcheur se déperdait, sous le soleil brûlant. Comme une musique. Une rime. Un souvenir. Une ancre, ancrée profond sous le sable brûlant. Il revenait à lui-même, sorti de sa profonde torpeur.

Les tentacules, indénombrables. Une fraction de tout ce qui se fait. Nécessaire et suffisant. Enveloppées enveloppantes. Toutes ces ruines. Tous ces jeux d’échec, au résultat su d’avance. Le plus malin essuyait ses lunettes. Il se rasait de près, de peur de finir barbu. Dieu sait au bout de quelle allée il se serait abrité.

Je te prenais à part. Je te lavais les pieds, le torse. Je te dessinais un tatouage au henné. Juste assez pour se réconcilier. Juste assez pour établir une sorte de respect. Une sorte de hiérarchie. Nous savions de longue date que tout était chimère à construire, que seule notre adversité sera rime à notre fraternité.

Nous étions adjoints abjects. Nous étions la canopée de l’un de l’autre. A plonger loin dans les ombres, dans les fonds de terrier, jusqu’à croiser Alice et sa cohorte. Perdu à bouts de marmelade et d’horloges brisées. Perdus main dans la main, dans la plus abjecte perversité. Nous étions perdus.

Je suis devenu impossible. Je suis devenu impossible à ignorer, impossible à subvertir. J’avais croisé assez de mes frères pour me savoir orphelin. Mon père était un lâche, perdu dans la broussaille. Je faisais éducation à moi-même. Je peinais à me reconnaître, dans ces traîtres d’éducateurs. Ils ne cherchaient qu’à se corriger eux-mêmes. Ils notaient leur propre performance, de leurs malpropres encres…

Tout à tout je faisais le procès. Je conduisais le tout-à-égoût, à tous ces goûts de merdeux qui n’en savaient pas plus loin que le bout de leur nez. Je faisais le pinocchio, perché dans la pampa. Dans la grande toundra les loups régnaient. Ils ricanaient, même. Ils se nichaient dans des grottes peu profondes… Juste assez pour voir la nuit passer.

Au jour nouveau, je me soumets. A la rosée, j’ai hué en un brouillard. J’ai tordu la cheville, quelque part au milieu des tiques. Il n’y avait de répit que pour la chouette. Elle se dissimulait. Tout un simulacre de voilure, pour échapper à tous ceux qui souhaiteraient la disséquer. On étudiera tout de ce qu’elle chiait. On appelait ça la Science.

Oh Dieu je m’insinue au sein de votre blancheur. Je suis le serpent qui se dresse, et siffle son venin. M’appelerez-vous fils encore un jour ? Encore une nuit. Encore un savoir, encore un interdit. M’accueillerez-vous au creux de votre creux ? Ce bassin, à la crème de la crème. Eh ce sein, à la forme oblongue. Toi mon image, me connais-tu autant ?

MangeBonheurent MangeBonheurent
MP
Niveau 16
16 août 2024 à 11:19:12

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