En France, la majorité des médecins généralistes exercent en libéral tout en étant conventionnés avec l'Assurance Maladie. Cependant, une directive récente signée par Barnier impose des quotas de soins aux médecins. Par exemple, un généraliste serait limité à prescrire 20 scanners par an. Cette feuille de route médicale, mise en place par l'Assurance Maladie pour des raisons d'économie, va encore plus loin : un médecin ne peut être consulté que pour une seule demande à la fois. Autrement dit, si vous voulez vous faire soigner pour un rhume et demander en même temps une prolongation pour vos séances de kiné, il faudra reprendre rendez-vous.
Vous pourriez penser que forcer les patients à venir deux fois reviendrait à augmenter les coûts pour la Sécurité sociale. Que nenni ! L’Assurance Maladie a calculé que 70 % des patients, face à ce type de contraintes, ne reviendront pas pour la seconde consultation. Une économie immédiate pour l’État, mais un accès aux soins qui se dégrade considérablement.
Et que va-t-il se passer ? De plus en plus de médecins vont choisir de devenir non conventionnés pour s’affranchir de ces quotas absurdes et pouvoir exercer leur métier sans être constamment surveillés. En secteur 3 (non conventionné), les médecins fixent librement leurs honoraires, mais cela a un coût. Pourquoi une consultation y coûte-t-elle souvent au minimum 80 euros ? Parce que l’Assurance Maladie pénalise ces médecins en leur imposant des cotisations sociales beaucoup plus élevées, forçant ce tarif pour atteindre un seuil de rentabilité.
Le résultat ? Une médecine à deux vitesses. D’un côté, une médecine « low-cost » à 30 euros la consultation, avec des quotas et sans garantie d’obtenir les soins adaptés. De l’autre, une médecine « premium », accessible uniquement à ceux qui peuvent payer une mutuelle à 200 euros par mois pour se permettre des consultations à 80 euros chez un médecin libéral capable d’offrir un parcours de soin optimal.
Les causes de la dette de la Sécurité sociale
La dette de la Sécurité sociale est aujourd'hui colossale. Elle se divise en deux grandes parts :
50 % proviennent des mesures prises durant la crise du Covid.
Le reste est réparti entre trois facteurs principaux :
Le vieillissement de la population, qui entraîne une augmentation des dépenses de santé.
Les soins aux étrangers, qui pèsent lourd sur le budget.
La Couverture Maladie Universelle (CMU), dont l’accès est gratuit pour ses bénéficiaires.
Les solutions possibles ?
Ne pas reproduire les politiques coûteuses de gestion de crise comme celles du Covid (coucou Antoine Goya !).
Taxer davantage les personnes âgées, principales consommatrices de soins.
Limiter l’accès aux soins pour les étrangers.
Imposer une cotisation symbolique de 5 euros par consultation pour les bénéficiaires de la CMU, afin de réduire l’impact de cette gratuité sur le système.
Maintenant, vous savez où nous en sommes et pourquoi nous allons vers une médecine à deux vitesses. À vous de voir si vous êtes prêts à affronter ce système ou à subir ses conséquences.
La dette de la sécu n'existe pas, l'argent déposé n'a pas vocation a être remboursé, ce n'est pas une banque....
Les soins aux étrangers ne pèsent rien sur le budget (1,5 milliard d'AME sur 300).
La Cour des comptes estime la dette à 17 milliards.
La dette existait avant les banques. Tu peux même avoir une dette morale.
Refuser la dette, c’est se rendre responsable de la détérioration des comptes publics.
Je ne pense pas que tu aies les moyens, au final, de continuer ce déni.
Ceux qui prennent et qui ne donnent pas grand chose = les assurances.
Avec le "dérèglement climatique" et la promotion que font les politiciens avec ça, car ils sont copains comme cochons, ils vont réduire ou supprimer dans certaines zones les remboursements et augmenter les prix des assurances.
il n'y a pas le choix aujourd'hui
il faut voter LFI
Sinon tu peux aussi bouger ton cul et si tu as vraiment besoin tu va deux fois chez le médecin... Je n'ai jamais eu ce problème, j'ai toujours pu faire plusieurs motif en 1 seul rdv. De plus pour les médecins non conventionné, seul la consultation n'est pas remboursée, les prescriptions le sont donc ils sont également soumis aux quotas de l'ARS pour les prescriptions.
Le 22 novembre 2024 à 09:46:02 :
Sinon tu peux aussi bouger ton cul et si tu as vraiment besoin tu va deux fois chez le médecin... Je n'ai jamais eu ce problème, j'ai toujours pu faire plusieurs motif en 1 seul rdv. De plus pour les médecins non conventionné, seul la consultation n'est pas remboursée, les prescriptions le sont donc ils sont également soumis aux quotas de l'ARS pour les prescriptions.
Aujourd'hui, exemple :toi et ton fils devez consulter séparément pour la même maladie, et il serait évidemment absurde de devoir prendre deux rendez-vous séparés avec le médecin. La question ne concerne pas le fait de "se bouger", mais plutôt de souligner l'absurdité de cette situation. Est-ce que tu fais ce type de commentaire uniquement pour te donner l'impression d'exister ? Au passage, un médecin en secteur 3 n'est effectivement pas soumis aux quotas. Ton commentaire est non seulement inutile, mais également erroné du début à la fin.
Le 22 novembre 2024 à 03:30:07 :
il n'y a pas le choix aujourd'hui
il faut voter LFI
Remonte le topic sur LFI, et je vais te démontrer par A + B l’aberration de ce parti. Dans notre cas, LFI, qui dénonce la fraude des médecins, oublie que cette fraude n’est possible qu’à cause de la gratuité des soins qu’elle propose. Par exemple, les personnes âgées, les étrangers ou ceux bénéficiant de la CMU ne paient pas la consultation. Le résultat ? Certains médecins inventent des soins pour cette clientèle, car, étant gratuits, ces soins ne sont quasiment jamais vérifiés. En fin de compte, la gauche ne fera que te rendre malheureux.
Le 22 novembre 2024 à 11:53:35 :
Le 22 novembre 2024 à 09:46:02 :
Sinon tu peux aussi bouger ton cul et si tu as vraiment besoin tu va deux fois chez le médecin... Je n'ai jamais eu ce problème, j'ai toujours pu faire plusieurs motif en 1 seul rdv. De plus pour les médecins non conventionné, seul la consultation n'est pas remboursée, les prescriptions le sont donc ils sont également soumis aux quotas de l'ARS pour les prescriptions.Aujourd'hui, exemple :toi et ton fils devez consulter séparément pour la même maladie, et il serait évidemment absurde de devoir prendre deux rendez-vous séparés avec le médecin. La question ne concerne pas le fait de "se bouger", mais plutôt de souligner l'absurdité de cette situation. Est-ce que tu fais ce type de commentaire uniquement pour te donner l'impression d'exister ? Au passage, un médecin en secteur 3 n'est effectivement pas soumis aux quotas. Ton commentaire est non seulement inutile, mais également erroné du début à la fin.
Si tu y va avec ton fils pour la meme maladie ou pour quoi que ce soit, tu fais un acte par carte vitale et le médecin compte 2 rdv. Non je dis la vérité, mon medeci est mon meilleur ami et j ai baigné la dedans toute ma vie. Même deconventionnée, ta consultation n est pas soumises à remboursement mais la prescription l est par assurance maladie. Enfin deconventionné ou pas, l assurance maladie garde quand même le contrôle, si ce n est pas sur lui ça sera sur toi, exemple pour un genoux défectueux on prescrira une radio qui sert à rien avant un irm car x est le protocole instauré pour éviter les surcouts dans les hôpitaux. Si il y a de plus en plus de deconventionnés c est surtout pour la lourdeur administratives qui leur bouffe le dimanche et les contrôles, c est pas pour une question de traitement ou de la façon de traiter le patient.